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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» Empty La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Message  moi Mer 7 Jan - 11:53

La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Article | 6. janvier 2015 - 21:24
La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» 06_photo_30543_132502
Ahmed Ben Bella. D. R.
La fille de Ben Bella, Mahdia, vient de rendre public un texte dans lequel elle répond à Saïd Sadi après ses déclarations à Sidi Aïch sur le rôle notamment de son père, mais aussi de Messali El-Hadj et d’Ali Kafi durant la Révolution. «Aucun de tous les responsables de la Révolution, sans exception, n'a pu déceler qu’Ahmed Ben Bella était à la solde de l'Egypte et de la France. Aucun de tous les opposants qui ne partageaient pas sa vision politique, Abane y compris, n'a traité Ahmed Ben Bella d'agent de l'étranger. Et voilà qu'un petit "Colombo", à savoir Saïd Sadi, découvre qu’Ahmed Benbella est un agent à la solde de l'Egypte et de la France», a-t-elle écrit pour répondre à l’ancien président du Rassemblement pour la culture et la démocratie qui fait l’objet d’une information judiciaire suite à ses propos sur les trois figures historiques susmentionnées. Des propos jugés «diffamatoires» par le parquet d’Alger. «Quel scandale !» s’est-elle offusquée. «Je dis à Saïd Sadi, vous n'arriverez jamais à la cheville d’Ahmed Ben Bella», a-t-elle poursuivi. «Si fréquenter les grandes personnalités qui dirigent le monde, et Ahmed Ben Bella en a fréquenté beaucoup, de Guevara à Mandela, sans oublier Abdel Nasser, Mohamed V et Bourguiba, pour ne citer que ceux-là, c'est être un agent d'un pays, alors que dire de Saïd Sadi dont la fréquentation plus que douteuse qu'il entretient avec les gens qui ne cessent de tirer sur notre pays, de le diaboliser et d'essayer de le détruire dans son unité et son entité. Aux Algériens de juger ce comportement et d'en tirer les conclusions», a-t-elle affirmé. Elle considère que la meilleure réponse à Sadi, c’est de rappeler le parcours d’Ahmed Ben Bella. Ainsi, elle indique que son père a été en 1947 conseiller municipal PPA/MTLD de Maghnia, en 1947 membre de l'Organisation secrète (OS) et son responsable pour l'Oranie, en 1949 responsable national de l'Organisation secrète en remplacement de Hocine Aït Ahmed. Elle rappelle son arrestation par les autorités coloniales en 1950 et son évasion connue de tous de la prison de Blida en 1952. Elle indique, en outre, qu’il a rejoint Le Caire en 1952 pour devenir membre du Maghreb arabe comme représentant du PPA/MTLD avec Mohamed Khider et Hocine Aït Ahmed. En 1954, il deviendra membre du Comité révolutionnaire de l'Union et d'action (CRUA). Et le 1er novembre 1954, il annonce sur les ondes de Saout El Arab le déclenchement de la Révolution. «Deux ans plus tard, en août 1956, rappelle-t-elle encore, il a été désigné membre titulaire du Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) au même titre que Ben Boulaïd, Krim et Abane, entre autres». «En octobre 1956, il a été arrêté avec ses compagnons dans l'avion détourné par l'armée française. En août 1957, il a été désigné membre du CNRA et du CEE au même titre que ses compagnons à la prison de la santé ainsi que Abane, entre autres, et en septembre 1958, il devient vice-président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) dans le premier gouvernement». Elle souligne le fait qu’il a été confirmé en tant que vice-président du GPRA dans le deuxième gouvernement en janvier 1960, et dans le troisième en août 1961.
Rafik Meddour
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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» Empty Re: La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Message  moi Mer 7 Jan - 11:53

http://algeriepatriotique.com/article/la-fille-de-benbella-qualifie-les-propos-de-said-sadi-sur-son-pere-de-scandaleux-0
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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» Empty Re: La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Message  moi Mer 7 Jan - 11:54

Par Anonyme (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 9:21
Vous savez de mon temps, seules les personnes d'origines marocaines étaient propulsée pour avoir des bourses d'études en France. En arrivant en France, quand les études sont scientifiques, ces mêmes boursier font une depression nerveuse et n'arrivent pas à suivre ou décrochent vite malgré la bourse et l'absence de problèmes financiers que nous nous avons eu. Nous qui n'avions pas de bourse mis à part la remuneration des stages obligatoire ou pas, nous étions rémunéré une petite misère en été. Nous nous sommes toujours demandé pourquoi nous autres les moins bon parait-il, d’après leur échelle de critères fausse en Algérie arrivions à suivre et à avoir nos unité d'enseignement souvent sans rattrapage tandis-que les autres décrochaient vite et faisaient même une dépression.
Mis à part les études de blablterie, des études non scientifiques, ils ne réussissaient pas, leur proches algériens d'origine marocaine.
Nous avons compris que tout ce clan préparait une pseudo-élite qui était destinée à nous gouverner et à leur succéder.
Par Anonymeamar (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 9:20
Encore une fois vérifier ce n est pas ça fille la famille Ben Bella se réserve le droit de déposse plainte contre pour usurpation d identité est une fille même pas adoptee elle s apelke Rahoui Mahdia nee le 2 novembre 1973 à Tiaret la famille Ben Bella demande que l on cesse de l appelée la fille de Ben Bella c est une menteuse merci de publier.
Par Anonyme (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 9:12
voila un marocain qui a non seulement ruiné le pays voisin l'algerie mais a détourné tout un sendouk tadhamoun et maintenant c'est sa fille adoptive qui défend un homme qui était à la solde de la france et de fethi dib le témoignage du feu bentoui que dieu ait son ame nous suffit
Par rachida (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 9:06
@selecto
Je ne suis pas la personne à qui vous vous adressez, si vous êtes vraiment selecto, je suppose que c’est avec vos propres moyens que vous voyagez mais à quoi ça vous a servi?
Par dadi (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 8:16
comme il a dit
EL DJAZAIRE TAKFINA OUA TAKFIKOUM
c'est a dire elle est a vendre
Par BabElOuedAchouhadas (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 7:49
Le petit "Colombo", à savoir Saïd-Samedi a besoin de se soigner chez ses maitres de fafa avant que son cas ne s'aggrave.
Et dire que je n'ai aucune sympathie ni pour Ben Bella et encore moins pour le clan d'Oujda.
Par Targui (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 6:25
@MegaChkoupi:
Les opinions des autres importent plus que votre pollution. Un lien, ou le nom du site et titre de "l'article" suffiraient. Puis une breve reflection ou perspective pas avance'e par quelqu'un d'autre, si vous en avez une, seraient bien venues. Ce site devient wed al harrach a la fin. J'y vient par respect a son proprietaire, et certains rapporteurs.
Quand aux filles gemissantes, ej suggere a ceux quin'ont pas la patience de parcourir toute la zoubia que certains viennent deposer ici, a coups de copier-coller, qu'un d'un super article a ete' poste' par lecteur anonyme.
Une autre breve sur LeSoir, pose cette questions que je trouve pertinente - l'auteur se fout dans les chaussettes du Dr. Sadi et repond comme suit a la debouka bent bella: "«Moi, je n'ai pas fait de coup d'Etat ! Et si ce bonhomme est si pur que ça, pourquoi le 19 Juin 1965 ?». - voulant dire, que Bouteflika, a bel et bien vide' le ben bella de la presidence avec Boumediene, et puis une 2nde fois, en l'evacuant du Conseil Constitutionnel.Cependant je ne comprends pas pourquoi une mitraillette en Or par les Algeriens et non les Francais. Il n'a jamais tire' une balle en Algerie, mais s'est sacrifie' quand il combattait dans l'uniforme francais en Italie. DeGaule l'a meme medaille' !
Mais d'un point general - je me demande comment ces gens ne se rendent pas compte de la misere et tout le mal que leur parents ont fait, et croient que c'est un droit dont ils sont heritier ! Il est temps de les fournir sur la place publique, les fesses en l'air au drabki, pour une exhibition de la debouka a la facon Maroco-tunisienne. Ces gens, tout comme les Egyptiens (qui ont au moins la franchise de nous le signifier via la JSK et l'Equipe Nationale Algerienne - a moins que les memoires soient passe'es a l'eau de javel) - Bref, durant toute la guerre 54-62 ou la recente, ils ne faisaient que placer leurs pions, pour nous enfoncer au maximum dans le trou noir. Ca fait 14 putains de siecles que ca dure, ya rbkoum... sentez le cafe'...
Rque: Les "Barakat" soutiennent virtuellement les manifestants de In Salah. Ah ! les constantes nationales de l'algerie indivisible, bla bla bla ... Yak. Il nem'est plus possible de dire le moindre mot ou argument devant un Kabyle, a cause de ca justement. Ils etaient 2 millions a braver le pave', contre ce meme regime dont tout le monde se plaint, a cause du prospect de manque de patates...
Maintenant, c'est quelques milliers d'etudiants seuls au milieu de nulle part, comme ce fut le cas des Mzab. Ceux qui n'ont pas encore goute'... ca vous viendra tot ou tard... promis. Pourtant, ce regime, n'a pas de salopes de repressions partout - il lui fallut les transporter d'Alger et d'ailleurs.
Veuillez ne pas me censurer - il n'y a pas la moindre faute, ou fabrication - c'est la verite' et rien que la verite' (so help you god)
Par Raisna-ga3 (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 6:06
@Par MegaPatriotDZ (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 3:06
"il a été le premier ministre de la Justice de l’Algérie indépendante. Après un désaccord avec Ben Bella qui l’a poussé à quitter le gouvernement, il a été interné en compagnie de Farhat Abbas à Adrar."
On comprend pourquoi Bentoumi, parsème son écrit de contre-vérités, lui attribue l’assassinat de Abane ramdane.
Amar Bentoumi écrit " Qu’il se souvienne....Du rôle qu’il a joué dans l’exécution de Abane"
à ma connaissance Ben-bella et ses compagnons ont étés arrêtés le 22 octobre 1956 jusqu'en 1962. Alors comment de sa prison, en France, a t-il joué un rôle dans l’assassinat de abane ramdane en décembre 1957 (sois plus de 14 mois après son arrestation) ?
Tout le monde sait que abane a été exécuté en raison des dispositions politiques qu'il a fait adopter lors du congrès de la soummam (la primauté de l’intérieur sur l’extérieur et du politique sur le militaire, c'est à dire en clair la primauté du politique intérieur sur tout le reste: 'militaire' intérieur, 'militaire' extérieur et 'politique' extérieur.
Par MegaPatriotDZ (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 3:56
Désolé d'avoir posté inutilement un article puisé dans le site du quotidien d'Algérie. Au moment de poster sur le forum d'AP la mise au point d'Amar Bentoumi, la reprise de ce même article par un autre intervenant ("Salay")ne s'affichait pas encore sur le site d'AP. Je ne pouvais donc pas savoir que quelqu'un avait déjà eu la même idée que moi.
Par MegaPatriotDZ (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 3:06
http://lequotidienalgerie.org/2011/05/17/amar-bentoumi-met-a-nu-les-contreverites-de-ben-bella/
Amar Bentoumi met à nu les contrevérités de Ben Bella
Réagissant aux déclarations rapportées par Jeune Afrique
La Tribune Online
16-05-2011
Par Amar Bentoumi
Après les déclarations de Ben Bella à Jeune Afrique, je me dois de rétablir la vérité sur certains faits dont j’ai eu connaissance en ma qualité d’avocat du PPA-MTLD et puis du FLN.
