Un médecin mortellement poignardé dans une cité universitaire
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Un médecin mortellement poignardé dans une cité universitaire
Le médecin de la cité universitaire d’Ihadadène à Béjaïa, a été mortellement poignardé ce mercredi 6 mai dans l’enceinte de la résidence, lors d’une altercation qui a très mal tourné avec un responsable de l’administration, selon les premiers éléments d’information.
Celui-ci, a pour sa part reçu un coup de couteau et est gardé en observation à l’hôpital de la ville. La communauté estudiantine et l’encadrement des Oeuvres universitaires ont été pour le moins consternés d’apprendre le drame, d’autant que des témoignages décrivent les deux hommes comme étant des fonctionnaires paisibles et sans histoires. Le fait que l’irréparable se produise dans l’enceinte d’une cité universitaire ajoute au trouble et à la stupéfaction, en attendant les conclusions de l’enquête menée par la police. Le tragique incident de ce mercredi vient confirmer ainsi que la violence, banalisée un peu partout, est entrain de pénétrer dans des milieux que l’on croyait jusque là naturellement immunisés. Des milieux qui finalement n’échappent pas à la grande déprime sociale et la déliquescence morale qui frappe le pays.
Par M. S.
Celui-ci, a pour sa part reçu un coup de couteau et est gardé en observation à l’hôpital de la ville. La communauté estudiantine et l’encadrement des Oeuvres universitaires ont été pour le moins consternés d’apprendre le drame, d’autant que des témoignages décrivent les deux hommes comme étant des fonctionnaires paisibles et sans histoires. Le fait que l’irréparable se produise dans l’enceinte d’une cité universitaire ajoute au trouble et à la stupéfaction, en attendant les conclusions de l’enquête menée par la police. Le tragique incident de ce mercredi vient confirmer ainsi que la violence, banalisée un peu partout, est entrain de pénétrer dans des milieux que l’on croyait jusque là naturellement immunisés. Des milieux qui finalement n’échappent pas à la grande déprime sociale et la déliquescence morale qui frappe le pays.
Par M. S.
Re: Un médecin mortellement poignardé dans une cité universitaire
العنف المدرسي: موظف يقتل زميله بجامعة بجاية
زينب بن زيطة | 06/05/2009 | 0تعليق
أقبل اليوم الأربعاء 6 ماي، موظف في جامعة بجاية، على قتل زميله له في نفس المؤسسة، و الذي يشغل منصب طبيب، و حسب مصدر أمني فان الجاني البالغ من العمر 45 سنة، دخل على الضحية البالغ من العمر 47 سنة في مكتبه، حيث دار بينها حديث تحول حسب شهود إلى عراك، إلى غاية ما أخرج الجاني سلاح أبيض من جيبه، ليوجه به عدة طعنات لضحية، الذي لفظ أنفاسه الأخيرة في مكان الجريمة.
و حسب ذات المصدر، فان الجاني و الضحية، كلاهما منحدرين من بلدية أولاد يعيش، و كانت تربطهما علاقة صداقة منذ مدة طويلة، كما لم يعرف إلى حد الآن السبب الحقيقي، الذي أدى إلى نشوب الشجار بين الصديقين.
للإشارة، فان مصالح الأمن باشرت عملية التحقيق و التحري داخل الحرم الجامعي، مباشرة بعد وقوع الجريمة، حيث شرعت في الاستماع للموظفين و عمال الإدارة، أين يتواجد مكتب الطبيب المقتول.
و للتذكير، فان الجريمة هي الثانية من نوعها بعد جريمة قتل تلميذة على مدخل متوسطة أيت إسماعيل ببجاية، شهر أفريل المنصرم، و التي أثارت غضب السكان، الذين طالبوا بتوفير الأمن، مؤكدين أن وتيرة العنف المدرسي بدأت تثير التخوف.
زينب بن زيطة | 06/05/2009 | 0تعليق
أقبل اليوم الأربعاء 6 ماي، موظف في جامعة بجاية، على قتل زميله له في نفس المؤسسة، و الذي يشغل منصب طبيب، و حسب مصدر أمني فان الجاني البالغ من العمر 45 سنة، دخل على الضحية البالغ من العمر 47 سنة في مكتبه، حيث دار بينها حديث تحول حسب شهود إلى عراك، إلى غاية ما أخرج الجاني سلاح أبيض من جيبه، ليوجه به عدة طعنات لضحية، الذي لفظ أنفاسه الأخيرة في مكان الجريمة.
