25 novembre; journée internationale contre la violence faite aux femmes!
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Red@_Senoune- Nombre de messages : 1986
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Re: 25 novembre; journée internationale contre la violence faite aux femmes!
Déclaration de Catherine Ashton
“La violence contre les femmes fait des milliers de victimes chaque année”
“Chaque jour, des femmes de tous horizons sont victimes d’actes de violence et de pratiques abusives. Dans le monde, 7 femmes sur 10 auraient subi des violences physiques au moins une fois dans leur vie. La violence ne connaît aucune barrière géographique, culturelle, sociale, économique ni éducative”, a déclaré Catherine Ashton, Haute représentante de l’Union européenne.
Et d’ajouter que “c’est un phénomène qui touche toutes les sociétés et revêt les formes les plus horribles, allant du harcèlement sexuel aux mutilations génitales féminines, en passant par le mariage forcé et les crimes d’honneur. La violence faite aux femmes est sans doute la violation des droits de l’Homme la plus répandue à l’heure actuelle. Une violation qui fait des millions de victimes chaque année et est à l’origine d’une terrible douleur physique et émotionnelle”. “L’UE est résolue à prendre la direction de ces travaux. Nous avons fait de la protection contre la violence sexiste un pilier majeur de la stratégie de l’Union en matière de droits de l’Homme. Nous avons également ouvert la voie à une plus grande coopération en la matière entre l’UE et les Nations unies”, a conclu Catherine Ashton.
http://www.liberte-algerie.com/actualite/la-violence-contre-les-femmes-fait-des-milliers-de-victimes-chaque-annee-declaration-de-catherine-ashton-189479
Red@_Senoune- Nombre de messages : 1986
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Re: 25 novembre; journée internationale contre la violence faite aux femmes!
La violence contre les femmes s’aggrave
Une hausse de 426% des actes de violences à l’égard des femmes durant les huit premiers mois de 2012 par rapport aux chiffres relevés durant la même période de l’année dernière a poussé le collectif «Stop à la violence, les droits aux femmes maintenant» à relancer le travail de sensibilisation et de mobilisation pour l’amendement «en urgence» des textes liés à la violence et à la prise en charge des victimes.
Dans une conférence de presse organisée hier à Alger, ce Collectif tire la sonnette d’alarme : 261 femmes ont été assassinées lors des huit premiers mois de l’année en cours. En attendant que l’appareil juridique bouge pour prévenir des violences faites aux femmes et venir en aide aux victimes, ce Collectif mène un travail de sensibilisation et de mobilisation pour faire aboutir une proposition de loi-cadre portant sur la question, déposée au début de l’année en cours à l’Assemblée populaire nationale (APN).
Cette proposition «est un moyen de combler les lacunes enregistrées dans le code pénal et autres textes s’intéressant aux questions liées aux violences. Si les textes ayant trait à la vie économique et politique ont subi des changements conséquents, ceux liés au code pénal, notamment dans les volets liés aux violences faites aux femmes, n’ont pas été touchés depuis 2005, dans le cadre de l’amendement de ce code», note maître Ghania Graba, professeur de sciences juridiques à l’université d’Alger.
Le code pénal, qui est un arsenal répressif, devrait être enrichi avec une «solution spécifique prenant en compte le caractère particulier de certains types de violences subies par les femmes», explique Mme Soumeya, coordinatrice du projet «Stop à la violence». Le Collectif s’appuie sur des chiffres communiqués par les services de la police judiciaire qui indiquent une hausse de 426% des actes de violences à l’égard des femmes durant les huit premiers mois de 2012 par rapport à ceux de la même période de 2011.
La Gendarmerie nationale a fait état de 1354 cas d’actes de violences contre des femmes, dont 297 viols et 329 atteintes à la pudeur. Il y a lieu de signaler que 5797 victimes de coups et blessures ont été enregistrées durant la même période.
Code pénal «dépassé»
Le Collectif tire la sonnette d’alarme concernant les 261 femmes assassinées durant les premiers mois de l’année en cours.