Rôle de Ben Bella au sein de l’Organisation spéciale (OS)
Après avoir mis sur pied l’OS qu’il a dirigée pendant environ une année, Mohamed Belouizded a dû, pour des raisons de santé très graves (tuberculose contractée au cours de la reconstitution du parti (décimé lors des massacres du 8 Mai 1945) dans le Constantinois, cesser ses activités. La commission des Quatre composée de Lahouel ? Lamine Debaghine, Boukadoum et Aït Ahmed, a proposé au Bureau politique Aït Ahmed comme chef de l’OS en remplacement de Belouizded, ainsi que l’adoption d’un découpage territorial en cinq zones calqué sur celui du PPA-MTLD. Ces propositions adoptées, Aït Ahmed prend le commandement de l’OS qu’il a dirigée pendant deux ans durant lesquels il a élaboré les manuels de formation des cadres et des militants, un manuel relatif à l’attitude des militants en cas d’arrestation. Aït Ahmed a mis en place les structures de l’OS et grandement renforcé la logistique que Belouizded a commencé à mettre en place. Ben Bella a été désigné à la tête de la zone de l’Oranie et Mohamed Boudiaf à la tête du Constantinois. L’inspection qui eut lieu, pour établir le bilan avant la réunion du Comité central élargi de Zeddine, fin décembre 1948, a révélé que les résultats obtenus par Boudiaf étaient nettement supérieurs à ceux, plutôt décevants, de Ben Bella. Lors de la crise dite «berbériste» de 1949, Aït Ahmed, soupçonné d’en être l’instigateur, a été écarté de la direction de l’OS. En octobre 1949, Ben Bella a été désigné à la tête de l’état-major de l’OS. Ce qui lui a valu ce poste, en dépit de ses maigres résultats à la tête de l’Oranie, était plutôt ses dix ans passés au sein de l’armée française (1937-1947) et ses «exploits» pendant la Seconde Guerre mondiale, dont il ne cessait de se vanter et qui lui ont valu sa médaille militaire et ses quatre citations. Mais Ben Bella n’est resté à la tête de l’OS que près de sept à huit mois. Le parti avait loué pour Ben Bella un appartement situé au 36, rue Auber-Seger, à Alger, chez une femme européenne. Lorsqu’en mars-avril 1949, la police a commencé à enquêter sur l’affaire de l’OS, le parti a ordonné à Ben Bella de quitter l’appartement en question et de se mettre au vert mais ce dernier a refusé de s’y soumettre, préférant rester en compagnie de Madame Tendière avec qui il entretenait une relation intime. C’est ainsi que Ben Bella a été arrêté en mars 1950 sans opposer aucune résistance et a même remis spontanément à la police son arme – un 7,65 appartenant à l’OS de l’Oranie qu’il a illégalement gardé – qui se trouvait sur la table de nuit de la chambre de la dame qui l’hébergeait. Début mai 1950, Ben Bella est présenté par le commissaire Havard de la PRG au commissaire divisionnaire Costes, qui lui a donné une paire de gifles pour s’être allié à «anti-français» lui disant qu’en raison de ses états de service pendant la Seconde Guerre mondiale, il ne souhaitait pas lui infliger le même traitement que subissaient les autres membres de l’OS, à condition qu’il livre toutes les informations en sa possession. Le commissaire divisionnaire Costes a averti Ben Bella qu’il était informé par Belhadj Djilali (inspecteur général de l’OS) de tout ce qui concerne l’OS et son rôle personnel (celui de Ben Bella, ndlr) et qu’il ne s’avise pas de mentir ou de cacher des informations. Du papier et un crayon ont été remis à Ben Bella installé dans une pièce pour rédiger son «récit». Au bout de quelque temps, Ben Bella frappe à la porte pour demander du papier. C’est dire, selon le jargon policier, qu’il a vidé son sac !Déféré devant le juge d’instruction, il a confirmé ses déclarations faites devant la police et par lesquelles il a dénoncé Saïd Amrani qui l’a remplacé à la tête de l’OS et dont la police ignorait même l’existence. Ben Bella avait livré beaucoup de militants et de cadres dont Khider, Boutelilis, etc. A propos de l’affaire de la poste d’Oran, Ben Bella a écrit dans sa déposition : «S’il me revenait d’autres détails, je ne manquerais pas de vous en faire part ou de les dire au juge d’instruction.» Le juge d’instruction a ordonné son incarcération à la prison de Blida où je lui ai rendu visite en compagnie de Maître Kiouane. Ce dernier a transmis à Ben Bella les instructions fermes du parti qui ordonne à tous les militants détenus de revenir sur leurs déclarations faites à la police, invoquant la torture et dénonçant un complot policier contre le MTLD, parti légal. Dans un premier temps, Ben Bella a catégoriquement refusé d’obtempérer sous prétexte qu’il ne pouvait «se déjuger». Ce n’est qu’après de fortes pressions qu’il a fini par obéir aux instructions du parti et adopter la même attitude que ses codétenus.
Rôle de Ben Bella dans l’affaire de la poste d’Oran
Près de soixante ans après, Ben Bella s’attribue à lui seul les mérites de l’affaire de l’attaque de la poste d’Oran. «L’organisation principale du coup jusqu’au moindre détail, c’est moi», déclare-t-il. C’est une contrevérité et une falsification grossière de l’histoire. Il n’y était pas. Il n’y a pas participé. Sa seule contribution consistait à présenter Bekhti Nemmiche, agent de la poste d’Oran, à Aït Ahmed qui ont étudié le plan des lieux ensemble.
Comment le père de Ben Bella a acquis ses biens à Maghnia
Entre 1952 et 1953, la commune mixte de Maghnia a attaqué en justice la famille Ben Bella, notamment la mère et la sœur de Ahmed Ben Bella, pour les déposséder de leurs biens fonciers et immobiliers. L’objet de cette action en justice était la révocation des concessions accordées au père Ben Bella par la commune de Maghnia pour services rendus à la France. Ces concessions consistaient en un caravansérail qui servait d’écurie et de fondouk, des terrains agricoles et des vergers d’oliviers et divers arbres fruitiers. Cette action en justice a été engagée contre la famille Ben Bella pour se venger de son fils Ahmed après son évasion de la prison de Blida. Le tribunal de grande instance de Tlemcen qui a cité à comparaître la mère, la sœur et par défaut Ahmed Ben Bella, a donné raison à la commune de Maghnia et a ordonné la dépossession des Ben Bella et leur expulsion y compris de la maison où ils habitaient. J’ai été chargé par le parti de m’occuper de cette affaire qui n’avait aucun rapport direct avec la répression et j’ai introduit un appel auprès de la cour d’Alger où je me suis présenté pour défendre les intérêts de madame Ben Bella et de sa fille et implicitement de Ahmed Ben Bella. A la veille du déclenchement de la guerre de Libération nationale, j’ai plaidé cette affaire devant la cour d’Alger et j’ai fait infirmer la décision du tribunal de Tlemcen. La question qui se pose en fin de compte, pourquoi ce Marocain qu’était le père de Ben Bella, a-t-il obtenu des autorités coloniales de pareilles concessions ? Je n’ai pas trouvé de réponse immédiatement. Plus tard, lors de ma détention au Sud, ordonnée par le même Ben Bella, un compagnon de détention, en l’occurrence Bensoltane, natif de Maghnia et militant de la première heure du PPA, m’avait dit qu’il a su que cette récompense dont a bénéficié le père de Ben Bella après l’avoir fait quitter le Maroc pour le protéger, était le résultat des trahisons et des crimes qu’il avait commis au Maroc. Le père de Ben Bella a donc été récompensé parce qu’il a trahi son peuple marocain, sa patrie et son roi. C’est ça la marocanité héréditaire de Monsieur Ahmed Ben Bella. Par ailleurs, j’ai une question à poser à Monsieur Ben Bella même si j’ai, en partie, la réponse. Que sont devenus les bijoux collectés dans le cadre du Fonds de solidarité (Soundoq ettadhamoun), au début de l’indépendance et qui s’estimaient à des quintaux, si ce n’est à des tonnes d’or et d’argent dont les femmes algérienne se sont dépouillées pour se parer de la liberté retrouver et aider l’économie algérienne à prendre son essor ? Une partie de ce fonds a été retrouvée à la Villa Jolie, où des sacs de bijoux étaient entassés dans des pièces jusqu’au plafond. Et c’est Ben Bella qui les y avait déposés. L’inventaire de ce qui a été retrouvé a été établi officiellement après le coup d’Etat du 19 juin 1965, par le président de la Cour suprême de l’époque et par son procureur général respectivement Benbahmed et Maître Mostafaï El Hadi. Des sacs pleins de devises ont été également retrouvés à la Villa Jolie, car Monsieur Ben Bella puisait comme bon lui semblait dans le fonds de devises de la Banque centrale pour distribuer l’argent selon ses humeurs. La question reste posée : où est passé le reste de Soundouq ettadhamoun et qu’en a-t-il fait ?
A propos du déclenchement du 1er Novembre
Là aussi Ben Bella dit : «Le 1er Novembre, c’est moi.» Une autre ignominie. Car tout le monde sait que le 1er Novembre n’a pas été décidé au Caire où s’était réfugié Ben Bella, mais en Algérie. Tout le monde sait aussi le rôle joué par Boudiaf, Taïeb El Watani, dans la préparation du déclenchement de la guerre de Libération nationale. Sans Boudiaf, sans les démarches qu’il a entreprises, sans l’aide qu’il a reçue de la part d’un nombre réduit de militants dont Didouche, la réunion des 22 n’aurait jamais pu avoir lieu. Le principe d’une action armée a été décidé lors de la réunion des 22 à laquelle Ben Bella n’a pas participé, parce qu’il ne pouvait pas y être puisqu’il était au Caire. L’assemblée des 22 a mandaté les Cinq auxquels s’était joint Krim Belkacem pour devenir le comité des Six qui s’est réuni chez Mourad Boukchoura à Bologhine et a décidé de la date du 1er Novembre pour lancer l’insurrection. Donc, Ben Bella n’a pas participé à cette décision et, à ce titre, ne peut prétendre que le 1er Novembre, c’était lui. Mieux encore, Ben Bella n’a pas assisté à la création du CRUA dont le véritable artisan était Boudiaf qui en a eu le financement grâce à Lahouel et dont l’organe central, Le Patriote, était dirigé par Salah Louanchi et tiré et distribué à partir du local des SMA, à la Pêcherie. Ben Bella n’y est pour rien dans cet épisode glorieux. Ben Bella était plutôt à l’origine de l’arrestation au Caire de Lagha, président des SMA. D’ailleurs, au Caire, Ben Bella était l’agent de Fethi Dib, chef des services secrets égyptiens. Quand Lahouel Hocine est arrivé en novembre 1954 au Caire, en compagnie de Mhamed Yazid pour discuter de l’ouverture de la représentation du MTLD à l’extérieur et dont le chef était Mohamed Khider, il s’est indigné du fait que ses interlocuteurs soient des éléments des Moukhabaret. Lahouel a refusé de dialoguer avec la police égyptienne et a exigé qu’il soit reçu par un niveau politique supérieur. Lahouel avait déclaré alors : «Nous sommes un parti politique, nous exigeons de discuter avec des autorités politiques.» Ce coup de gueule de Lahouel contre les Egyptiens et Ben Bella a valu au leader centraliste l’ire du Caire ce qui l’avait contraint à se réfugier en Allemagne puisqu’en Algérie, la révolution avait déjà commencé.
Le rôle de Ben Bella dans la révolution
Khider était le premier à se réfugier au Caire lors du démantèlement de l’OS et après la levée de son immunité parlementaire. Le MTLD lui avait alors demandé de se rendre aux autorités coloniales, mais Khider a refusé et avec l’aide de M’hamed Yazid, il s’est rendu en Suisse avant de rejoindre le Caire. Aït Ahmed, en sa qualité d’ancien responsable de l’OS et craignant d’être arrêté, le parti lui ordonna de quitter l’Algérie et de se rendre au Caire. Enfin, et après son évasion organisée par le parti, Ben Bella était le troisième à rallier le Caire.Il est exact que Ben Bella a fait partie du Bureau du PPA au Caire. Il est tout aussi exact, à l’instar des autres membres du Bureau du Caire, Mohamed Khider et Hocine Aït Ahmed, il a opté pour le FLN. A ce titre, chacun des trois membres de la délégation du FLN à l’extérieur avant d’être rejoint par Boudiaf, était chargé d’une mission : Khider était chargé des questions politiques. A ce titre, il a été contacté par la SFIO pour tenter d’entrer en contact avec le FLN et engager des négociations. Aït Ahmed était chargé des relations internationales qui, assisté de M’hamed Yazid, a représenté le FLN lors de la conférence des non-alignés à Bandong. C’est toujours Aït Ahmed qui représentait l’Algérie aux Nations Unies jusqu’à son arrestation. Ben Bella était chargé de pourvoir les maquis en armes. De 1954 à 1955, aucune arme n’a été fournie par Ben Bella aux maquis, ce qui a poussé Benboulaïd à puiser dans ses propres fonds dans l’espoir de se rendre en Libye pour acheter des armes. C’est d’ailleurs lors de son périple à pied vers la Libye qu’il a été arrêté aux frontières tunisiennes. En 1956, la situation n’a pas changé et le bilan de Ben Bella était négatif. C’est pour cette raison que Larbi Ben M’hidi a pris le risque de se rendre au Caire où il a eu une discussion orageuse avec Ben Bella à propos de sa mission qu’il n’a pas remplie. Dès son retour, en Algérie, Ben M’hidi a rendu compte de sa mission au Caire à Abane.
