«Plainte contre Saïd Sadi»
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«Plainte contre Saïd Sadi»
LE MINISTRE DE L’INTÉRIEUR L’A CONFIRMÉ HIER
«Plainte contre Saïd Sadi»
Le RCD risque fort de vivre un mauvais quart d’heure depuis qu’il a osé s’en prendre au drapeau national, se mettant à dos tout le monde, y compris les partisans du boycott comme lui. Sale temps pour le RCD. En réponse à une question directe posée par nous, hier, au ministre de l’Intérieur, lors de la conférence de presse d’annonce des résultats temporaires du scrutin présidentiel, n’est pas allé par quatre chemins pour y répondre. « La police judiciaire, nous at- il indiqué, a constaté l’outrage fait à l’emblème national aux niveaux des sièges du RCD. Par voie de conséquence une plainte a bel et bien été déposée». La question consistait à rappeler qu’il existe bel et bien un décret que Sadi n’est pas censé ignorer, aussi bien parce qu’il est chef de parti, et donc abonné au Journal Officiel, que parce qu’il était député au moment de sa publication (1997), qui impose aux partis politiques ainsi qu’aux associations de disposer l’emblème national au fronton de leurs édifices. Le décret en question, comme le rapportait récemment notre journal, prévoit même des sanctions pénales en direction des contrevenants. Or, Sadi ne s’est pas contenté d’enlever l’emblème, ce qui serait déjà grave en soi. Il a carrément procédé à son remplacement par des torchons de pirates, de couleur noire. Par-delà le geste absurde de Sadi, que beaucoup de ses propres cadres et militants ont dénoncé, un geste qui foule aux pieds la mémoire de nos glorieux martyrs, il convient de lui trouver la lecture politique idoine. Le Docteur Sadi, à cause de ses errements et égarements successifs, a fini par faire le vide autour de lui. L’ensemble des ténors de son parti, ceux qui avaient fait les beaux jours du RCD, dont Matoub Lounes, Mokrane Aït Larbi, Mustapha Bacha, Ferhat Mhenni, Amara Benyounes, Khalida Toumi, Hamid Lounaouci et bien d’autres, se trouve en perte de vitesse. La dernière crise vécue par ce parti avait failli lui coûter sa place. Contraint, à la dernière minute, de se rallier à l’idée majoritaire, non sans ignorer le fonctionnement démocratique du RCD en faisant l’annonce de sa décision avant même que son Conseil national n’ait statué, le RCD avait curieusement décidé de « geler» l’ensemble de ses activités jusqu’à ce que passent les élections présidentielles. Mais quelle ne fut grande la surprise des observateurs lorsque Sadi, choisissant curieusement un jour de grand froid, avait décidé de… dégeler ces activités histoire de s’adresser au président Obama, fraîchement élu, histoire de lui demander de lui venir en aide.
Nul recul n’est possible…
Cette demande d’ingérence dans les affaires internes d’un pays souverain était venu confirmer, si besoin en était, que le RCD, son président du moins, font partie de ces gens qui vont rendre des comptes et chercher des aides auprès de certaines ambassades. Ces activités, désormais percées à jour, ne pouvaient lui garantir la fidélité de militants dont le patriotisme est audessus de tous soupçons. La Kabylie, qui se trouve être le fief du RCD, est en effet réputée pour son nationalisme innénarable. C’est donc en désespoir de cause, depuis que cette région du pays s’est jetée à corps perdu dans l’élection, réservant des accueils chaleureux et historiques à l’ensemble des candidats, que le Dr Sadi semble s’être résolu à jouer son va-tout, une sorte de coup de poker absolument fou. Sadi, estiment les observateurs qui suivent de près la scène politique nationale, cherchait très certainement à pousser les responsables algériens à le sanctionner comme le veut la loi, provoquant ainsi l’incident majeur qui aurait eu pour effet de «gâcher» une présidentielle qui se déroule jusqu’à présent sans aucun accroc majeur. Mais, fort heureusement, les pouvoirs publics ne sont pas tombés dans ce grossier piège, tout simplement cousu de fil blanc. Sans doute ont-il laissé agir les sanctions du peuple et de l’histoire. Car, il est évident que plus aucun militant et cadre, parmi le peu qui étaient encore restés fidèles à ce responsable qui gère son parti comme un authentique dictateur, ne pourrait rester dans les rangs d’un parti qui attente à l’emblème national. Il est certain que le RCD s’achemine vers des démissions en cascade, qui amorceront dans les prochains jours le début de son agonie. Il est à signaler que quelque temps auparavant, le RCD avait encore fait parler de lui. Le président de son groupe parlementaire, pourtant fils du grand colonel Amirouche, avait osé remettre en cause le nombre de martyrs consentis par l’Algérie lors de notre glorieuse guerre de libération nationale.
Même le FFS…
Quelque temps plus tard, le président de l’APN, Abdelaziz Ziari devait refuser une demande du PT pour l’ouverture d’un débat parlementaire public sur la situation à Ghaza. Il avait justifié son refus par le fait qu’il ne souhaitait pas que certaines choses très graves soient dites publiquement. Or, des sources proches de la commission juridique, au sein de laquelle siège un représentant du RCD, nous ont appris en exclusivité, que «le représentant du RCD est pour la normalisation avec l’entité sioniste, et contre le soutien au peuple martyre de Ghaza». Ce parti, pour la petite histoire encore, avait été «classé avec l’ex-FIS» par les «avis autorisés». Si ces derniers avaient été écoutés quand cela était encore possible, ces deux partis n’auraient jamais été agréés, car les deux «prônent la violence, le sectarisme et l’intolérance». Le geste absurde de Sadi a même été dénoncé par le FFS, un parti révolutionnaire, pour qui il est hors de question d’attenter à l’emblème national. Cela sans parler des dizaines de messages de condamnations émanant de divers partis politiques, organisations et syndicats. Espérons, donc, que la justice saura rendre… justice à notre peuple, à nos glorieux martyrs et à l’ensemble des symboles de notre République et de notre révolution…
Wassim Benrabah
«Plainte contre Saïd Sadi»
Le RCD risque fort de vivre un mauvais quart d’heure depuis qu’il a osé s’en prendre au drapeau national, se mettant à dos tout le monde, y compris les partisans du boycott comme lui. Sale temps pour le RCD. En réponse à une question directe posée par nous, hier, au ministre de l’Intérieur, lors de la conférence de presse d’annonce des résultats temporaires du scrutin présidentiel, n’est pas allé par quatre chemins pour y répondre. « La police judiciaire, nous at- il indiqué, a constaté l’outrage fait à l’emblème national aux niveaux des sièges du RCD. Par voie de conséquence une plainte a bel et bien été déposée». La question consistait à rappeler qu’il existe bel et bien un décret que Sadi n’est pas censé ignorer, aussi bien parce qu’il est chef de parti, et donc abonné au Journal Officiel, que parce qu’il était député au moment de sa publication (1997), qui impose aux partis politiques ainsi qu’aux associations de disposer l’emblème national au fronton de leurs édifices. Le décret en question, comme le rapportait récemment notre journal, prévoit même des sanctions pénales en direction des contrevenants. Or, Sadi ne s’est pas contenté d’enlever l’emblème, ce qui serait déjà grave en soi. Il a carrément procédé à son remplacement par des torchons de pirates, de couleur noire. Par-delà le geste absurde de Sadi, que beaucoup de ses propres cadres et militants ont dénoncé, un geste qui foule aux pieds la mémoire de nos glorieux martyrs, il convient de lui trouver la lecture politique idoine. Le Docteur Sadi, à cause de ses errements et égarements successifs, a fini par faire le vide autour de lui. L’ensemble des ténors de son parti, ceux qui avaient fait les beaux jours du RCD, dont Matoub Lounes, Mokrane Aït Larbi, Mustapha Bacha, Ferhat Mhenni, Amara Benyounes, Khalida Toumi, Hamid Lounaouci et bien d’autres, se trouve en perte de vitesse. La dernière crise vécue par ce parti avait failli lui coûter sa place. Contraint, à la dernière minute, de se rallier à l’idée majoritaire, non sans ignorer le fonctionnement démocratique du RCD en faisant l’annonce de sa décision avant même que son Conseil national n’ait statué, le RCD avait curieusement décidé de « geler» l’ensemble de ses activités jusqu’à ce que passent les élections présidentielles. Mais quelle ne fut grande la surprise des observateurs lorsque Sadi, choisissant curieusement un jour de grand froid, avait décidé de… dégeler ces activités histoire de s’adresser au président Obama, fraîchement élu, histoire de lui demander de lui venir en aide.
