Rassemblement devant le siège de la wilaya de Béjaïa le 05 octobre 2017 pour exiger toutes les libertés
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Re: Rassemblement devant le siège de la wilaya de Béjaïa le 05 octobre 2017 pour exiger toutes les libertés
Programme de demain 05 octobre 2017 à Bejaia, organisée par la LADDH avec la participation et le soutiens du collectif citoyen de la défense des libertés.
11h00: Rassemblement Pacifique devant la wilaya ,
12h00: université populaire des droits de l'Homme et des libertés, à la place de la liberté said MEKBEL: Ouverture par Me ZEHOUANE président de la LADDH et prise de parole des représentants des organisations signataires de l'appel du collectif citoyen pour la défense des Libertés et débat avec le public.
Suite à l'interdiction arbitraire de de son université d'automne. La LADDH avec le soutiens du collectif citoyen pour la defense des libertes APPELLE au rassemblement pacifique du JEUDI 05 octobre 2017 à partir de 10h à BEJAIA devant la wilaya suivi de l'université populaire à la place de la liberté said MEKBEL.
Soyons solidaires et mobilisés.
11h00: Rassemblement Pacifique devant la wilaya ,
12h00: université populaire des droits de l'Homme et des libertés, à la place de la liberté said MEKBEL: Ouverture par Me ZEHOUANE président de la LADDH et prise de parole des représentants des organisations signataires de l'appel du collectif citoyen pour la défense des Libertés et débat avec le public.
Suite à l'interdiction arbitraire de de son université d'automne. La LADDH avec le soutiens du collectif citoyen pour la defense des libertes APPELLE au rassemblement pacifique du JEUDI 05 octobre 2017 à partir de 10h à BEJAIA devant la wilaya suivi de l'université populaire à la place de la liberté said MEKBEL.
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Re: Rassemblement devant le siège de la wilaya de Béjaïa le 05 octobre 2017 pour exiger toutes les libertés
Bejaia 05 octobre 2017
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Re: Rassemblement devant le siège de la wilaya de Béjaïa le 05 octobre 2017 pour exiger toutes les libertés
Bejaia 05 octobre 2017
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Re: Rassemblement devant le siège de la wilaya de Béjaïa le 05 octobre 2017 pour exiger toutes les libertés
DICTATURE BANANIÈRE DITES-VOUS
Aujourd'hui c'est le 5 octobre, 29 ans après celui de 1988. Quoi de neuf sous le ciel vrombissant à l'image de celui d'avant la Toussaint de 1954. Toussaint ou fête des morts, nous voulons la vie et ils nous la refusent.
Nous voulons la vie comme celle qui se vit sous les latitudes démocratiques, où les droits de l'Homme sont une culture et quasiment une religion. Mais les gens du pouvoir algérien nous la refusent et nous proposent un état végétatif proche du légume qu'est celui à sa tête.
Le pouvoir algérien est immoral et les gens qui y siègent sont immoraux. Non qu'ils boivent de l'alcool ou qu'ils fréquentent les clubs échangistes des capitales occidentales, ce qui relèverait des libertés individuelles.
Ils sont immoraux politiquement s'entend et sur les plans de l'étique et des valeurs universelles admises sous les 24 fuseaux horaires de la planète qui tourne normalement.
Le pouvoir algérien est immoral car illégitime et effrontément contre les intérêts de la majorité des algériens.
Sinon comment refuser à une ligue des droits de l'Homme d'organiser son université d'été ?
Personnellement depuis que j'ai grandi un peu et jusqu'à maintenant où je suis dans la transition troisième-age, j'ai désacralisé les histoires de Dieu et des ouailles vivantes et mortes pour les remplacer par les droits de l'Homme et leur philosophie non-violente qui met l'Homme au centre du cercle comme la valeur suprême. Ces gens-là caressent la périphérie du cercle jusqu'à ce qu'il devienne vicieux et trouvent là le moyen d'interdire une université d'été à une ligue des droits de l'Homme.