Le Congrès de la Soummam
Ben Bella prétend qu’il a été empêché par Abane d’assister au Congrès de la Soummam. Ben Bella oublie de dire qu’il voulait que le Congrès se tienne à San Remo, situé à la frontière franco-italienne, ce qui constituait un risque sérieux pour la sécurité de la direction de la Révolution. Ben Bella était alors à Madrid. Il a envoyé à San Remo Khider pour la délégation de l’extérieur et Doum pour la Fédération FLN de France. Pour Abane, il n’était pas question de tenir le congrès ailleurs qu’en Algérie aussi bien pour des raisons de symbolique politique que pour des raisons sécuritaires. Au-delà de ces considérations, le Congrès concerne, en premier lieu, ceux qui étaient à l’intérieur et qui affrontaient l’ennemi militairement et politiquement. Pour mémoire, le Congrès devait se tenir dans un autre endroit que la région d’Ifri mais toujours dans la Kabylie. Ce lieu a été bombardé. Pour rappel aussi, Zighoud Youcef avait proposé la tenue du Congrès dans le Nord constantinois.
A propos du «cinéma» vestimentaire de Messali Hadj
Monsieur Ben Bella ! L’accoutrement de Massali Hadj, à savoir sa chéchia, sa gandoura, son burnous et sa canne, avait un sens identitaire qui le différenciait des colonialistes qu’il combattait. Cette façon de s’habiller n’était ni excentrique ni fantasmagorique. Elle faisait partie de la dimension politique de l’homme qu’était Messali. Elle avait une valeur aux yeux du peuple. Par cet accoutrement, Messali affirmait la personnalité algérienne. Quant à la barbe qui le caractérisait depuis son engagement politique, Messali a juré de ne la raser qu’après l’indépendance. Pourquoi Ben Bella ne parle-t-il pas du charisme de Messali, de sa verve et son talent de tribun hors pair et de sa foi inébranlable en l’indépendance du pays ? Il a résisté à tout le monde et aujourd’hui on présente les Oulémas comme des révolutionnaires à l’origine de l’indépendance. C’est une autre monstruosité et une falsification éhontée de l’histoire. Le père du nationalisme algérien est bel et bien Messali Hadj. Cependant, il mérite d’être condamné pour ses choix à la veille du 1er Novembre 1954, pour le sang qu’il a fait verser entre les Algériens, pour sa mégalomanie, oui l’histoire le jugera. Mais jusqu’à la création du CRUA, Messali a été le représentant du nationalisme algérien. Lorsque Messali a commencé à parler de la présidence à vie du parti, de pleins pouvoirs, il s’est mis sur le banc des accusés et le peuple a tranché le 1er Novembre et en 1956 en choisissant le FLN contre le MNA. C’est cet épisode que Ben Bella aurait dû aborder et non l’aspect vestimentaire d’un homme qui a réussi à imposer le fait national algérien et l’idée de l’indépendance alors que les assimilationnistes étaient légion au sein du mouvement national. En tout état de cause, Ben Bella est mal placé pour critiquer le culte de la personnalité de Messali Hadj et de sa folie des grandeurs. N’a-t-il pas fait pire quand il était président de la République ? Je me souviens d’une réunion du gouvernement qu’il a présidée après son retour d’un voyage en Guinée. Il n’a pas cessé de parler du «cinéma» de l’accueil qui lui a été réservé. Il jubilait au point de regretter qu’en Algérie, ce genre de «cinéma» n’existait pas. Enfin, je tiens à dire que Ben Bella est responsable de la fin tragique de beaucoup de héros de la Révolution. Qu’il se souvienne, lui qui n’a pas tiré un coup de feu durant les sept ans et demi de la Révolution, de sa décision d’exécuter Chaâbani, chef de la wilaya, colonel de l’ALN de l’intérieur. Du rôle qu’il a joué dans l’exécution de Abane et j’en passe.
Les trahisons de Ben Bella
Pour finir, je tiens à dévoiler un fait que Khider m’a raconté. Khider a soutenu Ben Bella après un accord commun. L’un et l’autre visaient le pouvoir. L’un et l’autre avaient ses raisons. A ce titre, ils s’étaient entendus de se partager le pouvoir. Khider espérait en fait être président de la République à titre honorifique et Ben Bella chef du gouvernement avec les pleins pouvoirs de l’exécutif. Pour Khider, Ben Bella était jeune, il avait tout l’avenir devant lui. Donc Khider espérait faire un mandat à la tête du pays avant de se retirer dans une ferme à Douéra pour finir sa vie. Ben Bella est venu d’Oran à Alger où les armées de la Wilaya IV régnaient en maîtres. Lors d’une réunion de nuit chez Rabah Bitat, en présence de Khider, de Bousmaha, de Lakhdar Bouragaâ, de Boumaâza et de moi-même, il a été dit à Khider qu’il était le bienvenu, mais Ben Bella n’avait pas intérêt à venir à Alger. Les responsables de la Wilaya IV ont informé Khider qu’ils ne voulaient ni de Ben Bella ni de Boumediene même comme députés. C’est Khider qui a fait venir Ben Bella clandestinement à Alger et c’est Fares qui l’a hébergé dans une villa à Rocher-Noir, à Boumerdes, un hélicoptère était prêt à l’évacuer en cas de besoin. Plus tard, Fares, le commandant Azzedine, moi et d’autres avons été mis en résidence surveillée. Lors de la réunion des cadres du parti tenue au lycée Amara-Rachid, tous les commissaires politiques, à l’exception de Mostghalmi, se sont engagés à reprendre les armes pour empêcher Ben Bella de prendre le pouvoir. Ben Bella, ayant été informé par Mostghalmi de ce qui se tramait, a quitté Alger pour Oran. Ben Bella a fait intervenir l’ambassadeur d’Egypte à Alger pour trouver un arrangement avec Khider à qui il a demandé de s’éclipser pendant six mois, et à son retour, l’engagement pris pour le partage du pouvoir sera respecté. A son retour, Khider a compris le jeu de celui qu’il considérait comme son fils. Ben Bella a trahi tous ceux qui l’ont aidé, y compris Khider. Sur le plan intellectuel, Ben Bella n’a aucune honnêteté. J’ai travaillé avec lui et je sais de quoi je parle. Il s’approprie les idées des autres en les étalant dans les journaux. Entre 1956 et 1962, il a été emprisonné sans se donner la peine d’améliorer son français. Entre 1965 et 1982, date de sa libération par Chadli, il n’a fait aucun effort pour apprendre l’arabe classique, lui qui se dit arabe. Aujourd’hui, Ben Bella verse, à travers son délire, dans la désinformation et le détournement de l’histoire. C’est pour cette raison que j’ai tenu à lui répondre car le devoir de mémoire m’est imposé comme il s’impose à tous les témoins vivants de notre histoire. Je suis en train d’écrire pour dire et rétablir les vérités telles que vécues. Nul n’a le droit de se taire sur la falsification de l’histoire qui est le patrimoine de tous les Algériens.
A. B.
*Amar Bentoumi a été avocat du PPA-MTLD
de 1947 à 1954, puis avocat du FLN jusqu’en 1962. Député de Constantine à l’Assemblée constituante, il a été le premier ministre de la Justice de l’Algérie indépendante. Après un désaccord avec Ben Bella qui l’a poussé à quitter le gouvernement, il a été interné en compagnie de Farhat Abbas à Adrar.
Ancien bâtonnier d’Alger.
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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» Empty Re: La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Message  moi Mer 7 Jan - 11:55

Par Anonyme (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 0:50
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:43
le FIS dissout revient sous un autre visage ? vous n'etes pas aptes a gouverner un pays grand comme l'Algerie, vous etes tellement petits que vous ne pouvez meme pas diriger une APC, alors degagez !
Par Anonyme (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 0:43
Par BISON (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:33
votre argumentation est faible sahbi.
bhl est le virus ou la ou il passe, le vent de la destruction s'en suit et c'est chose connue de tous aujourd'hui : Kossovo, afghanistan, serbie, libye...donc vouloir ommetre cette cause a effet revient a s'enfoncer davantage dans l'irresponsabilite. pourquoi ce bhl ne rencontre jamais les gens qui sont pour l'unite de leur nations et va toujours a la chasse des prebis galeuses comme votre said le kabyle (donc le vrai algerien pour vous) ? ce said a de la rancune pour ce peuple et c'est ce qui explique son acharnement ces derniers temps. votre said l'a dit lui meme le lendemain de sa defaite " je me suis trompe de societe ! " disait il, alors qu'il laisse cette societe et qu'il aille vivre dans celle ou il passe la majorite de son temps au point de devenir un ami de bhl (c'est bhl lui meme qui le dit d'ailleurs)
Par Ahmed/RAIS/Anonyme (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 0:17
Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:09
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Allez svp sur le lien pour voir des documents originaux sur les grades qu'a obtenu Benbella dans l'armée française. Benbella le marocain était dans son rôle de mercenaire au service de la France qui l'a propulsé à la tête de l'Algérie. La fille de Benbella a ouvert la boite de pandore à propos du traitre qu'était son père.
.
http://www.hoggar.org/index.php?option=com_content&view=article&id=1172:le-tirailleur-marocain-ben-bella-linfiltre-du-fln&catid=100:lounes-saad&Itemid=36
________
- CE SITE "HOGGAR. ORG" que tu cites est dirigé depuis la Suisse par AROUA ex-militant du FIS. Il est l'un des fondateur de RACHDA TV du FIS, soutenu par le Qatar, qui émet de Londres. AP en parle souvent et les commentateurs aussi.
- LOUNES SAAD on en a parlé aussi sur ce site à plusieurs reprises. C’est un «grand patriote», dont on a cité un passage d’un de ses articles où il défend les intérêts de la monarchie marocaine et non ceux de l’Algérie.
Je vous donne un autre passage de ce « patriote »: «Le clan d’Oujda au pouvoir à Alger refuse toujours d’ouvrir la frontière terrestre fermée depuis août 1994, malgré les multiples demandes du gouvernement marocain. Aucune explication de rationalité politique, diplomatique, économique ou sociale ne peut justifier la persistance d’un tel refus. C’est d’autant plus incompréhensible que la majorité des membres du clan d’Oujda sont originaires du Maroc et que la monarchie alaouite a grandement soutenu la guerre de libération nationale et leur accession au pouvoir en 1962.»
Donc ta référence et tout ce qu’ils disent ces cocos c’est de la grosse M…DE !!
Par Yacine (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 0:12
Ben bella c'est pire qu'un agent égyptien...c'est un marocain !!!
Par selecto (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 0:05
@Par rachida (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:18
RAIS la balance, toujours avec ton malhonnêteté intellectuelle, tu as bien lu à la fin de poste que c'était pas pour défendre Said Sadi.
Quand aux lieux cités c'est une autre histoire car tu ne pourras jamais visiter le nombre de pays que j'ai visité dans ma vie, je précise avec mes propres moyens.
Par sindbad el watani (non vérifié) | 7. janvier 2015 - 0:00
j'estime que ces gens n'ont fait que leur devoir pour sauver leur pays des monstres terroristes. Si les français trouvent qu'ils ont eu tort, alors comment pourraient ils expliquer la lutte antiterroriste qu'ils mènent contre les mouvements terroristes au Mali (qu'ils ont contribué à créer à partir de la LIBYE et ailleurs) et où ils ont recours à la torture et à la gégène sans que personne ne leur demande de comptes. La loi du plus fort, quoi !
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:59
Les messalistes ont bien existé et certains sont encore vivant !
Il y a eu un certain 19 juin 1965 ,avec le redressement révolutionnaire !!
Qui de Ben Bella ou de Boumédiene est fautive ?
Dommage que l'Algérie tombe si bas pour donner des quitus de héros à des traîtres de tout bord !!Mais l'Histoire est implacable ,un traître restera un traître pour les siècles des siècles !
Par Ahmed/RAIS/Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:58
« Sadi, découvre qu’Ahmed Benbella est un agent à la solde de l'Egypte et de la France »
_
BHL « ennemi » des arabes et des musulmans
BHL a réussi un « printemps arabe» en Libye
BHL encourage un « printemps arabe» en Syrie
BHL dit « C’est en tant que juif que j’ai participé .......à cette aventure politique, que j’ai contribué à .......définir des fronts militants, que j’ai contribué à .......élaborer pour mon pays et pour un autre pays une .......stratégie et des tactiques. Je ne l’aurais pas fait si .......je n’avais pas été juif »
BHL veut un « printemps arabe» aussi en Algérie
Saïd SADI entame ses protestations, qui ont échoué, .......dans la rue, à Alger, tous les samedis. On lui inflige .......le sobriquet « Saïd samedi »
Saïd Sadi « AMI » de BHL , le rencontre souvent et .......pose avec lui
Saïd SADI est donc AMI d’un sioniste ennemi de .......l’Algérie, des arabes et des musulmans
Saïd SADI est par conséquent un « Grand .......Patriote» plus queMessali Hadj etAhmed .......Ben Bella ou Ali Kafi
Par salay (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:52
Mme l’héritière d'Ahmed BENBELLA, je vous souhaite une bonne et heureuse lecture dans cet article écrit par un militant de la cause nationale qui fut l'avocat de votre père (adoptif )et aussi de ses parents...
