Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
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Zhafit
rebai_s
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Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
La sortie de « Journal d’un homme libre », le nouveau livre du journaliste et directeur du journal Le Matin Mohamed Benchicou, a été bloqué par la police nationale à l’imprimerie Mauguin de Blida, indique aujourd’hui un communiqué de l’auteur. La sortie de livre était programmée à l’occasion du Salon international du livre d’Alger. C’est la deuxième fois en l’espace d’une année que l’auteur fait l’objet de censure en Algérie. « L’an dernier, l’abus de pouvoir consistait à prohiber Les geôles d’Alger du Salon du livre d’Alger et à murer le stand de mon éditeur, ce qui nous plaçait déjà dans l’outrance médiévale et le grotesque », souligne le communiqué. Une conférence de presse aura lieu dimanche à 12 heures à la Maison de la presse, à Alger.
Document : le communiqué de Mohamed Benchicou
Cette année encore, le Salon international du livre d’Alger sera marqué par un grave scandale : la police algérienne vient de bloquer, et à l’imprimerie même, la sortie de mon nouveau livre Journal d’un homme libre, sortie qui était programmée à l’occasion du Salon.
C’est la deuxième année consécutive que la censure méchante, absurde et irréfléchie frappe mes écrits.
L’an dernier, l’abus de pouvoir consistait à prohiber Les geôles d’Alger du Salon du livre d’Alger et à murer le stand de mon éditeur, ce qui nous plaçait déjà dans l’outrance médiévale et le grotesque.
Cette année, pour ne pas innover, c’est au moyen d’une descente policière musclée dans les locaux de l’imprimerie Mauguin de Blida, où le livre Journal d’un homme libre était en fabrication dans la perspective du Salon, que la censure s’est magnifiquement réalisée.
L’escouade de police, instruite par je ne sais quelle sombre autorité, et après une spectaculaire perquisition, a saisi tous les documents se rapportant au livre et intimé l’ordre à la directrice de surseoir à son impression !
Tout dans cet inqualifiable procédé est illégal et arbitraire.
Le livre Journal d’un homme libre ne souffre, en effet, d’aucune entorse à la réglementation. Il a été dûment enregistré auprès de la Bibliothèque nationale qui, en retour, lui a délivré un numéro de Dépôt légal et un numéro d’ISBN.
La fabrication du livre a fait l’objet d’un bon de commande règlementaire auprès de l’imprimerie Mauguin.
Nous sommes donc, une fois encore, devant un fait du prince qui se moque des lois et du droit.
Seul compte l’impératif de brûler un livre dont on redouterait, à tort ou à raison, qu’il écorne l’unanimité de façade sur laquelle repose la légitimité du pouvoir.
A quelques jours du 13è Salon du livre d’Alger, cet oukase d’un autre âge vient, hélas, nous rappeler que nous sommes plus proches de la République de l’autodafé que d’une République moderne qui ambitionne de tenir salon à la face du monde.
Par cet acharnement contre mes écrits, et après m’avoir emprisonné et suspendu le journal que je dirige, le pouvoir algérien entend me désigner comme le récalcitrant à une sorte d’allégeance collective qui ne dit pas son nom, qui s’imposerait au monde de l’édition en Algérie, et à laquelle nul écrivain ou éditeur ne saurait se soustraire sans se rendre coupable de la fitna
Je refuse ce statut d’insoumis, je ne suis qu’un auteur parmi ceux qui font vivre l’expression dans mon pays.
Je dénonce, et je dénoncerai toujours, la censure médiévale, cet étranglement du verbe et de la parole qu’entend instituer le pouvoir par la force et la prébende, un fait accompli qui abolirait, dans l’Algérie du 21è siècle, la liberté d’éditer et de lire et qui consacrerait, à jamais, le livre comme une affaire de clous, de grandes planches et de brigades de police.
Je continuerai à me battre, par tous les moyens, pour que le livre Journal d’un homme libre voie le jour dans les librairies de mon pays, comme je ne me renonce pas à imposer le retour du quotidien Le Matin sur les étals de nos buralistes.
Une conférence de presse aura lieu dimanche à 12 heures à la Maison de la presse, à Alger.
Document : le communiqué de Mohamed Benchicou
Cette année encore, le Salon international du livre d’Alger sera marqué par un grave scandale : la police algérienne vient de bloquer, et à l’imprimerie même, la sortie de mon nouveau livre Journal d’un homme libre, sortie qui était programmée à l’occasion du Salon.
C’est la deuxième année consécutive que la censure méchante, absurde et irréfléchie frappe mes écrits.
L’an dernier, l’abus de pouvoir consistait à prohiber Les geôles d’Alger du Salon du livre d’Alger et à murer le stand de mon éditeur, ce qui nous plaçait déjà dans l’outrance médiévale et le grotesque.
Cette année, pour ne pas innover, c’est au moyen d’une descente policière musclée dans les locaux de l’imprimerie Mauguin de Blida, où le livre Journal d’un homme libre était en fabrication dans la perspective du Salon, que la censure s’est magnifiquement réalisée.
L’escouade de police, instruite par je ne sais quelle sombre autorité, et après une spectaculaire perquisition, a saisi tous les documents se rapportant au livre et intimé l’ordre à la directrice de surseoir à son impression !
Tout dans cet inqualifiable procédé est illégal et arbitraire.
Le livre Journal d’un homme libre ne souffre, en effet, d’aucune entorse à la réglementation. Il a été dûment enregistré auprès de la Bibliothèque nationale qui, en retour, lui a délivré un numéro de Dépôt légal et un numéro d’ISBN.
La fabrication du livre a fait l’objet d’un bon de commande règlementaire auprès de l’imprimerie Mauguin.
Nous sommes donc, une fois encore, devant un fait du prince qui se moque des lois et du droit.
Seul compte l’impératif de brûler un livre dont on redouterait, à tort ou à raison, qu’il écorne l’unanimité de façade sur laquelle repose la légitimité du pouvoir.
A quelques jours du 13è Salon du livre d’Alger, cet oukase d’un autre âge vient, hélas, nous rappeler que nous sommes plus proches de la République de l’autodafé que d’une République moderne qui ambitionne de tenir salon à la face du monde.
Par cet acharnement contre mes écrits, et après m’avoir emprisonné et suspendu le journal que je dirige, le pouvoir algérien entend me désigner comme le récalcitrant à une sorte d’allégeance collective qui ne dit pas son nom, qui s’imposerait au monde de l’édition en Algérie, et à laquelle nul écrivain ou éditeur ne saurait se soustraire sans se rendre coupable de la fitna
Je refuse ce statut d’insoumis, je ne suis qu’un auteur parmi ceux qui font vivre l’expression dans mon pays.
Je dénonce, et je dénoncerai toujours, la censure médiévale, cet étranglement du verbe et de la parole qu’entend instituer le pouvoir par la force et la prébende, un fait accompli qui abolirait, dans l’Algérie du 21è siècle, la liberté d’éditer et de lire et qui consacrerait, à jamais, le livre comme une affaire de clous, de grandes planches et de brigades de police.
Je continuerai à me battre, par tous les moyens, pour que le livre Journal d’un homme libre voie le jour dans les librairies de mon pays, comme je ne me renonce pas à imposer le retour du quotidien Le Matin sur les étals de nos buralistes.
Une conférence de presse aura lieu dimanche à 12 heures à la Maison de la presse, à Alger.
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
une autre preuve vivante que la démocratie n'est pas pour demain.
source toutsurlalgerie
source toutsurlalgerie
rebai_s- Nombre de messages : 1785
Date d'inscription : 26/04/2008
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
encore et encore, on insiste à étouffer la démocratie, la liberté d'expression.
Il a réagi hier à la censure qui frappe son nouveau livre Benchicou : “Je ne me tairai pas !”
Il a réagi hier à la censure qui frappe son nouveau livre
Benchicou : “Je ne me tairai pas !”
Par :Karim Kebir
Liberté
“L’acte de censure est inqualifiable et intolérable. Il nous rappelle une république bananière”, a déclaré hier Mohamed Benchicou lors d’une conférence de presse.
Bien qu’éprouvé physiquement, Mohamed Benchicou, ancien directeur du Matin, journal fermé depuis 2004, n’est pas prêt de céder devant les pressions qu’il subit autour de son nouveau livre, saisi récemment à l’imprimerie Mauguin à Blida.
Au stade de manuscrit, Journal d’un homme libre qui a fait “l’objet d’une descente policière et d’une perquisition dignes des films” est une fiction, selon l’auteur, qui se penche “sur la lutte pour un troisième mandat vu par ses codétenus”. “Je ne me tairai pas sur cet acte de censure médiévale”, a indiqué, hier, Benchicou lors d’une conférence de presse tenue au siège du Soir d’Algérie à Alger. “Je vais explorer toutes les voies légales pour faire imprimer ce livre en Algérie, car en France il sort fin octobre”, a précisé le journaliste. “L’acte de censure est inqualifiable et intolérable. Il nous rappelle une république bananière”, a encore ajouté Benchicou qui s’étonne que cette “descente” intervienne au moment où le président de la République s’en va prêcher dans le lointain Canada, les vertus et la bonne santé des droits de l’Homme et de la liberté d’expression dans notre pays. “C’est pourquoi, il faut dénoncer cet acte !” a-t-il dit. Selon l’auteur des Geôles d’Alger, la responsable de l’imprimerie a reçu “l’ordre d’en haut de surseoir à l’impression du livre”. Pourtant, explique-t-il, le livre a souscrit à toutes les procédures légales.
Il dispose même d’un numéro légal, ISBN enregistré auprès de la BN. Le contenu du livre serait-il à l’origine de cette descente policière ? “Je ne pense pas, je crois que ce qui a motivé l’action, c’est le message qu’on veut délivrer aux intellectuels et aux auteurs de ce pays : Benchicou est un exemple à ne pas suivre.” “Pourtant, ajoute-t-il encore, je ne suis pas un insoumis. Ils sont attachés à l’exemplarité. Ils sont dans une logique de pouvoir.” Journaliste talentueux, auteur de plusieurs publications, Mohamed Benchicou, en dépit des pressions, n’est pas disposé à saisir la justice algérienne.
Raisons ? “Au risque de heurter la sensibilité de certains, je ne crois pas à la justice algérienne. La procédure légale, si tel était le cas, voudrait que le livre sorte”. Son seul souhait désormais est que les intellectuels, les éditeurs et les journalistes réagissent. “J’espère que nos écrivains, nos éditeurs réagissent, car dans l’histoire ce n’est pas Benchicou qui en pâtit seulement, mais c’est la liberté d’expression qui est hypothéquée”. “Cela touche la corporation et tous ceux qui ont le droit de s’exprimer. Nous aurions dû rentabiliser mes deux ans de prison pour faire avancer la liberté d’expression, mais ce n’est pas le cas. On voit le résultat aujourd’hui”, regrette-t-il. En tout cas s’il ne trouve pas d’imprimeur, Benchicou promet de mettre le livre sur Internet.
Karim Kebir
Benchicou : “Je ne me tairai pas !”
Par :Karim Kebir
Liberté
“L’acte de censure est inqualifiable et intolérable. Il nous rappelle une république bananière”, a déclaré hier Mohamed Benchicou lors d’une conférence de presse.
Bien qu’éprouvé physiquement, Mohamed Benchicou, ancien directeur du Matin, journal fermé depuis 2004, n’est pas prêt de céder devant les pressions qu’il subit autour de son nouveau livre, saisi récemment à l’imprimerie Mauguin à Blida.
Au stade de manuscrit, Journal d’un homme libre qui a fait “l’objet d’une descente policière et d’une perquisition dignes des films” est une fiction, selon l’auteur, qui se penche “sur la lutte pour un troisième mandat vu par ses codétenus”. “Je ne me tairai pas sur cet acte de censure médiévale”, a indiqué, hier, Benchicou lors d’une conférence de presse tenue au siège du Soir d’Algérie à Alger. “Je vais explorer toutes les voies légales pour faire imprimer ce livre en Algérie, car en France il sort fin octobre”, a précisé le journaliste. “L’acte de censure est inqualifiable et intolérable. Il nous rappelle une république bananière”, a encore ajouté Benchicou qui s’étonne que cette “descente” intervienne au moment où le président de la République s’en va prêcher dans le lointain Canada, les vertus et la bonne santé des droits de l’Homme et de la liberté d’expression dans notre pays. “C’est pourquoi, il faut dénoncer cet acte !” a-t-il dit. Selon l’auteur des Geôles d’Alger, la responsable de l’imprimerie a reçu “l’ordre d’en haut de surseoir à l’impression du livre”. Pourtant, explique-t-il, le livre a souscrit à toutes les procédures légales.
Il dispose même d’un numéro légal, ISBN enregistré auprès de la BN. Le contenu du livre serait-il à l’origine de cette descente policière ? “Je ne pense pas, je crois que ce qui a motivé l’action, c’est le message qu’on veut délivrer aux intellectuels et aux auteurs de ce pays : Benchicou est un exemple à ne pas suivre.” “Pourtant, ajoute-t-il encore, je ne suis pas un insoumis. Ils sont attachés à l’exemplarité. Ils sont dans une logique de pouvoir.” Journaliste talentueux, auteur de plusieurs publications, Mohamed Benchicou, en dépit des pressions, n’est pas disposé à saisir la justice algérienne.
Raisons ? “Au risque de heurter la sensibilité de certains, je ne crois pas à la justice algérienne. La procédure légale, si tel était le cas, voudrait que le livre sorte”. Son seul souhait désormais est que les intellectuels, les éditeurs et les journalistes réagissent. “J’espère que nos écrivains, nos éditeurs réagissent, car dans l’histoire ce n’est pas Benchicou qui en pâtit seulement, mais c’est la liberté d’expression qui est hypothéquée”. “Cela touche la corporation et tous ceux qui ont le droit de s’exprimer. Nous aurions dû rentabiliser mes deux ans de prison pour faire avancer la liberté d’expression, mais ce n’est pas le cas. On voit le résultat aujourd’hui”, regrette-t-il. En tout cas s’il ne trouve pas d’imprimeur, Benchicou promet de mettre le livre sur Internet.
Karim Kebir
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
Khalida censure toujours
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
benchicou un ennemi de la nation algérienne ,un ennemi de la radp( la république démocratique et populaire algérienne) .
Zhafit a écrit:
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
Hakim Aissat
ce benchicou là ,il faut l'empécher même de respirer ,ce fauteur de trouble ,il veut nous ramener une fitna au pays .
Nassim Naali
Qui t'a donc ap
pris à "protéger si bien la nation de la fitna" et souhaiter que "Benchicou ne doit même pas avoir le droit de respirer." Cette idéologie mi FLN mi islamiste est tout de même un appel à la haine , de l'intolérance et une at...teinte aux droits de ce qui refusent de réfléchir comme le régime. Tu as, toi, le droit d'être un bon serviteur, mais laisse à Benchicou son droit d'être un libre journaliste-écrivain.Tu fais franchement honte à ceux qui refusent de courber l'échine.
ce benchicou là ,il faut l'empécher même de respirer ,ce fauteur de trouble ,il veut nous ramener une fitna au pays .
Nassim Naali
Qui t'a donc ap
pris à "protéger si bien la nation de la fitna" et souhaiter que "Benchicou ne doit même pas avoir le droit de respirer." Cette idéologie mi FLN mi islamiste est tout de même un appel à la haine , de l'intolérance et une at...teinte aux droits de ce qui refusent de réfléchir comme le régime. Tu as, toi, le droit d'être un bon serviteur, mais laisse à Benchicou son droit d'être un libre journaliste-écrivain.Tu fais franchement honte à ceux qui refusent de courber l'échine.
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
Hakim Aissat
je suis un musulman conservateur ,patriote algérien vrai pas à demi algérien. celui qui m'a apprit tant de merveilleuses choses est mon propre vécu , mon expérience de la vie ,et mon sens aigu de l'analyse prospective et politique .
Nassim Naali
Tu es un musulman ou pas : tu n'as pas à le crier sur les toits. Le monde s'en fout éperdument de ta confession: ce qui devrait compter normalement c'est ta citoyenneté et ta tolérance à vivre avec des gens différents. En quoi ça te regarde... si des Algériens embrassent d'autres religions ou n'en veulent aucune? Tu es formaté avec l'idée de la pensée unique, tu as une cervelle d'oiseau pour comprendre que ce monde n'est pas créé seulement pour les musulmans mais pour pour toute l'humanité. Il faut peut être te faire un dessin que d'autres confessions ont droit d'exister et que ce n'est pas aux musulmans de châtier les athées de cette planète. Où est la tolérance qu'on attribue tant à l'islam? Patriote, aucun baromètre ne peut l'attester.Tu es un petit serviteur du régime mafieux qui t'a appris ces leçons de morale à l'ancienne union soviétique. Tu as raté une précieuse occasion de te taire. Alors de grâce, épargne nous tes leçons de religion et de nationalisme!Merci.
je suis un musulman conservateur ,patriote algérien vrai pas à demi algérien. celui qui m'a apprit tant de merveilleuses choses est mon propre vécu , mon expérience de la vie ,et mon sens aigu de l'analyse prospective et politique .
Nassim Naali
Tu es un musulman ou pas : tu n'as pas à le crier sur les toits. Le monde s'en fout éperdument de ta confession: ce qui devrait compter normalement c'est ta citoyenneté et ta tolérance à vivre avec des gens différents. En quoi ça te regarde... si des Algériens embrassent d'autres religions ou n'en veulent aucune? Tu es formaté avec l'idée de la pensée unique, tu as une cervelle d'oiseau pour comprendre que ce monde n'est pas créé seulement pour les musulmans mais pour pour toute l'humanité. Il faut peut être te faire un dessin que d'autres confessions ont droit d'exister et que ce n'est pas aux musulmans de châtier les athées de cette planète. Où est la tolérance qu'on attribue tant à l'islam? Patriote, aucun baromètre ne peut l'attester.Tu es un petit serviteur du régime mafieux qui t'a appris ces leçons de morale à l'ancienne union soviétique. Tu as raté une précieuse occasion de te taire. Alors de grâce, épargne nous tes leçons de religion et de nationalisme!Merci.
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
Yacine Meghari
jaime bien le mot bloque...en dirais que un policier ou le chef des policiers on compris le contenu de l'oeuvre puis ils trouvent ça comme des insultes ou des atteintes au valeurs de la nation...ce n'es que un mec intelligent qui sait lire... écrire et surtout réfléchir; on le juge sans avoir lu son livre quel dommage ,alors que le pouvoir manipule avec leurs discoures a deux balles en racontant des conneries en live chaque soir devant le peuple .. la democratie du blad mickey...
Hakim Aissat
le pouvoir algérien a les meilleurs conseillers au monde ,il a de l'argent pour ça .
Yacine Meghari
javoue que le pouvoir a tous les moyens pour préserver le son pouvoir mais dommage de faire allusion a ca et de le rappeler car on sais tous que c de largent facile en prostituant tout un peuple avec une religion une école et une decatature pimenté d'une main de l'occident vive l'algerie !!!
jaime bien le mot bloque...en dirais que un policier ou le chef des policiers on compris le contenu de l'oeuvre puis ils trouvent ça comme des insultes ou des atteintes au valeurs de la nation...ce n'es que un mec intelligent qui sait lire... écrire et surtout réfléchir; on le juge sans avoir lu son livre quel dommage ,alors que le pouvoir manipule avec leurs discoures a deux balles en racontant des conneries en live chaque soir devant le peuple .. la democratie du blad mickey...
Hakim Aissat
le pouvoir algérien a les meilleurs conseillers au monde ,il a de l'argent pour ça .
Yacine Meghari
javoue que le pouvoir a tous les moyens pour préserver le son pouvoir mais dommage de faire allusion a ca et de le rappeler car on sais tous que c de largent facile en prostituant tout un peuple avec une religion une école et une decatature pimenté d'une main de l'occident vive l'algerie !!!
Zhafit- Admin
- Nombre de messages : 13508
Date d'inscription : 26/04/2008
Re: Algérie : la police bloque la sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou
hakim aissat de son vrai nom abdelhakim azemour aissat. ça c'est pour la forme .
pour le fond , je suis entiérement d'accord avec le pouvoir algérien dans son interdiction de ce brulot ,qui appele à la guerre civile ,à l'éclatement de l'uniténationale ,trés chérement acquis( plus de 1.5 millions de marthyrs) .
pour le fond , je suis entiérement d'accord avec le pouvoir algérien dans son interdiction de ce brulot ,qui appele à la guerre civile ,à l'éclatement de l'uniténationale ,trés chérement acquis( plus de 1.5 millions de marthyrs) .
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
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