Andre Achour, un immense artiste
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Re: Andre Achour, un immense artiste
Je vous invite à lire l’entretien avec l’artiste André ou Moumen Achour dans le journal « La Cité) (édition du mercredi 15 novembre 2017)
Vous allez vraiment découvrir un immense artiste de chez nous ! Il s’agit de Moumen ou d’André Achour, originaire du village Lota dans la commune de Souk El Tenine dans la wilaya de Bejaia. On a pris le temps nécessaire pour bien visionner les œuvres de l’enfant de Lota qui sont en partie publiées sur les réseaux sociaux et notre surprise fut grande de découvrir un grand artiste mais on vous cache aussi que notre déception fut grande du fait qu’André n’est pas valorisé à sa juste valeur en Algérie. C’est dommage vraiment ! André est une star en France et ailleurs !
Bonne réception !
Vous allez vraiment découvrir un immense artiste de chez nous ! Il s’agit de Moumen ou d’André Achour, originaire du village Lota dans la commune de Souk El Tenine dans la wilaya de Bejaia. On a pris le temps nécessaire pour bien visionner les œuvres de l’enfant de Lota qui sont en partie publiées sur les réseaux sociaux et notre surprise fut grande de découvrir un grand artiste mais on vous cache aussi que notre déception fut grande du fait qu’André n’est pas valorisé à sa juste valeur en Algérie. C’est dommage vraiment ! André est une star en France et ailleurs !
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Re: Andre Achour, un immense artiste
https://www.youtube.com/watch?v=1NOCrkb_OCQ&feature=share
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Re: Andre Achour, un immense artiste
"André Achour, l'artiste, le sculpteur, le pisteur des émotions, une autre manière d'être poète par le souvenir et l'argile. Voyez la possibilité de dessiner, de retracer, de mettre du sentiment sur de la matière! À mesure que l'oeuvre gravit les routes escarpées de l'âme, l'argile hurle, s'exprime, rit, chante, récite un poème d'énigmes et de silence... pour dire que rien ne sait se frayer comme l'art une clairière de possibles dans la forêt sombre de nos petitesses et de nos certitudes. On dit que Michel Ange quand il a terminé de sculpter son célèbre Moïse, il lui a murmuré dans l'oreille, en le frôlant de sa petite truelle: parle! André ou Moumen est de cette engeance. Lui aussi est un marginal, un être un peu fou de son sourire où papillonne les ailes des monarques de son âme, comme s'il venait à chaque fois d'accéder au royaume de l’apesanteur et de la lumière. Continue, cher ami, de désherber le chiendent de la laideur en nous et de mettre des fenêtres nouvelles où boiront, pour se renforcer, à satiété nos yeux!
Malheureux le pays qui ne reconnait pas ses artistes, qui ne met pas du beau dans le regard de ses enfants! Pauvre Algérie qui ne sait plus remplir ni les panses ni les cœurs de ses enfants. André doit être convié chez lui pour remplir nos yeux d'art, pour que reculent, désarmées, toutes les violences sociales. L'art élève un pays capable d'assumer tous ses enfants, capable de se propulser dans des lendemains enchanteurs.
Déjà, la prochaine fois que tu rentres chez toi, tu dois organiser, je lance un appel aux associations, plusieurs ateliers de peinture et de sculpture pour semer définitivement le grain d'ailes et d'espoir dans la terre fertile qu'est la tête de nos enfants. Chiche!
Bravo, l'artiste!"
Louenas Hassani
Malheureux le pays qui ne reconnait pas ses artistes, qui ne met pas du beau dans le regard de ses enfants! Pauvre Algérie qui ne sait plus remplir ni les panses ni les cœurs de ses enfants. André doit être convié chez lui pour remplir nos yeux d'art, pour que reculent, désarmées, toutes les violences sociales. L'art élève un pays capable d'assumer tous ses enfants, capable de se propulser dans des lendemains enchanteurs.
Déjà, la prochaine fois que tu rentres chez toi, tu dois organiser, je lance un appel aux associations, plusieurs ateliers de peinture et de sculpture pour semer définitivement le grain d'ailes et d'espoir dans la terre fertile qu'est la tête de nos enfants. Chiche!
Bravo, l'artiste!"