Amar Bentoumi met à nu les contrevérités de Ben Bella
Réagissant aux déclarations rapportées par Jeune Afrique
La Tribune Online
16-05-2011
Par Amar Bentoumi*
Après les déclarations de Ben Bella à Jeune Afrique, je me dois de rétablir la vérité sur certains faits dont j’ai eu connaissance en ma qualité d’avocat du PPA-MTLD et puis du FLN.
Rôle de Ben Bella au sein de l’Organisation spéciale (OS)
Après avoir mis sur pied l’OS qu’il a dirigée pendant environ une année, Mohamed Belouizded a dû, pour des raisons de santé très graves (tuberculose contractée au cours de la reconstitution du parti (décimé lors des massacres du 8 Mai 1945) dans le Constantinois, cesser ses activités. La commission des Quatre composée de Lahouel ? Lamine Debaghine, Boukadoum et Aït Ahmed, a proposé au Bureau politique Aït Ahmed comme chef de l’OS en remplacement de Belouizded, ainsi que l’adoption d’un découpage territorial en cinq zones calqué sur celui du PPA-MTLD. Ces propositions adoptées, Aït Ahmed prend le commandement de l’OS qu’il a dirigée pendant deux ans durant lesquels il a élaboré les manuels de formation des cadres et des militants, un manuel relatif à l’attitude des militants en cas d’arrestation. Aït Ahmed a mis en place les structures de l’OS et grandement renforcé la logistique que Belouizded a commencé à mettre en place. Ben Bella a été désigné à la tête de la zone de l’Oranie et Mohamed Boudiaf à la tête du Constantinois. L’inspection qui eut lieu, pour établir le bilan avant la réunion du Comité central élargi de Zeddine, fin décembre 1948, a révélé que les résultats obtenus par Boudiaf étaient nettement supérieurs à ceux, plutôt décevants, de Ben Bella. Lors de la crise dite «berbériste» de 1949, Aït Ahmed, soupçonné d’en être l’instigateur, a été écarté de la direction de l’OS. En octobre 1949, Ben Bella a été désigné à la tête de l’état-major de l’OS. Ce qui lui a valu ce poste, en dépit de ses maigres résultats à la tête de l’Oranie, était plutôt ses dix ans passés au sein de l’armée française (1937-1947) et ses «exploits» pendant la Seconde Guerre mondiale, dont il ne cessait de se vanter et qui lui ont valu sa médaille militaire et ses quatre citations. Mais Ben Bella n’est resté à la tête de l’OS que près de sept à huit mois. Le parti avait loué pour Ben Bella un appartement situé au 36, rue Auber-Seger, à Alger, chez une femme européenne. Lorsqu’en mars-avril 1949, la police a commencé à enquêter sur l’affaire de l’OS, le parti a ordonné à Ben Bella de quitter l’appartement en question et de se mettre au vert mais ce dernier a refusé de s’y soumettre, préférant rester en compagnie de Madame Tendière avec qui il entretenait une relation intime. C’est ainsi que Ben Bella a été arrêté en mars 1950 sans opposer aucune résistance et a même remis spontanément à la police son arme – un 7,65 appartenant à l’OS de l’Oranie qu’il a illégalement gardé – qui se trouvait sur la table de nuit de la chambre de la dame qui l’hébergeait. Début mai 1950, Ben Bella est présenté par le commissaire Havard de la PRG au commissaire divisionnaire Costes, qui lui a donné une paire de gifles pour s’être allié à «anti-français» lui disant qu’en raison de ses états de service pendant la Seconde Guerre mondiale, il ne souhaitait pas lui infliger le même traitement que subissaient les autres membres de l’OS, à condition qu’il livre toutes les informations en sa possession. Le commissaire divisionnaire Costes a averti Ben Bella qu’il était informé par Belhadj Djilali (inspecteur général de l’OS) de tout ce qui concerne l’OS et son rôle personnel (celui de Ben Bella, ndlr) et qu’il ne s’avise pas de mentir ou de cacher des informations. Du papier et un crayon ont été remis à Ben Bella installé dans une pièce pour rédiger son «récit». Au bout de quelque temps, Ben Bella frappe à la porte pour demander du papier. C’est dire, selon le jargon policier, qu’il a vidé son sac !Déféré devant le juge d’instruction, il a confirmé ses déclarations faites devant la police et par lesquelles il a dénoncé Saïd Amrani qui l’a remplacé à la tête de l’OS et dont la police ignorait même l’existence. Ben Bella avait livré beaucoup de militants et de cadres dont Khider, Boutelilis, etc. A propos de l’affaire de la poste d’Oran, Ben Bella a écrit dans sa déposition : «S’il me revenait d’autres détails, je ne manquerais pas de vous en faire part ou de les dire au juge d’instruction.» Le juge d’instruction a ordonné son incarcération à la prison de Blida où je lui ai rendu visite en compagnie de Maître Kiouane. Ce dernier a transmis à Ben Bella les instructions fermes du parti qui ordonne à tous les militants détenus de revenir sur leurs déclarations faites à la police, invoquant la torture et dénonçant un complot policier contre le MTLD, parti légal. Dans un premier temps, Ben Bella a catégoriquement refusé d’obtempérer sous prétexte qu’il ne pouvait «se déjuger». Ce n’est qu’après de fortes pressions qu’il a fini par obéir aux instructions du parti et adopter la même attitude que ses codétenus.
Rôle de Ben Bella dans l’affaire de la poste d’Oran
Près de soixante ans après, Ben Bella s’attribue à lui seul les mérites de l’affaire de l’attaque de la poste d’Oran. «L’organisation principale du coup jusqu’au moindre détail, c’est moi», déclare-t-il. C’est une contrevérité et une falsification grossière de l’histoire. Il n’y était pas. Il n’y a pas participé. Sa seule contribution consistait à présenter Bekhti Nemmiche, agent de la poste d’Oran, à Aït Ahmed qui ont étudié le plan des lieux ensemble.
Comment le père de Ben Bella a acquis ses biens à Maghnia
Entre 1952 et 1953, la commune mixte de Maghnia a attaqué en justice la famille Ben Bella, notamment la mère et la sœur de Ahmed Ben Bella, pour les déposséder de leurs biens fonciers et immobiliers. L’objet de cette action en justice était la révocation des concessions accordées au père Ben Bella par la commune de Maghnia pour services rendus à la France. Ces concessions consistaient en un caravansérail qui servait d’écurie et de fondouk, des terrains agricoles et des vergers d’oliviers et divers arbres fruitiers. Cette action en justice a été engagée contre la famille Ben Bella pour se venger de son fils Ahmed après son évasion de la prison de Blida. Le tribunal de grande instance de Tlemcen qui a cité à comparaître la mère, la sœur et par défaut Ahmed Ben Bella, a donné raison à la commune de Maghnia et a ordonné la dépossession des Ben Bella et leur expulsion y compris de la maison où ils habitaient. J’ai été chargé par le parti de m’occuper de cette affaire qui n’avait aucun rapport direct avec la répression et j’ai introduit un appel auprès de la cour d’Alger où je me suis présenté pour défendre les intérêts de madame Ben Bella et de sa fille et implicitement de Ahmed Ben Bella. A la veille du déclenchement de la guerre de Libération nationale, j’ai plaidé cette affaire devant la cour d’Alger et j’ai fait infirmer la décision du tribunal de Tlemcen. La question qui se pose en fin de compte, pourquoi ce Marocain qu’était le père de Ben Bella, a-t-il obtenu des autorités coloniales de pareilles concessions ? Je n’ai pas trouvé de réponse immédiatement. Plus tard, lors de ma détention au Sud, ordonnée par le même Ben Bella, un compagnon de détention, en l’occurrence Bensoltane, natif de Maghnia et militant de la première heure du PPA, m’avait dit qu’il a su que cette récompense dont a bénéficié le père de Ben Bella après l’avoir fait quitter le Maroc pour le protéger, était le résultat des trahisons et des crimes qu’il avait commis au Maroc. Le père de Ben Bella a donc été récompensé parce qu’il a trahi son peuple marocain, sa patrie et son roi. C’est ça la marocanité héréditaire de Monsieur Ahmed Ben Bella. Par ailleurs, j’ai une question à poser à Monsieur Ben Bella même si j’ai, en partie, la réponse. Que sont devenus les bijoux collectés dans le cadre du Fonds de solidarité (Soundoq ettadhamoun), au début de l’indépendance et qui s’estimaient à des quintaux, si ce n’est à des tonnes d’or et d’argent dont les femmes algérienne se sont dépouillées pour se parer de la liberté retrouver et aider l’économie algérienne à prendre son essor ? Une partie de ce fonds a été retrouvée à la Villa Jolie, où des sacs de bijoux étaient entassés dans des pièces jusqu’au plafond. Et c’est Ben Bella qui les y avait déposés. L’inventaire de ce qui a été retrouvé a été établi officiellement après le coup d’Etat du 19 juin 1965, par le président de la Cour suprême de l’époque et par son procureur général respectivement Benbahmed et Maître Mostafaï El Hadi. Des sacs pleins de devises ont été également retrouvés à la Villa Jolie, car Monsieur Ben Bella puisait comme bon lui semblait dans le fonds de devises de la Banque centrale pour distribuer l’argent selon ses humeurs. La question reste posée : où est passé le reste de Soundouq ettadhamoun et qu’en a-t-il fait ?
A propos du déclenchement du 1er Novembre
Là aussi Ben Bella dit : «Le 1er Novembre, c’est moi.» Une autre ignominie. Car tout le monde sait que le 1er Novembre n’a pas été décidé au Caire où s’était réfugié Ben Bella, mais en Algérie. Tout le monde sait aussi le rôle joué par Boudiaf, Taïeb El Watani, dans la préparation du déclenchement de la guerre de Libération nationale. Sans Boudiaf, sans les démarches qu’il a entreprises, sans l’aide qu’il a reçue de la part d’un nombre réduit de militants dont Didouche, la réunion des 22 n’aurait jamais pu avoir lieu. Le principe d’une action armée a été décidé lors de la réunion des 22 à laquelle Ben Bella n’a pas participé, parce qu’il ne pouvait pas y être puisqu’il était au Caire. L’assemblée des 22 a mandaté les Cinq auxquels s’était joint Krim Belkacem pour devenir le comité des Six qui s’est réuni chez Mourad Boukchoura à Bologhine et a décidé de la date du 1er Novembre pour lancer l’insurrection. Donc, Ben Bella n’a pas participé à cette décision et, à ce titre, ne peut prétendre que le 1er Novembre, c’était lui. Mieux encore, Ben Bella n’a pas assisté à la création du CRUA dont le véritable artisan était Boudiaf qui en a eu le financement grâce à Lahouel et dont l’organe central, Le Patriote, était dirigé par Salah Louanchi et tiré et distribué à partir du local des SMA, à la Pêcherie. Ben Bella n’y est pour rien dans cet épisode glorieux. Ben Bella était plutôt à l’origine de l’arrestation au Caire de Lagha, président des SMA. D’ailleurs, au Caire, Ben Bella était l’agent de Fethi Dib, chef des services secrets égyptiens. Quand Lahouel Hocine est arrivé en novembre 1954 au Caire, en compagnie de Mhamed Yazid pour discuter de l’ouverture de la représentation du MTLD à l’extérieur et dont le chef était Mohamed Khider, il s’est indigné du fait que ses interlocuteurs soient des éléments des Moukhabaret. Lahouel a refusé de dialoguer avec la police égyptienne et a exigé qu’il soit reçu par un niveau politique supérieur. Lahouel avait déclaré alors : «Nous sommes un parti politique, nous exigeons de discuter avec des autorités politiques.» Ce coup de gueule de Lahouel contre les Egyptiens et Ben Bella a valu au leader centraliste l’ire du Caire ce qui l’avait contraint à se réfugier en Allemagne puisqu’en Algérie, la révolution avait déjà commencé.
