MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS ! 28 mars 2016
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Re: MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS ! 28 mars 2016
A sidi aich..les gens les ont accueillis en héros avec bouteilles d'eau, sandwichs et gâteaux! Faites de même si ils passent prés de chez vous!
Il y'a eu plusieurs cas d’évanouissement!
#KLM
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Re: MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS ! 28 mars 2016
Les enseignants vacataires de Bejaia continuent leurs marche vers Alger,ils viennent de dépassé El-Kseur!si vous les croisez pensez a leur donner de l'eau ou de la nourriture émoticône smile
(Respect à la dame en chaise )
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Re: MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS ! 28 mars 2016
La marche sur Alger des contractuels du secteur de l'enseignement. En ce moment, ils sont à Il Maten. Bon courage
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Re: MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS ! 28 mars 2016
MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS !
'' Mouloud Deboub, président du BR du RCD à Béjaïa, était présent
pour soutenir les manifestants. «Notre soutien est total aux manifestants. La ministre doit répondre favorablement aux doléances des enseignants vacataires avant que cela ne dégénère.
Organiser une marche sur Alger est révélateur du désespoir mais aussi surtout de la détermination des enseignants vacataires et contractuels à faire aboutir leur revendication légitime après plusieurs années dans le secteur», alerte Mouloud Deboub du RCD.'' IN Le soir d'ALGERIE du 28 mars 2016.
Un appel est lancé aux structures, militants et sympathisants du RCD de Bgayet, afin de leurs apporter soutien et solidarité !
La route sera longue, nous devons soutenir ceux qui luttent pour leur dignité.
Salutations citoyennes.
Le président du bureau régional de Bgayet
'' Mouloud Deboub, président du BR du RCD à Béjaïa, était présent
pour soutenir les manifestants. «Notre soutien est total aux manifestants. La ministre doit répondre favorablement aux doléances des enseignants vacataires avant que cela ne dégénère.
Organiser une marche sur Alger est révélateur du désespoir mais aussi surtout de la détermination des enseignants vacataires et contractuels à faire aboutir leur revendication légitime après plusieurs années dans le secteur», alerte Mouloud Deboub du RCD.'' IN Le soir d'ALGERIE du 28 mars 2016.
Un appel est lancé aux structures, militants et sympathisants du RCD de Bgayet, afin de leurs apporter soutien et solidarité !
La route sera longue, nous devons soutenir ceux qui luttent pour leur dignité.
Salutations citoyennes.
Le président du bureau régional de Bgayet
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Re: MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS ! 28 mars 2016
ILS SONT PARTIS HIER DE BÉJAÏA
La longue marche de 1 000 enseignants vers Alger
La longue marche de 1 000 enseignants vers Alger
Les enseignants vacataires ne semblent pas près de baisser les bras pour se faire entendre par le département de Benghebrit.
Exacerbés par «la sourde oreille» de la ministre de l’Education quant à satisfaire ce qu’ils qualifient de «légitime revendication», maintes fois réitérée, à savoir l’intégration dans le secteur de l’éducation «sans concours et sans conditions», les enseignants vacataires sont revenus à la charge, hier, à travers une marche de la dignité entamée à partir de Béjaïa sur Alger sous le même mot d’ordre. Ils étaient près de mille enseignants contractuels venus des 48 wilayas du pays à se donner rendez-vous dans la matinée d’hier à Béjaïa à l’appel du Comité national des enseignants contractuels et vacataires pour une très longue marche sur la capitale avec l’espoir de voir enfin aboutir leur revendication.
C’est vers 11h que la procession prend le départ en direction d’Alger à partir du siège de la Direction de l’éducation de Béjaïa sous les youyous et des cris exigeant «l’intégration», repris à gorges déployées par les manifestants. Tout au long du trajet menant vers la sortie de la ville de Béjaïa pour emprunter la route vers la capitale que les organisateurs comptent rallier dans une semaine, les manifestants, parmi lesquels figurent des dizaines d’enseignantes contractuelles, ont scandé à tue-tête des slogans dénonçant la répression de leur précédente journée de protestation initiée à Alger.