Les chiffres font ressortir aussi que 90 femmes ayant succombé sont âgées de 18 à 30 ans et 82 dépassent 42 ans. Les dispositions du code pénal manquent aussi de définitions de certains cas de violences, tel le viol et le harcèlement. «Une fille est considérée comme victime de viol alors qu’un garçon ayant subi les même type de violences est uniquement objet d’atteinte à la pudeur. Les textes internationaux définissent très clairement ce qu’est un viol pour pouvoir décréter les mesures répressives nécessaires et la prise en charge adéquate des victimes, il faut une modernisation urgente des textes… Les dispositions doivent être enrichies avec des définitions juridiques qui peuvent être puisées des déclarations internationales ratifiées par l’Algérie», explique Me Graba.
Une loi-cadre de prévention contre les violences faites aux femmes et la définition des structures de prise en charge sont les objectifs à atteindre en plusieurs années de travail, d’où la nécessité de moderniser les textes déjà existants pour «réduire la tolérance pour ce type de violences», explique pour sa part Mme Dalila Aberkane, représentante de l’Association algérienne de planification familiale.
Selon le collectif «Stop à la violence», une quarantaine de députés sont signataires de l’initiative ayant abouti à l’enregistrement par l’APN d’une proposition de loi de prévention contre les violences faites aux femmes durant le dernier mandat. Et de conclure : «Nous menons actuellement la mobilisation pour secouer les instances chargées d’acheminer cette proposition vers son adoption.»
Fatima Arab
http://www.elwatan.com/actualite/la-violence-contre-les-femmes-s-aggrave-26-11-2012-193642_109.php
Une hausse de 426% des actes de violences à l’égard des femmes durant les huit premiers mois de 2012 par rapport aux chiffres relevés durant la même période de l’année dernière a poussé le collectif «Stop à la violence, les droits aux femmes maintenant» à relancer le travail de sensibilisation et de mobilisation pour l’amendement «en urgence» des textes liés à la violence et à la prise en charge des victimes.
Dans une conférence de presse organisée hier à Alger, ce Collectif tire la sonnette d’alarme : 261 femmes ont été assassinées lors des huit premiers mois de l’année en cours. En attendant que l’appareil juridique bouge pour prévenir des violences faites aux femmes et venir en aide aux victimes, ce Collectif mène un travail de sensibilisation et de mobilisation pour faire aboutir une proposition de loi-cadre portant sur la question, déposée au début de l’année en cours à l’Assemblée populaire nationale (APN).
Cette proposition «est un moyen de combler les lacunes enregistrées dans le code pénal et autres textes s’intéressant aux questions liées aux violences. Si les textes ayant trait à la vie économique et politique ont subi des changements conséquents, ceux liés au code pénal, notamment dans les volets liés aux violences faites aux femmes, n’ont pas été touchés depuis 2005, dans le cadre de l’amendement de ce code», note maître Ghania Graba, professeur de sciences juridiques à l’université d’Alger.
Le code pénal, qui est un arsenal répressif, devrait être enrichi avec une «solution spécifique prenant en compte le caractère particulier de certains types de violences subies par les femmes», explique Mme Soumeya, coordinatrice du projet «Stop à la violence». Le Collectif s’appuie sur des chiffres communiqués par les services de la police judiciaire qui indiquent une hausse de 426% des actes de violences à l’égard des femmes durant les huit premiers mois de 2012 par rapport à ceux de la même période de 2011.
La Gendarmerie nationale a fait état de 1354 cas d’actes de violences contre des femmes, dont 297 viols et 329 atteintes à la pudeur. Il y a lieu de signaler que 5797 victimes de coups et blessures ont été enregistrées durant la même période.
Code pénal «dépassé»
Le Collectif tire la sonnette d’alarme concernant les 261 femmes assassinées durant les premiers mois de l’année en cours.
Les chiffres font ressortir aussi que 90 femmes ayant succombé sont âgées de 18 à 30 ans et 82 dépassent 42 ans. Les dispositions du code pénal manquent aussi de définitions de certains cas de violences, tel le viol et le harcèlement. «Une fille est considérée comme victime de viol alors qu’un garçon ayant subi les même type de violences est uniquement objet d’atteinte à la pudeur. Les textes internationaux définissent très clairement ce qu’est un viol pour pouvoir décréter les mesures répressives nécessaires et la prise en charge adéquate des victimes, il faut une modernisation urgente des textes… Les dispositions doivent être enrichies avec des définitions juridiques qui peuvent être puisées des déclarations internationales ratifiées par l’Algérie», explique Me Graba.