Louenas Hassani
Azul- Nombre de messages : 29959
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Re: Andre Achour, un immense artiste
https://www.youtube.com/watch?v=RLP7zr9YdC4
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Re: Andre Achour, un immense artiste
Achour André ou le poète du marbre et de l’argile
by admin • June 29, 2017 • 1 Comment
Va l’artiste, le barde du marbre et de l’argile, l’écrivain des cimes de l’être, va ton chemin à la conquête d’autres muses inspiratrices, piste les méandres de la rivière abrupte de notre temps et ancre l’empreinte dans notre regard et notre cœur! Plante la trace dans la meilleure terre en nous, dans l’arpent inatteignable par les idéologues du renoncement à soi!
Il ne regarde le monde que de l’œil pour le réécrire, le poser à nouveau dans le paysage à protée de sa main, comme un crépuscule assis sur une toile et qu’il ne cesse de réinventer de son regard. Chasseur d’ombre et de lumière, artisan de l’empreinte pour la semence du splendide dans la mémoire, traqueur de paysages, Moumène ne sait pas regarder le monde hormis de la sonde de son œil esthétique; car le site à la portée des yeux est d’abord un possible, une route vers sa quintessence, une muse fécondatrice de la mélodie qu’il porte en lui comme un préambule d’orage artistique, un sentiment puissant à habiller de peinture ou de sculpture, cette autre verdure de l’être.
Quand l’artiste s’exprime sur son œuvre, il est dans une sorte de parole extatique, quasi-orgasmique. Au reste, il ne peut parler de sa création sans que ses doigts fins et agiles se meuvent un peu dans le vent, aillent leur chemin pour un bout de route à traquer l’imaginaire pour le concrétiser, le réinventer, le revendiquer, le redimensionner, le rapporter dans ses moindres subtilités.
Enfant, il était déjà artiste peintre et sculpteur, sans doute pas avec tous les outils dont il dispose désormais, mais il était déjà un poète de l’agile en herbe, un artisan de la lumière qui déjà mémorisait ses toiles à venir, son espace neutre de la poésie sculpturale.
Un peu sauvageon, immanquablement indocile, les mains écorchées par la ronce et le genêt, épiant d’un œil vigile ses brebis ou ses biquettes sur la plaine de peur qu’ils n’atteignent l’épaisse forêt où patientent les chacals, la soie sonore de la Méditerranée à ses oreilles et dans ses poumons, avec dans ses ailes la rumeur du sel et du coquillage, le jeune artiste voyait partout les probabilités de l’art. Tout dansait dans ses yeux, même les natures mortes; tout paysage allait son chemin vers la possibilité de l’argile, du sable mouillé près des vagues, de la boue ou du croquis sur la roche; tout était susceptible de rejoindre la trace dans la tête du mioche…
Oeuvre inspirée du célèbre Charlie Chaplin
Je me souviens de ces premières années à l’école supérieure des beaux-arts d’Alger. Beau, élancé, maigrichon, riant de la bouche et des yeux, la blague toujours prête à prendre son envol, il était armé de ses sempiternels rouleaux et de ses grands et gros cahiers. On pouvait le trouver assis, dominant quelque paysage inconnu, à n’importe quel endroit; sur les trottoirs des gares, près d’une foule, au milieu d’un jardin public… Et il guerroyait de ses coups de crayon dans le maquis du paysage pour le dompter et l’obliger à battre en retraite avant de rejoindre l’exil et le silence criant de sa grande feuille blanche.
Son passage à l’école des beaux-arts de Paris à la fin des années 1990 n’aura été qu’une juste récompense pour ne pas dire une maigre consolation après ce qu’ont vécu les étudiants et les professeurs de l’école des beaux-arts d’Alger; la mémoire pleine et le cœur meurtri par l’assassinat par les islamistes de tant d’artistes de renom dont les plus retentissants étaient sans doute l’assassinat d’Ahmed Asselah, le directeur de l’école supérieure des beaux-arts, et de son fils Rabah dans l’enceinte même de l’école, Moumen ou André, les larmes refoulés comme une cruche d’attente, comme un nuage de muses qui guette d’être engrossé, partait explorer son talent sous d’autres cieux.
