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Le vent de Novembre souffle sur le printemps pour une nouvelle alternative

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Message  aokas-aitsmail Mar 2 Avr - 20:23

L’Algérie entre dans une nouvelle ère. Le changement a déjà commencé ce samedi 30 mars 2013

Le vent de Novembre souffle sur le printemps pour une nouvelle alternative MEchati_426961457 Mohamed Mechati s'implique dans la présidentielle et s'engage au côté de Benbitour.
En ce jour a été officiellement signé un contrat d’alliance entre trois authentiques patriotes, Mohamed Mechati représentant les hommes qui ont soufflé le vent de Novembre, Sofiane Djilali l’enfant né pendant le combat libérateur et Ahmed Benbitour le liant des générations et l’annonciateur du printemps du peuple. C’est un contrat les engageant dans un combat politique pacifique ouvert à l’adhésion de tous les compatriotes soucieux de l’intérêt national, sous forme d’un serment, dont l’objectif est la libération de l’Algérie des griffes de l’imposture, jusqu'à la fondation d’un État souverain, qui est désormais devenu une réalité en perspective. L’heure est grave, car il ne s’agit pas seulement d’une alliance pour une campagne électorale, mais bel et bien d’un combat politique pacifique libérateur.

Cette initiative laisse derrière elle comme une traînée de parfum de fin des temps de l’errance et de la servitude dans l’air, sous le ciel de l’immense terre d’Algérie, meurtrie par tant de convoitise depuis près de deux siècles maintenant, depuis l’invasion de la barbarie coloniale française en 1830. C’est un air de délivrance qui semble chatouiller nos sens, pudiquement, en feignant de ne pas l’admettre, tellement que notre avilissement est profond et notre espoir brimé violemment à chaque fois que nous avons essayé de dresser la nuque, cela fait cinquante ans maintenant, depuis une première délivrance avortée un certain juillet 1962. Il y a comme une fin d’aventure, pour une première expérience de liberté non aboutie. Débouchant sur l’illégitimité d’un État qui a pris en otage le peuple algérien, ses biens et sa souveraineté pendant un demi-siècle. Une République dominée par des hommes sans scrupule qui ont succédé à nos anciens bourreaux. Des hommes ignorants et cupides, qui nous dominent par la terreur. Des hommes sans envergure, incapables de vision sur l’histoire et sur le destin du peuple duquel ils sont issus et l’immense combat qu’il a mené contre la violence coloniale. Ils ont laissé le pays à l’abandon jusqu’à la ruine, plongeant ses habitants dans l’ignorance et la pauvreté, contre leurs propres intérêts égoïstes. Faisant d’eux des monstres allant jusqu'à les dépouiller de ce qui leur appartient de plus intime : leur humanité. Les cantonnant dans des agglomérations bidonvillisées, qu’ils encerclent par leurs casernes partout disséminées. Des agglomérations où règnent l’inculture, la violence, la drogue, le chômage et l’errance sans perspective, sans sens à donner à leur vie, croulant sous la perversion jusqu'à en faire de l’enlèvement et de l’assassinat d’enfants des défouloirs pédophiles, par la frustration du manque d’épanouissement et de jouissance de la vie. C’est contre tous ces forfaits que se sont dressés ces hommes de mars, pour mettre fin à cette errance.

Dynamique de soutiens

Trois générations se sont unies pour sceller ce serment de la délivrance. Mohamed Mechati était là pendant l’élaboration du serment de Novembre pour le combat libérateur contre le colonisateur, qui a amené l’indépendance nationale et la fondation de la République avortée et il revient pour ensemencer ce nouveau combat de mars, pour sa refondation sur des bases saines après un demi siècle d’errance et d’imposture. Ahmed Benbitour, qui a sillonné le monde et pénétré jusque dans les entrailles du pouvoir, a ramené dans ses bagages les ingrédients nécessaires au printemps du peuple, à qui il les offre généreusement et sans contrepartie intéressée ou de convoitise cupide. La longue et laborieuse préparation de son projet d’action est empreinte de rigueur et de précision jusqu’au moindre détail. Nous n’avons qu’à nous en servir pour notre salut. Ce fut la première étape de son plan articulé autour d’un discours mobilisateur qui doit reposer sur cinq instruments indispensables. En premier lieu être doté d’une vision pour l’avenir, ce qui ne manque pas d’exposer à chaque occasion : porter l’Algérie vers un avenir radieux. Le serment du 30 mars vient sceller l’entrée dans la deuxième étape de sa démarche comme un métronome : il faut créer des alliances stratégiques entre les forces du changement et désigner un leadership, Sofiane Djilali en est le premier candidat. Il faut avoir des personnalités d’appui pouvant servir de caution morale, l’autorité historique d’Ahmed Mechati en est l’incarnation. Le temps presse, la dérive du pays s’accélère, il faut enclencher le processus, même à trois.

