Moscou alerte Alger contre des tentatives de déstabilisation
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Moscou alerte Alger contre des tentatives de déstabilisation
Moscou alerte Alger contre des tentatives de déstabilisation
Complot. La Russie, amie traditionnelle et sûre de l'Algérie vient d'alerter les autorités algériennes contre des tentatives de forces extérieures tapies dans l'ombre, visant à déstabiliser le pays.
C'est le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, en visite récente à Tunis, qui a mis en garde sur un complot contre l'Algérie, pays qui a échappé au sinistre "printemps arabe", ourdi par des puissances étrangères, et ayant mis à genoux plusieurs pays de la région. Selon Serguei Lavrov, des parties étrangères voulaient "mettre l’Algérie à feu et à sang", en ouvrant "plusieurs fronts près des frontières algériennes depuis la Libye, la Tunisie et le Mali".
Les autorités algériennes ne cessaient depuis quelques années, de sensibiliser l'opinion nationale sur les menaces qui pèsent sur la stabilité du pays, que d'aucuns parmi l'opposition politique algérienne et ses relais médiatiques et de la société civile dénonçaient comme une mise en garde pour se maintenir au pouvoir. Les menaces terroristes contre l'Algérie qui viennent de son environnement immédiat, avec les crises sécuritaires en Libye et au Mali, mais aussi, les complots ouverts entretenus par Rabat sous diverses formes, ne sont pas une vue de l'esprit. Depuis quelques années, des organisations terroristes et des groupes de la criminalité organisée qui leur sont connexes tentent d'introduire en Algérie, à travers nos frontières sud et ouest, des armes lourdes, des explosifs, des munitions, du matériel de guerre, des migrants clandestins parmi lesquels pourraient s'infiltrer des terroristes prêts à agir, des quantités astronomiques de stupéfiants, sont journellement récupérés par les forces de sécurité. Des refuges anciens et récents pour abriter des terroristes et leur logistique diverse sont mis au jour, au nord comme au sud du pays signifiant que des groupes terroristes tentent de se reconstituer dans un but précis. A preuve, les communiqués rendus publics par le ministère de la Défense nationale font état, au cours des 11 premiers jours de février, de la découverte et de la destruction de 24 refuges pour groupes terroristes et de la récupération d'armes de guerre, de munitions et autres objets nécessaires aux activités terroristes.
La même source annonçait l'arrestation et/ou l'élimination de 5 terroristes et l'interception de 176 migrants clandestins aux frontières ouest et sud, en majorité en provenance du Maroc, parmi lesquels pourraient se faufiler des terroristes venus renforcer les groupes résiduels présents dans certaines régions du pays ou rejoignant Daesh en Libye. Parallèlement à ces faits, on assiste à une montée inquiétante d'une engeance minoritaire prônant le salafisme qui sévit dans les mosquées et même dans les médias privés. Le chef de la diplomatie russe a relevé à cet égard, que "les conspirateurs du nouvel ordre mondial établissent leurs plans à base d’une politique d’influence en misant sur les minorités populaires et les réseaux terroristes". L'inquiétude grandit avec la poursuite de la crise politico-sécuritaire en Libye, où la nébuleuse Daesh prend pied et élargit sa présence motivant une intervention de puissances étrangères qui se préparent à mettre à feu et à sang ce pays, sans se préoccuper, comme en Irak et en Syrie, des conséquences sur les pays voisins qui seront les premiers à voir défiler des cohortes de réfugiés et des terroristes se cachant sous ce statut, fuyant les bombes.
D'où le refus des pays voisins de la Libye de voir se réaliser cette aventure, en insistant sur le règlement du conflit libyen par la voie pacifique permettant aux autorités de ce pays de se consacrer à la lutte contre les groupes terroristes en s'appuyant sur la coopération internationale sincère.
A ce sujet, le commissaire à la paix et à la sécurité, l'Algérien Smaïl Chergui, affirmait hier, à un journal africain, que les armes continuaient d’affluer de Libye vers le Mali, et Daesh s’implantait dans ce pays. Il ajoutait à propos d'une intervention militaire qui se prépare en Libye, ceci : «nous voulons qu’un gouvernement soit formé, nous aiderons alors ses forces de sécurité à accomplir elles-mêmes leurs missions.
Nous avons connu l’expérience malheureuse de l’Irak. Faire intervenir une force en Libye serait comme lancer un appel à tous les (terroristes). Ils sont faciles à recruter dans la région». Fin de citation.