Une loi-cadre de prévention contre les violences faites aux femmes et la définition des structures de prise en charge sont les objectifs à atteindre en plusieurs années de travail, d’où la nécessité de moderniser les textes déjà existants pour «réduire la tolérance pour ce type de violences», explique pour sa part Mme Dalila Aberkane, représentante de l’Association algérienne de planification familiale.
Selon le collectif «Stop à la violence», une quarantaine de députés sont signataires de l’initiative ayant abouti à l’enregistrement par l’APN d’une proposition de loi de prévention contre les violences faites aux femmes durant le dernier mandat. Et de conclure : «Nous menons actuellement la mobilisation pour secouer les instances chargées d’acheminer cette proposition vers son adoption.»
Fatima Arab
http://www.elwatan.com/actualite/la-violence-contre-les-femmes-s-aggrave-26-11-2012-193642_109.php
Dernière édition par Red@_Senoune le Lun 26 Nov - 13:10, édité 1 fois
Red@_Senoune- Nombre de messages : 1986
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Re: 25 novembre; journée internationale contre la violence faite aux femmes!
25 Novembre, Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
Le réseau Wassila interpelle les consciences
Nous connaissons toutes et tous le 8 Mars, Journée internationale de la femme, mais peu connaissent le 25 Novembre, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
La problématique des violences exercées contre les femmes est pourtant bien connue de chacune et chacun, violence dans la sphère privée comme dans la sphère publique. La problématique est connue, mais reste étrangement engluée dans le non-dit, le silence ou le chuchotement. Untel bat sa femme. Ah ! la pauvre ! mais, nul n'intervient pour faire cesser les coups, c’est sa femme, justifie-t-on !
Un père ou un frère bat-il sa fille ou sa sœur. C’est qu'elle a commis l’interdit. C’est pour préserver l’honneur.
Ils l’éduquent, la petite effrontée ! Un voyou siffle une jeune étudiante dans la rue. Pourquoi s'habille-t-elle de la sorte ? Elle n'a qu'à se couvrir, l’allumeuse ! Ces justifications de la violence, étayées sur une tradition patriarcale extrêmement ségrégationniste à l’endroit des femmes, donnent la mesure de la situation dans notre pays, mais aussi dans tous les pays du monde où le droit n’est pas égalitaire, où la culture de domination des femmes continue d’agir, parfois même lorsque les gouvernements sont dotés de lois égalitaires.
La violence exercée contre les femmes est un fléau social. Nous devons le sortir de la sphère privée, le traiter sur la scène publique sous l’angle du droit. Les survivantes de violences ont le droit à la protection, et l'État a le devoir de les protéger.
Mais pourquoi le 25 Novembre ?
Trois sœurs, Patricia, Minerva et Teresa Mirabel, appelées souvent les sœurs Mirabel, ont été assassinées le 25 novembre 1960 en République dominicaine, sur ordre du dictateur Rafael Leonidas Trujillo. Cet ignoble assassinat suscita une grande émotion populaire et déclencha un large mouvement de contestation. Le 30 mai 1961, le dictateur fut exécuté dans une embuscade tendue par des membres de ses propres forces armées.
En 1981, se tint à Bogota (Colombie) la première rencontre féministe pour l’Amérique latine et les Caraïbes. De nombreuses femmes dénoncèrent les violences qu’elles avaient subies au sein de leur famille ou hors du cercle familial, ainsi que celles commises par l’État (tortures, viol des prisonnières politiques, etc.).
À l’issue de cette rencontre, il fut décidé de faire du 25 novembre la Journée de l’élimination de la violence à l’égard des femmes, commémorée ensuite dans de nombreux pays d’Amérique latine. 39 ans après l'assassinat des sœurs Mirabel, à l’Assemblée générale des Nations unies, lors de sa 54e session le 19 octobre 1999, les représentants de la République dominicaine et de 74 autres États membres présentèrent un projet de résolution visant à faire du 25 novembre la Journée internationale de l’élimination de la violence à l’égard des femmes.
Le 17 décembre suivant, ce texte deviendra la résolution 54/134 qui définit cette violence comme tout acte portant un préjudice physique, sexuel ou psychologique aux femmes, que ce soit dans la sphère privée ou publique.