Nul recul n’est possible…
Cette demande d’ingérence dans les affaires internes d’un pays souverain était venu confirmer, si besoin en était, que le RCD, son président du moins, font partie de ces gens qui vont rendre des comptes et chercher des aides auprès de certaines ambassades. Ces activités, désormais percées à jour, ne pouvaient lui garantir la fidélité de militants dont le patriotisme est audessus de tous soupçons. La Kabylie, qui se trouve être le fief du RCD, est en effet réputée pour son nationalisme innénarable. C’est donc en désespoir de cause, depuis que cette région du pays s’est jetée à corps perdu dans l’élection, réservant des accueils chaleureux et historiques à l’ensemble des candidats, que le Dr Sadi semble s’être résolu à jouer son va-tout, une sorte de coup de poker absolument fou. Sadi, estiment les observateurs qui suivent de près la scène politique nationale, cherchait très certainement à pousser les responsables algériens à le sanctionner comme le veut la loi, provoquant ainsi l’incident majeur qui aurait eu pour effet de «gâcher» une présidentielle qui se déroule jusqu’à présent sans aucun accroc majeur. Mais, fort heureusement, les pouvoirs publics ne sont pas tombés dans ce grossier piège, tout simplement cousu de fil blanc. Sans doute ont-il laissé agir les sanctions du peuple et de l’histoire. Car, il est évident que plus aucun militant et cadre, parmi le peu qui étaient encore restés fidèles à ce responsable qui gère son parti comme un authentique dictateur, ne pourrait rester dans les rangs d’un parti qui attente à l’emblème national. Il est certain que le RCD s’achemine vers des démissions en cascade, qui amorceront dans les prochains jours le début de son agonie. Il est à signaler que quelque temps auparavant, le RCD avait encore fait parler de lui. Le président de son groupe parlementaire, pourtant fils du grand colonel Amirouche, avait osé remettre en cause le nombre de martyrs consentis par l’Algérie lors de notre glorieuse guerre de libération nationale.
Même le FFS…
Quelque temps plus tard, le président de l’APN, Abdelaziz Ziari devait refuser une demande du PT pour l’ouverture d’un débat parlementaire public sur la situation à Ghaza. Il avait justifié son refus par le fait qu’il ne souhaitait pas que certaines choses très graves soient dites publiquement. Or, des sources proches de la commission juridique, au sein de laquelle siège un représentant du RCD, nous ont appris en exclusivité, que «le représentant du RCD est pour la normalisation avec l’entité sioniste, et contre le soutien au peuple martyre de Ghaza». Ce parti, pour la petite histoire encore, avait été «classé avec l’ex-FIS» par les «avis autorisés». Si ces derniers avaient été écoutés quand cela était encore possible, ces deux partis n’auraient jamais été agréés, car les deux «prônent la violence, le sectarisme et l’intolérance». Le geste absurde de Sadi a même été dénoncé par le FFS, un parti révolutionnaire, pour qui il est hors de question d’attenter à l’emblème national. Cela sans parler des dizaines de messages de condamnations émanant de divers partis politiques, organisations et syndicats. Espérons, donc, que la justice saura rendre… justice à notre peuple, à nos glorieux martyrs et à l’ensemble des symboles de notre République et de notre révolution…
Wassim Benrabah
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: «Plainte contre Saïd Sadi»
tant que tu était présent parmi les faux journalistes, choisis sont doute par Zerhouni, me laisse dire qu'on t'a dicté ces lignes...
Zhafit a écrit: En réponse à une question directe posée par nous, hier, au ministre de l’Intérieur, lors de la conférence de presse d’annonce des résultats temporaires du scrutin présidentiel,
Wassim Benrabah
Quand les Américains viennent gâcher la fête électorale de Bouteflika
Contre toute attente, la seule fausse note dans l'élection présidentielle est venue de Washington. Les Américains se sont déclarés, vendredi 10 avril, « préoccupés » par les accusations de fraude après la réélection du président Bouteflika pour un troisième mandat avec 90,24% des voix et un taux de participation de 74,54%.
« Nous sommes préoccupés par ces questions (de fraude) et nous souhaitons que le gouvernement y réponde mais pour l'instant, nous ne voyons aucune raison de ne pas croire que nous allons continuer à coopérer avec le président (Bouteflika) pendant son prochain mandat », a déclaré un porte-parole du Département d'Etat (le ministère américain des Affaires étrangères) quelques heures après l'annonce des résultats officiels.
Certes, Washington n'a pas remis en cause la légitimité du scrutin. Un tel geste est rare dans les relations internationales. Il est souvent réservé aux grandes dictatures ou aux pays ennemis des Etats-Unis. Et l'Algérie ni n'est l'un ni l'autre. Mais ces déclarations américaines viennent gâcher une réélection au goût déjà amer. M. Bouteflika a été en effet réélu à l'issue d'un scrutin boudé par l'opposition et les personnalités crédibles.
La déclaration américaine est-elle annonciatrice d'un changement de politique à l'égard de l'Algérie ? Habituellement, Washington se contente de prendre acte du résultat annoncé, sans la commenter. Cette position de neutralité a été surtout vraie durant les deux mandats de George W. Bsuh. Entre 2000 et 2008, le Maghreb ne constituait une priorité pour l'administration américaine, occupée par la lutte contre le terrorisme et son projet d'un nouveau Moyen-Orient.
La neutralité américaine observée ces cinq dernières peut également s'expliquer le rapprochement entre les deux pays, notamment en matière de lutte contre le terrorisme au lendemain des attentats du 11 septembre. Un rapprochement qui s'est concrétisé en 2003 après la visite à Washington du général-major Mohamed Mediene, dit Toufik. Le patron du DRS a réussi à expliquer aux dirigeants américains la situation en Algérie et les convaincre de la nécessité d'une coopération entre les deux pays.
