L'ASSASSINAT DES MOINES DE TIBEHIRINES, L'ARMEE DOS AU MUR.!!!
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L'ASSASSINAT DES MOINES DE TIBEHIRINES, L'ARMEE DOS AU MUR.!!!
Certains d'entres vous ne se souviennent pas certainement de cette affaire, assassinat des moines français à tibehirines, puisque vous étiez si jeunes en 1996, etd'autres ne souviennet pas parce que c'était le térrorisme aveugle , on ne sais qui tu qui et quand, alors on ne peut pas distinguer les meurtres telements étaient notre quotidien en cette epoque.moi personellement c'était ma premiere année de lycée et j'ai pas donné trop d'importance à cet assassinat parce que j'ai ,pris cette habitude d'étre déja indifférent , en fin comme je l 'ai dis plus haut , ça fait parti de notre quotidien....mais au fil du temps nous essayons de comprendre pourquoi et comment et qui a commi ces crimes sans avoir de véritables réponses .mais voilà que dans cette affaire des moines l'armée est mise en cause du moins pas directement car les français pour l'instant préferent parler d'une bavure de l'armée algérienne.mais comment une armée avec des moyens trés importants peut confondre les moines et les térrorristes ou peut-étre elle l'a fait à la façon quand elle confondu les bébés et les térroristes, les vieilles et les térroristes, et de raser tout un village de térroriste .....etc.parler de bavure est vraiment un argument qui ne tient pas debout.sois que les français en font trop et que ce sont les térroristes qui ont tué ces moines ou peut-étre pour ne pas envenimer les relations entre les deux pays parlent uniquement de bavure.
en attendant la véritée rien ne va changer, les moines sont morts et des milliers d'algériens sont morts et l'armée est innocentée depuis toujours et méme les térroristes .alors en fin personne n'est coupable dans notre pays quand tout le monde est coupable.
en attendant la véritée rien ne va changer, les moines sont morts et des milliers d'algériens sont morts et l'armée est innocentée depuis toujours et méme les térroristes .alors en fin personne n'est coupable dans notre pays quand tout le monde est coupable.
Maximus- Nombre de messages : 1481
Date d'inscription : 04/05/2008
Re: L'ASSASSINAT DES MOINES DE TIBEHIRINES, L'ARMEE DOS AU MUR.!!!
ça me rappelle de la fameuse expression que les autorités algériennes ont inventée pour dire non à toute enquête qui pourrait mettre en cause des gens du pouvoir " la main étrangère" ou " l'ingérence".
que voulez vous qu'on dise les crimes commis dans ce pays sont d'une lâcheté extrême, comment vivre sans sécurité sous l'état d'urgence depuis plus de 15 ans c'est absurde.
que voulez vous qu'on dise les crimes commis dans ce pays sont d'une lâcheté extrême, comment vivre sans sécurité sous l'état d'urgence depuis plus de 15 ans c'est absurde.
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: L'ASSASSINAT DES MOINES DE TIBEHIRINES, L'ARMEE DOS AU MUR.!!!
c'est une affaire franco_française ,l'algérie n'a rien à voir dans cet affaire .
c'est le clan de sarkozy qui l'a sort en public pour faire pression sur le clan chiraquien ,et comm ça il l'obligera à ne pas parrainer son dauphin dominique de villepin aux prochaines présidentielles .
donc c'est un réglement de compte politique dans le tout paris
c'est le clan de sarkozy qui l'a sort en public pour faire pression sur le clan chiraquien ,et comm ça il l'obligera à ne pas parrainer son dauphin dominique de villepin aux prochaines présidentielles .
donc c'est un réglement de compte politique dans le tout paris
Re: L'ASSASSINAT DES MOINES DE TIBEHIRINES, L'ARMEE DOS AU MUR.!!!
Algérie : dans les années 90, des attentats symboliques dans un contexte de guerre civile
Par Jean-Marie Guénois Mis à jour le 07/12/2018 à 08:41 Publié le 06/12/2018 à 20:07
Algérie : dans les années 90, des attentats symboliques dans un contexte de guerre civile
Le conflit sanglant des années 1990 aura fait au moins 150.000 morts, dont 114 imams qui s'opposaient aux musulmans radicaux. Les dates clés de la décennie noire.
• 26 décembre 1991
Les élections législatives donnent au premier tour une nette avance aux Front islamique du salut (FIS). Les militaires prennent le pouvoir dans la foulée, contraignent, le 11 janvier 1992, le président Chadli Bendjedid à démissionner et annulent les élections.
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• 19 mars 1992
Le Front islamique du salut (FIS), trois ans après sa création, principal parti islamiste, est interdit. La guerre civile commence. Montée en puissance des attentats très meurtriers contre des Algériens, contre le milieu intellectuel, sur fond de lutte entre factions islamistes et de répression policière et militaire.
• Septembre 1993
Deux ingénieurs français sont assassinés, Emmanuel Didion et François Berthelet. Ce qui signe la volonté de transposer la guerre civile sur le plan international, pour prendre notamment la France à partie. Deux ans et demi plus tard, 116 étrangers, dont 39 Français, auront été tués.