Les artistes de sa génération, ceux qui étaient à l’épicentre de la tragédie de la fin du beau, de l’avènement de la peur et de la fin de tous les possibles, portent tous en eux un bout de cette Algérie jadis belle et conviviale comme un vestige ou un champ de ruines qu’ils ont sauvegardé dans le musée de notre nostalgie. Ils ont su dérober à la laideur caractéristique imposée par le fou d’Allah et le tyran un peu de ce pays beau à l’origine de la poésie, de l’art et du vivre-ensemble harmonieux de naguère. Moumen, Smaïl, Rachid, Rabah, Mohamed, Amer et tant d’autres, sculpteurs, peintres, miniaturistes, designers, etc., continuent encore de porter en eux un pays citoyen possible, une terre qui serait à la hauteur des Mohamed Issiakhem, Mohammed Racim, Baya (Fatma Haddad), Mohammed Khadda, Zizi Smail, Hocine Ziani, Mohammed Aksouh, Mohammed Bouliine… tous ces artistes peintres ou sculpteurs qui ont su cueillir le fruit des hauteurs d’un pays qui a une histoire plurimillénaire et une civilisation à offrir à l’humanité au lieu de la mort, au lieu de tous ces bigots qui ont horreur de la couleur, de l’art, de la diversité.
Moumen ou André est de ces artistes qui continuent de croire, la palette taquinant l’argile ou le marbre, le crayon à mine en intrépide maquisard contre les fossoyeurs, en un lendemain meilleur, en une terre capable d’assumer sa richesse; de ceux qui continuent de rappeler hier pour mieux se souvenir de demain. L’âme écorchée, le cœur plein, l’œil porteur de tous les paysages, armé de surcroit à l’inter-culturalité pour mieux aller outre la tribu en lui et conquérir le monde dans son universalité, dans son humanité la plus profonde, dans sa multiplicité la plus féconde, il n’a de cesse d’affirmer que toute belle chose réalisée est devancée par le rêve et l’utopie.
Devant l’un de ses bustes …
Va l’artiste, le barde du marbre et de l’argile, l’écrivain des cimes de l’être, va ton chemin à la conquête d’autres muses inspiratrices, piste les méandres de la rivière abrupte de notre temps et ancre l’empreinte dans notre regard et notre cœur! Plante la trace dans la meilleure terre en nous, dans l’arpent inatteignable par les idéologues du renoncement à soi!
Par Louenas Hassani
by admin • June 29, 2017 • 1 Comment
Va l’artiste, le barde du marbre et de l’argile, l’écrivain des cimes de l’être, va ton chemin à la conquête d’autres muses inspiratrices, piste les méandres de la rivière abrupte de notre temps et ancre l’empreinte dans notre regard et notre cœur! Plante la trace dans la meilleure terre en nous, dans l’arpent inatteignable par les idéologues du renoncement à soi!
Il ne regarde le monde que de l’œil pour le réécrire, le poser à nouveau dans le paysage à protée de sa main, comme un crépuscule assis sur une toile et qu’il ne cesse de réinventer de son regard. Chasseur d’ombre et de lumière, artisan de l’empreinte pour la semence du splendide dans la mémoire, traqueur de paysages, Moumène ne sait pas regarder le monde hormis de la sonde de son œil esthétique; car le site à la portée des yeux est d’abord un possible, une route vers sa quintessence, une muse fécondatrice de la mélodie qu’il porte en lui comme un préambule d’orage artistique, un sentiment puissant à habiller de peinture ou de sculpture, cette autre verdure de l’être.
Quand l’artiste s’exprime sur son œuvre, il est dans une sorte de parole extatique, quasi-orgasmique. Au reste, il ne peut parler de sa création sans que ses doigts fins et agiles se meuvent un peu dans le vent, aillent leur chemin pour un bout de route à traquer l’imaginaire pour le concrétiser, le réinventer, le revendiquer, le redimensionner, le rapporter dans ses moindres subtilités.
Enfant, il était déjà artiste peintre et sculpteur, sans doute pas avec tous les outils dont il dispose désormais, mais il était déjà un poète de l’agile en herbe, un artisan de la lumière qui déjà mémorisait ses toiles à venir, son espace neutre de la poésie sculpturale.