Le rôle de Ben Bella dans la révolution
Khider était le premier à se réfugier au Caire lors du démantèlement de l’OS et après la levée de son immunité parlementaire. Le MTLD lui avait alors demandé de se rendre aux autorités coloniales, mais Khider a refusé et avec l’aide de M’hamed Yazid, il s’est rendu en Suisse avant de rejoindre le Caire. Aït Ahmed, en sa qualité d’ancien responsable de l’OS et craignant d’être arrêté, le parti lui ordonna de quitter l’Algérie et de se rendre au Caire. Enfin, et après son évasion organisée par le parti, Ben Bella était le troisième à rallier le Caire.Il est exact que Ben Bella a fait partie du Bureau du PPA au Caire. Il est tout aussi exact, à l’instar des autres membres du Bureau du Caire, Mohamed Khider et Hocine Aït Ahmed, il a opté pour le FLN. A ce titre, chacun des trois membres de la délégation du FLN à l’extérieur avant d’être rejoint par Boudiaf, était chargé d’une mission : Khider était chargé des questions politiques. A ce titre, il a été contacté par la SFIO pour tenter d’entrer en contact avec le FLN et engager des négociations. Aït Ahmed était chargé des relations internationales qui, assisté de M’hamed Yazid, a représenté le FLN lors de la conférence des non-alignés à Bandong. C’est toujours Aït Ahmed qui représentait l’Algérie aux Nations Unies jusqu’à son arrestation. Ben Bella était chargé de pourvoir les maquis en armes. De 1954 à 1955, aucune arme n’a été fournie par Ben Bella aux maquis, ce qui a poussé Benboulaïd à puiser dans ses propres fonds dans l’espoir de se rendre en Libye pour acheter des armes. C’est d’ailleurs lors de son périple à pied vers la Libye qu’il a été arrêté aux frontières tunisiennes. En 1956, la situation n’a pas changé et le bilan de Ben Bella était négatif. C’est pour cette raison que Larbi Ben M’hidi a pris le risque de se rendre au Caire où il a eu une discussion orageuse avec Ben Bella à propos de sa mission qu’il n’a pas remplie. Dès son retour, en Algérie, Ben M’hidi a rendu compte de sa mission au Caire à Abane.
Le Congrès de la Soummam
Ben Bella prétend qu’il a été empêché par Abane d’assister au Congrès de la Soummam. Ben Bella oublie de dire qu’il voulait que le Congrès se tienne à San Remo, situé à la frontière franco-italienne, ce qui constituait un risque sérieux pour la sécurité de la direction de la Révolution. Ben Bella était alors à Madrid. Il a envoyé à San Remo Khider pour la délégation de l’extérieur et Doum pour la Fédération FLN de France. Pour Abane, il n’était pas question de tenir le congrès ailleurs qu’en Algérie aussi bien pour des raisons de symbolique politique que pour des raisons sécuritaires. Au-delà de ces considérations, le Congrès concerne, en premier lieu, ceux qui étaient à l’intérieur et qui affrontaient l’ennemi militairement et politiquement. Pour mémoire, le Congrès devait se tenir dans un autre endroit que la région d’Ifri mais toujours dans la Kabylie. Ce lieu a été bombardé. Pour rappel aussi, Zighoud Youcef avait proposé la tenue du Congrès dans le Nord constantinois.
A propos du «cinéma» vestimentaire de Messali Hadj
Monsieur Ben Bella ! L’accoutrement de Massali Hadj, à savoir sa chéchia, sa gandoura, son burnous et sa canne, avait un sens identitaire qui le différenciait des colonialistes qu’il combattait. Cette façon de s’habiller n’était ni excentrique ni fantasmagorique. Elle faisait partie de la dimension politique de l’homme qu’était Messali. Elle avait une valeur aux yeux du peuple. Par cet accoutrement, Messali affirmait la personnalité algérienne. Quant à la barbe qui le caractérisait depuis son engagement politique, Messali a juré de ne la raser qu’après l’indépendance. Pourquoi Ben Bella ne parle-t-il pas du charisme de Messali, de sa verve et son talent de tribun hors pair et de sa foi inébranlable en l’indépendance du pays ? Il a résisté à tout le monde et aujourd’hui on présente les Oulémas comme des révolutionnaires à l’origine de l’indépendance. C’est une autre monstruosité et une falsification éhontée de l’histoire. Le père du nationalisme algérien est bel et bien Messali Hadj. Cependant, il mérite d’être condamné pour ses choix à la veille du 1er Novembre 1954, pour le sang qu’il a fait verser entre les Algériens, pour sa mégalomanie, oui l’histoire le jugera. Mais jusqu’à la création du CRUA, Messali a été le représentant du nationalisme algérien. Lorsque Messali a commencé à parler de la présidence à vie du parti, de pleins pouvoirs, il s’est mis sur le banc des accusés et le peuple a tranché le 1er Novembre et en 1956 en choisissant le FLN contre le MNA. C’est cet épisode que Ben Bella aurait dû aborder et non l’aspect vestimentaire d’un homme qui a réussi à imposer le fait national algérien et l’idée de l’indépendance alors que les assimilationnistes étaient légion au sein du mouvement national. En tout état de cause, Ben Bella est mal placé pour critiquer le culte de la personnalité de Messali Hadj et de sa folie des grandeurs. N’a-t-il pas fait pire quand il était président de la République ? Je me souviens d’une réunion du gouvernement qu’il a présidée après son retour d’un voyage en Guinée. Il n’a pas cessé de parler du «cinéma» de l’accueil qui lui a été réservé. Il jubilait au point de regretter qu’en Algérie, ce genre de «cinéma» n’existait pas. Enfin, je tiens à dire que Ben Bella est responsable de la fin tragique de beaucoup de héros de la Révolution. Qu’il se souvienne, lui qui n’a pas tiré un coup de feu durant les sept ans et demi de la Révolution, de sa décision d’exécuter Chaâbani, chef de la wilaya, colonel de l’ALN de l’intérieur. Du rôle qu’il a joué dans l’exécution de Abane et j’en passe.
Les trahisons de Ben Bella
Pour finir, je tiens à dévoiler un fait que Khider m’a raconté. Khider a soutenu Ben Bella après un accord commun. L’un et l’autre visaient le pouvoir. L’un et l’autre avaient ses raisons. A ce titre, ils s’étaient entendus de se partager le pouvoir. Khider espérait en fait être président de la République à titre honorifique et Ben Bella chef du gouvernement avec les pleins pouvoirs de l’exécutif. Pour Khider, Ben Bella était jeune, il avait tout l’avenir devant lui. Donc Khider espérait faire un mandat à la tête du pays avant de se retirer dans une ferme à Douéra pour finir sa vie. Ben Bella est venu d’Oran à Alger où les armées de la Wilaya IV régnaient en maîtres. Lors d’une réunion de nuit chez Rabah Bitat, en présence de Khider, de Bousmaha, de Lakhdar Bouragaâ, de Boumaâza et de moi-même, il a été dit à Khider qu’il était le bienvenu, mais Ben Bella n’avait pas intérêt à venir à Alger. Les responsables de la Wilaya IV ont informé Khider qu’ils ne voulaient ni de Ben Bella ni de Boumediene même comme députés. C’est Khider qui a fait venir Ben Bella clandestinement à Alger et c’est Fares qui l’a hébergé dans une villa à Rocher-Noir, à Boumerdes, un hélicoptère était prêt à l’évacuer en cas de besoin. Plus tard, Fares, le commandant Azzedine, moi et d’autres avons été mis en résidence surveillée. Lors de la réunion des cadres du parti tenue au lycée Amara-Rachid, tous les commissaires politiques, à l’exception de Mostghalmi, se sont engagés à reprendre les armes pour empêcher Ben Bella de prendre le pouvoir. Ben Bella, ayant été informé par Mostghalmi de ce qui se tramait, a quitté Alger pour Oran. Ben Bella a fait intervenir l’ambassadeur d’Egypte à Alger pour trouver un arrangement avec Khider à qui il a demandé de s’éclipser pendant six mois, et à son retour, l’engagement pris pour le partage du pouvoir sera respecté. A son retour, Khider a compris le jeu de celui qu’il considérait comme son fils. Ben Bella a trahi tous ceux qui l’ont aidé, y compris Khider. Sur le plan intellectuel, Ben Bella n’a aucune honnêteté. J’ai travaillé avec lui et je sais de quoi je parle. Il s’approprie les idées des autres en les étalant dans les journaux. Entre 1956 et 1962, il a été emprisonné sans se donner la peine d’améliorer son français. Entre 1965 et 1982, date de sa libération par Chadli, il n’a fait aucun effort pour apprendre l’arabe classique, lui qui se dit arabe. Aujourd’hui, Ben Bella verse, à travers son délire, dans la désinformation et le détournement de l’histoire. C’est pour cette raison que j’ai tenu à lui répondre car le devoir de mémoire m’est imposé comme il s’impose à tous les témoins vivants de notre histoire. Je suis en train d’écrire pour dire et rétablir les vérités telles que vécues. Nul n’a le droit de se taire sur la falsification de l’histoire qui est le patrimoine de tous les Algériens.
A. B.
*Amar Bentoumi a été avocat du PPA-MTLD
de 1947 à 1954, puis avocat du FLN jusqu’en 1962. Député de Constantine à l’Assemblée constituante, il a été le premier ministre de la Justice de l’Algérie indépendante. Après un désaccord avec Ben Bella qui l’a poussé à quitter le gouvernement, il a été interné en compagnie de Farhat Abbas à Adrar.
Ancien bâtonnier d’Alger.
---- Voyez-vous, l’Algérie comme toute l'Afrique du Nord, n'oublie jamais ses enfants. Le pire en a été damné. Son nom est ce qu'il y a de plus exécrable : le roi Bokhous. Lui par qui les Romains ont mis fin à leurs guerres avec Jugurta . il est devenu pour l'éternité bakhis, ouvkhis, elbakhsa...
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:43
http://www.hoggar.org/index.php?option=com_content&view=article&id=1172:le-tirailleur-marocain-ben-bella-linfiltre-du-fln&catid=100:lounes-saad&Itemid=36
Le tirailleur marocain Ben Bella, l’infiltré du FLN
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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» Empty Re: La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Message  moi Mer 7 Jan - 11:56

Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:38
ah ben bella est le premier president a casser et a demandé à tous les enfants de casser leurs boite a cirege en bois
Par selecto (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:32
@Par Fatma-Zohra Abid (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:13
Alors RAIS la balance, tu changes de sexe maintenant? La gay pride à Paris où tu as un pied c'est pour bientôt.
Par Ahmed/RAIS/Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:19
IL Y A UNE OFFENSIVE CONTRE L’ALGÉRIE ET SES SYMPBOLES
______
LISONS AUSSI CECI (sur Algérie1)
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Deux patriotes algériens poursuivis par la justice française pour « torture »
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Par Mourad Arbani | 06/01/2015 | 16:45
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Deux anciens patriotes algériens, Hocine Mohamed et Abdelkader Mohamed, établis en France, font objet de poursuites judiciaires sur ordre d’une juge d’instruction qui les renvoyés devant la cour d’assises du Gard pour des « actes de torture » qu’ils auraient commis pendant les années de lutte contre le groupes armés terroristes criminels en Algérie.
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Des associations parties civiles, qui oublient les exactions abominables perpétrées par des sanguinaires sans foi ni loi, ont annoncé, mardi, la réouverture de ce dossier puisque Hocine et Abdelkader Mohamed, deux frères résidant en France, avaient été mis déjà en examen en mars 2004 à Nîmes pour « tortures et actes de barbarie », des faits commis selon l’accusation dans la région de Relizane dans les années 90.
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L’information judiciaire avait été ouverte, pour rappel, en 2003 après le dépôt d’une plainte par la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et la Ligue des droits de l’Homme (LDH).
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La juge d’instruction du Tribunal de grande instance de Nîmes a rendu le 26 décembre dernier une ordonnance de mise en accusation à l’encontre des deux frères.Tous deux sont accusés de « crimes de torture et de disparitions forcées » commis au nom de la lutte anti-terroriste dans la région de Relizane en Algérie dans les années 1990.
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Le procès se tiendra devant la Cour d’Assises du Gard. Les organisations qui avaient déposé plainte en 2003 contre les frères Mohamed et qui accompagnent les 7 « victimes » algériennes qui se sont constituées parties civiles, ont accueilli cette ordonnance avec une très grande satisfaction.
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« C’est la première fois dans l’histoire que des Algériens vont être jugés pour des crimes commis durant les années noires en Algérie » a déclaré Patrick Baudouin, président d’honneur de la FIDH et Responsable du Groupe d’action judiciaire. « Nous espérons que ce procès marquera un tournant majeur dans la lutte contre l’impunité qui entoure la commission de ces crimes » a ajouté Michel Tubiana, président d’honneur de la LDH.
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Cette ordonnance ponctue plus de 10 années de procédure judiciaire. Une information judiciaire avait été ouverte au sein du TGI de Nîmes, à la suite de la plainte déposée en octobre 2003 par la FIDH et la LDH. Hocine et Abdelkader Mohamed avaient ensuite été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. L’information judiciaire avait permis de recueillir des témoignages à l’encontre des deux ex patriotes. En juillet 2013, le Parquet de Nîmes avait requis la mise en accusation des frères Mohamed devant la Cour d’Assises.
