Aokas: La famille Monpère en pèlerinage dans sa ville d’enfance
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Aokas: La famille Monpère en pèlerinage dans sa ville d’enfance
Aokas
La famille Monpère en pèlerinage dans sa ville d’enfance
Après avoir quitté la station balnéaire d’Aokas à l’indépendance, la famille Monpère a fait un pèlerinage sur les lieux de leur enfance qu’elle considère comme sa véritable patrie en y séjournant près d’une semaine en ce début du mois.
Cette fois, outre la maman, les deux filles et le gendre, il y avait aussi avec eux leur fils, Olivier, qui n’a plus revu sa ville d’enfance depuis 1963, date de leur retour en hexagone. Accueillie à bras ouverts par l’ensemble de leurs connaissances de l’époque, la famille a été invitée à dîner et à déjeuner par les anciennes copines de classe des deux filles et surtout, le fait marquant, c’est le déjeuner offert en leur honneur par l’association DEFI (défense, éducation, formation et insertion des inadaptés mentaux) qui a pris possession de la bâtisse— qui était leur maison— et le cabinet médical du chef de famille, feu le docteur Henri Monpère qui y exerçait à l’époque coloniale, décédé en France en 2003. Durant le déjeuner, rehaussé par la présence du maire et des anciennes connaissances de la famille, on voyait bien que les membres de cette famille étaient émus par le fait qu’ils se retrouvent en train de prendre un repas sur les lieux où ils avaient dîné et déjeuné plusieurs années durant. Un séjour de quelques jours a suffi à la famille Monpère pour se remémorer un tas de souvenirs. Ils sont répartis en France mercredi dernier sans Catherine qui avait rejoint la ville d’Oran pour assister à un congrès de cardiologues organisé par l’Association franco maghrébine EuroMed (elle est cardiologue à l’hôpital de Tour en France). Catherine, l’aînée de la famille Monpère a été la première à revoir la ville d’Aokas où a vécu des années durant sa famille, à savoir celle du seul médecin qui exerçait dans toute la commune mixte de Oued Marsa, feu docteur Monpère en l’occurrence. C’est suite à sa présence à Alger en mai 2006 pour assister aux travaux d’un congrès médical qu’elle fut invitée par une société de commercialisation de matériel médical installée à Béjaïa pour une visite de la région. En se rendant à Aokas, sa ville d’enfance, elle fit la rencontre de ses anciennes amies de classe, Zohra et Fatima entre autres, puis décide de revenir avec sa famille l’année d’après.
Ce qu’elle fit en juin 2007 en revenant en compagnie de son mari Daniel, de sa mère Marie Andrée et de sa jeune sœur Annie.
A. Gana
La famille Monpère en pèlerinage dans sa ville d’enfance
Après avoir quitté la station balnéaire d’Aokas à l’indépendance, la famille Monpère a fait un pèlerinage sur les lieux de leur enfance qu’elle considère comme sa véritable patrie en y séjournant près d’une semaine en ce début du mois.
Cette fois, outre la maman, les deux filles et le gendre, il y avait aussi avec eux leur fils, Olivier, qui n’a plus revu sa ville d’enfance depuis 1963, date de leur retour en hexagone. Accueillie à bras ouverts par l’ensemble de leurs connaissances de l’époque, la famille a été invitée à dîner et à déjeuner par les anciennes copines de classe des deux filles et surtout, le fait marquant, c’est le déjeuner offert en leur honneur par l’association DEFI (défense, éducation, formation et insertion des inadaptés mentaux) qui a pris possession de la bâtisse— qui était leur maison— et le cabinet médical du chef de famille, feu le docteur Henri Monpère qui y exerçait à l’époque coloniale, décédé en France en 2003. Durant le déjeuner, rehaussé par la présence du maire et des anciennes connaissances de la famille, on voyait bien que les membres de cette famille étaient émus par le fait qu’ils se retrouvent en train de prendre un repas sur les lieux où ils avaient dîné et déjeuné plusieurs années durant. Un séjour de quelques jours a suffi à la famille Monpère pour se remémorer un tas de souvenirs. Ils sont répartis en France mercredi dernier sans Catherine qui avait rejoint la ville d’Oran pour assister à un congrès de cardiologues organisé par l’Association franco maghrébine EuroMed (elle est cardiologue à l’hôpital de Tour en France). Catherine, l’aînée de la famille Monpère a été la première à revoir la ville d’Aokas où a vécu des années durant sa famille, à savoir celle du seul médecin qui exerçait dans toute la commune mixte de Oued Marsa, feu docteur Monpère en l’occurrence. C’est suite à sa présence à Alger en mai 2006 pour assister aux travaux d’un congrès médical qu’elle fut invitée par une société de commercialisation de matériel médical installée à Béjaïa pour une visite de la région. En se rendant à Aokas, sa ville d’enfance, elle fit la rencontre de ses anciennes amies de classe, Zohra et Fatima entre autres, puis décide de revenir avec sa famille l’année d’après.
Ce qu’elle fit en juin 2007 en revenant en compagnie de son mari Daniel, de sa mère Marie Andrée et de sa jeune sœur Annie.
A. Gana
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Aokas: La famille Monpère en pèlerinage dans sa ville d’enfance
et oui ,cettedame au grand coeur ne croyait pas ses yeux en trouvant les éléves de son défunt mari déjà en retraite ,alors qu'elle les avait laissé trés jeunes ,et parmis eux il y a mon propre pére
Re: Aokas: La famille Monpère en pèlerinage dans sa ville d’enfance
"Ce qu’elle fit en juin 2007 en revenant en compagnie de son mari Daniel, de sa mère Marie Andrée et de sa jeune sœur Annie."
c'était des retrouvailles trésémouvantes .
c'était des retrouvailles trésémouvantes .
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