«Ouine dimocratia, la police tadhrab b’nat l’hara (où est la démocratie lorsque la police tabasse les filles d’hommes libres) ?», «on n’est pas des agitateurs, les enseignants sont éduqués», «Bouteflika chouf chouf, les enseignants sont humiliés», «Ouled Ben Boulaïd, l’Algérien n’accepte jamais l’humiliation», «Mouaâlimine mourabiyine el adjyal (les enseignants éducateurs de générations» «Benghebrit laâbat bina (Benghebrit s’est jouée de nous)», «Intégration ! intégration !», ont été autant de slogans repris en chœur par la procession humaine ouverte par l’une des enseignantes contractuelles qui selon elle, a été violemment agressée par la police à Alger.
«On a organisé un rassemblement devant la Grande-Poste mais la police nous a violemment empêchés. Moi-même, j’ai été agressée par un policier qui m’a assénée des coups avec ses rangers aux genoux, je m’en sors avec une incapacité de travail de 30 jours mais malgré cela, je suis présente ici à Béjaïa pour marcher avec mes collègues à Alger avec la même ferme détermination d’obtenir notre intégration», nous a confié Djellal Fella, enseignante de français en poste depuis plusieurs années dans un lycée en zone rurale de la wilaya de Boumerdès.
La manifestante avec des béquilles qui s’est déplacée sur une chaise roulante ne cachait pas néanmoins son engagement à poursuivre le combat jusqu'à sa satisfaction. La même détermination est affichée par le coordinateur national du comité des enseignants vacataires et contractuel, Bachir Saïdi, exerçant depuis 4 ans comme PES d’EPS dans un lycée à Khellil, dans la daïra de Barbacha. «Les journées de protestation organisées tous les mardis devant les sièges des Directions de l’éducation ont été vaines. Personne n’a voulu nous écouter. A Alger, on s’est fait tabasser par la police. Aujourd’hui, ce que nous réclamons ,c’est juste notre intégration dans le secteur de l’éducation sans conditions ni concours après toutes ces années d’expérience dans l’enseignement», a martelé le syndicaliste tout en annonçant une grève de la faim au terme de la marche sur Alger dans le cas où la tutelle persisterait dans son refus d’accéder favorablement à leur doléance.
A une question sur l’organisation de la marche, le coordinateur national du comité des enseignants vacataires et contractuels a expliqué que des haltes sont programmées dans plusieurs régions se trouvant sur l’axe routier Béjaïa-Alger. La première halte est prévue à El Kseur. Saïdi Hakim, professeur d’EPS depuis six ans au lycée Saharidj de Bouira, abonde dans le même sens.
«Après la dure répression de la dernière manifestation à Alger, on revient avec la même conviction et détermination en espérant nous faire entendre et arracher notre intégration dans le secteur de l’éducation», affirme le manifestant de Bouira.
Même son de cloche chez son collègue de Sétif, enseignant de sciences naturelles dans un CEM de Aïn Arnat depuis 3 ans qui, également, espère enfin voir le bout du tunnel après cette marche national. «On n’a aucun droit avec ces contrats de vacataires. On ne réclame qu’une seule chose : un emploi stable comme enseignants titulaires», fait observer amèrement l’enseignant de Sétif .
Le FFS, le MDS de Béjaïa, Khaled Tazaghart du parti El Moustakbal et Mouloud Deboub, président du BR du RCD à Béjaïa, étaient présents pour soutenir les manifestants. «Notre soutien est total aux manifestants. La ministre doit répondre favorablement aux doléances des enseignants vacataires avant que cela ne dégénère.
Organiser une marche sur Alger est révélateur du désespoir mais aussi surtout de la détermination des enseignants vacataires et contractuels à faire aboutir leur revendication légitime après plusieurs années dans le secteur», alerte Mouloud Deboub du RCD. Présent à la manifestation nationale de Béjaïa, Idir Achour du CLA a appelé à mettre fin «à la précarisation de l’emploi dans le secteur de l’éducation notamment dans le corps des enseignants». «On dit que pour tuer une société, il suffit de tuer l’école. Pour tuer l’école , il faut tuer l’enseignant. On n’est pas là en solidarité mais partie prenante pour mettre fin à une situation qui nous concerne tous. On a remarqué que chaque année, l’enseignement fonctionne avec plus de 20 000 vacataires. L’Etat maintient toujours cette situation pour des besoins d’économiser de l’argent.
il faut souligner que le vacataire gagne un salaire de 50% de celui équivalent d’un enseignant titulaire. Cela sans parler des autres corps et ils sont dans le secteur de l’éducation plus de 50% de vacataires. On est avec l’intégration de tous les vacataires avant l’organisation de tous les concours et éviter ensuite le recrutement des vacataires. Il faut faire un bon calcul pour identifier les besoins réels de l’éducation avant chaque rentrée scolaire pour ensuite organiser un concours», explique Idir Achour, responsable du CLA.