Le pouvoir algérien et ses satellites clientélisés jusqu'au trognon sont d'une immoralité à faire pâlir les pensionnaires d'un bordel et le reste de la faune qui l'anime. Encore qu'un équilibre finit toujours par s'y faire alors que le sol d'Algérie n'en a jamais été témoin.
Aujourd'hui Béjaïa a célébré le 5 octobre 88 comme un jalon des plus importants du chemin vers la démocratique et a répondu au wali qui a refusé à la LADDH d'organiser une université d'été dans la station balnéaire de Souk-El-Ténine. Il y eut du monde et du beau monde. Un sit-in a été tenu face au portail fermé et verrouillé de l'institution suprême de l'état algérien sur la place de Vgayet puis une université populaire a été animée sur la place Saïd Mekbel à un jet de pierre de là.
Une quinzaine d'interventions de 5 minutes chacune ont résumé l'état des lieux sur les questions politiques et sociétales du moment. Le ton était à la colère et à la synergie des forces. Ce qui est à souligner est la minimisation de la démagogie et du discours redondant. Les présents n'ont pas été ennuyés par les discours creux et autres promesses d'avenir radieux sous les nuages bas d'avant la Toussaint.
Le premier intervenant a été maître Hocine Zehouane à qui il n'a pas été limité de temps de parole vu qu'il est le président national de la LADDH et membre fondateur au début des années 90 où il était vice-président, le président ayant été maître Abdennour Ali-Yahia. Hocine Zehouane n'a pas abusé du temps illimité qui lui était imparti et a cédé la parole au bout d'une poignée de minutes, comme tout le monde en fait. Il a rappelé brièvement la philosophie des droits de l'Homme et a rendu hommage à Béjaïa et ses citoyens pour ce qu'ils sont et ce qu'ils font, surtout le fait de maintenir l'âtre de l'humanisme et de la démocratie allumé.
Personnellement, ayant pris la parole au nom du café littéraire d'Aokas et de la section CNES de Béjaïa.
J'ai dit et répété que le pouvoir algérien et ceux qui y sont sont immoraux. Lorsque le café littéraire d'Aokas a été réprimé le 22 juillet 2017, il y eut une marche en réponse à la non-autorisation de la conférence de Ramdane Achab, auteur et éditeur qui devait nous entretenir de l'édition du livre en tamazight. Arrivé sur les lieux, les marcheurs plus importants en nombre et en vigueur ont forcé le portail fermé et brinquebalant de la structure. Les jeunes m'ont presqu'intimer l'ordre de rejoindre la tribune en ma qualité de modérateur. L'espace d'un temps très court en traversant la petite salle des conférences, je me suis vu menotté et emmené au commissariat avec des suites que je ne pouvais pas prévoir. Qu'à cela ne tienne me suis-je dit ! Mais la suite a été loin de me donner raison: la police anti-émeute est arrivée, a invest les lieux pour les saccager et nous bastonner. Et oui, j'ai été frappé ! À mon age, moi qui suis dans la transition troisième age, on me frappe. Un flic au faciès simiesque et nourri à la haine du savoir et de la nuance m'a asséné un coup de matraque dont j'ai gardé le bleu violacé de la profonde ecchymose 4 semaines durant.
Et oui, le pouvoir algérien est immoral et ceux qui le soutiennent le sont davantage. Comme les clients de madame Joe ou les pensionnaire de Le Soleil.
On empêche les gens de parler du contenu d'un livre alors que Madani Mezrag organise une université d'été à 50 kms de là où est interdite celle des droits de l'Homme de la LADDH.
Concernant ma dimension syndicale et ma mission de coordonnateur de la section CNES de l'université de Béjaïa, j'ai dénoncé les entraves de tout genre que le premier responsable en la personne du p'tit recteur fait. Pas seulement qu'au CNES, les travailleurs syndiqués en force au SNAPAP ne trouvent pas plus de souplesse de sa part. Le p'tit recteur refusent de les reconnaître en guise de plan de carrière vis-à-vis de ses souteneurs du MERS.
