Kamel Boudjadi, écrivain : « Les Amazighs sont des analphabètes dans leur langue »
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Kamel Boudjadi, écrivain : « Les Amazighs sont des analphabètes dans leur langue »
Kamel boudjadiKamel Boudjadi est l’auteur d’un roman publié, Harraga, paru aux Éditions Le Savoir.Il s’agit d’un livre de fiction largement inspiré du métier de journaliste que Kamel Boudjadi exerce depuis plus de vingt ans. Après plusieurs reportages avec des jeunes qui ont tenté l’aventure, Kamel Boudjadi a pensé qu’il serait plus ingénieux d’écrire un roman sur ce phénomène qui accapare l’actualité algérienne de ces dernières années.
C’est votre expérience de journaliste qui vous a permis d’écrire votre premier roman, Harraga. Sans être journaliste, l’auriez-vous écrit ?
Sans être journaliste, à dire vrai, je n’aurais pas connu tous ces amis qui ont tenté, pour des raisons diverses, l’aventure. En fait, ce sont les reportages et les articles que j’ai écrits sur le phénomène qui m’ont permis de connaître beaucoup de jeunes harraga. J’ai noué des amitiés en partageant leur quotidien et leurs idées. Une communication spontanée s’était installée entre nous. Leurs histoires, leurs chagrins, leurs maux intérieurs ont imposé en moi l’idée d’écrire un roman. C’est en quelque sorte, une manière, non pas à moi, comme je le croyais, mais bien à eux, de s’exprimer plus librement que par voix d’articles ou de reportage.
Avant ce premier roman, aviez-vous déjà l’idée de passer à l’écriture romanesque compte tenu de l’expérience que vous avez accumulée dans le cadre de votre travail de journaliste ?
Déjà quand j’étais à l’école primaire, je me souviens que je m’asseyais sur une table de fortune et je me mettais à écrire. À ma tante paternelle qui venait me demander ce que je faisais, je répondais que j’étais en train d’écrire une histoire. Je me souviens encore qu’elle me disait que j’allais alors devenir écrivain. À mon humble avis, on ne le devient pas mais on naît écrivain. C’est dans la vie et ses péripéties que cette vocation s’affirme ou s’inhibe. Viennent par la suite, les moyens et les conditions de vie qui facilitent ou qui rendent difficile l’acte d’écrire. Dans notre pays, j’avoue que les choses ne sont pas simples pour plusieurs raisons. La plus importante à mon sens est qu’on vit, du point de vue social qu’individuel, d’une manière à se compliquer la vie. Je ne vous apprendrais rien en vous disant que le métier de journaliste ne facilite pas l’écriture romanesque mais bien au contraire. Dans notre pays, le journaliste est pressé comme une orange. On le presse à produire des articles bidon chaque jour alors qu’il faut bien davantage de temps pour un écrit de qualité de tous points de vue. Puis le jus de son effort se perd entre les lignes d’un journal et les interstices du temps qui passe. En lisant votre livre, on a l’impression qu’il s’agit d’événements vrais. S’agit-il plus de témoignages recueillis et rédigés sous forme de récit plutôt que d’une fiction au sens propre du terme où l’imagination a la part du lion ? Effectivement, il s’agit d’évènements réels. Je dirais même que je me confonds, moi-même, dans ce que je raconte. Il se passe une véritable tragédie dont nous ne prenons pas encore conscience. Les séquelles de ce qui se passe sur les côtes africaines n’apparaîtront pas de sitôt. Ce que l’on voit actuellement, ce ne sont pas les conséquences. Non pas du tout. Ceux qui se présentent aujourd’hui, pour leur majorité, comme des experts du phénomène n’ont rien compris. Ce sont les médias qui les imposent. Après le complexe du colonisé qui a paralysé le développement de nos pays, la harga s’avèrera être un complexe beaucoup plus dangereux. C’est ce que j’appellerais le complexe d’un incapable de prendre en charge son pays. En fuyant de la sorte, les occidentaux qui montrent un grand humanisme, bien réel et sincère à l’évidence, évitent de nous blesser en nous disant que nous sommes des bras cassés. La harga et l’incapacité de se faire un pays vivable.
Depuis la parution de votre premier roman «Haraga», vous n’avez plus rien publié. Est-ce à cause du problème de l’édition ou bien c’est l’inspiration qui n’est plus au rendez-vous. Ou encore s’agit-il d’autres raisons ?
Le problème d’édition et le manque d’inspiration y sont bien pour quelque chose en effet. Mais en fait, je n’ai pas cessé d’écrire. Mais écrire, pour moi, ce n’est pas obligatoirement pour être publié. Toutefois, après le premier roman, j’ai continué à écrire en pensant moins à éditer. Je suis en train de finir un roman. C’est le troisième que je termine mais qui dort encore dans les casiers.
