Adieu Madjid Adrar !
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Adieu Madjid Adrar !
"AOKAS, partir c'est est revivre
" Dans mon village sans prétention j avais mauvaise réputation "! une fois parti, une fois mon âme hébergée par Aokas, le dieu des mers chaudes, là seulement je commence à exister"
Rachid Oulebsir
" Dans mon village sans prétention j avais mauvaise réputation "! une fois parti, une fois mon âme hébergée par Aokas, le dieu des mers chaudes, là seulement je commence à exister"
Rachid Oulebsir
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Adieu Madjid Adrar !
Voilà l’intercréativité intellectuelle qui devrait caractériser notre démarche artistique citoyenne. Quand l’un surprend l’autre dégaine !
Cet hommage, à l’artiste MADJA parti comme une note de musique sans déranger le feuillage social d'Aokas, de notre ami Fatah Bouhmila ensorcelé par le volcan Katébien est traduit spontanément par un autre poète Salah Loukad à la sensibilité aiguë.
J’ai toujours imaginé que les langues existent pour faire l’amour dans un texte sans frontière. Et dans ce cas je ne peux que reprendre pour rendre un hommage hautement symbolique à l’artiste Madjid Adrar parti rejoindre Azdine Berkouk. Je les imagine faisant la fête labas. Puisqu’ici bas ils sont passés comme des éclaireurs.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis une sans-dent
Et le vent m'a emporté pour de bon
Am ucelyaḍ n waḍu
Seg ungal id ukreɣ aḍar
D awudam deg ungal
Si Kateb Yacine id fruriɣ
Nek mačči d Lexḍar
D netta kan i d Lexḍar
Yamma d yemma Tadrart
Seg uẓar n Azaryat id mɣiɣ
Am ufermac ur nɣez
Idem waḍu ur d-as-iḍliq
poème de Fatah Bouhmila , traduction Salah Loukkad
Cet hommage, à l’artiste MADJA parti comme une note de musique sans déranger le feuillage social d'Aokas, de notre ami Fatah Bouhmila ensorcelé par le volcan Katébien est traduit spontanément par un autre poète Salah Loukad à la sensibilité aiguë.
J’ai toujours imaginé que les langues existent pour faire l’amour dans un texte sans frontière. Et dans ce cas je ne peux que reprendre pour rendre un hommage hautement symbolique à l’artiste Madjid Adrar parti rejoindre Azdine Berkouk. Je les imagine faisant la fête labas. Puisqu’ici bas ils sont passés comme des éclaireurs.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis une sans-dent
Et le vent m'a emporté pour de bon
Am ucelyaḍ n waḍu
Seg ungal id ukreɣ aḍar
D awudam deg ungal
Si Kateb Yacine id fruriɣ
Nek mačči d Lexḍar
D netta kan i d Lexḍar
Yamma d yemma Tadrart
Seg uẓar n Azaryat id mɣiɣ
Am ufermac ur nɣez
Idem waḍu ur d-as-iḍliq
poème de Fatah Bouhmila , traduction Salah Loukkad
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Adieu Madjid Adrar !
Voilà l’intercréativité intellectuelle qui devrait caractériser notre démarche artistique citoyenne. Quand l’un surprend l’autre dégaine !
Cet hommage, à l’artiste MADJA parti comme une note de musique sans déranger le feuillage social d'Aokas, de notre ami Fatah Bouhmila ensorcelé par le volcan Katébien est traduit spontanément par un autre poète Salah Loukad à la sensibilité aiguë.
J’ai toujours imaginé que les langues existent pour faire l’amour dans un texte sans frontière. Et dans ce cas je ne peux que reprendre pour rendre un hommage hautement symbolique à l’artiste Madjid Adrar parti rejoindre Azdine Berkouk. Je les imagine faisant la fête labas. Puisqu’ici bas ils sont passés comme des éclaireurs.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis une sans-dent
Et le vent m'a emporté pour de bon
Am ucelyaḍ n waḍu
Seg ungal id ukreɣ aḍar
D awudam deg ungal
Si Kateb Yacine id fruriɣ
Nek mačči d Lexḍar
D netta kan i d Lexḍar
Yamma d yemma Tadrart
Seg uẓar n Azaryat id mɣiɣ
Am ufermac ur nɣez
Idem waḍu ur d-as-iḍliq
poème de Fatah Bouhmila , traduction Salah Loukkad
Cet hommage, à l’artiste MADJA parti comme une note de musique sans déranger le feuillage social d'Aokas, de notre ami Fatah Bouhmila ensorcelé par le volcan Katébien est traduit spontanément par un autre poète Salah Loukad à la sensibilité aiguë.