La détermination de ces hommes et la crédibilité de leur action motiveront certainement les hommes et les femmes qui aiment ce pays et son peuple pour venir les rejoindre. Rappelons- nous les paroles des grands hommes qui nous ont libérés de l’emprise coloniale. Larbi Ben M’hidi ne disait-il pas : mettez la révolution dans la rue et vous verrez le peuple s’en emparer. Mohamed Mechati en sait lui des choses à ce propos, lui qui a sacrifié sa vie en compagnie de Abderrahmane Gherras et beaucoup d’autres de ses compagnons avant que le peuple ne s’en empare du combat libérateur. C’est à la jeunesse et à nous tous qu’incombe la prochaine étape à laquelle nous sommes tous conviés pour restituer la souveraineté nationale et celle du peuple. Le temps n’est plus à l’hésitation, car le pays s’enfonce dans les abîmes de la destruction et du chaos. Nos responsables sont démissionnaires, on doit prendre notre destin entre nos mains, autour de l’action éclairée par ces premiers initiateurs du combat libérateur. À présent nous sommes déjà dans la phase terminale de ce plan : l’innovation. Beaucoup de cercles de soutien à cette initiative ont déjà été créés sur les réseaux sociaux et des cadres ont rejoint le mouvement. Il en faudra encore plus, il faudra que nous y allions tous, chacun de nous devrait penser à créer son propre réseau ou rejoindre un autre réseau déjà existant pour sensibiliser les électeurs potentiels d’être au rendez-vous et de faire barrage à la fraude. Il va de notre avenir et de ceux de notre nation qui est menacée de recolonisation. Nous avons encore une marge de possibilité d’agir avant que cela ne soit trop tard.

Les hommes de mars ont déjà montré la voie en apposant leur signature sous le serment des quatre non ! Non, à un quatrième mandat à Bouteflika, non à la prolongation de son troisième mandat, non à un changement de la constitution et non a la fraude électorale. Il ne peut en être autrement. Bouteflika ne peut plus rien faire pour l’Algérie, il a échoué, car, il a violé la constitution, il a érigé la corruption comme mode de cooptation pour ses cercles de soutien, il a institué la fraude électorale comme mode de suffrage et il a ruiné le pays par une mauvaise gestion. Auxquels il faut considérer l’argument de la vieillesse ou de la maladie, que l’on peut également rajouter à la liste des motivations à lui opposer pour rendre sa candidature contre productive pour l’intérêt national. Notre devoir est de soutenir leur engagement courageux, avant qu’un vent de folie ne puisse mettre fin à cette lueur d’espoir, d’une manière ou d’une autre, pour arrêter net ce processus inespéré de sortie de crise.

Rien que l’annonce de cette action a affaibli nos bourreaux et a semé comme un vent de panique chez eux. On ne peut que constater leur fin de règne qui s’approche et qui se précise. Les justices de pays étrangers accusent de hauts responsables algériens de banditisme économique et commercial. Chekib khelil, leur chef de file, ex-ministre algérien de l’énergie et ami d’enfance du président Bouteflika, impliqué jusqu’au cou dans des affaires de corruption aurait fui vers la Suisse et ce malgré une interdiction de quitter le territoire national. Il a été tout simplement exfiltré par ses complices qui se trouvent au cœur du système de pouvoir. Demain, à qui sera le tour ? Bouteflika fait dans la campagne électorale de pacotille, en tentant de s’apitoyer sur des supporteurs d’un club de football.

La pleureuse

Louisa Hanoune qui se lance dans des diatribes à tout va par des propos incohérents, lancés vers tous les horizons dans un état de panique sans précédent. Ce sont là les prémisses du changement qui l’affecte violement, par crainte pour ses privilèges dus à un pouvoir acquis illégitimement. Ce sont là les effets du changement annoncé, par crainte de perdre tous ses intérêts, elle qui n’a jamais travaillé, sinon la seule fonction que l’on lui connaît, qu’elle a toujours occupée, connue de tous : celle de nadaba. Cette pleureuse professionnelle dans nos traditions que l’on loue pour pleurer les défunts. Le rôle ingrat que lui impose le pouvoir pour ses générosités : crier au complot chaque fois que le trône de ses employeurs se met à vaciller. Sa panique en ces moments fébriles se mesure à la force du vent du changement qui souffle de son air doux sous le ciel de la patrie Algérie, enfin s’acheminant vers le dénouement de sa séquestration par cette action.

Ahmed Benbitour de sa hauteur de grand homme d’État, caractérisé par la compétence, la probité et l’amour authentique de la patrie, sans condescendance aucune, lui répliqua à la hauteur de son rôle et de sa place dans la société, cette dame abuse de son immunité et se comporte comme une Baltaguia, tout ce qui a de plus vil dans la hiérarchie des serviteurs d’un État déliquescent. Ne laissons pas alors le vent du chaos nous emporter indifféremment, notre destin est entre les mains de cette action de changement, soyons donc tous au rendez-vous pour notre libération.

Youcef Benzatat

aokas-aitsmail

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Message  aokas-aitsmail Mar 2 Avr - 20:24

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aokas-aitsmail

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