Défendre la laïcité, seul garant de la liberté de culte.

« J’avoue qu’Aokas demeure
l’un des bastions de la liberté de pensée,
de tolérance et de l’altérité  »

«Sans exagération ni démagogie aucune, j’ai constaté
lors des débats avec les organisateurs ainsi que l’assistance,
une ouverture d’esprit extraordinaire, une soif de débat et
une pertinente maitrise de la connaissance philosophique et poétique.
J’avoue qu’ Aokas demeure l’un des bastions de la liberté de pensée, de tolérance et de l’altérité ;
certainement des qualités qui honorent la région d’un côté et quelles lui permettent de jouer un rôle très
important dans l’éveille des consciences dans un autres côté. Et du passage,
je tiens remercier infiniment les gens d’ Aokas pour le formidable travail de fond.» 

Mahrez Bouich, enseignant de philosophie à l’université de Bejaia,
chercheur invité à l’université de Nice en France,
et auteur du recueil de poésie
«  L’Ombre de mes calamités »édité par la maison d’Éditions Tafat de Tarik Djerroud

Tous avec Said Djabelkhir et la liberté d’expression
Le peu de discours rationnel sur l'histoire et le patrimoine en Algérie est menacé, son espace se réduit comme une peau de chagrin. Des conservateurs et des islamistes qui se sont proclamés défenseurs de l'islam montent en créneau pour faire taire Said Djabelkhir et taire avec lui la liberté d'expression. Le discours critique du patrimoine leur fait peur. Cette compagne islamiste contre une personne ou institution véhiculant une opinion différente de ce que les islamistes veulent entendre n'est pas nouvelle. Développer encore et encore des opinions critiques à l'égard de l'ordre établi et l'idéologie dominante est la meilleure façon de soutenir Said Djabelkhir et la liberté expression.
Ali Kaidi (philosophe)