Cette résolution a été votée parce que la violence faite aux femmes est le fléau mondial le plus partagé : dans tous les pays, dans tous les groupes sociaux, culturels, économiques. Partout, la violence exercée contre les femmes est tolérée et partout des femmes meurent ou survivent, mutilées physiquement et psychologiquement, à leurs blessures. Les agresseurs sont majoritairement des proches : le mari, le père, le frère, etc..
Du 25 Novembre, Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes au 10 Décembre, Journée mondiale des droits humains, s'organise un peu partout dans le monde la quinzaine d'activisme contre les violences faites aux femmes.
Le fléau de la violence est tel qu'une quinzaine suffit à peine pour bousculer les consciences engourdies, faire entendre la voix de celles qui souffrent en silence et faire parler celles, et ceux, témoins de cette souffrance mais qui ne disent rien.
Le premier pas vers une société non violente est de dénoncer la violence. Partout. Sous toutes ses formes ! Tout au long de cette quinzaine, le réseau Wassila/Avife publiera des textes traitant de cette problématique. La violence nous concerne tous. Parlons-en !
Réseau Wassila/Avife
http://www.liberte-algerie.com/actualite/le-reseau-wassila-interpelle-les-consciences-25-novembre-journee-internationale-de-lutte-contre-les-violences-faites-aux-femmes-189478
Le réseau Wassila interpelle les consciences
Nous connaissons toutes et tous le 8 Mars, Journée internationale de la femme, mais peu connaissent le 25 Novembre, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
La problématique des violences exercées contre les femmes est pourtant bien connue de chacune et chacun, violence dans la sphère privée comme dans la sphère publique. La problématique est connue, mais reste étrangement engluée dans le non-dit, le silence ou le chuchotement. Untel bat sa femme. Ah ! la pauvre ! mais, nul n'intervient pour faire cesser les coups, c’est sa femme, justifie-t-on !
Un père ou un frère bat-il sa fille ou sa sœur. C’est qu'elle a commis l’interdit. C’est pour préserver l’honneur.
Ils l’éduquent, la petite effrontée ! Un voyou siffle une jeune étudiante dans la rue. Pourquoi s'habille-t-elle de la sorte ? Elle n'a qu'à se couvrir, l’allumeuse ! Ces justifications de la violence, étayées sur une tradition patriarcale extrêmement ségrégationniste à l’endroit des femmes, donnent la mesure de la situation dans notre pays, mais aussi dans tous les pays du monde où le droit n’est pas égalitaire, où la culture de domination des femmes continue d’agir, parfois même lorsque les gouvernements sont dotés de lois égalitaires.
La violence exercée contre les femmes est un fléau social. Nous devons le sortir de la sphère privée, le traiter sur la scène publique sous l’angle du droit. Les survivantes de violences ont le droit à la protection, et l'État a le devoir de les protéger.
Mais pourquoi le 25 Novembre ?
Trois sœurs, Patricia, Minerva et Teresa Mirabel, appelées souvent les sœurs Mirabel, ont été assassinées le 25 novembre 1960 en République dominicaine, sur ordre du dictateur Rafael Leonidas Trujillo. Cet ignoble assassinat suscita une grande émotion populaire et déclencha un large mouvement de contestation. Le 30 mai 1961, le dictateur fut exécuté dans une embuscade tendue par des membres de ses propres forces armées.
En 1981, se tint à Bogota (Colombie) la première rencontre féministe pour l’Amérique latine et les Caraïbes. De nombreuses femmes dénoncèrent les violences qu’elles avaient subies au sein de leur famille ou hors du cercle familial, ainsi que celles commises par l’État (tortures, viol des prisonnières politiques, etc.).
À l’issue de cette rencontre, il fut décidé de faire du 25 novembre la Journée de l’élimination de la violence à l’égard des femmes, commémorée ensuite dans de nombreux pays d’Amérique latine. 39 ans après l'assassinat des sœurs Mirabel, à l’Assemblée générale des Nations unies, lors de sa 54e session le 19 octobre 1999, les représentants de la République dominicaine et de 74 autres États membres présentèrent un projet de résolution visant à faire du 25 novembre la Journée internationale de l’élimination de la violence à l’égard des femmes.
Le 17 décembre suivant, ce texte deviendra la résolution 54/134 qui définit cette violence comme tout acte portant un préjudice physique, sexuel ou psychologique aux femmes, que ce soit dans la sphère privée ou publique.
