Poursuite des affrontements à Bejaïa
Page 1 sur 1
Poursuite des affrontements à Bejaïa
Poursuite des affrontements à Bejaïa
16h30. Les affrontements se poursuivent à proximité de la Maison de la culture à Bejaïa, même si leur intensité a baissé, selon notre journaliste sur place. La Maison de la culture reste assiégée par les manifestants, empêchant les personnes restées à l’intérieur de sortir. Les policiers continuent de tirer des gaz lacrymogènes.
15h25. Au moins une vingtaine de policiers ont été blessés, selon un agent de la Protection civile, présent à l’intérieur de la maison de la culture. La même source ne dispose pas de chiffres concernant d’éventuels blessés par les manifestants. Trois manifestants, qui se sont introduits à l’intérieur de la maison de la culture, ont été arrêtés, a-t-on constaté. L’accès et la sortie de la maison de la culture restent impossibles. Les affrontements se poursuivent.
15h00. La situation reste très tendue à Béjaïa où les manifestants encerclent toujours la maison de la culture où se trouvent toujours des partisans du président Bouteflika et des journalistes, dont celle de TSA. Des manifestants tentent de pénétrer à l’intérieur de l’édifice. Plusieurs personnes, dont un journaliste de la chaîne Ennahar, ont été blessés.
14h30. Les manifestants continuent de lancer des pierres et des projectiles contre la police et la maison de la culture. Notre journaliste, Hadjer Guenanfa, est toujours à l’intérieur de la maison de la culture. La police ne l’a pas évacuée avec les journalistes.
13h50. Les affrontements se poursuivent à l’extérieur de la maison de la culture. Des policiers ont été blessés. L’un d’eux, blessé, a été évacué à l’intérieur de la maison de la culture. On ignore si des manifestants ont été blessés. « Certains veulent que ça dégénère, que des manifestants soient tués », accuse un membre du staff de campagne de Bouteflika.
13h30. La police est intervenue de manière musclée pour disperser les manifestants. Elle a utilisé des camions chasse-neige et tire des gaz lacrymogènes sur les manifestants. Les journalistes, accompagnant la délégation de Sellal, ont été évacués dans des camions de police. L’esplanade de la maison de la culture a été évacuée, mais les manifestations se poursuivent à l’extérieur.
13h10. Les manifestants continuent de harceler à coups de pierres les policiers qui protègent la maison de la culture où devait se tenir le meeting d’Abdelmalek Sellal. Une voiture a été incendiée par les manifestants.
12h55. Abdelmalek Sellal a décidé d’annuler son meeting, a-t-on appris auprès de son entourage. Vers 13 heures, la situation était encore tendue à proximité de la maison de la culture.
12h35. La police peine à maitriser la situation. Les manifestants ont réussi à enlever les barrières métalliques et tentent de pénétrer à l’intérieur de la maison de la culture aux cris de « pouvoir assassin ». Le meeting de Sellal qui devait démarrer à 11 heures semble compromis. Les deux accès de la Maison de la culture sont en effet bloqués par les manifestants. Les journalistes et les organisateurs sont bloqués à l’intérieur.
Plusieurs dizaines de jeunes se sont rassemblés, ce samedi matin, à proximité de la maison de la culture Taos Amrouche à Béjaïa où Abdelmalek Sellal devrait tenir un meeting dans près d’une heure, a-t-on constaté sur place. Des slogans hostiles au pouvoir et au quatrième mandat sont scandés par les manifestants : « Y en a marre de ce pouvoir », « Pouvoir assassin ! », « Chiyatine et ils se disent patriotes »… Les manifestants ont tenté de forcer les barrières pour pénétrer dans la salle mais ils ont été repoussés par la police.
Abdelmalek Sellal devrait tenir un meeting « privé » où seuls les invités et les journalistes peuvent y accéder, a-t-on appris sur place. Des barrières ont été installées autour de l’esplanade de la maison de la culture et d’autres à l’entrée principale où les organisateurs filtrent les entrées.
« Pourquoi ils n’organisent pas un meeting en plein air. On ne savait même pas qu’il y avait un meeting. Ils ont affiché les posters de Bouteflika la nuit », affirme Bilal, un jeune étudiant. Et d’ajouter : « Ils ont ramené les travailleurs du port et ceux de Sonatrach pour assister. Les Béjaouis n’assisteront pas ! »
16h30. Les affrontements se poursuivent à proximité de la Maison de la culture à Bejaïa, même si leur intensité a baissé, selon notre journaliste sur place. La Maison de la culture reste assiégée par les manifestants, empêchant les personnes restées à l’intérieur de sortir. Les policiers continuent de tirer des gaz lacrymogènes.
