Ne touchez pas à ma liberté. Marche grandiose a Aokas le 29 juillet 2017.
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Azul
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Re: Ne touchez pas à ma liberté. Marche grandiose a Aokas le 29 juillet 2017.
Lire les livres de son choix et en débattre librement est un droit qui ne doit être soumis à aucune autorisation.
Ne laissons pas les bureaucrates piétiner nos libertés !
Faisons barrages aux pratiques brejneviennes des années de plomb !
Solidarité avec Ramdane Achab et le Café littéraire d'Akfadou !
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Re: Ne touchez pas à ma liberté. Marche grandiose a Aokas le 29 juillet 2017.
Merci Aokas : retour sur les événements de 22 /29 juillet 2017
La culture n’a jamais eu de frontières, ni de nationalité. La culture est universelle, elle existe partout dans le monde. Chaque peuple défend sa culture, à Aokas, on défend toutes les cultures. L’art de savoir, la tolérance, cette culture de laïcité, il faut le dire haut et fort à Aokas, nous sommes pour la laïcité, même si on ne le sait pas, tout simplement, nous sommes pour la liberté. En tant que je suis encore en vie, je me souviendrai toujours et à jamais de ces deux grandes dates, le vingt-deux (22) et le vingt-neuf (29) juillet deux mille dix-sept (2017). Ces deux jours sont gravés à jamais dans ma mémoire car ce sont des jours de gloires, la gloire de la culture, la gloire de la littérature, la gloire de la paix, et celle de la liberté. Pour détailler, tout a commencé lors des nombreuses interdictions de plusieurs conférences comme celles des messieurs : Larbi Yahioun, Younes Adli, Hebbache Yacine, Armand Vial, Zoubir Zerarga et enfin Remdan Achab et bien d’autres écrivains et écrivaines par les autorités locales (le chef daïra d’Aokas). Ce n’était pas des simples interdictions justifiées mais plutôt des provocations injustifiées et sans motif. Le seul motif qu’ils ont allégué : la peur que le peuple lise. C’est dans ces conditions-là que le café littéraire et la population d’Aokas ont organisé une marche jusqu’au siège de la daïra. Cette marche a donc eu lieu, la matinée du 22 juillet 2017, juste avant la conférence de monsieur Remdan Achab programmée le même jour malgré son interdiction. Plusieurs militants ont répondu affirmativement à l’appel pour marcher, pour manifester et dire non à ces interdictions. On était deux cents à peine, la couleur politique n’avait pas vraiment d’importance, on était juste des citoyens qui voulaient dénoncer les actes de ce système mafieux, d’autres militants sont arrivés après la marche pour assister à la conférence. Le temps a passé, les gens sont arrivés, suivies, comme prévu, par les forces de l’ordre (CRS) qui ont été dépêchées pour les empêcher d’entrer dans le centre culturel. Ils ont utilisé tous les moyens, usant de leur force et réprimant les gens par des matraques, du gaz lacrymogène, et des balles blanches (balles en caoutchouc). On ne savait pas que la parole et le livre les terrifiaient. Beaucoup de personnes étaient matraquées, tabassées. Les forces de l’ordre ont saccagé le centre culturel ‘Rahmani Slimane’ pour nous faire sortir et empêcher le maintien de la conférence. Ils ont même cassé les vitres et les portes du centre. Une fois dehors, la foule n’est pas restée les bras croisés. Elle a résisté en scandant des slogans et des chants de résistance. Pour la CRS, la foule doit disparaitre quelque soient les moyens, donc ils ont avancé et ont commencé à lancer des bombes lacrymogènes. Les jeunes n’ont pas pu supporter toute cette répression. Alors ils ont réagi d’emblée en lançant quelques pierres ; les émeutes ont duré entre une heure et deux heures environ. Les forces de l’ordre se sont retirées face à l’acharnement des manifestants. Il y a eu beaucoup de blessés et de dégâts matériels causés. Je comptais parmi eux. J’ai été touché par une de ces satanées balles blanches, à ce jour peu de personne le savent, même ma famille l’ignore. Malgré toute la répression qu’ils ont mise en œuvre, les forces de l’ordre sont parties vaincues à la fin. Les CRS ont été déçus de voir les manifestants nettoyer et ramasser toutes les pierres restées sur la route car c’était un geste de citoyenneté et de civisme. C’était des moments d’engagement, de résistance, des moments de détermination, la culture a dit son dernier mot, elle a hurlé à cor et à cri : « La victoire est à moi sur cette terre des merveilles, la terre des libres et de liberté, la victoire est la mienne à Aokas ». Cet événement a ainsi marqué la naissance de l’autre grandiose marche du 29 juillet 2017, toujours organisée par le café littéraire d’Aokas et la société civile. Le slogan de la marche était fabuleux, admirable et magnifique « Adlis deg fus ; Afus deg fus» qui veut dire « un livre dans la main ; la main dans la main ». C’était une marche de dignité, de fierté, ce jour-là, tout le monde était fier de cette ville qui a remporté un titre de noblesse « la terre de toutes les luttes ». Le titre n’était pas nouveau pour ceux qui connaissaient la ville, ça toujours été ainsi.