Adel Meziane
Complot. La Russie, amie traditionnelle et sûre de l'Algérie vient d'alerter les autorités algériennes contre des tentatives de forces extérieures tapies dans l'ombre, visant à déstabiliser le pays.
C'est le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, en visite récente à Tunis, qui a mis en garde sur un complot contre l'Algérie, pays qui a échappé au sinistre "printemps arabe", ourdi par des puissances étrangères, et ayant mis à genoux plusieurs pays de la région. Selon Serguei Lavrov, des parties étrangères voulaient "mettre l’Algérie à feu et à sang", en ouvrant "plusieurs fronts près des frontières algériennes depuis la Libye, la Tunisie et le Mali".
Les autorités algériennes ne cessaient depuis quelques années, de sensibiliser l'opinion nationale sur les menaces qui pèsent sur la stabilité du pays, que d'aucuns parmi l'opposition politique algérienne et ses relais médiatiques et de la société civile dénonçaient comme une mise en garde pour se maintenir au pouvoir. Les menaces terroristes contre l'Algérie qui viennent de son environnement immédiat, avec les crises sécuritaires en Libye et au Mali, mais aussi, les complots ouverts entretenus par Rabat sous diverses formes, ne sont pas une vue de l'esprit. Depuis quelques années, des organisations terroristes et des groupes de la criminalité organisée qui leur sont connexes tentent d'introduire en Algérie, à travers nos frontières sud et ouest, des armes lourdes, des explosifs, des munitions, du matériel de guerre, des migrants clandestins parmi lesquels pourraient s'infiltrer des terroristes prêts à agir, des quantités astronomiques de stupéfiants, sont journellement récupérés par les forces de sécurité. Des refuges anciens et récents pour abriter des terroristes et leur logistique diverse sont mis au jour, au nord comme au sud du pays signifiant que des groupes terroristes tentent de se reconstituer dans un but précis. A preuve, les communiqués rendus publics par le ministère de la Défense nationale font état, au cours des 11 premiers jours de février, de la découverte et de la destruction de 24 refuges pour groupes terroristes et de la récupération d'armes de guerre, de munitions et autres objets nécessaires aux activités terroristes.
La même source annonçait l'arrestation et/ou l'élimination de 5 terroristes et l'interception de 176 migrants clandestins aux frontières ouest et sud, en majorité en provenance du Maroc, parmi lesquels pourraient se faufiler des terroristes venus renforcer les groupes résiduels présents dans certaines régions du pays ou rejoignant Daesh en Libye. Parallèlement à ces faits, on assiste à une montée inquiétante d'une engeance minoritaire prônant le salafisme qui sévit dans les mosquées et même dans les médias privés. Le chef de la diplomatie russe a relevé à cet égard, que "les conspirateurs du nouvel ordre mondial établissent leurs plans à base d’une politique d’influence en misant sur les minorités populaires et les réseaux terroristes". L'inquiétude grandit avec la poursuite de la crise politico-sécuritaire en Libye, où la nébuleuse Daesh prend pied et élargit sa présence motivant une intervention de puissances étrangères qui se préparent à mettre à feu et à sang ce pays, sans se préoccuper, comme en Irak et en Syrie, des conséquences sur les pays voisins qui seront les premiers à voir défiler des cohortes de réfugiés et des terroristes se cachant sous ce statut, fuyant les bombes.
D'où le refus des pays voisins de la Libye de voir se réaliser cette aventure, en insistant sur le règlement du conflit libyen par la voie pacifique permettant aux autorités de ce pays de se consacrer à la lutte contre les groupes terroristes en s'appuyant sur la coopération internationale sincère.
A ce sujet, le commissaire à la paix et à la sécurité, l'Algérien Smaïl Chergui, affirmait hier, à un journal africain, que les armes continuaient d’affluer de Libye vers le Mali, et Daesh s’implantait dans ce pays. Il ajoutait à propos d'une intervention militaire qui se prépare en Libye, ceci : «nous voulons qu’un gouvernement soit formé, nous aiderons alors ses forces de sécurité à accomplir elles-mêmes leurs missions.
Nous avons connu l’expérience malheureuse de l’Irak. Faire intervenir une force en Libye serait comme lancer un appel à tous les (terroristes). Ils sont faciles à recruter dans la région». Fin de citation.
Adel Meziane
rebelle kabyle- Nombre de messages : 6838
Date d'inscription : 12/02/2011
Re: Moscou alerte Alger contre des tentatives de déstabilisation
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rebelle kabyle- Nombre de messages : 6838
Date d'inscription : 12/02/2011
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