• 14 décembre 1993
14 Croates chrétiens travaillant sur un chantier sont massacrés au couteau à quelques kilomètres du monastère de Tibéhirine. Quatre autres auront la vie sauve en se faisant passer pour des musulmans.
• 19 décembre 1993
Pour la seconde fois en un mois, les autorités algériennes demandent au père Christian de Chergé de quitter le monastère pour la sécurité des moines. Il refuse. Mais les moines voteront leur départ à tous, qui est fixé au 28 décembre.
• 24 décembre 1993
Visite au monastère d'un commando islamiste de trois hommes, que le père de Chergé parvient à dissuader. Ils se quittent en bons termes. «Nous reviendrons», préviennent-ils.
• 27 décembre 1993
Mgr Tessier, archevêque d'Alger, visite les moines et tente de les convaincre de mettre en place un départ progressif. Finalement les moines, par vote secret, décideront de rester.
• 8 mai 1994
Premier attentat contre un religieux français et une religieuse française à Alger.
• 24 décembre 1994
Début du détournement de l'Airbus d'Air France à Alger. Troisième attentat contre des religieux, quatre pères blancs assassinés à Tizi Ouzou moins de 24 heures après la fin du détournement d'avion.
• 13 janvier 1995
Plate-forme de Sant'Egidio, à Rome, qui réunit tous les partis d'opposition, dont le FIS, pour tenter de trouver une issue. Initiative très mal perçue par les autorités algériennes et par la diplomatie vaticane.
• Été 1995
Début des attentats en France, faisant huit morts et près de 200 blessés. Ceux-ci furent officiellement attribués au Groupe islamique armé (GIA). Mais c'est l'année 1997 qui sera la plus sanglante en Algérie, avec 40.000 victimes. Le conflit s'épuise en 1999.
Par Jean-Marie Guénois Mis à jour le 07/12/2018 à 08:41 Publié le 06/12/2018 à 20:07
Algérie : dans les années 90, des attentats symboliques dans un contexte de guerre civile
Le conflit sanglant des années 1990 aura fait au moins 150.000 morts, dont 114 imams qui s'opposaient aux musulmans radicaux. Les dates clés de la décennie noire.
• 26 décembre 1991
Les élections législatives donnent au premier tour une nette avance aux Front islamique du salut (FIS). Les militaires prennent le pouvoir dans la foulée, contraignent, le 11 janvier 1992, le président Chadli Bendjedid à démissionner et annulent les élections.
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• 19 mars 1992
Le Front islamique du salut (FIS), trois ans après sa création, principal parti islamiste, est interdit. La guerre civile commence. Montée en puissance des attentats très meurtriers contre des Algériens, contre le milieu intellectuel, sur fond de lutte entre factions islamistes et de répression policière et militaire.
• Septembre 1993
Deux ingénieurs français sont assassinés, Emmanuel Didion et François Berthelet. Ce qui signe la volonté de transposer la guerre civile sur le plan international, pour prendre notamment la France à partie. Deux ans et demi plus tard, 116 étrangers, dont 39 Français, auront été tués.
• 14 décembre 1993
14 Croates chrétiens travaillant sur un chantier sont massacrés au couteau à quelques kilomètres du monastère de Tibéhirine. Quatre autres auront la vie sauve en se faisant passer pour des musulmans.
• 19 décembre 1993
Pour la seconde fois en un mois, les autorités algériennes demandent au père Christian de Chergé de quitter le monastère pour la sécurité des moines. Il refuse. Mais les moines voteront leur départ à tous, qui est fixé au 28 décembre.
• 24 décembre 1993
Visite au monastère d'un commando islamiste de trois hommes, que le père de Chergé parvient à dissuader. Ils se quittent en bons termes. «Nous reviendrons», préviennent-ils.
• 27 décembre 1993
Mgr Tessier, archevêque d'Alger, visite les moines et tente de les convaincre de mettre en place un départ progressif. Finalement les moines, par vote secret, décideront de rester.
• 8 mai 1994
Premier attentat contre un religieux français et une religieuse française à Alger.
• 24 décembre 1994
Début du détournement de l'Airbus d'Air France à Alger. Troisième attentat contre des religieux, quatre pères blancs assassinés à Tizi Ouzou moins de 24 heures après la fin du détournement d'avion.
• 13 janvier 1995
Plate-forme de Sant'Egidio, à Rome, qui réunit tous les partis d'opposition, dont le FIS, pour tenter de trouver une issue. Initiative très mal perçue par les autorités algériennes et par la diplomatie vaticane.
• Été 1995
Début des attentats en France, faisant huit morts et près de 200 blessés. Ceux-ci furent officiellement attribués au Groupe islamique armé (GIA). Mais c'est l'année 1997 qui sera la plus sanglante en Algérie, avec 40.000 victimes. Le conflit s'épuise en 1999.
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