La fierté d´Aokas, les Hommes d´hier.

J'ai récolté quelques informations sur Mr feu Saïdi Abdelhamid: né en 1935 á Aokas (Laazib), beau, fort, instruit, généreux, très bon joueur de foot ( Stoppeur et capitaine d´équipe) et travaillant dans l´épicerie de la famille au centre du village comme couverture car tout de suite conscient du pb révolutionnaire et assoiffé de liberté il avait comme fonction la collecte des fonds, des aliments, vêtements et échange de courriers entre les gens du maquis et famille civil, étant d´une famille de commerçant sa marchandise n’est jamais saisie par l´armée française car ils pensaient que cette dernières était destiner au magasin sauf qu´elles prennaient une autre destination qui est le maquis.
En 1957 après un travail d'approche de certains colons libéraux, un rendez-vous fut pris avec tonnélly (habitant l'ancien siège de la police communale d'Aokas, sur la route du stade dit Azoumbay)
A ce jour on ne sait pas comment l'information est arrivés aux autorités françaises mais le guet à pont était mis en place; en compagnie de Hocine Chabane (Chahid) un révolutionnaire très active et cousin maternelle de Saidi Abdelhamid; ces derniers ayant remarqués la souricière; ils se sont dirigés vers la plage pour faire diversion. mais les militaires n'ont pas étés dupés.
Ils furent arrêtés à la plage, coté tunnel actuel, c’était le mois de juillet 1957. Après ils furent internés au centre de Torno ou ils ont étès soumis à la torture(Gigene, Chifon et agression physique) par les militaires français durant une bonne période, puis comdanner à mort (lieux d´éxcution les montages des Baboor)
Suite à l'intervention de l´ancien officier de l'armée française(2eme guerre mondiale) caid du douar d'Ait slimane, Abdelhamid fut sauver de justesse alors qu´ils prennent le chemin de l´éxcution avec son cousinsauf que Chabane Houcine n´a pas eu cette chance (Chahid).
envoyé au Sud de la France comme prisonier ,système carcéral avec avantage de formation en éducation physique , la quelle est devenue sa profession après la guerre Professeur d´EPS.
Après la France il fût transféré sur la région d’El-Main du côté de du Bordj (Système carcéral) . ou il était instructeur en éducation physique ou il a participer à l´éducation des pauvres petits riverains de cette région durant la journée et emprisonner le soir ou Mr Amirouche (un petit d´el-main) est témoin aujourd´hui.
Durant ma petite récolte d´information j´ai remarquer le grand respect que les gens porte pour ce Monsieur alors qu´il est décédé un 01/09/1990. Après une carrièr dans l´éducation physique et arbitre régional du foot sans parler des milliers de sportifs qu´on commencer à faire du sport avec lui tell: Touati Karim, Bouhdou Mouhamed (Champion d´algérie , arabe du Judo...
Et un témoignage du fameux révolutionnaire aokassien encore vivant Mr Kasri Abdelkader. parlant de Saïdi Abdelhamid comme un FIDAAI. Alors que Saidi Hamid na jamais profiter de ces fameuses penssioncar sa devis était de voir la carte de l´Algerie et non avoir la carte de penssioniste.

Je souhaiterais que les gens d´Aokas puissent nous parler sur nos hommes d´hier pour ne plus jamais les oublier.

A vos plumes mes amis.

Tanemmirt ay Ahbib... un article qui sera publié dans notre future ouvrage sur les personnalités et les personnages d'Aokas...

Merci laazib et je partage la même opinion avec toi "la fierté d'aokas, les hommes d'hier".

je cite de laazib" Alors que Saidi Hamid na jamais profiter de ces fameuses penssioncar sa devis était de voir la carte de l´Algerie et non avoir la carte de penssioniste."

c'est ce que j'appelle la noblesse dans toute sa plénitude