Le p'tit recteur fait de l'excès de zèle dans ses multiples entraves à l'activité syndicale et culturelle ou autres des étudiants. Combien de fois leur a-t-il refusé l'utilisation de l'auditorium pour des conférences ?
Mais le mal ou une partie du mal est en nous dans le sens où nous ne sommes pas encore capables d'opérer les ruptures nécessaires avec le système qui trouve en nous à tout moment des relais pour se pérenniser. Nous nous bousculons au portillon de l'article 120 symbolique. Puis si on devait raviver une pratique séculière de nos temps pas si ancien, on devrait excommunier ces gens qui se mettent au service du pouvoir inique et illégitime. Moralement, on serait en accord avec nos ancêtres qui condamnait au bannissement ceux qui enfreignaient le droit coutumier, celui qui nous a fait traverser des millénaires alors que les aztèques ont disparu d'une mort absurde
Fatah Bouhmila
Aujourd'hui c'est le 5 octobre, 29 ans après celui de 1988. Quoi de neuf sous le ciel vrombissant à l'image de celui d'avant la Toussaint de 1954. Toussaint ou fête des morts, nous voulons la vie et ils nous la refusent.
Nous voulons la vie comme celle qui se vit sous les latitudes démocratiques, où les droits de l'Homme sont une culture et quasiment une religion. Mais les gens du pouvoir algérien nous la refusent et nous proposent un état végétatif proche du légume qu'est celui à sa tête.
Le pouvoir algérien est immoral et les gens qui y siègent sont immoraux. Non qu'ils boivent de l'alcool ou qu'ils fréquentent les clubs échangistes des capitales occidentales, ce qui relèverait des libertés individuelles.
Ils sont immoraux politiquement s'entend et sur les plans de l'étique et des valeurs universelles admises sous les 24 fuseaux horaires de la planète qui tourne normalement.
Le pouvoir algérien est immoral car illégitime et effrontément contre les intérêts de la majorité des algériens.
Sinon comment refuser à une ligue des droits de l'Homme d'organiser son université d'été ?
Personnellement depuis que j'ai grandi un peu et jusqu'à maintenant où je suis dans la transition troisième-age, j'ai désacralisé les histoires de Dieu et des ouailles vivantes et mortes pour les remplacer par les droits de l'Homme et leur philosophie non-violente qui met l'Homme au centre du cercle comme la valeur suprême. Ces gens-là caressent la périphérie du cercle jusqu'à ce qu'il devienne vicieux et trouvent là le moyen d'interdire une université d'été à une ligue des droits de l'Homme.
Le pouvoir algérien et ses satellites clientélisés jusqu'au trognon sont d'une immoralité à faire pâlir les pensionnaires d'un bordel et le reste de la faune qui l'anime. Encore qu'un équilibre finit toujours par s'y faire alors que le sol d'Algérie n'en a jamais été témoin.
Aujourd'hui Béjaïa a célébré le 5 octobre 88 comme un jalon des plus importants du chemin vers la démocratique et a répondu au wali qui a refusé à la LADDH d'organiser une université d'été dans la station balnéaire de Souk-El-Ténine. Il y eut du monde et du beau monde. Un sit-in a été tenu face au portail fermé et verrouillé de l'institution suprême de l'état algérien sur la place de Vgayet puis une université populaire a été animée sur la place Saïd Mekbel à un jet de pierre de là.
Une quinzaine d'interventions de 5 minutes chacune ont résumé l'état des lieux sur les questions politiques et sociétales du moment. Le ton était à la colère et à la synergie des forces. Ce qui est à souligner est la minimisation de la démagogie et du discours redondant. Les présents n'ont pas été ennuyés par les discours creux et autres promesses d'avenir radieux sous les nuages bas d'avant la Toussaint.