و حسب ذات المصدر، فان الجاني و الضحية، كلاهما منحدرين من بلدية أولاد يعيش، و كانت تربطهما علاقة صداقة منذ مدة طويلة، كما لم يعرف إلى حد الآن السبب الحقيقي، الذي أدى إلى نشوب الشجار بين الصديقين.
للإشارة، فان مصالح الأمن باشرت عملية التحقيق و التحري داخل الحرم الجامعي، مباشرة بعد وقوع الجريمة، حيث شرعت في الاستماع للموظفين و عمال الإدارة، أين يتواجد مكتب الطبيب المقتول.
و للتذكير، فان الجريمة هي الثانية من نوعها بعد جريمة قتل تلميذة على مدخل متوسطة أيت إسماعيل ببجاية، شهر أفريل المنصرم، و التي أثارت غضب السكان، الذين طالبوا بتوفير الأمن، مؤكدين أن وتيرة العنف المدرسي بدأت تثير التخوف.
you and me- Nombre de messages : 2902
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: Un médecin mortellement poignardé dans une cité universitaire
Université de Béjaïa
L’étrange mort du médecin de la RU d’Ihaddaden
Que s’est-il passé à la résidence universitaire d’Ihaddaden ?
Un drame sanglant entouré d’une grande confusion.
On retiendra que le médecin de la cité y a été retrouvé mort hier matin dans son cabinet et qu’il a succombé avant son évacuation à l’hôpital. A-t-il été assassiné ? S’était-il suicidé ? On n’en sait rien de ferme à ce sujet.
Parallèlement, le directeur de l’administration générale (DAG) de la même résidence est évacué à Khellil-Amrane pour une entaille au dos.
Il ne serait pas, comme le laissaient entendre les premières indiscrétions, qui évoquaient une rixe qui se serait terminée dans un bain de sang, l’assassin du médecin.
A des infirmiers de l’hôpital, il confie une tout autre version des faits. Le médecin, auprès duquel il s’était rendu en consultation, écumait de colère.
Il l’aurait accueilli avec une grande violence par finir par le blesser au dos avec un cutter ou autre objet tranchant du même type.
Cette version des faits laisse suggérer que le médecin se serait, après coup, lui-même donné la mort à coups de couteau ou qu’il serait mort accidentellement dans le tumulte qui a suivi. Soit, une affaire des plus confuses.
A midi, à la cité universitaire Ihaddaden, l’atmosphère est des plus lourdes. L’onde de choc de la nouvelle de la mort du médecin est tellement grande que son impact à fait s’évanouir un agent de sécurité de la cité qui n’a pas pu supporter une violente et brusque émotion.
En grève, certains étudiants venaient juste de se réveiller. Les agents de sécurité bien que présents en grand nombre au portail de la cité refusent catégoriquement, sans doute par crainte d’être mêlés de près où de loin à cette affaire, de prononcer le moindre mot ayant trait au drame. Le plus volubile parmi eux s’est contenté de nous indiquer l’endroit où se trouvent groupés les responsable de la cité. Ces derniers refusent de communiquer jusqu’aux noms des antagonistes.
Encore présente sur les lieux du crime, la police nous oppose le fameux : "L’enquête est en cours, on ne peut rien révéler pour l’instant ".
L’affaire survient sur une certaine trame de violence.
Les étudiants de l’université de Béjaïa ont séché hier les cours pour exiger la libération de l’un des leurs, arrêté à Chlef par les services de sécurité. Selon des protestataires, cet étudiant a été arrêté au courant de cette semaine au terme d’une rencontre de football entrant dans le cadre d’un tournoi inter-universités ayant opposé l’équipe de l’université de Béjaïa et celle de Chlef. Une rencontre, ajoute-t-on, qui a viré au vinaigre avant le coup de sifflet final. D’après eux, une bagarre a éclaté entre les étudiants des deux universités conduisant à l’intervention des services de sécurité qui ont procédé à l’arrestation d’un étudiant de l’université de Béjaïa. Ce dernier devait comparaître hier devant le tribunal de Chlef pour outrage à corps constitué et agression d’un agent. Sollicitant leur intervention pour la libération de l’étudiant inculpé dans les plus brefs délais, une réunion entre les représentants des étudiants et le directeur des œuvres universitaire de Béjaïa a eu lieu dans la matinée d’hier. Le DOU a promis aux étudiants d’intervenir auprès de l’Office national des œuvres universitaire pour l’acquittement de l’étudiant mis en cause.
M. Bessa / Dalil S.
L’étrange mort du médecin de la RU d’Ihaddaden
Que s’est-il passé à la résidence universitaire d’Ihaddaden ?
Un drame sanglant entouré d’une grande confusion.
On retiendra que le médecin de la cité y a été retrouvé mort hier matin dans son cabinet et qu’il a succombé avant son évacuation à l’hôpital. A-t-il été assassiné ? S’était-il suicidé ? On n’en sait rien de ferme à ce sujet.
Parallèlement, le directeur de l’administration générale (DAG) de la même résidence est évacué à Khellil-Amrane pour une entaille au dos.
Il ne serait pas, comme le laissaient entendre les premières indiscrétions, qui évoquaient une rixe qui se serait terminée dans un bain de sang, l’assassin du médecin.
A des infirmiers de l’hôpital, il confie une tout autre version des faits. Le médecin, auprès duquel il s’était rendu en consultation, écumait de colère.
Il l’aurait accueilli avec une grande violence par finir par le blesser au dos avec un cutter ou autre objet tranchant du même type.
Cette version des faits laisse suggérer que le médecin se serait, après coup, lui-même donné la mort à coups de couteau ou qu’il serait mort accidentellement dans le tumulte qui a suivi. Soit, une affaire des plus confuses.
A midi, à la cité universitaire Ihaddaden, l’atmosphère est des plus lourdes. L’onde de choc de la nouvelle de la mort du médecin est tellement grande que son impact à fait s’évanouir un agent de sécurité de la cité qui n’a pas pu supporter une violente et brusque émotion.
En grève, certains étudiants venaient juste de se réveiller. Les agents de sécurité bien que présents en grand nombre au portail de la cité refusent catégoriquement, sans doute par crainte d’être mêlés de près où de loin à cette affaire, de prononcer le moindre mot ayant trait au drame. Le plus volubile parmi eux s’est contenté de nous indiquer l’endroit où se trouvent groupés les responsable de la cité. Ces derniers refusent de communiquer jusqu’aux noms des antagonistes.
Encore présente sur les lieux du crime, la police nous oppose le fameux : "L’enquête est en cours, on ne peut rien révéler pour l’instant ".
L’affaire survient sur une certaine trame de violence.
Les étudiants de l’université de Béjaïa ont séché hier les cours pour exiger la libération de l’un des leurs, arrêté à Chlef par les services de sécurité. Selon des protestataires, cet étudiant a été arrêté au courant de cette semaine au terme d’une rencontre de football entrant dans le cadre d’un tournoi inter-universités ayant opposé l’équipe de l’université de Béjaïa et celle de Chlef. Une rencontre, ajoute-t-on, qui a viré au vinaigre avant le coup de sifflet final. D’après eux, une bagarre a éclaté entre les étudiants des deux universités conduisant à l’intervention des services de sécurité qui ont procédé à l’arrestation d’un étudiant de l’université de Béjaïa. Ce dernier devait comparaître hier devant le tribunal de Chlef pour outrage à corps constitué et agression d’un agent. Sollicitant leur intervention pour la libération de l’étudiant inculpé dans les plus brefs délais, une réunion entre les représentants des étudiants et le directeur des œuvres universitaire de Béjaïa a eu lieu dans la matinée d’hier. Le DOU a promis aux étudiants d’intervenir auprès de l’Office national des œuvres universitaire pour l’acquittement de l’étudiant mis en cause.
M. Bessa / Dalil S.
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Date d'inscription : 29/04/2008
Deux crimes crapuleux en 24 heures
La wilaya de Béjaïa a enregistré en espace d’une semaine, 3 crimes crapuleux à l’arme blanche. Les coupables sont des jeunes dont l’âge ne dépasse pas 22 ans.