Un peu sauvageon, immanquablement indocile, les mains écorchées par la ronce et le genêt, épiant d’un œil vigile ses brebis ou ses biquettes sur la plaine de peur qu’ils n’atteignent l’épaisse forêt où patientent les chacals, la soie sonore de la Méditerranée à ses oreilles et dans ses poumons, avec dans ses ailes la rumeur du sel et du coquillage, le jeune artiste voyait partout les probabilités de l’art. Tout dansait dans ses yeux, même les natures mortes; tout paysage allait son chemin vers la possibilité de l’argile, du sable mouillé près des vagues, de la boue ou du croquis sur la roche; tout était susceptible de rejoindre la trace dans la tête du mioche…
Oeuvre inspirée du célèbre Charlie Chaplin
Je me souviens de ces premières années à l’école supérieure des beaux-arts d’Alger. Beau, élancé, maigrichon, riant de la bouche et des yeux, la blague toujours prête à prendre son envol, il était armé de ses sempiternels rouleaux et de ses grands et gros cahiers. On pouvait le trouver assis, dominant quelque paysage inconnu, à n’importe quel endroit; sur les trottoirs des gares, près d’une foule, au milieu d’un jardin public… Et il guerroyait de ses coups de crayon dans le maquis du paysage pour le dompter et l’obliger à battre en retraite avant de rejoindre l’exil et le silence criant de sa grande feuille blanche.
Son passage à l’école des beaux-arts de Paris à la fin des années 1990 n’aura été qu’une juste récompense pour ne pas dire une maigre consolation après ce qu’ont vécu les étudiants et les professeurs de l’école des beaux-arts d’Alger; la mémoire pleine et le cœur meurtri par l’assassinat par les islamistes de tant d’artistes de renom dont les plus retentissants étaient sans doute l’assassinat d’Ahmed Asselah, le directeur de l’école supérieure des beaux-arts, et de son fils Rabah dans l’enceinte même de l’école, Moumen ou André, les larmes refoulés comme une cruche d’attente, comme un nuage de muses qui guette d’être engrossé, partait explorer son talent sous d’autres cieux.
Les artistes de sa génération, ceux qui étaient à l’épicentre de la tragédie de la fin du beau, de l’avènement de la peur et de la fin de tous les possibles, portent tous en eux un bout de cette Algérie jadis belle et conviviale comme un vestige ou un champ de ruines qu’ils ont sauvegardé dans le musée de notre nostalgie. Ils ont su dérober à la laideur caractéristique imposée par le fou d’Allah et le tyran un peu de ce pays beau à l’origine de la poésie, de l’art et du vivre-ensemble harmonieux de naguère. Moumen, Smaïl, Rachid, Rabah, Mohamed, Amer et tant d’autres, sculpteurs, peintres, miniaturistes, designers, etc., continuent encore de porter en eux un pays citoyen possible, une terre qui serait à la hauteur des Mohamed Issiakhem, Mohammed Racim, Baya (Fatma Haddad), Mohammed Khadda, Zizi Smail, Hocine Ziani, Mohammed Aksouh, Mohammed Bouliine… tous ces artistes peintres ou sculpteurs qui ont su cueillir le fruit des hauteurs d’un pays qui a une histoire plurimillénaire et une civilisation à offrir à l’humanité au lieu de la mort, au lieu de tous ces bigots qui ont horreur de la couleur, de l’art, de la diversité.
Moumen ou André est de ces artistes qui continuent de croire, la palette taquinant l’argile ou le marbre, le crayon à mine en intrépide maquisard contre les fossoyeurs, en un lendemain meilleur, en une terre capable d’assumer sa richesse; de ceux qui continuent de rappeler hier pour mieux se souvenir de demain. L’âme écorchée, le cœur plein, l’œil porteur de tous les paysages, armé de surcroit à l’inter-culturalité pour mieux aller outre la tribu en lui et conquérir le monde dans son universalité, dans son humanité la plus profonde, dans sa multiplicité la plus féconde, il n’a de cesse d’affirmer que toute belle chose réalisée est devancée par le rêve et l’utopie.
Devant l’un de ses bustes …
Va l’artiste, le barde du marbre et de l’argile, l’écrivain des cimes de l’être, va ton chemin à la conquête d’autres muses inspiratrices, piste les méandres de la rivière abrupte de notre temps et ancre l’empreinte dans notre regard et notre cœur! Plante la trace dans la meilleure terre en nous, dans l’arpent inatteignable par les idéologues du renoncement à soi!