On sait aussi qu’après la parution de ce premier roman, vous avez décidé de changer de langue et de vous adonner à l’écriture romanesque dans votre langue maternelle, tamazight. Pourquoi ce choix et où en êtes-vous dans ce nouveau chantier ?
En fait, le désir d’écrire en Tamazight n’est pas né après la parution du premier roman. Bien au contraire, j’ai toujours aimé ma langue. Ce qui a changé, par contre, c’est le déclic.
En effet, à un moment, je me suis dit qu’il n’est pas évident du tout de ne pas laisser s’exprimer le Kamel dont la langue des entrailles est le kabyle.
Cependant, passer à l’écriture en tamazight ne signifie pas l’arrêt d’écrire en français ou en arabe. Ce sont des langues dont nous sommes imprégnés.
Ce sont, à vrai dire, des langues algériennes qui représentent une partie de nous-mêmes.
D’après vous, quelles est la différence entre écrire dans sa propre langue et écrire dans une langue étrangère ?
J’apprécie bien le caractère tranchant de votre question et je tenterais d’adopter le même ton. Et, vous que pensez-vous de quelqu’un qui n’éprouve aucun besoin d’écrire dans sa langue. La question concerne les berbères en général et non uniquement les écrivains.
Que pensez-vous d’un peuple qui n’éprouve pas le besoin d’écrire sa langue ?
Jusqu’à preuve du contraire, même si nous écrivons en français, en arabe ou en anglais, on reste des analphabètes dans notre langue.
Quel est votre avis sur la situation de l’écriture et de l’édition romanesque dans notre pays ?
Je crois que nous ne devons pas uniquement porter des jugements. Nous devons nous occuper de ce qui est plus important. À votre question, j’aurais préféré plutôt qu’on s’enquière de la situation des romanciers algériens. Je persiste et je signe que ce qui s’écrit, dans bien des cas, de renommée mondiale, ne s’adresse pas à l’algérien. Je parle dans le sens de l’algérie arabophone et berbérophone. Ce que l’on écrit s’adresse à cet algérien qui se voile la réalité à travers le prisme d’une autre langue. Pour le reste, je n’ai pas à porter de jugement sur ce qui se fait mais j’essaye d’apprendre des romanciers algériens qui s’imposent universellement. L’édition en langue amazighe connaît une grande éclosion sur le plan quantitatif depuis une dizaine d’années mais il se trouve, de l’avis de la majorité, qu’il s’agit souvent de publications de piètre qualité. Aussi, on a constaté qu’il y a beaucoup de personnes qui s’improvisent poètes et qui n’hésitent pas à se faire publier à compte d’auteur quand bien même ce qu’ils écrivent n’honore point la langue de Mouloud Mammeri.
Est-ce votre avis aussi ?
Le fait est juste quand il reste au niveau de l’interrogation. Toutefois, ce qui s’écrit est toujours mieux que ce qui ne s’écrit pas. Je préfère vous répondre que même Mammeri, père incontestable de l’écriture berbère, disait d’elle qu’elle est gauche et maladroite, comme un enfant, mais elle est incontestablement le remède à l’errance de notre pays. Personnellement, à celui qui sait où il va mais ignore d’où il vient, je préfère celui qui sait d’où il vient mais ignore où il va.
Et en langue française, avez-vous quelque chose à dire sur les romans écrits par des algériens ces deux dernières décennies, par exemple avez-vous apprécié particulièrement un roman écrit par un auteur algérien contemporain ?
Non, je n’ai rien à dire là-dessus. En lisant, on apprend à se connaître et à mieux se regarder. Je pense particulièrement à Boualem sansal.
Je reste persuadé que l’intellectuel algérien doit dire à ses concitoyens les vérités qui fâchent. Ils doivent nous apprendre à nous remettre en cause. Je ne sais pas si j’ai le droit de dire cela ou que je me trompe mais je vais le dire quand même au risque de verser dans le moralisme que je déteste d’ailleurs. À nos écrivains, cessez de nous donnez l’exemple de la fuite. Aussi convaincants que soient vos arguments, je reste sûr qu’en quittant votre pays, vous êtes un mauvais exemple pour les jeunes. Le harraga et les jeunes algériens vous regardent et vous observent plus qu’ils vous lisent. Nous sommes fiers de vous au point de vous suivre à pied sur l’eau !
Revenons à vous, si vous permettez. Lisez-vous beaucoup ou bien les aléas de la vie et votre travail de journaliste ne vous laissent pas trop de temps pour vous adonner à ce qui est sans doute une passion pour vous…
On lit de moins en moins. La lecture d’un livre peut nous prendre un mois alors qu’on le faisait en l’espace d’une nuit ou d’une semaine. Il ne faut pas non plus endosser tout au métier, car en fait un journaliste doit déjà beaucoup lire.
Entretien réalisé par Aomar Mohellebi
C’est votre expérience de journaliste qui vous a permis d’écrire votre premier roman, Harraga. Sans être journaliste, l’auriez-vous écrit ?
Sans être journaliste, à dire vrai, je n’aurais pas connu tous ces amis qui ont tenté, pour des raisons diverses, l’aventure. En fait, ce sont les reportages et les articles que j’ai écrits sur le phénomène qui m’ont permis de connaître beaucoup de jeunes harraga. J’ai noué des amitiés en partageant leur quotidien et leurs idées. Une communication spontanée s’était installée entre nous. Leurs histoires, leurs chagrins, leurs maux intérieurs ont imposé en moi l’idée d’écrire un roman. C’est en quelque sorte, une manière, non pas à moi, comme je le croyais, mais bien à eux, de s’exprimer plus librement que par voix d’articles ou de reportage.
Avant ce premier roman, aviez-vous déjà l’idée de passer à l’écriture romanesque compte tenu de l’expérience que vous avez accumulée dans le cadre de votre travail de journaliste ?
Déjà quand j’étais à l’école primaire, je me souviens que je m’asseyais sur une table de fortune et je me mettais à écrire. À ma tante paternelle qui venait me demander ce que je faisais, je répondais que j’étais en train d’écrire une histoire. Je me souviens encore qu’elle me disait que j’allais alors devenir écrivain. À mon humble avis, on ne le devient pas mais on naît écrivain. C’est dans la vie et ses péripéties que cette vocation s’affirme ou s’inhibe. Viennent par la suite, les moyens et les conditions de vie qui facilitent ou qui rendent difficile l’acte d’écrire. Dans notre pays, j’avoue que les choses ne sont pas simples pour plusieurs raisons. La plus importante à mon sens est qu’on vit, du point de vue social qu’individuel, d’une manière à se compliquer la vie. Je ne vous apprendrais rien en vous disant que le métier de journaliste ne facilite pas l’écriture romanesque mais bien au contraire. Dans notre pays, le journaliste est pressé comme une orange. On le presse à produire des articles bidon chaque jour alors qu’il faut bien davantage de temps pour un écrit de qualité de tous points de vue. Puis le jus de son effort se perd entre les lignes d’un journal et les interstices du temps qui passe. En lisant votre livre, on a l’impression qu’il s’agit d’événements vrais. S’agit-il plus de témoignages recueillis et rédigés sous forme de récit plutôt que d’une fiction au sens propre du terme où l’imagination a la part du lion ? Effectivement, il s’agit d’évènements réels. Je dirais même que je me confonds, moi-même, dans ce que je raconte. Il se passe une véritable tragédie dont nous ne prenons pas encore conscience. Les séquelles de ce qui se passe sur les côtes africaines n’apparaîtront pas de sitôt. Ce que l’on voit actuellement, ce ne sont pas les conséquences. Non pas du tout. Ceux qui se présentent aujourd’hui, pour leur majorité, comme des experts du phénomène n’ont rien compris. Ce sont les médias qui les imposent. Après le complexe du colonisé qui a paralysé le développement de nos pays, la harga s’avèrera être un complexe beaucoup plus dangereux. C’est ce que j’appellerais le complexe d’un incapable de prendre en charge son pays. En fuyant de la sorte, les occidentaux qui montrent un grand humanisme, bien réel et sincère à l’évidence, évitent de nous blesser en nous disant que nous sommes des bras cassés. La harga et l’incapacité de se faire un pays vivable.
Depuis la parution de votre premier roman «Haraga», vous n’avez plus rien publié. Est-ce à cause du problème de l’édition ou bien c’est l’inspiration qui n’est plus au rendez-vous. Ou encore s’agit-il d’autres raisons ?
Le problème d’édition et le manque d’inspiration y sont bien pour quelque chose en effet. Mais en fait, je n’ai pas cessé d’écrire. Mais écrire, pour moi, ce n’est pas obligatoirement pour être publié. Toutefois, après le premier roman, j’ai continué à écrire en pensant moins à éditer. Je suis en train de finir un roman. C’est le troisième que je termine mais qui dort encore dans les casiers.
On sait aussi qu’après la parution de ce premier roman, vous avez décidé de changer de langue et de vous adonner à l’écriture romanesque dans votre langue maternelle, tamazight. Pourquoi ce choix et où en êtes-vous dans ce nouveau chantier ?
En fait, le désir d’écrire en Tamazight n’est pas né après la parution du premier roman. Bien au contraire, j’ai toujours aimé ma langue. Ce qui a changé, par contre, c’est le déclic.
En effet, à un moment, je me suis dit qu’il n’est pas évident du tout de ne pas laisser s’exprimer le Kamel dont la langue des entrailles est le kabyle.
Cependant, passer à l’écriture en tamazight ne signifie pas l’arrêt d’écrire en français ou en arabe. Ce sont des langues dont nous sommes imprégnés.
Ce sont, à vrai dire, des langues algériennes qui représentent une partie de nous-mêmes.
D’après vous, quelles est la différence entre écrire dans sa propre langue et écrire dans une langue étrangère ?
J’apprécie bien le caractère tranchant de votre question et je tenterais d’adopter le même ton. Et, vous que pensez-vous de quelqu’un qui n’éprouve aucun besoin d’écrire dans sa langue. La question concerne les berbères en général et non uniquement les écrivains.
Que pensez-vous d’un peuple qui n’éprouve pas le besoin d’écrire sa langue ?
Jusqu’à preuve du contraire, même si nous écrivons en français, en arabe ou en anglais, on reste des analphabètes dans notre langue.
Quel est votre avis sur la situation de l’écriture et de l’édition romanesque dans notre pays ?
Je crois que nous ne devons pas uniquement porter des jugements. Nous devons nous occuper de ce qui est plus important. À votre question, j’aurais préféré plutôt qu’on s’enquière de la situation des romanciers algériens. Je persiste et je signe que ce qui s’écrit, dans bien des cas, de renommée mondiale, ne s’adresse pas à l’algérien. Je parle dans le sens de l’algérie arabophone et berbérophone. Ce que l’on écrit s’adresse à cet algérien qui se voile la réalité à travers le prisme d’une autre langue. Pour le reste, je n’ai pas à porter de jugement sur ce qui se fait mais j’essaye d’apprendre des romanciers algériens qui s’imposent universellement. L’édition en langue amazighe connaît une grande éclosion sur le plan quantitatif depuis une dizaine d’années mais il se trouve, de l’avis de la majorité, qu’il s’agit souvent de publications de piètre qualité. Aussi, on a constaté qu’il y a beaucoup de personnes qui s’improvisent poètes et qui n’hésitent pas à se faire publier à compte d’auteur quand bien même ce qu’ils écrivent n’honore point la langue de Mouloud Mammeri.
Est-ce votre avis aussi ?
Le fait est juste quand il reste au niveau de l’interrogation. Toutefois, ce qui s’écrit est toujours mieux que ce qui ne s’écrit pas. Je préfère vous répondre que même Mammeri, père incontestable de l’écriture berbère, disait d’elle qu’elle est gauche et maladroite, comme un enfant, mais elle est incontestablement le remède à l’errance de notre pays. Personnellement, à celui qui sait où il va mais ignore d’où il vient, je préfère celui qui sait d’où il vient mais ignore où il va.
Et en langue française, avez-vous quelque chose à dire sur les romans écrits par des algériens ces deux dernières décennies, par exemple avez-vous apprécié particulièrement un roman écrit par un auteur algérien contemporain ?
Non, je n’ai rien à dire là-dessus. En lisant, on apprend à se connaître et à mieux se regarder. Je pense particulièrement à Boualem sansal.
Je reste persuadé que l’intellectuel algérien doit dire à ses concitoyens les vérités qui fâchent. Ils doivent nous apprendre à nous remettre en cause. Je ne sais pas si j’ai le droit de dire cela ou que je me trompe mais je vais le dire quand même au risque de verser dans le moralisme que je déteste d’ailleurs. À nos écrivains, cessez de nous donnez l’exemple de la fuite. Aussi convaincants que soient vos arguments, je reste sûr qu’en quittant votre pays, vous êtes un mauvais exemple pour les jeunes. Le harraga et les jeunes algériens vous regardent et vous observent plus qu’ils vous lisent. Nous sommes fiers de vous au point de vous suivre à pied sur l’eau !
Revenons à vous, si vous permettez. Lisez-vous beaucoup ou bien les aléas de la vie et votre travail de journaliste ne vous laissent pas trop de temps pour vous adonner à ce qui est sans doute une passion pour vous…
On lit de moins en moins. La lecture d’un livre peut nous prendre un mois alors qu’on le faisait en l’espace d’une nuit ou d’une semaine. Il ne faut pas non plus endosser tout au métier, car en fait un journaliste doit déjà beaucoup lire.
Entretien réalisé par Aomar Mohellebi
moi- Nombre de messages : 8760
Date d'inscription : 30/01/2009
Re: Kamel Boudjadi, écrivain : « Les Amazighs sont des analphabètes dans leur langue »
http://kabyle.com/revue-de-presse/kamel-boudjadi-ecrivain-les-amazighs-sont-des-analphabetes-dans-leur-langue-22317
moi- Nombre de messages : 8760
Date d'inscription : 30/01/2009
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