Le jour J ou D dans la formule classique, les assoiffés de culture et de liberté sont arrivés des quatre coins de la région et même du pays, ils étaient tous là, comme disait Aznavour « Ils sont venus ils sont tous là » pour dire OUI à la culture, OUI à la liberté et NON à la dictature, NON à la répression. Pour moi et pour beaucoup d’autres, cet événement n’était pas une simple marche ou révolte. C’était bien une vraie Révolution dont le moteur était intellectuel et culturel, une révolution réussie. Je n’oublierai jamais ces sentiments de fierté, de bonheur et de patriotisme qui sont gravés dans mon cœur et ma mémoire, que je partage également avec tous ceux qui ont été présents et avec toute la population de ma ville natale. La fierté d’appartenir à cette ville, dire à haute voix et sans honte que je suis un Aokasien est un prestige et ça l’a toujours été. Vous imaginez la chaleur qu’il fait à la fin du mois de juillet avec l’humidité qui nous empêche de bien respirer, l’encombrement et la foule de la saison estivale et des fêtes de mariage. Pourtant, une vague populaire était là, qui avait répondu à l’appel de savoir, de culture et de lumière avec ses livres à la main, brillant comme des éclaires des foudre au milieu des nuits sombres. Cette vague criait fortement et avec la puissance des coups de tonnerre qui accompagnent les éclairs, ces chants qui font trembler cette terre prospère comme un séisme, ils étaient comme des vrais militaires qui sont toujours au front, qui répondent à l’appel du devoir. Des personnes de toutes idéologies étaient unies pour une simple raison : défendre une base de démocratie, un principe du débat, un droit fondamental propre à chaque citoyen, celui de s’exprimer, autrement dit, la liberté d’expression. Cette belle image m’a marqué et marquera d’autres générations et l’Histoire se souviendra pour toujours de ces événements. Je voulais, par ce texte et à l’occasion du troisième anniversaire de cette marche, rendre hommage à tous ceux qui ont participé et soutenu cette cause de près ou de loin, les vivants, les morts, qui sont toujours avec nous, même si j’avoue que je suis resté jusque-là très subjectif dans mon récit. Mais à quoi bon appeler ce texte un témoignage si on reste dans l’objectivité totale ?
Qui ne se souvient pas de ces verres, et de cette chanson qui était et reste toujours au moins pour moi un tube (qui a fait un grand buzz) intitulé ‘ igurdan ad ddun yid-i (les enfants iront avec moi) chantée par le groupe féminin et féministe kabyle DJURDJURA dans les années 81/82 ? Dans son introduction, Djura a bien déclamé par sa tendre et belle voix :
Un jour, les nuages éclateront en sanglots
Même les pierres les entendront
Un jour, les arbres en seront témoins
La terre entière nous dira :
Montre-nous ton visage, Liberté !
Un jour, les hommes et les femmes
Réunis comme ces montagnes
Prendront la parole
Pour dire le feu qui les dévore
Montre-nous ton visage Liberté !
