Les chiens aboient, la caravane passe
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Les chiens aboient, la caravane passe
Les élections passent, les boîtes se cassent, les espoirs se fracassent et la réalité du terrain est bien présente, elle nous tracasse. Prenez vos mairies vides, aussi vides que la boîte des urnes après avoir fait le décompte.
Les boîtes en verre ou même en bois qu’elles soient antifraude ou pas, avec des caméras cachées, embarquées qui enregistrent toutes les enveloppes qui y sont engouffrées et tous les déplacements qu’elles ont effectuées, n’ont pas résolu la question de la contestation. Celui qui a l’habitude de prendre a pris, celui qui était né a grandi et donc commence à croire à sa légitimité, il jure que s’il est le fils du père et qu’il doit avoir la deuxième position par le nombre a enfanté un petit-fils qui sera désormais en troisième pole position. Ce petit-fils assure la continuité de la lignée, du royaume perdu et retrouvé par le miracle des urnes bien travaillées. Toute la fièvre qui a tenu en haleine les partis, les indépendants et les dépendants n’a fait qu’un pouf comme un plomb chauffé qu’on lâche dans un récipient d’eau. Un récipient d’eau où les différents cocktails sont déjà concoctés et le breuvage prêt à être servi, toutefois on ne pourra pas servir les convives avant la date du mariage consenti par les époux, ou à la limite par leurs familles respectives. On a eu toutes les facettes de la musique, on a remonté même au temps mémorial de l’Andalousie, pour éviter toute jalousie qui ternira les jours festifs. On ne se pose même pas la question de la décence tant que l’objectif primaire est d’assurer la descendance des uns et quitte à faire descendre aux enfers les autres. Le sort est ainsi fait, rien ne pourra changer le destin des uns et des autres tant que c'est la boîte magique qui décide. Les candidats élus doivent faire appel à ceux qui ne le sont pas, pour transférer les moyens qu’ils avaient pour mettre en application et satisfaire toutes les promesses qu’ils ont répétées en chœur le long de la campagne électorale. Une campagne débutée sur les chapeaux de roues et terminée dans la marée de boue qui entache chaque élection vécue par notre pauvre pays. On annonce des élections libres et propres et on finit par des élections ternes trop libres et trop propres, on dépasse de loin la Suisse qui est une référence dans la propreté et qui est aussi La Mecque hivernale de nos dirigeants, sans compter ceux qui y ont élu domicile une bonne fois pour toutes, pour éviter la demande de visa chaque fois que le besoin se fait sentir. Les nouveaux maires, il faut les envoyer en Suisse pour s’inspirer et rendre nos communes identiques à celles de cet Etat moderne, mais aussi éplucher tous les comptes qui s’y trouvent de nos compatriotes et épuiser tout l’argent nécessaire à la transformation qui doit s’opérer dans nos villes et villages, pour ressembler un tant soit peu à ce pays de grandes vaches laitières et bien sûr de bons fromages. Un bon exemple à suivre, créer des banques similaires pour abriter tout l’argent des Algériens avec les «secrets d’alcôve». En attendant que les tribunaux appellent tous ceux qui sont pris la main dans le sac et en finissent avec eux...
A. Gouchene
Aokas - Béjaïa
Les boîtes en verre ou même en bois qu’elles soient antifraude ou pas, avec des caméras cachées, embarquées qui enregistrent toutes les enveloppes qui y sont engouffrées et tous les déplacements qu’elles ont effectuées, n’ont pas résolu la question de la contestation. Celui qui a l’habitude de prendre a pris, celui qui était né a grandi et donc commence à croire à sa légitimité, il jure que s’il est le fils du père et qu’il doit avoir la deuxième position par le nombre a enfanté un petit-fils qui sera désormais en troisième pole position. Ce petit-fils assure la continuité de la lignée, du royaume perdu et retrouvé par le miracle des urnes bien travaillées. Toute la fièvre qui a tenu en haleine les partis, les indépendants et les dépendants n’a fait qu’un pouf comme un plomb chauffé qu’on lâche dans un récipient d’eau. Un récipient d’eau où les différents cocktails sont déjà concoctés et le breuvage prêt à être servi, toutefois on ne pourra pas servir les convives avant la date du mariage consenti par les époux, ou à la limite par leurs familles respectives. On a eu toutes les facettes de la musique, on a remonté même au temps mémorial de l’Andalousie, pour éviter toute jalousie qui ternira les jours festifs. On ne se pose même pas la question de la décence tant que l’objectif primaire est d’assurer la descendance des uns et quitte à faire descendre aux enfers les autres. Le sort est ainsi fait, rien ne pourra changer le destin des uns et des autres tant que c'est la boîte magique qui décide. Les candidats élus doivent faire appel à ceux qui ne le sont pas, pour transférer les moyens qu’ils avaient pour mettre en application et satisfaire toutes les promesses qu’ils ont répétées en chœur le long de la campagne électorale. Une campagne débutée sur les chapeaux de roues et terminée dans la marée de boue qui entache chaque élection vécue par notre pauvre pays. On annonce des élections libres et propres et on finit par des élections ternes trop libres et trop propres, on dépasse de loin la Suisse qui est une référence dans la propreté et qui est aussi La Mecque hivernale de nos dirigeants, sans compter ceux qui y ont élu domicile une bonne fois pour toutes, pour éviter la demande de visa chaque fois que le besoin se fait sentir. Les nouveaux maires, il faut les envoyer en Suisse pour s’inspirer et rendre nos communes identiques à celles de cet Etat moderne, mais aussi éplucher tous les comptes qui s’y trouvent de nos compatriotes et épuiser tout l’argent nécessaire à la transformation qui doit s’opérer dans nos villes et villages, pour ressembler un tant soit peu à ce pays de grandes vaches laitières et bien sûr de bons fromages. Un bon exemple à suivre, créer des banques similaires pour abriter tout l’argent des Algériens avec les «secrets d’alcôve». En attendant que les tribunaux appellent tous ceux qui sont pris la main dans le sac et en finissent avec eux...
A. Gouchene
Aokas - Béjaïa
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