Le nouveau sénateur de Béjaïa, élu sur la liste du FFS, l’ex-président de l’APW de Béjaïa, Mohamed Bettache, était aussi présent pour exprimer sa solidarité avec les protestataires.
«L’enseignant ne peut pas bien exercer son métier sans de bonnes conditions. L’enseignement ne pourra pas bien se porter sans un encadrement approprié. Un encadrement global à tous les niveaux. Il faut mettre tout le monde dans de bonnes conditions car l’enseignement traverse une mauvaise situation bien que la ministre Benghebrit fasse des efforts que nous félicitions. l’Etat et le gouvernement doivent se pencher justement sur le cas de l’emploi qui est très important. Aujourd’hui, on ne peut qu’exprimer notre solidarité avec les enseignants vacataires et contractuels dans leur combat», a déclaré Mohamed Bettache.
Il convient de mentionner que les marcheurs ont observé dans l’après-midi une halte à El Kseur pour se restaurer et se reposer avant de reprendre la longue marche vers Alger.
A. Kersani
Exacerbés par «la sourde oreille» de la ministre de l’Education quant à satisfaire ce qu’ils qualifient de «légitime revendication», maintes fois réitérée, à savoir l’intégration dans le secteur de l’éducation «sans concours et sans conditions», les enseignants vacataires sont revenus à la charge, hier, à travers une marche de la dignité entamée à partir de Béjaïa sur Alger sous le même mot d’ordre. Ils étaient près de mille enseignants contractuels venus des 48 wilayas du pays à se donner rendez-vous dans la matinée d’hier à Béjaïa à l’appel du Comité national des enseignants contractuels et vacataires pour une très longue marche sur la capitale avec l’espoir de voir enfin aboutir leur revendication.
C’est vers 11h que la procession prend le départ en direction d’Alger à partir du siège de la Direction de l’éducation de Béjaïa sous les youyous et des cris exigeant «l’intégration», repris à gorges déployées par les manifestants. Tout au long du trajet menant vers la sortie de la ville de Béjaïa pour emprunter la route vers la capitale que les organisateurs comptent rallier dans une semaine, les manifestants, parmi lesquels figurent des dizaines d’enseignantes contractuelles, ont scandé à tue-tête des slogans dénonçant la répression de leur précédente journée de protestation initiée à Alger.
«Ouine dimocratia, la police tadhrab b’nat l’hara (où est la démocratie lorsque la police tabasse les filles d’hommes libres) ?», «on n’est pas des agitateurs, les enseignants sont éduqués», «Bouteflika chouf chouf, les enseignants sont humiliés», «Ouled Ben Boulaïd, l’Algérien n’accepte jamais l’humiliation», «Mouaâlimine mourabiyine el adjyal (les enseignants éducateurs de générations» «Benghebrit laâbat bina (Benghebrit s’est jouée de nous)», «Intégration ! intégration !», ont été autant de slogans repris en chœur par la procession humaine ouverte par l’une des enseignantes contractuelles qui selon elle, a été violemment agressée par la police à Alger.
«On a organisé un rassemblement devant la Grande-Poste mais la police nous a violemment empêchés. Moi-même, j’ai été agressée par un policier qui m’a assénée des coups avec ses rangers aux genoux, je m’en sors avec une incapacité de travail de 30 jours mais malgré cela, je suis présente ici à Béjaïa pour marcher avec mes collègues à Alger avec la même ferme détermination d’obtenir notre intégration», nous a confié Djellal Fella, enseignante de français en poste depuis plusieurs années dans un lycée en zone rurale de la wilaya de Boumerdès.
La manifestante avec des béquilles qui s’est déplacée sur une chaise roulante ne cachait pas néanmoins son engagement à poursuivre le combat jusqu'à sa satisfaction. La même détermination est affichée par le coordinateur national du comité des enseignants vacataires et contractuel, Bachir Saïdi, exerçant depuis 4 ans comme PES d’EPS dans un lycée à Khellil, dans la daïra de Barbacha. «Les journées de protestation organisées tous les mardis devant les sièges des Directions de l’éducation ont été vaines. Personne n’a voulu nous écouter. A Alger, on s’est fait tabasser par la police. Aujourd’hui, ce que nous réclamons ,c’est juste notre intégration dans le secteur de l’éducation sans conditions ni concours après toutes ces années d’expérience dans l’enseignement», a martelé le syndicaliste tout en annonçant une grève de la faim au terme de la marche sur Alger dans le cas où la tutelle persisterait dans son refus d’accéder favorablement à leur doléance.
