La Politique de l'Iran
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La Politique de l'Iran
6 articles concis, tirés du site :www.lejournalduforkane.com :
L'Iran : le grand jeu (1) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Rappelons l’histoire récente de l’Iran islamique. Avant Khomeiny, il y eut Kachani, Modarès, Mossadegh, et d’autres. Persécutés depuis 1963, Khomeiny rentre vainqueur en Iran en 1979. Cette date va marquer une grande rupture dans la région et le reste du monde. Le monde divisé entre les USA et l’URSS n’a plus de sens. Le grand jeu pour se partager le monde s’effondre : le mot d’ordre est tous contre la République Islamique d’Iran. Les Puissances ont peur d’une expansion du vrai message de la Révolution.
L’Arabie Saoudite et les pays arabes en général vont lier leurs destins à la volonté US. Les soviétiques envahissent l’Afghanistan. C’est le début d’un long cauchemar pour les Afghans. L’envahisseur vient soutenir le régime communiste afghan. Les pays arabes se débarrassent des islamistes djihadistes en les envoyant dans ce pays. La CIA et l’ISI (Pakistan) manipulent ces groupes et il revient à l’Arabie de les financer et d’adopter l’idéologie wahhabite salafiste. Après la débâcle de l’URSS, ces groupes iront semer le chaos dans les pays d’origine. Tandis que les chefs locaux vont plonger le pays dans la guerre civile. Viennent ensuite les talibans qui chassent de Kaboul les chefs de guerre. Seul le commandant Massoud finira par résister dans la Vallée du Panshir. Il n’y a pas de vraie révolution islamique en Afghanistan.
Dès 1980, Saddam envahit l’Iran. La guerre dure jusqu’en 1988. L’Irak est surarmé. Epuisé, il est dans la ligne de mire d’Israël. Après la guerre imposée à l’Iran, Saddam attaque le Koweït. L’Arabie Saoudite a peur et en appelle aux USA et à une coalition des pays. C’est un nouvel échec total. L’Irak se retire du Koweït, s’ensuit un bombardement et un embargo impitoyable. Ce blocus dure jusqu’à nos jours en 2010.
Au commencement de la guerre contre l’Iran, Israël bombarde la centrale nucléaire d’Osirak. Saddam aurait pu dire son refus de faire la guerre puisque c’est pour eux qu’il se bat. Rien y fait. Nous avons là une âme d’esclave qui rampe devant la force. En 1991 et 2003 cela apparaîtra nettement aux yeux du monde. Déjà en 1988, Saddam face aux Iraniens capitulera devant l’inflexibilité de Khomeiny.
En tirant les leçons de ces événements tragiques, prions pour la Parousie de l’Imam Al-Mahdi qui saura quoi faire de ces hypocrites qui attendent leur tour comme des moutons qui vont à l’abattoir résignés.
L’Iran : le grand jeu (2) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Le 11 septembre 2001, les stratèges sionistes américains comprennent qu’après la défaite de l’Irak contre l’Iran, nulle puissance n’est à même seule d’affronter l’Iran islamique. Il reste à l’Amérique à s’engager militairement pour l’encercler puis l’attaquer : ils font s’effondrer le World Trade Center en en dynamitant les étages dès que les avions le percutent. Tous croient que la destruction des tours provient des avions. Bush n’en revient pas.
En 2001, l’Afghanistan est bombardé et les talibans abandonnés par les services US, pakistanais et saoudiens, sont chassés de Kaboul. Peu après, les talibans déchus, la résistance s’organise et l’insurrection est généralisée. Il faut des renforts pout les occupants qui comptent 100 000 hommes. Pour discréditer la résistance les insurgés sont appelés talibans alors que ce sont des pauvres gens dont l’honneur ne supporte pas l’humiliation. Les Afghans ont une foi sincère et simple. Ils ne font pas de politique mais la guerre quand elle vient.
En 2003, en Irak plus de 23500 bombes de toutes sortes tombent sur le pays : l’occupation engendre 2 millions de morts, 5 millions d’orphelins, 2 millions de veuves, 5 millions de réfugiés, l’assassinat des élites, l’utilisation de l’uranium appauvri (nouveau-né handicapé, stérilité…) …Saddam et Ben Laden sont morts.
Pour l’Afghanistan, les Américains parlent de lutte contre le terrorisme ; pour l’Irak d’armes de destruction massive. Mais l’avenir est encore plus incertain car il laisse poindre de nouvelles guerres, des sanctions, des embargos et du terrorisme avec l’évocation des droits de l’homme et de la démocratie comme en Tunisie, l’Egypte, l’Arabie Saoudite. Les pays visés pour sauver leurs peaux, collaborent avec l’Amérique et Israël aveuglément. Pour d’autres pays, on parle de danger nucléaire comme pour la Corée du Nord et l’Iran.