Une semaine à peine après le crime crapuleux dont a été victime Sonia Idir, une collégienne de 15 ans à Aït Smaïl dans la daïra de Derguina, un crime qualifié de passionnel, la wilaya de Béjaïa est ébranlée une nouvelle fois par deux autres meurtres. Hier matin, un horrible crime s’est produit à la résidence universitaire d’Ihaddaden. La victime n’est autre que le médecin de l’infirmerie de la résidence universitaire. Son bourreau est Lakhdar B., chef de service de l’administration générale de ladite résidence. Lors d’une bagarre acharnée et sauvage à l’arme blanche, le médecin a reçu quatre coups de couteau avant de succomber à ses blessures sur place. tandis que son meurtrier, qui a reçu un coup de couteau dans le dos, est dans un état comateux à l’hôpital Khellil-Amrane de Béjaïa.
Avant-hier, la paisible région de Tamokra-Bouswal, dans la région d’Akbou, a été plongée dans l’horreur à la suite du meurtre du chauffeur d’un bus de ramassage scolaire. En effet, Mustapha Zakaria, 46 ans et père de 5 enfants, a payé de sa vie sa rigueur dans sa fonction.
La victime, assurant la ligne Tamokra-Bouswal a été sauvagement assassinée par un jeune de 22 ans mardi dernier aux environs de 16h à Tamokra. La bagarre a éclaté après que le chauffeur avait signifié à son assassin, qui voulait prendre le bus, que ce dernier était réservé aux écoliers et que par précaution et mesure de sécurité il ne pouvait le tolérer dans le bus. Mal lui en prit: ne voulant pas admettre cette mesure sécuritaire, le jeune a violemment réagi et le ton est vite monté d’un cran.
La victime s’est rapprochée du coupable pour l’inviter à descendre mais ce dernier sortit un couteau (un cran d’arrêt) et poignarda mortellement la malheureuse victime, lui assénant plusieurs coups de couteau au niveau de la cage thoracique, ce qui provoqua sa mort sous le regard impuissant des élèves.
Après les pendaisons, les agressions à l’arme blanche et les vols qualifiés, le crime a tendance à devenir un phénomène de société dans la wilaya de Béjaïa.
Les cas signalés çà et là suscitent l’inquiétude. Trois meurtres en une semaine renseignent on ne peut mieux sur la gravité de la situation. La sonnette d’alarme est encore une fois tirée. La balle est désormais dans le camp des acteurs de la société.
Boualem CHOUALI
Une semaine à peine après le crime crapuleux dont a été victime Sonia Idir, une collégienne de 15 ans à Aït Smaïl dans la daïra de Derguina, un crime qualifié de passionnel, la wilaya de Béjaïa est ébranlée une nouvelle fois par deux autres meurtres. Hier matin, un horrible crime s’est produit à la résidence universitaire d’Ihaddaden. La victime n’est autre que le médecin de l’infirmerie de la résidence universitaire. Son bourreau est Lakhdar B., chef de service de l’administration générale de ladite résidence. Lors d’une bagarre acharnée et sauvage à l’arme blanche, le médecin a reçu quatre coups de couteau avant de succomber à ses blessures sur place. tandis que son meurtrier, qui a reçu un coup de couteau dans le dos, est dans un état comateux à l’hôpital Khellil-Amrane de Béjaïa.
Avant-hier, la paisible région de Tamokra-Bouswal, dans la région d’Akbou, a été plongée dans l’horreur à la suite du meurtre du chauffeur d’un bus de ramassage scolaire. En effet, Mustapha Zakaria, 46 ans et père de 5 enfants, a payé de sa vie sa rigueur dans sa fonction.
La victime, assurant la ligne Tamokra-Bouswal a été sauvagement assassinée par un jeune de 22 ans mardi dernier aux environs de 16h à Tamokra. La bagarre a éclaté après que le chauffeur avait signifié à son assassin, qui voulait prendre le bus, que ce dernier était réservé aux écoliers et que par précaution et mesure de sécurité il ne pouvait le tolérer dans le bus. Mal lui en prit: ne voulant pas admettre cette mesure sécuritaire, le jeune a violemment réagi et le ton est vite monté d’un cran.