Et ce jour ; les enfants iront vers moi
On tire de ce bel extrait poétique, le résumé des événements qui ont secoué Aokas, les nuages ont éclaté en sanglots, les pierres les ont entendu, les arbres ont été témoins, lorsque la terre entière nous a dit : Montre-nous ton visage Liberté, le jour où les hommes et les femmes étaient réunis comme des montagnes, et quand ils ont pris la parole en apportant des livres pour dire le feu qui les dévore. Ce jour-là, comme une diva, comme une Aphrodite, la liberté nous a montré son visage, et sans avoir peur, Aokas l’a regardé en brisant les chaînes qui l’emprisonnent, en courant vers elle. Et tous les mots de l’extrait précédent ont été réalisés miraculeusement à Aokas. Aokas a eu son jour, et c’était bien un certain vingt-neuf juillet de l’an deux milles dix-sept (29/07/2017). Dans une autre légende, c’est ce jour-là qu’Aokas a dit aux ennemis de la liberté : « Je ne veux pas être ce que vous vouliez que je sois car je ne suis pas de ce savoir que l’on néglige, ni de cette philosophie que l’on corrige, non plus de cette bêtise que l’on normalise….. »
B.M, mai 2020
La culture n’a jamais eu de frontières, ni de nationalité. La culture est universelle, elle existe partout dans le monde. Chaque peuple défend sa culture, à Aokas, on défend toutes les cultures. L’art de savoir, la tolérance, cette culture de laïcité, il faut le dire haut et fort à Aokas, nous sommes pour la laïcité, même si on ne le sait pas, tout simplement, nous sommes pour la liberté. En tant que je suis encore en vie, je me souviendrai toujours et à jamais de ces deux grandes dates, le vingt-deux (22) et le vingt-neuf (29) juillet deux mille dix-sept (2017). Ces deux jours sont gravés à jamais dans ma mémoire car ce sont des jours de gloires, la gloire de la culture, la gloire de la littérature, la gloire de la paix, et celle de la liberté. Pour détailler, tout a commencé lors des nombreuses interdictions de plusieurs conférences comme celles des messieurs : Larbi Yahioun, Younes Adli, Hebbache Yacine, Armand Vial, Zoubir Zerarga et enfin Remdan Achab et bien d’autres écrivains et écrivaines par les autorités locales (le chef daïra d’Aokas). Ce n’était pas des simples interdictions justifiées mais plutôt des provocations injustifiées et sans motif. Le seul motif qu’ils ont allégué : la peur que le peuple lise. C’est dans ces conditions-là que le café littéraire et la population d’Aokas ont organisé une marche jusqu’au siège de la daïra. Cette marche a donc eu lieu, la matinée du 22 juillet 2017, juste avant la conférence de monsieur Remdan Achab programmée le même jour malgré son interdiction. Plusieurs militants ont répondu affirmativement à l’appel pour marcher, pour manifester et dire non à ces interdictions. On était deux cents à peine, la couleur politique n’avait pas vraiment d’importance, on était juste des citoyens qui voulaient dénoncer les actes de ce système mafieux, d’autres militants sont arrivés après la marche pour assister à la conférence. Le temps a passé, les gens sont arrivés, suivies, comme prévu, par les forces de l’ordre (CRS) qui ont été dépêchées pour les empêcher d’entrer dans le centre culturel. Ils ont utilisé tous les moyens, usant de leur force et réprimant les gens par des matraques, du gaz lacrymogène, et des balles blanches (balles en caoutchouc). On ne savait pas que la parole et le livre les terrifiaient. Beaucoup de personnes étaient matraquées, tabassées. Les forces de l’ordre ont saccagé le centre culturel ‘Rahmani Slimane’ pour nous faire sortir et empêcher le maintien de la conférence. Ils ont même cassé les vitres et les portes du centre. Une fois dehors, la foule n’est pas restée les bras croisés. Elle a résisté en scandant des slogans et des chants de résistance. Pour la CRS, la foule doit disparaitre quelque soient les moyens, donc ils ont avancé et ont commencé à lancer des bombes lacrymogènes. Les jeunes n’ont pas pu supporter toute cette répression. Alors ils ont réagi d’emblée en lançant quelques pierres ; les émeutes ont duré entre une heure et deux heures environ. Les forces de l’ordre se sont retirées face à l’acharnement des manifestants. Il y a eu beaucoup de blessés et de dégâts matériels causés. Je comptais parmi eux. J’ai été touché par une de ces satanées balles blanches, à ce jour peu de personne le savent, même ma famille l’ignore. Malgré toute la répression qu’ils ont mise en œuvre, les forces de l’ordre sont parties vaincues à la fin. Les CRS ont été déçus de voir les manifestants nettoyer et ramasser toutes les pierres restées sur la route car c’était un geste de citoyenneté et de civisme. C’était des moments d’engagement, de résistance, des moments de détermination, la culture a dit son dernier mot, elle a hurlé à cor et à cri : « La victoire est à moi sur cette terre des merveilles, la terre des libres et de liberté, la victoire est la mienne à Aokas ». Cet événement a ainsi marqué la naissance de l’autre grandiose marche du 29 juillet 2017, toujours organisée par le café littéraire d’Aokas et la société civile. Le slogan de la marche était fabuleux, admirable et magnifique « Adlis deg fus ; Afus deg fus» qui veut dire « un livre dans la main ; la main dans la main ». C’était une marche de dignité, de fierté, ce jour-là, tout le monde était fier de cette ville qui a remporté un titre de noblesse « la terre de toutes les luttes ». Le titre n’était pas nouveau pour ceux qui connaissaient la ville, ça toujours été ainsi.
