La prostitution sacrée juive

La prostitution sacrée juive
4 février 2011 Lambdagirl Poster un commentaire Go to comments
La prostitution ordinaire est interdite aux femmes du peuple hébreu, mais autorisée pour les étrangères. En fait, cette interdiction fonctionne grâce à un tour de passe-passe, car n’est pas appelée « prostituée » la femme que son père prête contre de l’argent, mais seulement la femme qui est sous l’autorité d’un homme et qui, sans son approbation, vend ou donne ses charmes. C’est le détournement du bien d’un chef de famille qui est interdit, pas le commerce sexuel, et, au Moyen-Orient, un père pouurait monnayer les services de sa fille dès que celle-ci a trois ans.
La Bible montre de fait que les hommes ont facilement recours aux prostituées (Genèse 38,15), alors que les livres de sagesse répètent à qui mieux mieux le conseil d’éviter celles qui vous prendront dans leurs filets pour vous dépouiller de tous vos biens. Les recommandations sont du domaine de la prudence, non du respect des personnes, et la prostituée est un personnage bien présent dans le monde de la Bible.
Ainsi, un chef de famille à qui appartient son épouse, peut faire le choix de prêter son épouse ou de monnayer ses services sexuels. On connaît Abraham, qui emmenant Sarah en Égypte pour échapper à la famine, lui demande de se faire passer pour sa soeur, désirant forger avec la royauté locale une alliance qui le protégera lui et les siens, en lui évitant le mépris qui lui était dû, en tant que proxénète.


La version biblique : « Or, il y eut une famine dans le pays. Abram descendit en Égypte pour y séjourner, la famine étant excessive dans le pays. Quand il fut sur le point d’arriver en Égypte, il dit à Saraï, son épouse : « Certes, je sais que tu es une femme au gracieux visage. Il arrivera que, lorsque les Égyptiens te verront, ils diront « c’est sa femme», et ils me tueront, et ils te conserveront la vie. Dis, je te prie, que tu es ma soeur; et je serai heureux par toi, car j’aurai, grâce à toi, la vie sauve. » (Bible. Bérèchit 12, 10-13)

Abraham était un sacré lâche doublé d’un paranoïaque, n’en doutons pas. Comme prévu, le pharaon, toujours à la recherche de nouvelle recrues pour son harem, fait de sa femme richement parée sa concubine.

Il y avait probablement le ressentiment d’un mari cocu, donc d’un peuple cocu dans l’air car dans la légende juive révèle que Yahew, le dieu des Juifs, frappa Pharaon d’une maladie ressemblant à la lèpre, l’empêchant à tout jamais de faire des enfants…


Et Yahew frappe Pharaon (Gen. 12:17). Pharaon retint Sarah auprès de lui pour coucher avec elle ; un ange vint alors et apporta la lèpre au Pharaon si bien que s’unir à une femme lui devint impossible.

La lèpre n’empêche pas de faire des enfants… les maladies transmises sexuellement peuvent le faire. La légende indique d’ailleurs que Sarah était stérile…
On connaît les légendes sur l’origine du peuple juif. En fait la science a clairement démontré que l’origine du peuple juif se trouve au Moyen-Orient, grosso modo, qu’un Juif est un Arabe plus ou moins métissé d’Européen. Et la Bible nous apprend aussi qu’il faut mettre un bémol sur la croyance selon laquelle l’origine du peuple moderne juif émanerait du Caucase…et pour cause ! En fait les Juifs se donnent énormément de mal pour nous le faire croire (les recherches sur l‘haplogroupe G et autres)

La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (Shlomo Sand, Le monde diplomatique, août 2008)

Les Juifs hassidiques eux n‘hésitent pas à faire rire d‘eux pour faire diversion: qui n’a pas déjà vu les délirants streimels et les papillotes qui ressemblent à s’y méprendre aux bonnets que portent ou portaient jadis les Caucasiens.





Le mot «caucasien» a été inventé par des Juifs et est d’ailleurs souvent utilisé à la place du mot «blanc» pour désigner le juif ashkénaze, dont les origines biologiques sont bien douteuses, vu le passé de misère et d‘errance de ce peuple.. Par extension, le mot désigne tous les «blancs» dont on voudrait bien qu’ils croient avoir en quelque part un ancêtre juif !