Oulahlou enflamme Ait Aissa

Précédé par un chanteur amateur local et des poètes en herbe qui ont déclamé quelques vers, en hommage au défunt pour lequel le gala a été organisé, Oulahlou, armé de sa guitare, a chanté ses plus beaux tubes avant de clôturer avec « Pouvoir Assassin » qui est devenu un hymne à la jeunesse kabyle avide d’indépendance.

Pour un gala artistique, ce fut une véritable réussite. La dynamique association d’Ait Aissa a prouvé, encore une fois, que la volonté de travailler dans l’intérêt de la communauté  n’est pas un vain mot.  Effectivement, cette dernière excelle dans l’organisation de volontariats d’intérêt général et de rencontres, tant musicales que culturelles, au profit de la population locale.