L’axe du mal compte l’Afghanistan, l’Irak et l’Iran. Il ne reste que l’Iran. Mais Bush devant le chaos irakien, recule. Il refuse l’option militaire malgré la pression des médias sionistes. Il ne parle que de négociation et remercie Dieu de n’avoir plus que quelques temps à passer à la Maison Blanche.
Al-Mahdi saura châtier ces hypocrites qui ont vendu leur âme au diable. Déjà le Pakistan commence à payer très cher son aventurisme en Afghanistan sous la direction de la CIA.
L’Iran : le grand jeu (3) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Entre l’Iran et l’Amérique au service d’Israël, c’est le grand jeu. Parallèlement au tapage médiatique sur le nucléaire, les sionistes recourt au terrorisme. Les Américains campent avec toute une armada dans l’Océan indien, le Golfe d’Aden, le Golfe Persique, la mer Rouge et la mer méditerranée et dans les pays du Golfe ainsi assiégeant l’Iran. L’espionnage par satellite ou par mercenaires payés très cher bats son plein. Les services iraniens déjouent des tentatives d’attentats contre l’ambassade russe par exemple et des personnalités importantes.
Cette volonté de déstabilisation de l’Iran apparaît au grand jour avec l’attentat de hauts responsables des gardiens de la Révolution dans la province du Sistan-Baloutchistan : 42 morts et des dizaines de blessés. Le Congrès US prépare un projet de loi contre les vendeurs d’essence à l’Iran. D’Afghanistan est encouragé le trafic de drogue qui chemine par l’Iran. C’est une véritable guerre entre trafiquants lourdement armés et l’armée iranienne : 80% des saisies sont le fait de l’Iran.
L’Iran accuse l’Occident d’être complice des pirates somaliens. Et la chaîne arabophone iranienne Alalam dévoile les collusions Arabie Saoudite-sionisme. Cette chaîne a pour but de dénoncer les injustices et les trahisons dont les Palestiniens souffrent à cause d’Israël, de l’Arabie et l’Egypte… Pris de panique par l’idée d’un réveil des consciences arabes et islamiques, l’Arabie Saoudite avec Arabsat et l’Egypte avec Nilesat excluent Alalam. Les Iraniens tissent des liens forts en Afrique et en Amérique Latine : Sénégal, Erythrée, Venezuela, Bolivie, Brésil, Mexique…
Pour le Mexique, Les Etats-Unis se réveillent et offrent 18 hélicoptères pour lutter contre les trafiquants de drogues ainsi que des vaccins contre la grippe A qui lui ont inoculé. Ils tentent une médiation pour instaurer la paix au Yémen et au Soudan. Le cas Somalien et plus obscure.
Le directeur général, M. Baradéi, la Suède et la Russie promet des S 300 et d’achever la construction de la centrale de Boushehr. C’est que l’Iran est un pays qui peut se passer de l’Occident. Les Etats-Unis, Sarkozy et Israël se réveillent de leur sommeil arrogant et débarquent en Amérique latine pour briser la dynamique iranienne.
L’Iran est le seul pays à s’opposer fermement aux puissances pour imposer son droit à la technologie nucléaire qui servira beaucoup à l’Imam attendu pour une œuvre que seuls ceux qui poussent les Etats à s’opposer à une centrale nucléaire en Iran . Le grand jeu continue.
L’Iran : le grand jeu (4) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
En même temps que les bombes et les intimidations médiatiques, l’ennemi profite des grandes occasions pour créer des émeutes de plus en plus violentes. Le 12 juin 2009, les élections présidentielles comptent 85% de taux de participation et Ahmadinejad est réélu avec 25 millions de voix. Soudain, le secret a été bien gardé, on s’aperçoit de l’ampleur du complot sioniste. Des manifestations en faveur de Mir Hussein Moussavi, remettent en cause le résultat du scrutin. Des centaines de milliers de jeunes et de femmes, descendent dans la rue. On finit par comprendre que la CIA et le Mossad (les services des puissances) ont mis en place depuis un an un réseau internet de faux message, de nouvelles choquantes pour faire sortir les gens contre le gouvernement.
Pourtant, c’est l’échec. Il n’y aura pas de révolution de velours comme en Géorgie, Ukraine, Kirghizistan et en Serbie pour faire tomber Milosevic. Pour le Venezuela, c’est une tentative avortée. Les 2 camps doivent s’affronter et un nouveau régime (« démocratique ») doit émerger sans la participation directe des puissances conspiratrices. Les services des puissances profitent des fêtes nationales et religieuses qui font sortir les gens dans les rues pour amener la foule à s’en prendre au pouvoir (wilayat el faqih), à la religion (profaner l’Achoura qui célèbre le martyr de l’Imam Hussein).