Enfin, les Algériens disposent de puissants relais au sein des lobbys pétroliers américains. Durant les huit années de présidence Bush, ces relais ont su faire le nécessaire à Washington pour détourner les regards officiels sur les insuffisances en matière de démocratie et de droits de l'homme en Algérie. « Il est vrai que ces dernières années, les Américains nous laissent tranquilles. Ils ne se mêlent pas de nos affaires et c'est une bonne chose », reconnaît un haut responsable algérien.
Mais aujourd'hui, une nouvelle administration s'est installée à Washington auprès de laquelle les Algériens manquent cruellement de relais, car Alger n'avait pas anticipé un tel changement aux Etats-Unis. Contrairement à son prédécesseur, Barack Obama est moins proche des lobbys pétroliers. Les Américains s'inquiètent également de la persistance de l'instabilité politique en Algérie, avec comme conséquence probable une montée des mécontentements qui pourrait à terme renforcer les groupes armés islamistes, notamment dans la région du Sahel.
Depuis quelques mois, le pouvoir a multiplié les maladresses : opposition harcelée, presse soumise à de fortes pressions, traitement brutal des protestations sociales...La campagne électorale a été marquée par une violence et une brutalité rarement observées en Algérie. Avant la présidentielle, les autorités s'étaient attelés à s'assurer neutralité bienveillante des partenaires européens, à leur tête la France. Elles ont oublié que l'Amérique avait un peu changé.
TSA
« Nous sommes préoccupés par ces questions (de fraude) et nous souhaitons que le gouvernement y réponde mais pour l'instant, nous ne voyons aucune raison de ne pas croire que nous allons continuer à coopérer avec le président (Bouteflika) pendant son prochain mandat », a déclaré un porte-parole du Département d'Etat (le ministère américain des Affaires étrangères) quelques heures après l'annonce des résultats officiels.
Certes, Washington n'a pas remis en cause la légitimité du scrutin. Un tel geste est rare dans les relations internationales. Il est souvent réservé aux grandes dictatures ou aux pays ennemis des Etats-Unis. Et l'Algérie ni n'est l'un ni l'autre. Mais ces déclarations américaines viennent gâcher une réélection au goût déjà amer. M. Bouteflika a été en effet réélu à l'issue d'un scrutin boudé par l'opposition et les personnalités crédibles.
La déclaration américaine est-elle annonciatrice d'un changement de politique à l'égard de l'Algérie ? Habituellement, Washington se contente de prendre acte du résultat annoncé, sans la commenter. Cette position de neutralité a été surtout vraie durant les deux mandats de George W. Bsuh. Entre 2000 et 2008, le Maghreb ne constituait une priorité pour l'administration américaine, occupée par la lutte contre le terrorisme et son projet d'un nouveau Moyen-Orient.
La neutralité américaine observée ces cinq dernières peut également s'expliquer le rapprochement entre les deux pays, notamment en matière de lutte contre le terrorisme au lendemain des attentats du 11 septembre. Un rapprochement qui s'est concrétisé en 2003 après la visite à Washington du général-major Mohamed Mediene, dit Toufik. Le patron du DRS a réussi à expliquer aux dirigeants américains la situation en Algérie et les convaincre de la nécessité d'une coopération entre les deux pays.
Enfin, les Algériens disposent de puissants relais au sein des lobbys pétroliers américains. Durant les huit années de présidence Bush, ces relais ont su faire le nécessaire à Washington pour détourner les regards officiels sur les insuffisances en matière de démocratie et de droits de l'homme en Algérie. « Il est vrai que ces dernières années, les Américains nous laissent tranquilles. Ils ne se mêlent pas de nos affaires et c'est une bonne chose », reconnaît un haut responsable algérien.
Mais aujourd'hui, une nouvelle administration s'est installée à Washington auprès de laquelle les Algériens manquent cruellement de relais, car Alger n'avait pas anticipé un tel changement aux Etats-Unis. Contrairement à son prédécesseur, Barack Obama est moins proche des lobbys pétroliers. Les Américains s'inquiètent également de la persistance de l'instabilité politique en Algérie, avec comme conséquence probable une montée des mécontentements qui pourrait à terme renforcer les groupes armés islamistes, notamment dans la région du Sahel.
Depuis quelques mois, le pouvoir a multiplié les maladresses : opposition harcelée, presse soumise à de fortes pressions, traitement brutal des protestations sociales...La campagne électorale a été marquée par une violence et une brutalité rarement observées en Algérie. Avant la présidentielle, les autorités s'étaient attelés à s'assurer neutralité bienveillante des partenaires européens, à leur tête la France. Elles ont oublié que l'Amérique avait un peu changé.
TSA
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
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