Le jour J ou D dans la formule classique, les assoiffés de culture et de liberté sont arrivés des quatre coins de la région et même du pays, ils étaient tous là, comme disait Aznavour « Ils sont venus ils sont tous là » pour dire OUI à la culture, OUI à la liberté et NON à la dictature, NON à la répression. Pour moi et pour beaucoup d’autres, cet événement n’était pas une simple marche ou révolte. C’était bien une vraie Révolution dont le moteur était intellectuel et culturel, une révolution réussie. Je n’oublierai jamais ces sentiments de fierté, de bonheur et de patriotisme qui sont gravés dans mon cœur et ma mémoire, que je partage également avec tous ceux qui ont été présents et avec toute la population de ma ville natale. La fierté d’appartenir à cette ville, dire à haute voix et sans honte que je suis un Aokasien est un prestige et ça l’a toujours été. Vous imaginez la chaleur qu’il fait à la fin du mois de juillet avec l’humidité qui nous empêche de bien respirer, l’encombrement et la foule de la saison estivale et des fêtes de mariage. Pourtant, une vague populaire était là, qui avait répondu à l’appel de savoir, de culture et de lumière avec ses livres à la main, brillant comme des éclaires des foudre au milieu des nuits sombres. Cette vague criait fortement et avec la puissance des coups de tonnerre qui accompagnent les éclairs, ces chants qui font trembler cette terre prospère comme un séisme, ils étaient comme des vrais militaires qui sont toujours au front, qui répondent à l’appel du devoir. Des personnes de toutes idéologies étaient unies pour une simple raison : défendre une base de démocratie, un principe du débat, un droit fondamental propre à chaque citoyen, celui de s’exprimer, autrement dit, la liberté d’expression. Cette belle image m’a marqué et marquera d’autres générations et l’Histoire se souviendra pour toujours de ces événements. Je voulais, par ce texte et à l’occasion du troisième anniversaire de cette marche, rendre hommage à tous ceux qui ont participé et soutenu cette cause de près ou de loin, les vivants, les morts, qui sont toujours avec nous, même si j’avoue que je suis resté jusque-là très subjectif dans mon récit. Mais à quoi bon appeler ce texte un témoignage si on reste dans l’objectivité totale ?
Qui ne se souvient pas de ces verres, et de cette chanson qui était et reste toujours au moins pour moi un tube (qui a fait un grand buzz) intitulé ‘ igurdan ad ddun yid-i (les enfants iront avec moi) chantée par le groupe féminin et féministe kabyle DJURDJURA dans les années 81/82 ? Dans son introduction, Djura a bien déclamé par sa tendre et belle voix :
Un jour, les nuages éclateront en sanglots
Même les pierres les entendront
Un jour, les arbres en seront témoins
La terre entière nous dira :
Montre-nous ton visage, Liberté !
Un jour, les hommes et les femmes
Réunis comme ces montagnes
Prendront la parole
Pour dire le feu qui les dévore
Montre-nous ton visage Liberté !
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On tire de ce bel extrait poétique, le résumé des événements qui ont secoué Aokas, les nuages ont éclaté en sanglots, les pierres les ont entendu, les arbres ont été témoins, lorsque la terre entière nous a dit : Montre-nous ton visage Liberté, le jour où les hommes et les femmes étaient réunis comme des montagnes, et quand ils ont pris la parole en apportant des livres pour dire le feu qui les dévore. Ce jour-là, comme une diva, comme une Aphrodite, la liberté nous a montré son visage, et sans avoir peur, Aokas l’a regardé en brisant les chaînes qui l’emprisonnent, en courant vers elle. Et tous les mots de l’extrait précédent ont été réalisés miraculeusement à Aokas. Aokas a eu son jour, et c’était bien un certain vingt-neuf juillet de l’an deux milles dix-sept (29/07/2017). Dans une autre légende, c’est ce jour-là qu’Aokas a dit aux ennemis de la liberté : « Je ne veux pas être ce que vous vouliez que je sois car je ne suis pas de ce savoir que l’on néglige, ni de cette philosophie que l’on corrige, non plus de cette bêtise que l’on normalise….. »
B.M, mai 2020
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Re: Ne touchez pas à ma liberté. Marche grandiose a Aokas le 29 juillet 2017.
Ne touchez pas à ma liberté.
Marche grandiose a Aokas le 29 juillet 2017.
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