Le premier intervenant a été maître Hocine Zehouane à qui il n'a pas été limité de temps de parole vu qu'il est le président national de la LADDH et membre fondateur au début des années 90 où il était vice-président, le président ayant été maître Abdennour Ali-Yahia. Hocine Zehouane n'a pas abusé du temps illimité qui lui était imparti et a cédé la parole au bout d'une poignée de minutes, comme tout le monde en fait. Il a rappelé brièvement la philosophie des droits de l'Homme et a rendu hommage à Béjaïa et ses citoyens pour ce qu'ils sont et ce qu'ils font, surtout le fait de maintenir l'âtre de l'humanisme et de la démocratie allumé.
Personnellement, ayant pris la parole au nom du café littéraire d'Aokas et de la section CNES de Béjaïa.
J'ai dit et répété que le pouvoir algérien et ceux qui y sont sont immoraux. Lorsque le café littéraire d'Aokas a été réprimé le 22 juillet 2017, il y eut une marche en réponse à la non-autorisation de la conférence de Ramdane Achab, auteur et éditeur qui devait nous entretenir de l'édition du livre en tamazight. Arrivé sur les lieux, les marcheurs plus importants en nombre et en vigueur ont forcé le portail fermé et brinquebalant de la structure. Les jeunes m'ont presqu'intimer l'ordre de rejoindre la tribune en ma qualité de modérateur. L'espace d'un temps très court en traversant la petite salle des conférences, je me suis vu menotté et emmené au commissariat avec des suites que je ne pouvais pas prévoir. Qu'à cela ne tienne me suis-je dit ! Mais la suite a été loin de me donner raison: la police anti-émeute est arrivée, a invest les lieux pour les saccager et nous bastonner. Et oui, j'ai été frappé ! À mon age, moi qui suis dans la transition troisième age, on me frappe. Un flic au faciès simiesque et nourri à la haine du savoir et de la nuance m'a asséné un coup de matraque dont j'ai gardé le bleu violacé de la profonde ecchymose 4 semaines durant.
Et oui, le pouvoir algérien est immoral et ceux qui le soutiennent le sont davantage. Comme les clients de madame Joe ou les pensionnaire de Le Soleil.
On empêche les gens de parler du contenu d'un livre alors que Madani Mezrag organise une université d'été à 50 kms de là où est interdite celle des droits de l'Homme de la LADDH.
Concernant ma dimension syndicale et ma mission de coordonnateur de la section CNES de l'université de Béjaïa, j'ai dénoncé les entraves de tout genre que le premier responsable en la personne du p'tit recteur fait. Pas seulement qu'au CNES, les travailleurs syndiqués en force au SNAPAP ne trouvent pas plus de souplesse de sa part. Le p'tit recteur refusent de les reconnaître en guise de plan de carrière vis-à-vis de ses souteneurs du MERS.
Le p'tit recteur fait de l'excès de zèle dans ses multiples entraves à l'activité syndicale et culturelle ou autres des étudiants. Combien de fois leur a-t-il refusé l'utilisation de l'auditorium pour des conférences ?
Mais le mal ou une partie du mal est en nous dans le sens où nous ne sommes pas encore capables d'opérer les ruptures nécessaires avec le système qui trouve en nous à tout moment des relais pour se pérenniser. Nous nous bousculons au portillon de l'article 120 symbolique. Puis si on devait raviver une pratique séculière de nos temps pas si ancien, on devrait excommunier ces gens qui se mettent au service du pouvoir inique et illégitime. Moralement, on serait en accord avec nos ancêtres qui condamnait au bannissement ceux qui enfreignaient le droit coutumier, celui qui nous a fait traverser des millénaires alors que les aztèques ont disparu d'une mort absurde
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Re: Rassemblement devant le siège de la wilaya de Béjaïa le 05 octobre 2017 pour exiger toutes les libertés
Bejaia 05 octobre 2017
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