Le régime de Bachar al-Assad peut tomber "à n’importe quel moment"
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Le régime de Bachar al-Assad peut tomber "à n’importe quel moment"
C'est ce qu'affirme le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi, qui souligne que l'opposition syrienne «progresse chaque jour».
Le régime de Bachar al-Assad peut tomber «à n’importe quel moment» face à une opposition qui ne cesse de gagner du terrain en Syrie, a estimé lundi le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi (Photo Khaled Desouki. AFP) dans un entretien à l’AFP. «Cela peut arriver à n’importe quel moment», a déclaré Nabil al-Arabi, interrogé pour savoir quand le régime de Damas pourrait être amené à disparaître.
"Aujourd’hui il y a des combats dans Damas», et après vingt mois de violences dans ce pays «je pense qu’il va se passer quelque chose bientôt", a poursuivi le chef de l’organisation panarabe, qui siège au Caire. «Les faits sur le terrain montrent très clairement que l’opposition syrienne progresse politiquement et militairement. Elle progresse chaque jour», a-t-il poursuivi.
Le chef de la Ligue arabe a également estimé que la nouvelle Coalition de l’opposition syrienne, qui s’est créée en novembre à Doha et a décidé de s’intaller au Caire, «allait de l’avant». "Nous sommes en contact avec eux et nous les rencontrons tout le temps», a-t-il ajouté, en référence à la décision de la Ligue, de reconnaître cette coalition comme son principal interlocuteur, alors que la Syrie est suspendue de l’organisation panarabe. Interrogé sur une contagion du conflit syrien à des pays voisins, il a estimé que "la possibilité est là, on ne peut pas l’exclure".
Source : AFP
Le régime de Bachar al-Assad peut tomber «à n’importe quel moment» face à une opposition qui ne cesse de gagner du terrain en Syrie, a estimé lundi le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi (Photo Khaled Desouki. AFP) dans un entretien à l’AFP. «Cela peut arriver à n’importe quel moment», a déclaré Nabil al-Arabi, interrogé pour savoir quand le régime de Damas pourrait être amené à disparaître.
"Aujourd’hui il y a des combats dans Damas», et après vingt mois de violences dans ce pays «je pense qu’il va se passer quelque chose bientôt", a poursuivi le chef de l’organisation panarabe, qui siège au Caire. «Les faits sur le terrain montrent très clairement que l’opposition syrienne progresse politiquement et militairement. Elle progresse chaque jour», a-t-il poursuivi.
Le chef de la Ligue arabe a également estimé que la nouvelle Coalition de l’opposition syrienne, qui s’est créée en novembre à Doha et a décidé de s’intaller au Caire, «allait de l’avant». "Nous sommes en contact avec eux et nous les rencontrons tout le temps», a-t-il ajouté, en référence à la décision de la Ligue, de reconnaître cette coalition comme son principal interlocuteur, alors que la Syrie est suspendue de l’organisation panarabe. Interrogé sur une contagion du conflit syrien à des pays voisins, il a estimé que "la possibilité est là, on ne peut pas l’exclure".
Source : AFP
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