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Des hommes vaillants et courageux
Pour rappel, Hocine Mohamed, occupait le poste de premier adjoint du président de la Délégation exécutive communale (DEC) de Relizane, et son frère, Abdelkader Mohamed, président de la Délégation exécutive communale (DEC) de H’madna étaient à la tête d’un groupe de patriotes qui luttaient contre les terroristes des GIA. Abdelkader Mohamed, habitait près de Nîmes, lorsque son père, en 1994, lui demande de revenir en Algérie pour participer au Groupe de Légitime Défense (GLD) de la wilaya de Relizane. Abdelakader n’hésite pas une seconde pour répondre à l’appel du devoir.
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Il n’était du reste ni le premier ni le dernier puisque dès 1993, mais surtout à partir de 1994, des dizaines de milliers de civils ont été armés par les autorités algériennes afin de participer à la lutte anti-terroriste au nom de la légitime défense. Et c’est grâce à ces hommes vaillants et courageux et aux différents services de sécurité que l’Algérie a pu éradiquer les criminels assoiffés de sang qui ont opéré des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en procédant à des massacres à grande échelle contre les populations civiles au nom de l’Islam.
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Alors que ceux qui sont à l’origine de ces procès n’ont jamais élevé, ne serait ce qu’une seule fois, la voix pour dénoncer ces exactions; bien au contraire ils introduisaient le doute avec leur fameux « qui tue qui » qui dédouanait en vérité les terroristes criminels de leurs méfaits. (photo d’archives)
Par rachida (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:18
@ selecto,
avez-vous fréquenté ces endroits que vous ne citez pas?
vous pouvez défendre le psychiatre qui a dérapé!
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:09
Allez svp sur le lien pour voir des documents originaux sur les grades qu'a obtenu Benbella dans l'armée française. Benbella le marocain était dans son rôle de mercenaire au service de la France qui l'a propulsé à la tête de l'Algérie. La fille de Benbella a ouvert la boite de pandore à propos du traitre qu'était son père.
http://www.hoggar.org/index.php?option=com_content&view=article&id=1172:le-tirailleur-marocain-ben-bella-linfiltre-du-fln&catid=100:lounes-saad&Itemid=36
Le tirailleur marocain Ben Bella, l’infiltré du FLN
Mardi, 7 Septembre 2010PDF | Imprimer | Envoyer Tribune Libre - Lounès Saâd
Le général De Gaulle « avait programmé en juin 1958 la mise au pouvoir de Ben Bella dans quatre ans, avec l´espoir de conserver 70% du pétrole et d´avoir la main mise sur le Sahara » a révélé, dans une émission de radio, Jean Méo qui fut son chargé de mission (1958-1960), puis Pdg d’Elf-Erap (1964-1972).
Voici donc une nouvelle pièce du puzzle historique algérien délivrée au compte-goutte, découverte par hasard. Le casse-tête de l’écriture de notre Histoire cause des migraines à plusieurs générations d’Algériens devenus schizophrènes et paranoïaques à force de se triturer les méninges sur les causes de la déliquescence chronique d’un Etat construit par des putschs, impostures, trahisons, forfaitures, mensonges et corruption.
Les moudjahiddines authentiques et les militants sincères de la génération de novembre savent beaucoup de choses mais ne disent rien. Tandis que la génération postindépendance perd son temps à essayer de découvrir et de comprendre les vérités de notre glorieuse révolution dévoyée et de notre identité bafouée, selon les bribes d’information récoltées ici ou là.
On n’avait pas prêté grande attention aux propos accusateurs de la veuve d’Abane Ramdane qui avait déclaré à la presse que Ben Bella a été fabriqué par les Français : « Naturellement, ce sont les Français qui lui ont fait cette propagande pour lui donner un nom. C’est à partir de là que les Français ont préparé un président pour l’Algérie… La France voulait donner un chef à la Révolution algérienne, le plus bête des chefs. C’est la dernière farce que la France nous a faite. » (Liberté du 8 novembre 2002)
Le personnage du marocain Ben Bella est un élément clé du bâclage de l’indépendance algérienne trahie par les manigances de De Gaulle et les complots des services secrets coloniaux.
Ben Bella héros de guerre français
Ben Bella Mohamed (son vrai nom) dit Ahmed, dit Hemimed, alias Abdelkader Mebtouche, alias Messaoud Meziani, serait né le 25 décembre 1916 (ou 1918), à Maghnia à la frontière algéro-marocaine. Fils de paysans marocains originaires de Marrakech, Embarek Ben Mahdjoub et SNP Fatma Bent El Hadj, propriétaires de terres agricoles et d’un café fondouk populaire. (1)
Appelé sous les drapeaux français en 1937, il effectue son service militaire au 141e Régiment d'Infanterie Alpine (RIA) à Marseille où il devint sergent.
Féru de football, il joua milieu de terrain dans l’équipe des Mitrailleurs 2.15 la saison 39-40. Il figure aussi dans l’historique des effectifs du club de l’Olympique de Marseille pour lequel il ne joua l’intégralité que d’un seul match officiel, où il marqua un but sur les 9 à 0 contre le FC Antibes. Ce passage éclair dans l’effectif de l’OM reste à ce jour un mystère. (2)
Selon sa biographie officielle, il effectua la campagne de France en 39-40 durant laquelle il aurait obtenu une croix de guerre pour avoir abattu un stuka allemand dans le port de Marseille, ce qui reste à vérifier.
Démobilisé, il est rappelé en 1943 et incorporé, non pas dans un régiment de tirailleurs algériens, mais au 5e Régiment de Tirailleurs Marocains (RTM), au sein de la 2e Division d'Infanterie Marocaine (DIM) au grade de sergent-chef, puis d'adjudant.
Il côtoya dans la campagne d’Italie d’autres Marocains qui vont devenir célèbres comme Mohamed Oufkir, Driss Ben Omar El Alami, des tirailleurs tunisiens… et des tirailleurs algériens, dont les adjudants Mohamed Boudiaf et Mostefa Ben Boulaïd, le caporal Krim Belkacem, le sergent Larbi Ben M'Hidi, Rabah Bitat, etc.
Le sous-officier Ben Bella, âgé de 28 ans, avait les qualités des soldats marocains, « des guerriers rustiques, solides, courageux et faisant preuve d'un attachement infaillible à leurs chefs… capables d'endurer de très longues marches, en sachant parfaitement bien s'adapter aux exigences du combat, particulièrement dans la montagne. Ayant un sens inné de la manœuvre et du terrain, ils possèdent une acuité visuelle étonnante, « l'œil de crécerelle » (petit oiseau rapace diurne), leur permettant de distinguer le moindre déplacement adverse. Leur adresse au tir est également exceptionnelle. Autant de qualités qui vont s'exprimer, de façon encore plus éclatante qu'auparavant, dans la campagne d'Italie. » (3)
Ben Bella se distingua par sa conduite héroïque et sa détermination lors de la fameuse bataille de Monte Cassino. Il aurait été cité quatre fois pour son comportement au combat dont deux fois à l'ordre de l'armée, seul ou avec son régiment.
Ben Bella se voit remettre la Médaille militaire par le général De Gaulle en personne lors d'une prise d'armes en 1944, peu après la libération de Rome, qui consacre l'énorme sacrifice des soldats nord-africains en Italie.
Il raconte, lui-même cet épisode particulier de sa rencontre avec De Gaulle : « La première fois que nous nous sommes rencontrés, c’était en avril 1944, en Italie, au nord du Monte Cassino. Il avait insisté, contre l’avis des Alliés, pour que le corps expéditionnaire français participe à cette campagne. La plupart des troupes venaient d’Afrique du Nord. J’appartenais à une unité d’élite, le 5e régiment de tirailleurs marocains (RTM), basé à El Malah. Cet hiver-là, le froid fut terrible. Nous progressions dans les montagnes, pied à pied, repoussant l’ennemi à la baïonnette, à la grenade, à l’arme automatique, parfois à coups de poignard… De Gaulle nous a gratifiés d’une visite spéciale. Il allait, disait-on, décorer cinq ou six officiers. Moi, le sous-off, je ne me sentais pas concerné. Juste avant la cérémonie, le colonel me fait chercher : « Comment, vous n’êtes pas prêt ? Dépêchez-vous donc, on vous attend ! » De Gaulle, ce jour-là, m’a remis la médaille militaire pour faits de guerre exceptionnels. » (Tribune publiée le 26 octobre 1995 par Le Monde).
On peut lire dans les archives du Journal Officiel ce « fait de guerre exceptionnel » parmi d’autres dans la rubrique Indigènes. (JO français du 19-11-1944, Décret du 9-11-1944 portant concession de médailles militaires).
medaillemilitairebenbella.jpg
« BEN BELLA MOHAMED, mle 6269, sergent-chef, N° R. T. : remarquable de devoir et de courage. Le 31 mai 1944, chargé d’une mission dangereuse avec une section de premier échelon, l’a remplie avec succès. Pris sous un violent tir de canon automoteur, s’est porté au secours d’un tirailleur blessé. Malgré l’intensité du feu ennemi, n’a pas hésité à se reporter en avant pour assurer la liaison devenue précaire à la suite d’un bombardement intense et prolongé
Par Aguelidh (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:09
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:36
Vous avez une plume assassine; votre écrit est impitoyable. Ecrivez et écrivez toujours et toujours, la plume est plus forte qu'une arme nucléaire.
Ces petits enfants des parents qui ont mis l'Algérie à genoux n'ont jamais pensé qu'un jour le peuple déterrera le linceul blanc des révolutionnaires authentiques sur lesquels sera écrite la fausse histoire de leurs assassins.
La fille de BEN BELLA ou celle de MESSALI ou lieu de demander PARDON au peuple pour le mal fait par leurs parents, elles continuent de détourner le FLEUVE.
Par farid75 (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:03
credibilite chez sadi c le plus grand zero de la planete.ya sadi tire toi de ce bled tu t'es trompe de societe tu l'a dit au lendemaun de ta debacle electorale face a ton ennemi intime.
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 23:02
A Bison
Bravo pour votre resume sur le vrai parcours et la vraie personnalité de Ben Bella le marocain parachuté par les francais en collaboration avec les egyptiens.
Sa fille a le droit de réagir mais il faut qu elle accepte la vérité
Par Sonacome (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:45
Je n'avais pas une bonne opinion de lui en lien avec les dires des anciens...Son appel à voter bouteflika pour des considérations régionalistes et le fait qu'il a répété avant sa mort qu'il était marocain n'ont faits que confirmer la véracité des propos des anciens moudjahidines ( pas les planqués au maroc qui ont pris le pouvoir par la suite..)
Mr Saadi pour qui je n'ai pas de sympathie particulière a tout mon respect concernant ses démarches sur messali le traitre et ben bella le marocain...Sa fille devrait être fier qu'un aéroport porte le nom de. ben bella..Tellement d'autre l'auraient mérité à sa place..Comme Zabana Allah y rehmou.
p.s : on s'en fout mais il me semble que dans la famille les binationaux sont nombreux ( algero marocains).
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:40
http://media.siddhafx.com/watch/9DDBZV3jVeY
Bouteflika avoue en 1999, que Benbella a assassiné Khemis
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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» Empty Re: La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Message  moi Mer 7 Jan - 11:57

Par Aguelidh (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:38
dixit '' sadi ami trés intime de BHL '' cela laisse entendre que quelqu'un ou QUELQU'UNE a passé la nuit avec eux...
Par Maysar (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:36
@ Fatma Zohra Abid , on n'a jamais vu votre commentaire lorsque votre fakhamatouhou a serré la main de Ehoud Brarak au Maroc !
Vous n'avez encore rien dit lorsque les membres du clan auquel vous appartenez use et abuse du pouvoir qu'ils ont usurpé depuis 1962 pour privatiser l'état algérien à leurs profits et ceux de leurs progénitures !
Vous n'avez encore rien dit lorsque tous les membres du clan font des allers retours dans les hôpitaux de l'armée française pour soigner leurs bobos aux frais du contribuable à coups de millions de dollars , alors qu'ils nous promettent une loi pour la criminalisation de la colonisation qui n'arrivera jamais !
