HASSANI M’HAMED :

HASSANI M’HAMED
QUAND LES MOTS TRANSCENDENT LES MAUX
Hassani m’Hamed est un poète et un écrivain qui s’intéresse entre autres aux conséquences des idéologies conservatrices. Il a reçu de nombreux prix nationaux dans plusieurs wilayate du pays. Citons : un « Kaki d’encouragement » à Mostaganem pour la pièce « Akham N’Tiche, les « Bougies d’or » à Béjaia pour l’ensemble des ses œuvres poétiques, voyage fabuleux au pays de la pensée, de la beauté et de l’exaltation.
Dans ses œuvres, l’auteur se donne comme objectif de décrire les difficultés de toutes sortes rencontrées par les artistes algériens dont l’accomplissement de leurs œuvres relève du parcours du combattant. Son œuvre rend hommage à l’art et à ces personnes qui se vouent à l’expression du beau ; mais pas seulement, car tout au long de ses récits, il met en exergue certaines facettes de la vie sociale de l’Algérie pour montrer que les habitants de ce beau pays millénaire ont perdu tout repère qui caractérisait l’Algérien : d’autres coutumes sont venues supplanter les traditions ancestrales, et d’autres doctrines sont venues se substituer à un état d’esprit séculaire où la liberté est le maître mot.
Évidemment, le poète n’a pas la prétention de dresser en détail les différentes étapes de l’évolution de la société algérienne. Néanmoins, il donne un aperçu global de celle-ci sous couvert d’une histoire où l’humour et les flashs-back apportent cette touche attrayante qui rend intéressante la lecture du texte. De plus, M’Hamed Hassani va plus loin en tordant le cou à certains tabous pour décrire des scènes sentimentales dont on se surprend de trouver somme toute normal ce tableau défendu.
En résumé, le texte, qui se situe dans un contexte culturel, social et politique, constitue une excellente introduction pour quiconque s’intéresse à l’histoire contemporaine de notre pays.
Lire les productions littéraires du poète Hassani M’Hamed, c’est assurément franchir nombre de passerelles pour réussir une évasion culturelle où la liberté de penser vous tend les bras.
Lem

HASSANI M’HAMED
QUAND LES MOTS TRANSCENDENT LES MAUX
Hassani m’Hamed est un poète et un écrivain qui s’intéresse entre autres aux conséquences des idéologies conservatrices. Il a reçu de nombreux prix nationaux dans plusieurs wilayate du pays. Citons : un « Kaki d’encouragement » à Mostaganem pour la pièce « Akham N’Tiche, les « Bougies d’or » à Béjaia pour l’ensemble des ses œuvres poétiques, voyage fabuleux au pays de la pensée, de la beauté et de l’exaltation.
Dans ses œuvres, l’auteur se donne comme objectif de décrire les difficultés de toutes sortes rencontrées par les artistes algériens dont l’accomplissement de leurs œuvres relève du parcours du combattant. Son œuvre rend hommage à l’art et à ces personnes qui se vouent à l’expression du beau ; mais pas seulement, car tout au long de ses récits, il met en exergue certaines facettes de la vie sociale de l’Algérie pour montrer que les habitants de ce beau pays millénaire ont perdu tout repère qui caractérisait l’Algérien : d’autres coutumes sont venues supplanter les traditions ancestrales, et d’autres doctrines sont venues se substituer à un état d’esprit séculaire où la liberté est le maître mot.
Évidemment, le poète n’a pas la prétention de dresser en détail les différentes étapes de l’évolution de la société algérienne. Néanmoins, il donne un aperçu global de celle-ci sous couvert d’une histoire où l’humour et les flashs-back apportent cette touche attrayante qui rend intéressante la lecture du texte. De plus, M’Hamed Hassani va plus loin en tordant le cou à certains tabous pour décrire des scènes sentimentales dont on se surprend de trouver somme toute normal ce tableau défendu.
En résumé, le texte, qui se situe dans un contexte culturel, social et politique, constitue une excellente introduction pour quiconque s’intéresse à l’histoire contemporaine de notre pays.
Lire les productions littéraires du poète Hassani M’Hamed, c’est assurément franchir nombre de passerelles pour réussir une évasion culturelle où la liberté de penser vous tend les bras.
Lem