Par Louenas Hassani
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Re: Andre Achour, un immense artiste
http://kabyleuniversel.com/2017/06/29/achour-andre-ou-le-poete-du-marbre-et-de-largile/
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Re: Andre Achour, un immense artiste
https://www.youtube.com/watch?time_continue=14&v=tZP5pMzVl4U
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Re: Andre Achour, un immense artiste
Le Plessis : dix ans de passion pour la porcelaine, ça se fête
>Île-de-France & Oise>Val-de-Marne>Le Plessis-Trévise| 09 novembre 2017, 18h40 |0
Le Plessis-Trévise. Formée à l’école Boulle, Sylvie Thomas s’est spécialisée dans la peinture sur porcelaine. DR
Dix ans qu’elle fait partager sa passion aux habitants du Plessis-Trévise dans son atelier situé près du parc de la mairie. L’artiste Sylvie Thomas, spécialisée dans la peinture sur porcelaine, organise une fête samedi pour cet anniversaire.
L’occasion de discuter avec elle de ses œuvres qui sont exposées à de nombreux endroits et notamment au Salon d’Art et de Création au Carrousel du Louvre, au Salon des Arts contemporains à l’Espace Cardin à Paris. Dans son atelier-boutique, elle donne également des cours et des stages.
Le Plessis-Trévise. André Achour réalise en une heure sur une sculpture en argile (DR)
Samedi, un autre artiste sera présent. André Achour, comme il y a quelques semaines à la vente exceptionnelle d’Emmaüs, réalisera des sculptures en argile en une heure sous vos yeux. Un événement à ne pas rater.
Samedi de 11 heures à 20 heures au 34, avenue Ardouin.
>Île-de-France & Oise>Val-de-Marne>Le Plessis-Trévise| 09 novembre 2017, 18h40 |0
Le Plessis-Trévise. Formée à l’école Boulle, Sylvie Thomas s’est spécialisée dans la peinture sur porcelaine. DR
Dix ans qu’elle fait partager sa passion aux habitants du Plessis-Trévise dans son atelier situé près du parc de la mairie. L’artiste Sylvie Thomas, spécialisée dans la peinture sur porcelaine, organise une fête samedi pour cet anniversaire.
L’occasion de discuter avec elle de ses œuvres qui sont exposées à de nombreux endroits et notamment au Salon d’Art et de Création au Carrousel du Louvre, au Salon des Arts contemporains à l’Espace Cardin à Paris. Dans son atelier-boutique, elle donne également des cours et des stages.
Le Plessis-Trévise. André Achour réalise en une heure sur une sculpture en argile (DR)
Samedi, un autre artiste sera présent. André Achour, comme il y a quelques semaines à la vente exceptionnelle d’Emmaüs, réalisera des sculptures en argile en une heure sous vos yeux. Un événement à ne pas rater.
Samedi de 11 heures à 20 heures au 34, avenue Ardouin.
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: Andre Achour, un immense artiste
http://www.leparisien.fr/le-plessis-trevise-94420/le-plessis-dix-ans-de-passion-pour-la-porcelaine-ca-se-fete-09-11-2017-7383558.php#xtor=AD-1481423551
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: Andre Achour, un immense artiste
Yacine Hebbache Ça a tout le temps été la politique des abominables dictatures.
Dans notre pays, on ne marginalise pas seulement. On diabolise, on accuse de tous les crimes, on exile et on tue même lorsqu’on n’arrive pas à corrompre ou à faire taire.
On sait bien le sort réservé aux artistes, aux écrivains et à tous les hommes et toutes les femmes de talent.
Ils sont toutes et tous isolés ou réduits au silence lorsqu’ils ne sont pas exilés, ou simplement tués à la fleur de l’âge et sous de faux prétextes bien entendu.
Dans notre pays, on ne marginalise pas seulement. On diabolise, on accuse de tous les crimes, on exile et on tue même lorsqu’on n’arrive pas à corrompre ou à faire taire.
On sait bien le sort réservé aux artistes, aux écrivains et à tous les hommes et toutes les femmes de talent.
Ils sont toutes et tous isolés ou réduits au silence lorsqu’ils ne sont pas exilés, ou simplement tués à la fleur de l’âge et sous de faux prétextes bien entendu.
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
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