Aokas Affaire des 106 logements LSP non distribués: L’ENPI rejette la balle à la commission de daïra
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Aokas Affaire des 106 logements LSP non distribués: L’ENPI rejette la balle à la commission de daïra
Réagissant aux «accusations» du maire sortant d’Aokas, au sujet du fameux projet des 106 logements LSP, Alili Bechker, directeur de wilaya de l’ENPI, promoteur incriminé, dément avoir co-signé la nouvelle liste établie par la sous-commission de la daïra, au motif que «certaines personnes qui y sont portées ne devaient pas l’être et d’autres, enlevées, remplissent toutes les conditions pour être retenues».
Par contre, il soulignera que le dossier complet de ces 106 logements, accompagné d’un recours dans lequel sont portés l’ensemble des réserves de l’entreprise, sera transmis au directeur du logement et des équipements publics, en sa qualité de président du comité Ad-hoc, avant la fin de la semaine. Concernant le retard, il l’imputera au fait qu’après la fusion et résorption de l’EPLF par une entreprise nouvellement créée, l’ENPI en l’occurrence, les activités de l’entreprise mère étaient gelées de 2008 à 2010 et ce n’est qu’à l’installation de la nouvelle direction que cette dernière a régularisé la situation de tous les projets en ouvrant des registres, côtés et paraphés, avec insertion dans les journaux d’avis de vente. La démarche habituelle de l’ex-entreprise, qui consiste en l’attribution de quotas, a été remise en cause, et pour Aokas, il a été convenu de réétudier la première liste afin de l’assainir. Chose absurde pour ce responsable, pour qui les mêmes erreurs ont été, encore une fois, refaites par cette sous commission, dont le représentant de l’ENPI n’a assisté qu’à une seule de ses séances du fait qu’il était invité à chaque fois à la dernière minute. Pour ce qui est de la quote-part de 10 % à réserver au promoteur, elle n’existe dans aucune loi de la République. Elle a été plutôt décidée par l’ancien wali, suite aux remarques du ministre de l’Habitat lors de son passage en 2008, qui avait signé une note dans laquelle il rappelait que le promoteur ouvrait droit à un quota, sans en préciser le taux ou autre. Alors, sur cette base, il a été convenu avec les membres de la sous commission de réserver une quote-part de 14 logements sur les 106 à l’ENPI, dont l’existence et le nombre ont été rappelés dans la correspondance de juillet, qui accompagnait les dossiers envoyés au chef de daïra, sans que celui-ci ne s’y oppose, avant de le faire, unilatéralement, plus tard. Selon ce dernier, cette mésentente, entre le promoteur et le chef de daïra, sera réglée par le comité Ad-hoc, lors de sa séance de validation. Avant de conclure, notre interlocuteur s’interrogera sur l’information qui filtre des réunions de cette commission, au point où une trentaine de recours sont actuellement sur le bureau du DLEP, alors qu’aucun postulant n’est censé connaître les noms des bénéficiaires portés sur la liste.
A. Gana.
Par contre, il soulignera que le dossier complet de ces 106 logements, accompagné d’un recours dans lequel sont portés l’ensemble des réserves de l’entreprise, sera transmis au directeur du logement et des équipements publics, en sa qualité de président du comité Ad-hoc, avant la fin de la semaine. Concernant le retard, il l’imputera au fait qu’après la fusion et résorption de l’EPLF par une entreprise nouvellement créée, l’ENPI en l’occurrence, les activités de l’entreprise mère étaient gelées de 2008 à 2010 et ce n’est qu’à l’installation de la nouvelle direction que cette dernière a régularisé la situation de tous les projets en ouvrant des registres, côtés et paraphés, avec insertion dans les journaux d’avis de vente. La démarche habituelle de l’ex-entreprise, qui consiste en l’attribution de quotas, a été remise en cause, et pour Aokas, il a été convenu de réétudier la première liste afin de l’assainir. Chose absurde pour ce responsable, pour qui les mêmes erreurs ont été, encore une fois, refaites par cette sous commission, dont le représentant de l’ENPI n’a assisté qu’à une seule de ses séances du fait qu’il était invité à chaque fois à la dernière minute. Pour ce qui est de la quote-part de 10 % à réserver au promoteur, elle n’existe dans aucune loi de la République. Elle a été plutôt décidée par l’ancien wali, suite aux remarques du ministre de l’Habitat lors de son passage en 2008, qui avait signé une note dans laquelle il rappelait que le promoteur ouvrait droit à un quota, sans en préciser le taux ou autre. Alors, sur cette base, il a été convenu avec les membres de la sous commission de réserver une quote-part de 14 logements sur les 106 à l’ENPI, dont l’existence et le nombre ont été rappelés dans la correspondance de juillet, qui accompagnait les dossiers envoyés au chef de daïra, sans que celui-ci ne s’y oppose, avant de le faire, unilatéralement, plus tard. Selon ce dernier, cette mésentente, entre le promoteur et le chef de daïra, sera réglée par le comité Ad-hoc, lors de sa séance de validation. Avant de conclure, notre interlocuteur s’interrogera sur l’information qui filtre des réunions de cette commission, au point où une trentaine de recours sont actuellement sur le bureau du DLEP, alors qu’aucun postulant n’est censé connaître les noms des bénéficiaires portés sur la liste.
A. Gana.
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Re: Aokas Affaire des 106 logements LSP non distribués: L’ENPI rejette la balle à la commission de daïra
http://www.depechedekabylie.com/national/115698-lenpi-rejette-la-balle-a-la-commission-de-daira.html
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