La victime s’est rapprochée du coupable pour l’inviter à descendre mais ce dernier sortit un couteau (un cran d’arrêt) et poignarda mortellement la malheureuse victime, lui assénant plusieurs coups de couteau au niveau de la cage thoracique, ce qui provoqua sa mort sous le regard impuissant des élèves.
Après les pendaisons, les agressions à l’arme blanche et les vols qualifiés, le crime a tendance à devenir un phénomène de société dans la wilaya de Béjaïa.
Les cas signalés çà et là suscitent l’inquiétude. Trois meurtres en une semaine renseignent on ne peut mieux sur la gravité de la situation. La sonnette d’alarme est encore une fois tirée. La balle est désormais dans le camp des acteurs de la société.
Boualem CHOUALI
manis- Nombre de messages : 84
Date d'inscription : 19/08/2008
Re: Un médecin mortellement poignardé dans une cité universitaire
une violence sans précedent.et des fois inéxplicable .notre socié est-elle violente à ce point??? nos jeunes sont inconscients à ce point??? alors désormais dans les établissements scolaires il faut un autre module , pas de l'education civile mais "la gestion des nerfs".car apprement on arrive plus à maitriser nos nerfs.
Maximus- Nombre de messages : 1481
Date d'inscription : 04/05/2008
Re: Un médecin mortellement poignardé dans une cité universitaire
Slt Maximus,
la violence est un phénomène qui va s'accroître en Algérie, et ce, pour différents raisons, dont j'en ferait part dans ce qui suit.
D'abord, selon la citation qui dit que l'oisiveté est mère de tous les vis, c'est ce qui se passe actuellement; pas de travail, pas d'encadrement, pas de structure pour prévenir ce genre de déviations et de crimes...
Ensuite, les jeunes qui quittent l'école se sentent rejetés et méprisés; ils en veulent à tout le monde, il n'y a que les gens malhonnêtes qui les récupèrent pour en abuser d'eux.
Enfin, même si les gens travaillent, ils n'arrivent pas à subvenir aux besoins du foyer, la chereté de la vie pousse les gens vers la déprime et à agir d'une manière malhonnête pour que ca finisse mal après.
Pour conclure, je cite le pouvoir qui pousse au pourrissement depuis déjà longtemps mais plus particulièrement avec le printemps noir. Le vol, les agressions, les meurtres...Sont une conséquence voulue par le clan de Boutef qui se venge de la Kabylie résistante et qui tient en son honneur. Il faut que les Kabyles perdent leur dignité pour qu'ils passent leur rouleau compresseur, le génocide culturel et linguistique. Ce sera une maîtrise totale de l'Algérie avec l'alignement de la Kabylie dans les rangs des soumis.
la violence est un phénomène qui va s'accroître en Algérie, et ce, pour différents raisons, dont j'en ferait part dans ce qui suit.
D'abord, selon la citation qui dit que l'oisiveté est mère de tous les vis, c'est ce qui se passe actuellement; pas de travail, pas d'encadrement, pas de structure pour prévenir ce genre de déviations et de crimes...
Ensuite, les jeunes qui quittent l'école se sentent rejetés et méprisés; ils en veulent à tout le monde, il n'y a que les gens malhonnêtes qui les récupèrent pour en abuser d'eux.
Enfin, même si les gens travaillent, ils n'arrivent pas à subvenir aux besoins du foyer, la chereté de la vie pousse les gens vers la déprime et à agir d'une manière malhonnête pour que ca finisse mal après.
Pour conclure, je cite le pouvoir qui pousse au pourrissement depuis déjà longtemps mais plus particulièrement avec le printemps noir. Le vol, les agressions, les meurtres...Sont une conséquence voulue par le clan de Boutef qui se venge de la Kabylie résistante et qui tient en son honneur. Il faut que les Kabyles perdent leur dignité pour qu'ils passent leur rouleau compresseur, le génocide culturel et linguistique. Ce sera une maîtrise totale de l'Algérie avec l'alignement de la Kabylie dans les rangs des soumis.
tasift- Nombre de messages : 1
Date d'inscription : 03/06/2009
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