A une question sur l’organisation de la marche, le coordinateur national du comité des enseignants vacataires et contractuels a expliqué que des haltes sont programmées dans plusieurs régions se trouvant sur l’axe routier Béjaïa-Alger. La première halte est prévue à El Kseur. Saïdi Hakim, professeur d’EPS depuis six ans au lycée Saharidj de Bouira, abonde dans le même sens.
«Après la dure répression de la dernière manifestation à Alger, on revient avec la même conviction et détermination en espérant nous faire entendre et arracher notre intégration dans le secteur de l’éducation», affirme le manifestant de Bouira.
Même son de cloche chez son collègue de Sétif, enseignant de sciences naturelles dans un CEM de Aïn Arnat depuis 3 ans qui, également, espère enfin voir le bout du tunnel après cette marche national. «On n’a aucun droit avec ces contrats de vacataires. On ne réclame qu’une seule chose : un emploi stable comme enseignants titulaires», fait observer amèrement l’enseignant de Sétif .
Le FFS, le MDS de Béjaïa, Khaled Tazaghart du parti El Moustakbal et Mouloud Deboub, président du BR du RCD à Béjaïa, étaient présents pour soutenir les manifestants. «Notre soutien est total aux manifestants. La ministre doit répondre favorablement aux doléances des enseignants vacataires avant que cela ne dégénère.
Organiser une marche sur Alger est révélateur du désespoir mais aussi surtout de la détermination des enseignants vacataires et contractuels à faire aboutir leur revendication légitime après plusieurs années dans le secteur», alerte Mouloud Deboub du RCD. Présent à la manifestation nationale de Béjaïa, Idir Achour du CLA a appelé à mettre fin «à la précarisation de l’emploi dans le secteur de l’éducation notamment dans le corps des enseignants». «On dit que pour tuer une société, il suffit de tuer l’école. Pour tuer l’école , il faut tuer l’enseignant. On n’est pas là en solidarité mais partie prenante pour mettre fin à une situation qui nous concerne tous. On a remarqué que chaque année, l’enseignement fonctionne avec plus de 20 000 vacataires. L’Etat maintient toujours cette situation pour des besoins d’économiser de l’argent.
il faut souligner que le vacataire gagne un salaire de 50% de celui équivalent d’un enseignant titulaire. Cela sans parler des autres corps et ils sont dans le secteur de l’éducation plus de 50% de vacataires. On est avec l’intégration de tous les vacataires avant l’organisation de tous les concours et éviter ensuite le recrutement des vacataires. Il faut faire un bon calcul pour identifier les besoins réels de l’éducation avant chaque rentrée scolaire pour ensuite organiser un concours», explique Idir Achour, responsable du CLA.
Le nouveau sénateur de Béjaïa, élu sur la liste du FFS, l’ex-président de l’APW de Béjaïa, Mohamed Bettache, était aussi présent pour exprimer sa solidarité avec les protestataires.
«L’enseignant ne peut pas bien exercer son métier sans de bonnes conditions. L’enseignement ne pourra pas bien se porter sans un encadrement approprié. Un encadrement global à tous les niveaux. Il faut mettre tout le monde dans de bonnes conditions car l’enseignement traverse une mauvaise situation bien que la ministre Benghebrit fasse des efforts que nous félicitions. l’Etat et le gouvernement doivent se pencher justement sur le cas de l’emploi qui est très important. Aujourd’hui, on ne peut qu’exprimer notre solidarité avec les enseignants vacataires et contractuels dans leur combat», a déclaré Mohamed Bettache.
Il convient de mentionner que les marcheurs ont observé dans l’après-midi une halte à El Kseur pour se restaurer et se reposer avant de reprendre la longue marche vers Alger.
A. Kersani
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Re: MARCHE DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE BGAYET VERS ALGER A PIEDS ! 28 mars 2016
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2016/03/28/article.php?sid=193866&cid=2
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