Grace à Aokas, je n’ai plus peur de la dictature et de ses folies
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laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Grace à Aokas, je n’ai plus peur de la dictature et de ses folies
« Grace à Aokas, je n’ai plus peur de la dictature et de ses folies. »
« Je n’aime pas la dictature. Je hais ses tentations totalitaires. Je la hais dans toutes ses expressions. Je la hais davantage quand elle s’exerce sur l’art, la littérature et s’acharne à transformer ce qu’il y a de plus beau chez l’homme –son aptitude à l’émerveillement- en une universelle laideur. Un bal de mocheries. Le Café Littéraire d’Aokas subit depuis quelques mois les foudres de la dictature. Jusque-là, être heureux malgré elle était le maître-mot de ses animateurs. Mais la dictature redouble de plus en plus de férocité et, désormais, l’ultime bonheur est inévitablement de l’affronter. J’ai vu Aokas une fois, deux fois, mille fois et je le vois toujours, y compris dans mes rêves. Grace à Aokas, je n’ai plus peur de la dictature et de ses folies. Quand je pense à Aokas, le jour comme la nuit, l’hiver comme le printemps, mes peurs fondent comme de violents fantasmes sous les caresses amoureuses d’une fée »
Amar Ingrachen
« Je n’aime pas la dictature. Je hais ses tentations totalitaires. Je la hais dans toutes ses expressions. Je la hais davantage quand elle s’exerce sur l’art, la littérature et s’acharne à transformer ce qu’il y a de plus beau chez l’homme –son aptitude à l’émerveillement- en une universelle laideur. Un bal de mocheries. Le Café Littéraire d’Aokas subit depuis quelques mois les foudres de la dictature. Jusque-là, être heureux malgré elle était le maître-mot de ses animateurs. Mais la dictature redouble de plus en plus de férocité et, désormais, l’ultime bonheur est inévitablement de l’affronter. J’ai vu Aokas une fois, deux fois, mille fois et je le vois toujours, y compris dans mes rêves. Grace à Aokas, je n’ai plus peur de la dictature et de ses folies. Quand je pense à Aokas, le jour comme la nuit, l’hiver comme le printemps, mes peurs fondent comme de violents fantasmes sous les caresses amoureuses d’une fée »
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