J’ai toujours imaginé que les langues existent pour faire l’amour dans un texte sans frontière. Et dans ce cas je ne peux que reprendre pour rendre un hommage hautement symbolique à l’artiste Madjid Adrar parti rejoindre Azdine Berkouk. Je les imagine faisant la fête labas. Puisqu’ici bas ils sont passés comme des éclaireurs.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis une sans-dent
Et le vent m'a emporté pour de bon
Am ucelyaḍ n waḍu
Seg ungal id ukreɣ aḍar
D awudam deg ungal
Si Kateb Yacine id fruriɣ
Nek mačči d Lexḍar
D netta kan i d Lexḍar
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poème de Fatah Bouhmila , traduction Salah Loukkad
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Adieu Madjid Adrar !
"Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis un sans-dents
Et le vent m'a emporté pour de bon"
Fatah Bouhmila
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis un sans-dents
Et le vent m'a emporté pour de bon"
Fatah Bouhmila
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Adieu Madjid Adrar !
Louenas Hassani Deux grands artistes rejoignent la postérité. Une mémoire qui n'avait de cesse de consolider, presque inconsciemment, la mémoire collective qu'est la nôtre. Lorsqu'on parle de ce poète, on parle de quelque chose comme une référence, de plus profondément ancré, d'une empreinte qui appartient désormais à tous. Repose en paix, l'artiste!
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Adieu Madjid Adrar !
Fatah Bouhmila
Je lui ai offert une canette de bière le jour du bordel avec les flics qui nous avaient interdit Younès Adli au café littéraire d'Aokas. En fin de journée, je me suis retrouvé avec Averman sur la plage des éclopés à boire un coup. Il s'est approché de nous pour mendier une bière. Je lui ai donné 100 DA et il m'a répondu que ce n'est pas assez en lorgnant sur nos canettes à nous.
"Arnud !" a-t-il dit.
Je me suis exécuté.
Il était dans les parages du centre culturel Rahmani Slimani il y a moins d'une semaine. Torse nu, il avait une bosse à l'abdomen et les amis d'Aokas m'avaient dit qu'il était malade.
Aujourd'hui il est mort.
Il parait que c'était quelque chose d'opérable. Un genre de hernie somme toute banal.
En apprenant la nouvelle, j'ai écrit ces quelques mots que mon ami Salah Loukkad a traduit au kabyle.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis une sans-dent
Et le vent m'a emporté pour de bon
Am ucelyaḍ n waḍu
Seg ungal id ukreɣ aḍar
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Si Kateb Yacine id fruriɣ
Nek mačči d Lexḍar
D netta kan i d Lexḍar
Yamma d yemma Tadrart
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Am ufermac ur nɣez
Idem waḍu ur d-as-iḍliq
Je lui ai offert une canette de bière le jour du bordel avec les flics qui nous avaient interdit Younès Adli au café littéraire d'Aokas. En fin de journée, je me suis retrouvé avec Averman sur la plage des éclopés à boire un coup. Il s'est approché de nous pour mendier une bière. Je lui ai donné 100 DA et il m'a répondu que ce n'est pas assez en lorgnant sur nos canettes à nous.
"Arnud !" a-t-il dit.
Je me suis exécuté.
Il était dans les parages du centre culturel Rahmani Slimani il y a moins d'une semaine. Torse nu, il avait une bosse à l'abdomen et les amis d'Aokas m'avaient dit qu'il était malade.
Aujourd'hui il est mort.
Il parait que c'était quelque chose d'opérable. Un genre de hernie somme toute banal.
En apprenant la nouvelle, j'ai écrit ces quelques mots que mon ami Salah Loukkad a traduit au kabyle.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis une sans-dent
Et le vent m'a emporté pour de bon
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D awudam deg ungal
Si Kateb Yacine id fruriɣ
Nek mačči d Lexḍar
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laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Adieu Madjid Adrar !
Fatah Bouhmila
4 h ·
Je lui ai offert une canette de bière le jour du bordel avec les flics qui nous avaient interdit Younès Adli au café littéraire d'Aokas. En fin de journée, je me suis retrouvé avec Averman sur la plage des éclopés à boire un coup. Il s'est approché de nous pour mendier une bière. Je lui ai donné 100 DA et il m'a répondu que ce n'est pas assez en lorgnant sur nos canettes à nous.
"Arnud !" a-t-il dit.
Je me suis exécuté.
Il était dans les parages du centre culturel Rahmani Slimani il y a moins d'une semaine. Torse nu, il avait une bosse à l'abdomen et les amis d'Aokas m'avaient dit qu'il était malade.
Aujourd'hui il est mort.
Il parait que c'était quelque chose d'opérable. Un genre de hernie somme toute banal.