Cette résolution a été votée parce que la violence faite aux femmes est le fléau mondial le plus partagé : dans tous les pays, dans tous les groupes sociaux, culturels, économiques. Partout, la violence exercée contre les femmes est tolérée et partout des femmes meurent ou survivent, mutilées physiquement et psychologiquement, à leurs blessures. Les agresseurs sont majoritairement des proches : le mari, le père, le frère, etc..
Du 25 Novembre, Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes au 10 Décembre, Journée mondiale des droits humains, s'organise un peu partout dans le monde la quinzaine d'activisme contre les violences faites aux femmes.
Le fléau de la violence est tel qu'une quinzaine suffit à peine pour bousculer les consciences engourdies, faire entendre la voix de celles qui souffrent en silence et faire parler celles, et ceux, témoins de cette souffrance mais qui ne disent rien.
Le premier pas vers une société non violente est de dénoncer la violence. Partout. Sous toutes ses formes ! Tout au long de cette quinzaine, le réseau Wassila/Avife publiera des textes traitant de cette problématique. La violence nous concerne tous. Parlons-en !
Réseau Wassila/Avife
http://www.liberte-algerie.com/actualite/le-reseau-wassila-interpelle-les-consciences-25-novembre-journee-internationale-de-lutte-contre-les-violences-faites-aux-femmes-189478
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Re: 25 novembre; journée internationale contre la violence faite aux femmes!
La violence n’a pas de sexe et nous devons tous et toutes être solidaires sur cette question.
Red@_Senoune- Nombre de messages : 1986
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Re: 25 novembre; journée internationale contre la violence faite aux femmes!
Algérie : « 261 femmes sont décédées après avoir été battues »
A l’heure où le monde entier célèbre la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, l’Algérie, elle, déplore un bilan macabre et assiste impuissante face à la montée inquiétante des violences dont sont victimes au quotidien les femmes Algériennes.
Selon des associations de défense des droits des femmes, rien que durant les 8 derniers mois, pas moins de 261 femmes ont été tuées. « Ces 261 femmes sont décédées après avoir été battues », a indiqué pour sa part le collectif »Stop à la violence, les droits aux femmes maintenant ! » Soumeya Salhi, représentante de ce collectif, a fait savoir également, au cours d’une conférence de presse organisée dimanche à Alger, que les violences contre les femmes ont augmenté de 426 % durant les huit premiers mois de 2012, par rapport à la même période de 2011. De son côté, la gendarmerie nationale a relevé 1 354 cas d’actes de violence dont 297 viols et 329 atteintes à la pudeur subis par les femmes durant la même période, explique à ce sujet notre confrère Tout sur l’Algérie.
Signalons enfin que plusieurs associations de défense des droits de la femme se battent actuellement pour « la révision urgente et la modernisation des dispositions du Code pénal et autres textes s’intéressant à toutes les formes de violence contre les femmes », a-t-on précisé en dernier lieu.
http://www.algerie-focus.com/blog/2012/11/25/algerie-261-femmes-sont-decedees-apres-avoir-ete-battues/
A l’heure où le monde entier célèbre la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, l’Algérie, elle, déplore un bilan macabre et assiste impuissante face à la montée inquiétante des violences dont sont victimes au quotidien les femmes Algériennes.
Selon des associations de défense des droits des femmes, rien que durant les 8 derniers mois, pas moins de 261 femmes ont été tuées. « Ces 261 femmes sont décédées après avoir été battues », a indiqué pour sa part le collectif »Stop à la violence, les droits aux femmes maintenant ! » Soumeya Salhi, représentante de ce collectif, a fait savoir également, au cours d’une conférence de presse organisée dimanche à Alger, que les violences contre les femmes ont augmenté de 426 % durant les huit premiers mois de 2012, par rapport à la même période de 2011. De son côté, la gendarmerie nationale a relevé 1 354 cas d’actes de violence dont 297 viols et 329 atteintes à la pudeur subis par les femmes durant la même période, explique à ce sujet notre confrère Tout sur l’Algérie.
Signalons enfin que plusieurs associations de défense des droits de la femme se battent actuellement pour « la révision urgente et la modernisation des dispositions du Code pénal et autres textes s’intéressant à toutes les formes de violence contre les femmes », a-t-on précisé en dernier lieu.
http://www.algerie-focus.com/blog/2012/11/25/algerie-261-femmes-sont-decedees-apres-avoir-ete-battues/
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