Hakim Laalam a décidé de vivre à Aokas
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laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Hakim Laalam a décidé de vivre à Aokas
Said Seddiki c'est une region ou la population cotise pour tout, électricité, gaz, internet l'eau, refaire la peinture, les routes......etc.
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Lakehal Bouattou C'est où cette oukase que vous en parler toujours, comme si c'était la Mecque ,j'ai visité 32 pays mais j'ai jamais entendu parler ni chez NS ni Alleur.
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Zidane Dalila Sois le bienvenu Hakim !! <3
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ⴼⴰⵓⵣⵉ ⵛⴰⴱⴰⵏ bienvenu
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ⴼⴰⵓⵣⵉ ⵛⴰⴱⴰⵏ Lekehal Bouattou comme si était la mecque ?? si c' était la mecque on va la rasé ... aokas c'est un lieu saint pour le pèlerinage des intellectuelles..des démocrates
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Lakehal Bouattou C'est où cette oukase que vous en parler toujours, comme si c'était la Mecque ,j'ai visité 32 pays mais j'ai jamais entendu parler ni chez NS ni Alleur.
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Zidane Dalila Sois le bienvenu Hakim !! <3
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ⴼⴰⵓⵣⵉ ⵛⴰⴱⴰⵏ bienvenu
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ⴼⴰⵓⵣⵉ ⵛⴰⴱⴰⵏ Lekehal Bouattou comme si était la mecque ?? si c' était la mecque on va la rasé ... aokas c'est un lieu saint pour le pèlerinage des intellectuelles..des démocrates
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Hakim Laalam a décidé de vivre à Aokas
Par Hakim Laâlam
Pourquoi le député Tliba subit-il une telle disgrâce ? Parce
qu’il n’a pas su respecter les règles très sévères du…
… Régime !
Je veux aller vivre à Aokas ! Au diable Alger, la capitale et ses «lustres». J’envoie valdinguer tout ça, et je fonce sur Aokas. Mais non ! Je ne cède pas à l’effet carte postale et au cliché du cap d’Aokas, de ses plages magnifiques et de son p’tit air de club de vacances permanent. Je ne marche pas à ça ! Je suis plus solide, plus construit et je ne bazarde pas toute une vie à Alger, un domicile, un environnement, des amis, un quartier et surtout les habitudes de ma famille juste pour satisfaire une lubie, un coup de cœur passager. Ça serait irresponsable de ma part, et je suis tout sauf irresponsable. A mon âge, les histoires de sac à dos et de «repartage dans la vie» vers d’autres horizons, ce n’est pas envisageable. Non! C’est juste que l’évidence, cette évidence de Aokas, s’est imposée à moi férocement. Et surtout, très récemment. Jusque-là, et comme je l’écrivais plus haut, j’avais un a priori favorable pour Aokas, mais juste d’un point de vue «touristique», de villégiature. Ça a changé, aujourd’hui, je puis vous l’assurer. A mes yeux enfin ouverts, j’ai acquis la conviction profonde que c’est désormais là-bas que ça se passera pour moi, et pas ailleurs. Que ce qui me reste comme chemin à accomplir dans cette vie (formule ampoulée, je vous l’accorde) je l’accomplirai à Aokas. Pourquoi cet amour fou, soudain et immodéré pour Aokas ? Pourquoi suis-je en train d’en baver littéralement dans cet espace où, habituellement, j’éructe et je crachote contre nos errements ? Tout simplement parce qu’à mes yeux justement, en ces temps de morosité, de sinistrose, d’austérité affichée et portée en bandoulière, de laideur intronisée au rang de label de goût, une région, Aokas, qui lance une vaste campagne de protection des chauves-souris ne peut être peuplée que de gens bons, foncièrement zen dans leur tête. Au point d’ailleurs que même le maire d’Aokas n’a pas hésité à officialiser cette protection des chauves-souris par arrêté communal ! Une région d’Algérie qui s’inquiète de la survie de ses chauves-souris, c’est pas beau ça ? C’est pas revivifiant, même si la chauve-souris est assimilée, à tort, à un volatile porte-malheur, diabolique, satanique et synonyme de mort ? Vous comprendrez alors que je ne puisse envisager de terminer ma vie ailleurs que dans un tel patelin. Un bled dont même Batman n’aurait jamais rêvé. En attendant mon déménagement et mon envol imminent vers Aokas, je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
Pourquoi le député Tliba subit-il une telle disgrâce ? Parce
qu’il n’a pas su respecter les règles très sévères du…
… Régime !
Je veux aller vivre à Aokas ! Au diable Alger, la capitale et ses «lustres». J’envoie valdinguer tout ça, et je fonce sur Aokas. Mais non ! Je ne cède pas à l’effet carte postale et au cliché du cap d’Aokas, de ses plages magnifiques et de son p’tit air de club de vacances permanent. Je ne marche pas à ça ! Je suis plus solide, plus construit et je ne bazarde pas toute une vie à Alger, un domicile, un environnement, des amis, un quartier et surtout les habitudes de ma famille juste pour satisfaire une lubie, un coup de cœur passager. Ça serait irresponsable de ma part, et je suis tout sauf irresponsable. A mon âge, les histoires de sac à dos et de «repartage dans la vie» vers d’autres horizons, ce n’est pas envisageable. Non! C’est juste que l’évidence, cette évidence de Aokas, s’est imposée à moi férocement. Et surtout, très récemment. Jusque-là, et comme je l’écrivais plus haut, j’avais un a priori favorable pour Aokas, mais juste d’un point de vue «touristique», de villégiature. Ça a changé, aujourd’hui, je puis vous l’assurer. A mes yeux enfin ouverts, j’ai acquis la conviction profonde que c’est désormais là-bas que ça se passera pour moi, et pas ailleurs. Que ce qui me reste comme chemin à accomplir dans cette vie (formule ampoulée, je vous l’accorde) je l’accomplirai à Aokas. Pourquoi cet amour fou, soudain et immodéré pour Aokas ? Pourquoi suis-je en train d’en baver littéralement dans cet espace où, habituellement, j’éructe et je crachote contre nos errements ? Tout simplement parce qu’à mes yeux justement, en ces temps de morosité, de sinistrose, d’austérité affichée et portée en bandoulière, de laideur intronisée au rang de label de goût, une région, Aokas, qui lance une vaste campagne de protection des chauves-souris ne peut être peuplée que de gens bons, foncièrement zen dans leur tête. Au point d’ailleurs que même le maire d’Aokas n’a pas hésité à officialiser cette protection des chauves-souris par arrêté communal ! Une région d’Algérie qui s’inquiète de la survie de ses chauves-souris, c’est pas beau ça ? C’est pas revivifiant, même si la chauve-souris est assimilée, à tort, à un volatile porte-malheur, diabolique, satanique et synonyme de mort ? Vous comprendrez alors que je ne puisse envisager de terminer ma vie ailleurs que dans un tel patelin. Un bled dont même Batman n’aurait jamais rêvé. En attendant mon déménagement et mon envol imminent vers Aokas, je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
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