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:36
http://www.colonelchaabani.net
Benbella le marocain mercenaire l'assassin du colonel Chaâbani
Mohamed Chaâbani, un adepte de Ben Badis, disciple du Cheikh Bachir Ibrahimi est né le 6 Octobre 1934 à Oumache, un petit village de Biskra qui devient à partir de 1954, lieu de transit pour les armes qui arrivent de Libye par la Tunisie, à destination des wilayas historiques. C’est dans cette région dont la rudesse imprégnait les hommes qu’il entama ses études à l’école coranique que gérait son père, puis l’école primaire à la Medersa TWT (Tarbia Waa Taâlim) de Biskra. Désireux d’approfondir ses connaissances culturelles, politiques et religieuses auprès de maîtres éminents, il partit à Constantine en 1952 et étudia à l’institut du Cheikh Abdelahamid Ibn Badis. Il fit la connaissance de nombreux militants par le biais de ses relations avec les étudiants et la lecture des journaux de l’Association des Ulémas Musulmans Algériens (dissoute par Ben Bella après l’indépendance), où il prit conscience de la nécessité de l’action armée. Il entreprit des opérations contre le colonialisme français dans son village natal et transforma la demeure de ses parents en un centre actif au service de la révolution. Il participe avec un groupe de militants à l’attaque d’un chantier chargé de travaux ferroviaires situé à Chegaâ qui se trouve à quelques kilomètres d’Oumache. Cette opération fut couronnée d’un grand succès.
Choisi parmi les meilleurs éléments pour poursuivre ses études en Syrie, mais suite à l’appel du F.L.N., le 19 mai 1956 aux étudiants, il abandonna les bancs de l’école pour rejoindre les rangs de l’armée de libération nationale et devint le compagnon et collaborateur de Ahmed Ben Abderezzak Hamouda dit (Si-Haouès) jusqu’à sa mort. Au mois d’Avril 1958 et suite à une réunion tenue par Si-Haoues avec tous les cadres de la wilaya 6, au Djebel Agsoum, il fut désigné responsable aux cotés de Ali Benmassaoud. Après une courte période, il fut désigné à la tête de la région 3 (Boussaâda-Boukhil) de la wilaya 6, en remplacement de Abderrahmane Abdaoui, mort au champ d’honneur dans une embuscade tendue par les troupes du traître Bellounis. A la mort de Si El-Haouès, le 29 mars 1959, et suite à une réunion des quatre chefs de régions de la wilaya, tenue au mois de juillet 1959, il fût choisi par ses pairs à la tête de la wilaya 6. Il intensifia les opérations militaires et joua un rôle important dans leurs élargissements dans le grand sud notamment après les efforts faits par la France dans le sens d’une politique de sécession du Sahara. Parmi les batailles célèbres sous sa direction, celles de Djebel El Qaâda, Boukhil, El Karma et celle d’El Djeribie les 17 et 18 septembre 1961. De 1958 au cessez le feu il a organisé et mené 30 batailles. Homme d’action et de pensée, il était d’un tempérament calme et serein et ne se précipitait jamais dans la prise des décisions. Colonel sur le terrain depuis 1959, Il fut confirmé par le gouvernement provisoire en 1961. Il est considéré comme l’un des rares dirigeants à ne pas avoir quitté le pays pendant la révolution. Après l’indépendance il sera nommé chef de la 4ème Région militaire à Biskra.
Deux années après l’indépendance pour laquelle il avait sacrifié les plus beaux moments de sa jeunesse, il fût accusé de tentative de sécession par Ahmed Ben Bella, d’entreprendre des relations suspectes avec la France et de vouloir s’emparer du pétrole du Sud, des accusations graves et sans aucun fondement, dans le seul but d’étiqueter Chaâbani pour justifier sa liquidation à l’égard de l’opinion publique. Pour le régime, il y a toujours des prétextes pour éliminer ceux qui le gênent. Or, il était le contraire de ce qu’ils avaient avancé. Il n’a eu à aucun moment l’intention de séparer le Sahara du Nord. Ancien élève de l’institut Ben Badis et sincère dans ses convictions idéologiques, Chaâbani a été scandalisé par le régime prosoviétique que Ben Bella avait imposé au pays. Il refusait l’encadrement francophile dont s’était entouré Boumedienne et exigeait l’assainissement de l’armée et la remise en cause de certaines nominations. Au cours du congrès de 1964, il avait demandé l’épuration de la 3ème force envoyée par De Gaulle pour qu’elle prenne en main les affaires militaires et administratives du pays.
La première décision prise par Ben Bella à l’encontre du colonel a été son éviction du bureau politique du F.L.N., lui enlevant son immunité en tant que membre dirigeant de la direction politique du pays, préparant la voie à tous les dépassements. Le second acte orchestré par Ben Bella, probablement dicté par l’Egypte de Nasser, car la direction réelle du pays était entre les mains de Djamel Abdenasser, a consisté à signer deux décrets (1) consécutifs à l’encontre du colonel, l’un le destituant de son grade et l’autre le radiant du corps de l’A.N.P.
Avant l’arrestation du colonel, Ben Bella invita chez lui à la villa Jolly, Tahar Laadjel et Mohamed Djeghaba compagnons d’arme du colonel, ils furent arrêtés par la police de Hamadache, après cela Ben Bella le contacta et lui intima l’ordre de rejoindre son poste au ministère de la défense à Alger, sinon les otages ci-dessus cités ne seraient pas relâchés. Il fut poursuivi le 28 Juin et arrêté le 08 juillet 1964 à Boussaâda en compagnie de Hocine Saci député dans le 1er Parlement et Djilali Salim. Il fût menotté et embarqué à plat ventre à bord d’une Land-Rover et transféré à la prison de Djelfa sur une distance de 100 Km durant laquelle il est resté encadré de quatre agents de chaque coté. En outre le véhicule Land-Rover transportant le colonel était précédé d’une D.S. Palace à bord de laquelle se trouvait le colonel Ahmed Bencherif et ses deux chiens Bergers Allemands sur la banquette arrière de la palace, réflexe hérité du colonialisme. A son arrivée à Djelfa toujours menotté, il sollicita un café, Ahmed Bencherif chargea un soldat de la besogne tout en lui ordonnant de verser la tasse de café sur son visage et lui dire c’est le cadeau d’un ex-militaire de l’armée française. Ensuite il fut transféré à Alger ou il sera séquestré pendant quelques jours dans une cellule de l’état-major de la gendarmerie nationale réservée par le colonel Bencherif (là même ou furent transférées les dépouilles des colonels Nait Hamouda dit Amirouche et Si-Haouès après avoir été exhumés de la caserne militaire de Boussaâda en 1965). De là il fut conduit au PC de la SM à Alger et subira l’interrogatoire par 11 officiers. Lors de sa détention dans ce service, il demandera à un officier commandant de lui remettre une arme pour mettre fin à ses jours, car ne voulant pas subir le déshonneur d’être jugé par des gueux. Cet officier lui répondra que Ben Bella n’oserait jamais le juger, vu son passé révolutionnaire et qu’il serait probablement relâché à la faveur du premier novembre. Quelques jours après Ben Bella, demandera de le remettre à la gendarmerie qui assurera son transfert vers la prison militaire de Sidi El-Houari d’Oran, ou il sera jeté et restera cloîtré pendant un mois dans un cachot de 80 cm de large sur 180 cm de longueur et 5 m de hauteur. Ces cachots ont vu passer Hocine Saci, Mohamed Khobzi, ministre du commerce proposé par Chaâbani dans le premier gouvernement algérien, Mohamed Djeghaba, Tahar Laadjel, le commandant Cherif Kheireddine, Saïd Abadou et bien d’autres. Ces cachots sont des sortes de puits creusés le long des couloirs. S’y retrouver donne l’impression d’être avalé par la terre.
Malade (il souffrait de la vésicule), le défunt colonel fut présenté avec son compagnon d’arme Djilali Salim devant 4 militaires subalternes en civil composant la cour martiale expressément créée par décret présidentiel le 28 juillet 1964 (2) pour ne juger que le colonel Chaâbani. Les décisions ont été sans appel et exécutoires. Les autres compagnons d’arme ne furent pas jugés et ce en raison de leur qualité de députés, membres de la 1 ère A.P.N. Ainsi la cour martiale était présidée par un civil francophile du nom de Zertal proposé par Ben Bella et désigné par le ministre de la justice et une liste de militaires désignés par Boumediene : Chadli Bendjedid, Ahmed Bencherif (on raconte que c’est lui qui a demandé d’être membre de cette cour et participer ainsi à l’assassinat du colonel), Abderrahmane Bensalem analphabète, Said Abid membres (3) et Ahmed Draia ancien convoyeur entre Annaba et Souk Ahras procureur général (4). Le chef d’accusation retenu contre lui : volonté sécessionniste, rébellion contre l’autorité de l’Etat, haute trahison, son refus d’exécuter l’ordre de combattre les forces du F.F.S. de Ait Ahmed (Ses frères Moudjahidinnes), son refus de rejoindre son poste de membre d’Etat-major à Alger, d’exécuter des traîtres à l’instar de toutes les wilayas historiques, son refus d’accepter dans la 4ème région certains officiers qui lui ont été imposés et bien d’autres chefs d’accusations. Le colonel les écoutait comme s’il n’était pas concerné. Ainsi la parodie de procès a commencé le 03 septembre 1964 vers midi pour se terminer le 04 septembre 1964 vers 3h 00 du matin et l’exécution (l’assassinat) moins d’une heure plus tard dans la prison de Sidi El Houari à Oran (Canastel) après que la cour martiale eut rendu son verdict.
Dans la cour de prison quelqu’un s’approcha pour lui mettre un bandeau sur les yeux, ce que Chaâbani refusa. Autre fait que retiendra l’histoire, après la salve il fut détaché du poteau d’exécution et mis dans un cercueil, là on constatera qu’il n’était pas encore décédé, un officier lui tira deux balles dans la tête pour parachever l’exécution en proférant à l’égard du défunt des propos injurieux. Après l’assassinat du colonel par des gueux, tous ses compagnons ont été transférés de la prison militaire d’Oran à la prison du Koudia de Constantine, pour être libérés après le coup d’état du 19 juin 1965 et le seul qui fut libéré avant le 19 juin 1965, fut le commandant Cherif Kheireddine. Le colonel fut jugé et condamné à mort deux mois seulement après son arrestation, alors que Hocine Ait Ahmed qui s’est rebellé contre le régime de l’époque et qui fut arrêté le 17 Octobre 1964 n’a été jugé que six mois après, il a été gracié le 12 Avril 1965 par Ben Bella, après avoir été condamné à mort le 10 Avril 1965.
L’ironie du sort a voulu que l’Algérie indépendante et pour la première exécution condamne et exécute son plus jeune colonel avant et après l’indépendance et un membre du conseil national de la révolution algérienne (CNRA). Le 4 septembre 1964 tous les quotidiens ont rapporté la mort du colonel et la grâce accordée par Ben Bella à Zenadi assassin de feu Khemisti Mohamed, ministre des affaires étrangères suite à un décret présidentiel (5). Après le refus d’utiliser son droit de grâce (Chaâbani quant à lui n’avait demandé aucune grâce) et une heure après la mort du colonel, Ben Bella a pris l’avion accompagné du colonel Zbiri (chef d’état-major) pour rendre compte à son maître Nasser lequel avait dénoncé le mouvement chaâbaniste dans le sud algérien et qualifié les opposants de Ben Bella de «vauriens».
Ben Bella justifie son crime par le fait qu’il ne pouvait accorder de grâce de peur de se faire déposer par l’armée. Cependant, neuf mois plus tard, Ben Bella a été déposé par les militaires. Le corps du défunt ne sera jamais restitué à sa famille. Ces restes furent transférés par la suite au cimetière des Martyrs d’El-Alia suite à un décret présidentiel de Chadli Ben Djedid en 1984.
——————————————————————
(1)- Décret du 2 juillet 1964 mettant fin aux fonctions d’un membre de l’état-major général de l’armée populaire nationale.
- Décret du 2 juillet 1964 cassant de son grade un officier supérieur de l’armée nationale populaire.
(2)- Ordonnance n° 61-211 du 28 juillet 1964 portant création d’une Cour martiale.
(3)- Arrêté du 3 août 1964 portant désignation de juges assesseurs à la Cour martiale.
(4)- Arrêté du 3 août 1964 portant désignation d’un commissaire du gouvernement près la Cour martiale.
(5)- Décret de grâce du 3 septembre 1964.
Pour plus d'informations sur le sujet :
http://www.colonelchaabani.net
Par Anonyme | 6. janvier 2015 - 22:36
Chère Madame
Votre père est il marocain? Des rumeurs circulent sur le fait qu'il a répété avant sa mort : Ana maghribi. ..Ana maghribi..
Par ailleurs comment expliquait it sa tirade en parlant des algériens : "Nous sommes Arabes..arabes...arabes!!!"
Comprenez que beaucoup d algériens ne portent pas Ben bella dans leur coeur..L'homme sera de toute façon comme nous tous, jugé par Allah soubhanou.
Pour ma part ma reconnaissance va à Ben Mhidi. .Benboulaid..Abane..Krim Benkacem..Si Haoues...etc..
Bouteflika...Messali..Ben bella..Boumedienne..n'ont pas été à la hauteur du sacrifice sincère des moudjahidines....
Par BISON (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:33
Par Fatma-Zohra Abid (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:13
vous vous attaquez à la forme pour faire diversion sur le font.
c'est pas avec ce genre d'arguments,...ami de bhl, ..ami des sioniste,...etc que vous allez réfuter des thèses et contrecarrer ce que d'autre ont soulevé bien avant said saadi!
tout ce qu'on peut reprocher à saadi sur ce point peut etre du plagiat s'il a omis de citer ses source, car il n'a pas découvert la poudre et tout ce qu'il a dit, d'autres l'ont écris et dit avant lui! à moins que tout ces gens là sont tous des ami de bhl! dons ce cas bhl est ami de tout le monde, sauf vous bien sur, quoique on jamais sur de rien!
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:24
rien a foutre de l'histoire c'est bon pour les tartufes dans 50 an c'est presque pareille saidi étaient le copain de BHL rien a fichtre
Par Benai Ouali (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:18
Encore une autre fille qui veut défendre l’honneur de son père. Je comprends bien qu’ il s’agit de votre père, mais il faut nous comprendre qu’il s’agit de l’histoire de notre pays dont dépend l’avenir ce dernier.
Madame, s’il y a des choses à dire il faut les dire, notre génération a la soif de connaitre sa vraie histoire et sa vraie identité pour mieux se positionner sur notre avenir.
Celui qui oubli son passé, il est condamné à leur revivre.
Les faits rapportés par Dr Sadi sur votre père, ont été écrits et dits par des témoins qui sont encore vivants, le destin qui été tracé par ton père est remis en cause par plus d’un.
Son attachement à la nation égyptienne et au panarabisme sous l’égide de Nasser et Fethi, a été une mauvaise expérience sur le plan politique, culturelle et scientifique pour la nouvelle Algérie. Des concepts étranges à nos valeurs, ont été imposés au peuple algérien. Au prix que nos valeureux martyrs ont payé pour avoir notre indépendance, ton père, l’a cédé gratuitement aux égyptiens.
Qui a oublié en 2010, lors des qualifications de la coupe du monde, la haine des égyptiens (journalistes, artistes, politiciens, .....) envers les algériens, ils nous traitaient de tous les noms d'oiseaux, ce qui a fait mal à nous. De ce moment la, les algériens ont pris conscience d'être considéré comme une nation non arabe, et beaucoup plus une nation amazigh, avec des ancêtres à l'image de Massinissa, Jugurtha, kahina. Voila ce que votre père a voulu faire nier.
Et puis, en 1950, lors de son arrestation pour son appartenance à l’OS, organisation spéciale, le bras armé clandestin du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques MTLD, il a été d’une facilité terrible en donnant les noms de cette organisation aux français. Le contraire de Ben Mhidi, qui a subi les pires tortures, et il n’a pas soufflé un nom de ses compagnons, à un point au moment de sa mort, les militaires qui l’ont torturé se sont inclinés pour saluer son courage.
Pour en finir, Dr Sadi a fait un travail de mémoire que nous saluons.
NB :
Certains qui traitent Said Sadi de samedi, mais je les rassure que Said Sadi est un homme de tous les jours, de samedi à dimanche, et pendant longtemps
Par Fatma-Zohra Abid (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:13
Allez dire aux américains de traiter le 1er président des Etats-Unis de traître ! Ils vous rétorqueront tout de go :"Georges Washington n'était pas un prophète, certes, mais l'histoire de notre nation le compte comme le 1er président des Etas-Unis. Point!". Et que dire de Sadi, un ami très intime de BHL, Cukierman et autres barons du sionisme français? Le psychiatre accepterait-il qu'on en déduise qu'à ce titre il ne pourrait être qu'un agent du Mossad? Khaf moulak ya bnadem, annâl bliss ya wlad !!!!
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:11
ya madame dites-nous bark win rah essendouk etathamoune!!!!!
Par kamal (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:07
assignez ben aouda pendant que vous y etes ca vas vous rappoter plus pecunierement
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La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux» Empty Re: La fille de Ben Bella qualifie les propos de Saïd Sadi sur son père de «scandaleux»

Message  moi Mer 7 Jan - 11:58

Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:06
c'est ce type de réponse qu'il faut adopter et non des auto saisines judiciaires qui mettent de l'huile sur le feu ;
la fille de l'ex président donne ainsi une leçon à ces irresponsables qui ,profitant d'une situation favorable mais éphémère ,pour régler des "comptes" qui n'existent qu'au fond
de leur petite personne;
Bravo MMe Mahdia
Par Aguelidh (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 22:05
Pou une fois j'apprécie la démarche de Said Sadi, il a fait bouger les obèses et les rentiers qui se nourrissent sans état d'âme du sang des martyrs. Oui il faut aller de l'avant et pousser les dinosaures à sortir de leur hibernation et catégoriser le faux du vrai. Said SADI est très efficace sans le RCD.
J'apprécie sa plume et ses idées bien expliquées dans une logique implacable qui fait exciter les sous intelligents. Il a parlé de Abane Ramdane des années durant pour dire qu'il a été trahi et assassiné par les camarades de combat, mais finalement ce n'était pas le même combat car le kabyle a été utilisé comme une chair à double canons: MOURIR AU COMBAT CONTRE LA FRANCE ET LES SURVIVANTS MOURRIRONT DANS LE COMBAT POUR LA LIBERTE ET LA LEGALITE ENTRE LES HOMMES;
A mon avis, ABANE ne serait jamais mort s'il avait été escorté par les tireurs d'élite de la wilaya III ou de la zone autonome d'Alger en se dirigeant au Maroc, ils l'auraient protégé d'une manière spectaculaire ( comme ils avaient protégé le congrès de la SOUMAMAM) et ils auraient éliminer les fossoyeurs qui n'avaient de but que le pouvoir et la rente du pétrole. C'est à cet instant que le destin d'Algérie a basculé.
Sadi, écrit, écrit et écrit encore et encore. Que Dieu et le sang des authentiques martyrs soient avec toi. Y en a marre.
Par selecto (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 21:59
La fille adoptive de Benbella aurait mieux fermé sa gueulle car elle est très populaire dans les (...) de Beyrouth et du Caire, quand a son père il a déclaré lui même qu'il était Marocain en plus il était proche de l'Egypte.
Ce n'est pas pour défendre Said Saadi.
Par Bouhamza (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 21:54
Benbella à la veille des pseudo élections présidentielles de 2004, déclarait à une personnalité ancien ministre, en son domicile : "Boutefkika est de la pire espèce mais j'appellerai à voter pour lui car nous sommes de la même région." A bon entendeur, salut !
Par hamidou (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 21:51
Les algériens, sont nombreux et unanimes, a avoir répondu dans les médias a cette lâche accusation, d'un politique, porteur d'un projet laïque, qui a une aversion pathétique conte tous les responsables politiques algériens qui sont, trop pro-arabes ou trop musulmans, pour êtres considérés comme des vrais algériens, dans sa propre grille de la citoyenneté algérienne.
Ben-bella restera dans l'histoire de l’Algérie, lorsque ce psychiatre sera oublié même dans son propre patelin.
Par BISON (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 21:51
je vous suggère de changer cette photo de vieux pathétique qui le montre faible et inoffensif voir pitoyable, et de la changer contre une de sa jeunesse où il aimait poser en arrogant prenant les autres du haut!
Par BISON (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 21:47
Et bien voila ce que dit un intellectuel algérien? BIEN AVANT SAADI:
" De la prison dorée à la Présidence,
Le 22 octobre 1956, l’avion transportant la délégation extérieure de la révolution de Rabat à Tunis est arraisonné en plein ciel. C’est encore un de ces épisodes invraisemblables de cette drôle de guerre. Toujours est-il que voici maintenant Ben Bella en prison. Dès lors, la Fédération de France ne lésinera pas sur les moyens pour l’en extraire.
Les réseaux Curiel, les réseaux Jeanson, tout ce qui compte comme «porteurs de valises», amis de la cause algérienne, se mettent à la disposition de la rébellion pour l’aider à s’évader. Ben Bella laisse faire et attend. À l’approche du jour J, il trouve un prétexte quelconque pour différer l’opération ou pour l’annuler. Les bruits ont couru sur le projet d’une évasion qui se solderait par la liquidation des fuyards. Un homme y a cru fermement : Fathi al-Dib (chef des services égyptiens).Qui se donne pour mission de sauver le soldat Ben Bella à tout prix. «Nous avions chargé, fin 1957, nos attachés militaires en Europe de prendre contact avec des spécialistes des opérations d’évasion parmi ceux qui avaient déjà une réputation», raconte-t-il. Il renonce à ce premier projet, trop violent à son goût, avant de se voir proposer une autre option, «grâce à deux hautes personnalités allemandes, aidées par huit jeunes nazis, et en s’appuyant sur l’accord conclu avec l’un des directeurs de la prison de la Santé [contre] 15 000 livres égyptiennes.»
Tout est prêt. Mais Fathi al-Dib a la malencontreuse idée de soumettre le plan à Ben Bella. «Après quatre jours d’attente, […] à la demande de Ben Bella, […] l’opération [est reculée] de trois jours […]. Quatre jours plus tard, les Allemands nous [font] savoir que Ben Bella demandait de reculer encore de huit jours l’opération et que, pendant ce temps, il ne fallait pas le contacter. […] Le 28 juin, […] l’avocat de Ben Bella était arrivé […] pour m’informer que l’opération avait été découverte.»
La raison pour laquelle Ben Bella ne voudrait quitter la prison pour rien au monde tient à cela qu’il est au centre de toutes les sollicitudes. Une fois au chaud en Métropole, il n’est pas question pour lui de repartir au front, où on «purge» à tout va. Il faut préparer l’avenir, l’Algérie indépendante. Nasser veut quelqu’un pour l’ancrer dans le giron «islamique et arabe». Ben Bella sera cet homme-là.
Hervé Bourges est missionné pour chaperonner cet ambitieux désillusionné. Cela se passe alors que de Gaulle piétine, et n’entrevoit de porte de sortie que dans une «Algérie indépendante, en étroite coopération avec la France». Il lui faut quelqu’un pour assurer cette perspective. Ben Bella sera cet homme-là.
Ben M’Hidi est éliminé par le 11e de Choc du général Aussaresses, après qu’il ait décliné l’habituelle offre de «retournement». Abbane est étranglé dans une ferme isolée à la frontière marocaine....Ce sont les deux yeux lucides de la révolution qui sont ainsi crevés, l’un par les militaires français, l’autre par les militaires algériens. Les «3B» : Trois colonels qui éprouvent l’un pour l’autre une haine sourde. Une aubaine pour plus ambitieux et plus résolu qu’eux : Boumediene. Lequel a besoin d’une caution politique. Ben Bella sera cet homme-là.
"Ben Bella est prêt à servir la cause de quiconque lui promet un bel avenir. Fathi al-Dib le bien nommé chef des services égyptiens, Boumediene, le sanguinaire, de Gaulle, l’éternel Sauveur pressé par le temps. Trois hommes aux grandes ambitions, et dont les plans désignent le futur président de l’Algérie : Ben Bella. Pourquoi voudrait-il quitter cette prison dorée où tout lui sourit ?"
Par Abou Stroff (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 21:46
le parcours de benbella présenté par sa fille ne confirme ni n'infirme l'hypothèse qu''il aurait été un agent des égyptiens. par contre, tout observateur objectif de la scène politique algérienne peut avancer les points suivants:
1- benbella a été le seul à répondre aux avances du putschiste boukharouba lorsque ce dernier a envoyé son porte serviette (un certain kouider si mes souvenirs sont bons) voir les prisonniers du Château d'Aulnoy (France).
2- benbella s'est comporté en voyou (il a menacé un dirigeant de la révolution de lui enlever le pantalon) lors d'un congrès à tripoli si mes souvenirs sont bons.
3- benbella a reconnu à la fin de sa vie qu'il était marocain.
4- la plupart des algériens, n'ayant pas connu benbella, se fichent royalement de ce qu'il a été.
5- par contre les algériens, dans leur grande majorité, serait très intéressés de connaitre la vrai parcours (en particulier, les régions où il aurait guerroyé et le nombre de soldats ennemis qu'il aurait tué) de leur bienaimé fakhamatouhou national.
PS: cette polémique concernant des morts bien morts et non des morts-vivants me semble faire partie d'une diversion qui ne dit pas son nom.
Par Anonyme (non vérifié) | 6. janvier 2015 - 21:28
Ben Bella n’était pas parfait, nul n'est parfait.
Mais sa mémoire mérite d’être respectée et sa famille aussi.
.
Honte a Said Samedi, qui fait le macaque sur F24 et ose traiter de traîtres des personnages historiques de notre lutte de libération.
moi
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