Un autre dérapage reproduit par un pouvoir purement despotique.

Un autre dérapage reproduit par un pouvoir purement despotique.


Avec l'interdiction de la conférence de l'anthropologue et historien Younès Adli invité par le café littéraire d'Aokas sans évoqué aucune justification, et pourtant les organisateurs ont obtenu une autorisation de l’APC pour la tenue de cette conférence, le pouvoir démontre encore une autre fois son visage autoritaire et despotique, et son mépris affiché à toutes les dynamiques qui prêchent les libertés, les valeurs universelles, le progrès, la culture, la science.
Trente sept ans après l'interdiction de la conférence de Mouloud Mammeri sur les « Poèmes kabyles anciens », le pouvoir, qui a confisqué et les valeurs de la révolution du 1 novembre et l'indépendance, a prouvé encore une autre fois par l'interdiction de le conférence d'Aokas sa nature anti-libertés, son complexe pathologique perpétuel et permanent, et son paranoïa à tous les espace de débats et d’idées.
Mon soutien inconditionnel au café littéraire d'Aokas et au professeur Younes ADLI.

Mahrez BOUICH
Le 04 mars 2017
Bejaia ville - 10H02