15h25. Au moins une vingtaine de policiers ont été blessés, selon un agent de la Protection civile, présent à l’intérieur de la maison de la culture. La même source ne dispose pas de chiffres concernant d’éventuels blessés par les manifestants. Trois manifestants, qui se sont introduits à l’intérieur de la maison de la culture, ont été arrêtés, a-t-on constaté. L’accès et la sortie de la maison de la culture restent impossibles. Les affrontements se poursuivent.
15h00. La situation reste très tendue à Béjaïa où les manifestants encerclent toujours la maison de la culture où se trouvent toujours des partisans du président Bouteflika et des journalistes, dont celle de TSA. Des manifestants tentent de pénétrer à l’intérieur de l’édifice. Plusieurs personnes, dont un journaliste de la chaîne Ennahar, ont été blessés.
14h30. Les manifestants continuent de lancer des pierres et des projectiles contre la police et la maison de la culture. Notre journaliste, Hadjer Guenanfa, est toujours à l’intérieur de la maison de la culture. La police ne l’a pas évacuée avec les journalistes.
13h50. Les affrontements se poursuivent à l’extérieur de la maison de la culture. Des policiers ont été blessés. L’un d’eux, blessé, a été évacué à l’intérieur de la maison de la culture. On ignore si des manifestants ont été blessés. « Certains veulent que ça dégénère, que des manifestants soient tués », accuse un membre du staff de campagne de Bouteflika.
13h30. La police est intervenue de manière musclée pour disperser les manifestants. Elle a utilisé des camions chasse-neige et tire des gaz lacrymogènes sur les manifestants. Les journalistes, accompagnant la délégation de Sellal, ont été évacués dans des camions de police. L’esplanade de la maison de la culture a été évacuée, mais les manifestations se poursuivent à l’extérieur.
13h10. Les manifestants continuent de harceler à coups de pierres les policiers qui protègent la maison de la culture où devait se tenir le meeting d’Abdelmalek Sellal. Une voiture a été incendiée par les manifestants.
12h55. Abdelmalek Sellal a décidé d’annuler son meeting, a-t-on appris auprès de son entourage. Vers 13 heures, la situation était encore tendue à proximité de la maison de la culture.
12h35. La police peine à maitriser la situation. Les manifestants ont réussi à enlever les barrières métalliques et tentent de pénétrer à l’intérieur de la maison de la culture aux cris de « pouvoir assassin ». Le meeting de Sellal qui devait démarrer à 11 heures semble compromis. Les deux accès de la Maison de la culture sont en effet bloqués par les manifestants. Les journalistes et les organisateurs sont bloqués à l’intérieur.
Plusieurs dizaines de jeunes se sont rassemblés, ce samedi matin, à proximité de la maison de la culture Taos Amrouche à Béjaïa où Abdelmalek Sellal devrait tenir un meeting dans près d’une heure, a-t-on constaté sur place. Des slogans hostiles au pouvoir et au quatrième mandat sont scandés par les manifestants : « Y en a marre de ce pouvoir », « Pouvoir assassin ! », « Chiyatine et ils se disent patriotes »… Les manifestants ont tenté de forcer les barrières pour pénétrer dans la salle mais ils ont été repoussés par la police.
Abdelmalek Sellal devrait tenir un meeting « privé » où seuls les invités et les journalistes peuvent y accéder, a-t-on appris sur place. Des barrières ont été installées autour de l’esplanade de la maison de la culture et d’autres à l’entrée principale où les organisateurs filtrent les entrées.
« Pourquoi ils n’organisent pas un meeting en plein air. On ne savait même pas qu’il y avait un meeting. Ils ont affiché les posters de Bouteflika la nuit », affirme Bilal, un jeune étudiant. Et d’ajouter : « Ils ont ramené les travailleurs du port et ceux de Sonatrach pour assister. Les Béjaouis n’assisteront pas ! »
moi- Nombre de messages : 8760
Date d'inscription : 30/01/2009
Re: Poursuite des affrontements à Bejaïa
http://www.tsa-algerie.com/2014/04/05/vive-tension-a-bejaia-ou-sellal-doit-tenir-un-meeting-prive-de-soutien-a-bouteflika/
moi- Nombre de messages : 8760
Date d'inscription : 30/01/2009
Sujets similaires
» Affrontements à Bejaïa
» Affrontements entre islamistes et déjeûneurs à Bejaïa
» Bejaïa : reprise des affrontements, plusieurs édifices saccagés
» Violents affrontements à Béjaia entre étudiants et force de l'ordre le 26/02/2014
» Affrontements, routes coupées, grève générale : l’année 2017 commence dans la contestation à Béjaïa
» Affrontements entre islamistes et déjeûneurs à Bejaïa
» Bejaïa : reprise des affrontements, plusieurs édifices saccagés
» Violents affrontements à Béjaia entre étudiants et force de l'ordre le 26/02/2014
» Affrontements, routes coupées, grève générale : l’année 2017 commence dans la contestation à Béjaïa
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum