Neuf algérien tués pour leur organes en Ukraine

Les neuf Algériens disparus en Ukraine emprisonnés ou kidnappés
Zoheir Serai, président du club Tergui Algérien – Europe – à Londres, a affirmé que les neuf Algériens disparus en Ukraine juste après la fin du festival de Poltava, ont été, soit mis dans des prisons Ukrainiennes, soit kidnappés, surtout lorsqu’on sait que le pays connaît l’activité de groupes criminels connus pour agresser des étrangers.

Zoheir Serai a indiqué, dans une correspondance à El Khabar, de Londres, que « certainement les neufs Algériens disparus en Ukraine ne sont pas libres, et il pense qu’ils sont en prison, sans que les autorités pénitentiaires Ukrainiennes, connue pour ce genre de comportement, ne soient mises au courant.

Le club Tergui, en Angleterre, a lancé, hier, dans un communiqué, un appel aux Algériens résidents en Ukraine de quitter le sol Ukrainien dans les plus brefs délais. Il a indiqué que les immigrants Algériens, sont ciblés
et ne sont pas les bienvenus dans ce pays, comme il a affirmé qu’il est possible que les membres du groupe artistique participant au festival de « Poltava » aient été kidnappés par les groupes « Neo Nazis ». Il a cité pour exemple, ce qui est arrivé au prisonnier Merouane Essaadi et l’étudiant Hosni Boutaana qui a fait l’objet d’une agression, il se trouve actuellement au coma à l’hôpital.

Le président du club Tergui, a rappelé que l’ambassadeur d’Algérie en Ukraine, Mekdem Boufedhla, se réunira avec les responsables du ministère des affaires étrangères Ukrainiens pour traiter les dossiers d’Algériens victimes d’agressions. L’ambassadeur a demandé aux autorités du pays d’informer les services de l’ambassade d’abus contre les Algériens basé sur la ségrégation raciale, que ce soit par les policiers ou bien par les groupes criminels.

Trafic d'organes en Ukraine
15 août 2001 à 00:24
- A + TweeterEnvoyerAbonnez-vous

à partir de 1€
Libération
Cinq Ukrainiens, dont quatre médecins, sont soupçonnés d'avoir organisé à Lviv un trafic de reins prélevés sur des victimes d'accident de la route, dont certaines étaient vivantes.

25 000 enfants ukrainiens importés en Israel pour le trafic d organes?
Selon le quotidien Haaretz, de nombreux sites internet ukrainiens affirment qu’israel aurait importé environ 25 000 enfants ukrainiens au cours des deux années passées, afin de prélever leurs organes.

Le professeur Vyacheslav Gudin, lors d’une conférence à Kiev, a fait le récit détaillé des recherches infructueuses sur les traces de 15 enfants adoptés en israel.

Ceux-ci auraient clairement été utilisés par des centres médicaux comme “pièces détachées”

http://www.haaretz.com/hasen/spages/1132…
Il y a 3 ans Signaler un abus Détails supplémentaires
https://www.youtube.com/watch?v=3vBM-S7Jt…

, ce peuple est une abomination ....no comment je risquerais d etre censuré
Il y a 3 ans

@zelda, dans ce meme article Haretz nie aussi les trafics d organes sur les Palestiniens,....peut il faire autrement?

tu trouve pas etrange l adoption d ados de 15 ans?...sais tu qu Israel est un paradis pour mafieux en tout genre, de Madoff , aux oligarques Russes, du trafic d armes , a la prostitutions, au trafics d organes.....d ou vient la fortune d Israel?....des ventes d orange et de clémentines?
Il y a 3 ans

Les Cas de la Grèce, Roumanie et de l’Ukraine :

♦Roumanie:

En 2009, les autorités roumaines ont ouvert une enquête sur un trafic d’ovules impliquant des gynécologues israéliens, dont les deux responsables israéliens de la clinique Sabyc, pourtant rayée dès 2006 du registre des cliniques pouvant procéder à des fécondations in vitro, ainsi que deux de leurs compatriotes spécialisés dans les techniques de procréation médicale assistée. Les bénéficiaires, des Israéliennes pour la plupart, payaient entre 12 000 et 15 000 euros pour une FIV réalisée avec des ovules provenant de jeunes Roumaines en difficulté. Ces dernières, qui n’étaient pas informées des risques auxquels elles s’exposaient, étaient payées entre 190 à 238 euros.

♦Ukraine:

En 2010, les autorités ukrainiennes ont mis fin aux activités criminelles d'un groupe transnational spécialisé dans le trafic d'organes et qui a sévi près de trois ans au pays. Selon Louri Kucher, le chef du département de lutte contre la cybercriminalité et la traite au ministère de l'Intérieur, la bande recrutait des citoyens en Ukraine, en Russie, en Moldavie, en Biélorussie et en Ouzbékistan pour la transplantation aux receveurs d'organes, israéliens «pour la plupart», qui payaient entre 100 000 et 200 000 dollars la majeure partie des donneurs ont été opérés à Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan et en Équateur et une partie des interventions chirurgicales a été réalisée dans une clinique réputée de l'Institut Shalimova à Kiev. L'organisation, dirigée par un citoyen israélien, était composée de 12 personnes dont plusieurs Israéliens. Ils ont été tous arrêtés.

♦Grèce:

En 2010, la police grecque a arrêté cinq personnes, dont un médecin grec qui s'apprêtait à prélever des ovules sur une jeune Roumaine de 23 ans, soupçonnées d'exploiter des immigrées dans le cadre d'un trafic illégal d'ovules basé en Bulgarie, les victimes étaient soumises par force au prélèvement d'ovules.




Post 2010… :

Malgré certaines lois misent en vigueur dès 2010, le trafic d'organes continue. Certains pays d'Europe tels la Bulgarie ou la Hongrie détiennent même des records faramineux. On a même recensé des cas d'enlèvements d'enfants laissés seuls quelques instants sur la Côte d'Azur par une quelconque mafia bulgare. Ces enfants sont alors transférés directement dans un camps situé en banlieue de Bucarest.
C'est là qu'entre en scène l'agence "Pour la vie".



L’agence :

Créée mi 2009, "Pour la vie" est une association caritative qui aide bon nombre de réfugiés aux abords de la capitale roumaine. Mais sous cette couverture chaleureuse se cache en réalité un réseau clandestin de trafic d'organes d'enfants âgés de 6 à 15 ans. Un représentant des services d'informations de la Bulgarie un contact un collègue du MI5. Travaillant de concert sur le sujet, ils ont récoltés de nombreux soupçons depuis l'ascension fulgurante de cette association ces trois dernières années, et lient cette brutale recrudescence de fonds aux nombreux cas de transplantations illégales que connait la Bulgarie. Toutefois, faute de preuves assez concrètes pour arrêter les membres de ce trafic, ils ne peuvent pour l'instant pas faire grand chose.
C'est pourquoi le MI5 a fait appel à l'agence CHERUB.



Couverture des agents :

Aucune couverture particulière n’est requise lors de la réalisation de la mission. Les six agents auront donc l’entière responsabilité du choix de leur personnage, il leur est toutefois conseillé de reprendre leur ancienne identité pour plus de commodité.

Il leur suffira par la suite de déclarer s’être enfuis de l’orphelinat international pour jeunes délinquants de Plevna (Bulgarie) à cause de conditions de vie insalubres.

Et se sont donc retrouvés un peu par hasard dans ce camps de réfugiés aux abords de la banlieue éloignée de Bucarest après trois semaines de route et de vols à la tire.

Quand les trafiquants leur auront mis la main dessus, ils devront faire en sorte de ne pas spécialement comprendre ce qu’on attend d’eux, mais se permettront de les remercier s’ils les traitent convenablement… Dans le cas contraire, il leur faudra juste l’accepter.




Mission :

La première partie de la mission consiste à se faire surprendre puis attraper par les diverses personnes gérant le réseau du trafic d’organes. Ils devront faire en sorte de s’attacher aux trafiquants et de ne rien soupçonner de leurs manigances. Ils auront alors plus de liberté de mouvements si les trafiquants sont persuadés que les six enfants resteront avec eux. Ce qui est un point primordial pour la suite des opérations.

Une fois que les trafiquants leur auront mis la main dessus, leur but est de récolter dans la discrétion la plus totale le maximum d’informations sur les différents membres du réseau, ainsi que des divers récepteurs d’organes en Ukraine et en Grèce.

Attention !! Il est probable que d’autres enfants soient également aux mains des ravisseurs. Il est conseillé voir demandé aux agents de rester ensemble et de ne pas avoir de rapports avec les éventuels autres enfants de leur âge.

Si l’un des enfants venaient à disparaître subitement, il est demandé d’en référer au contrôleur de mission attribué lors de la création de la mission.

Une fois les informations collectées suffisantes, l’agence CHERUB aidée du MI5 mettra en place un plan d’action visant à libérer les agents et arrêter les différents protagonistes du réseau ainsi que les récepteurs d’organes.

Si à un moment ou un autre la mission se déroule mal, il est demandé aux agents de passer directement à la dernière phase de la mission. Il est évident dans ce cas là que nous n’aurons aucune information sur les potentiels acheteurs d’organes, ce qui est le but premier de la mission.