En apprenant la nouvelle, j'ai écrit ces quelques mots que mon ami Salah Loukkad a traduit au kabyle.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
Je suis le fils légitime des Azriate
Je suis une sans-dent
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D netta kan i d Lexḍar
Yamma d yemma Tadrart
Seg uẓar n Azaryat id mɣiɣ
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Idem waḍu ur d-as-iḍliq
4 h ·
Je lui ai offert une canette de bière le jour du bordel avec les flics qui nous avaient interdit Younès Adli au café littéraire d'Aokas. En fin de journée, je me suis retrouvé avec Averman sur la plage des éclopés à boire un coup. Il s'est approché de nous pour mendier une bière. Je lui ai donné 100 DA et il m'a répondu que ce n'est pas assez en lorgnant sur nos canettes à nous.
"Arnud !" a-t-il dit.
Je me suis exécuté.
Il était dans les parages du centre culturel Rahmani Slimani il y a moins d'une semaine. Torse nu, il avait une bosse à l'abdomen et les amis d'Aokas m'avaient dit qu'il était malade.
Aujourd'hui il est mort.
Il parait que c'était quelque chose d'opérable. Un genre de hernie somme toute banal.
En apprenant la nouvelle, j'ai écrit ces quelques mots que mon ami Salah Loukkad a traduit au kabyle.
Je me suis évadé d'un roman
Je suis un souffle de vent
Je suis un personnage de roman
Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
Lakhdar c'est lui
Et ma mère c'est Imma Tadrart
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Je suis une sans-dent
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rebelle kabyle- Nombre de messages : 6838
Date d'inscription : 12/02/2011
Re: Adieu Madjid Adrar !
"AOKAS, partir c'est est revivre
" Dans mon village sans prétention j avais mauvaise réputation "! une fois parti, une fois mon âme hébergée par Aokas, le dieu des mers chaudes, là seulement je commence à exister"
Rachid Oulebsir
" Dans mon village sans prétention j avais mauvaise réputation "! une fois parti, une fois mon âme hébergée par Aokas, le dieu des mers chaudes, là seulement je commence à exister"
Rachid Oulebsir
Madona- Nombre de messages : 3426
Date d'inscription : 30/01/2009
Re: Adieu Madjid Adrar !
Voilà l’intercréativité intellectuelle qui devrait caractériser notre démarche artistique citoyenne. Quand l’un surprend l’autre dégaine !
Cet hommage, à l’artiste MADJA parti comme une note de musique sans déranger le feuillage social d'Aokas, de notre ami Fatah Bouhmila ensorcelé par le volcan Katébien est traduit spontanément par un autre poète Salah Loukad à la sensibilité aiguë.
J’ai toujours imaginé que les langues existent pour faire l’amour dans un texte sans frontière. Et dans ce cas je ne peux que reprendre pour rendre un hommage hautement symbolique à l’artiste Madjid Adrar parti rejoindre Azdine Berkouk. Je les imagine faisant la fête labas. Puisqu’ici bas ils sont passés comme des éclaireurs.
Je me suis évadé d'un roman
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Je suis né de la semence de Kateb Yacine
Je ne suis pas Lakhdar non
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poème de Fatah Bouhmila , traduction Salah Loukkad
Cet hommage, à l’artiste MADJA parti comme une note de musique sans déranger le feuillage social d'Aokas, de notre ami Fatah Bouhmila ensorcelé par le volcan Katébien est traduit spontanément par un autre poète Salah Loukad à la sensibilité aiguë.
J’ai toujours imaginé que les langues existent pour faire l’amour dans un texte sans frontière. Et dans ce cas je ne peux que reprendre pour rendre un hommage hautement symbolique à l’artiste Madjid Adrar parti rejoindre Azdine Berkouk. Je les imagine faisant la fête labas. Puisqu’ici bas ils sont passés comme des éclaireurs.
Je me suis évadé d'un roman
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Idem waḍu ur d-as-iḍliq
poème de Fatah Bouhmila , traduction Salah Loukkad
Madona- Nombre de messages : 3426
Date d'inscription : 30/01/2009
Re: Adieu Madjid Adrar !
"Je me suis évadé d'un roman
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Fatah Bouhmila
Madona- Nombre de messages : 3426
Date d'inscription : 30/01/2009
Re: Adieu Madjid Adrar !
Nadjib Alloune Pourquoi ne les pleurer lui et Berkouk Azzedine qu après leur mort ??? On dirait l état Algérien ! Madjid était prié là où il allait de quitter les lieux..... aujourd'hui on en fait des masses alors qu il n est plus !!! Bizarre !
Madona- Nombre de messages : 3426
Date d'inscription : 30/01/2009
Re: Adieu Madjid Adrar !
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Madona- Nombre de messages : 3426
Date d'inscription : 30/01/2009
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