A nouveau, c’est un échec. Le peuple comme après les élections sort en masse pour faire allégeance au guide dans toutes les villes du pays. La répression n’est pas le facteur le plus important de l’échec. Il y a eu le discours fort et énergique de Khamenei, le jeu modérateur de Moussavi (qui propose après les événements de l’Achoura, l’arrêt de la répression et la fin de la crise en 5 points et se dit même prêt au martyr), le choc de la population devant le vandalisme (destruction de biens publics et incendie d’une mosquée), les aveux des terroristes (dont les monafiqines [‘‘hypocrites’’] d’obédience marxiste) formés en Grande Bretagne pour faire des attentats (comme près des mausolés de Khomeiny), les nombreuses arrestations dont une française et des agents iraniens de l’ambassade de Grande Bretagne à Téhéran.
L’Achoura a été profanée par des éléments athées comme les moafiqines marxistes et sectaires que les médias crient à l’envie que c’est l’opposition. La dirigeante de cette secte a elle-même confirmé cette implication. Il reste que l’utilisation de la couleur verte (comme en Europe de l’Est, on préférait d’autres couleurs) a quelque chose d’enfantin. Ces événements ont eu un effet inverse. Ils vont renforcer la vigilance du peuple iranien qui a vite compris l’acharnement des médias et l’empressement suspect des occidentaux à vouloir s’ingérer dans les affaires du pays. C’est un peuple très nationaliste. Toutes les manœuvres militaires visent à dissuader tout aventurisme occidental. Les ruses diaboliques des sionistes seront toujours en échec face à l’union du pouvoir et du peuple.
En attendant Al-Mahdi, prions pour l’Iran et soyons vigilants contre les illusions de l’Antéchrist. L’Iran a encore une carte à jouer dans ce jeu d’échec à l’échelle du monde
L’Iran : le grand jeu (5) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
On assiste à une véritable offensive de l’ennemi contre la République islamique. Ce qui révèle une panique certaine des puissances. Il y a eu les manifestations après les élections présidentielles. Lors de l’Achoura (jour sacré de la mort en martyr de l’Imam Hossein), on assiste à une radicalisation avec des éléments contre la religion. Ils s’attaquent au ‘‘wilayat el faqih’’ (gouvernement du jurisconsulte) alors que cela a évité à l’Iran de souffrir de la dictature post-révolutionnaire. Mais rien y fait, c’est un échec.
A cet échec répond le recours aux attentats. Après des tentatives déjouées contre l’ambassade russe par exemple succèdent des attaques de différents groupes au service des Américains contre de hauts responsables des Gardiens de la Révolution au Sistan-Baloutchistan, dans la zone kurde à la frontière avec l’Irak, sans parler des pèlerins iraniens tués dans les lieux saints irakiens. Ensuite, on s’en prend aux scientifiques nucléaires : un scientifique nucléaire en pèlerinage à la Mecque est remis par les Saoudiens aux Américains ; un autre est tué dans un attentat par les mercenaires de l’Amérique et d’Israël. Des problèmes frontaliers avec l’Irak sont soulevés par les Américains mais l’Iran les règle avec diplomatie. Mais rien y fait, c’est un échec.
Car l’Iran avance ses pions aux 4 coins du monde. Les relations s’appuient sur la religion, la politique, l’économie et le militaire. Relations consolidées avec la Syrie, le Venezuela, la Bolivie et le Sénégal. Rapprochement avec le Turkménistan, le Tadjikistan, le Zimbabwe, l’Inde (avec l’oléoduc de la paix qui passe par le Pakistan), Oman, le Belarus et le Mexique (pour lutter conte les trafiquants de drogue mais les Etats-Unis interviennent avec une aide financière et militaire pour ensuite faire tomber le pays dans le chaos et l’anarchie). L’Iran neutralise la France de Sarkozy pour éviter la rupture avec l’UE.
S’en est trop. Israël se lance dans la bataille. Avidgor Libermann, ministre des Affaires étrangères israéliens, est suivi par Shimon Pérez, Président d’Israël, dans une tournée en Amérique du Sud pour dissuader les pays européens de se lier avec l’Iran. Après le départ de Pérez du Brésil son président invite aussitôt le président iranien Ahmadinejad au Brésil. Rien y fait décidément, c’est un échec. Les maîtres des échecs de la diplomatie sont trop forts. Il ne reste plus que les menaces de guerres, de bombardements des sites nucléaires. Ces derniers sont une dernière carte.
En Iran, on est digne de recevoir Al-Mahdi qui fera entrer les maîtres aryens de la Politique, dans la prophétie.
L'Iran : le grand jeu (6) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Derrière le problème du nucléaire iranien, se cachent la peur qu’inspirent les progrès scientifiques accélérés de l’Iran. Israël panique le sionisme mondial engage son bras armé, le grand satan américain dans la bataille. L’Amérique entraîne le reste du monde. Des ingénieurs, des scientifiques nucléaires sont emprisonnés, assassinés. Elles ne cachent pas dépenser 45 millions de dollars contre l’Iran pour l’attaquer par Internet. Le congrès US demande des sanctions renforcées comme sur l’essence que l’Iran doit importer en partie. De plus, les Etats-Unis vont installer un bouclier anti-missile dans les Etats du la région du Golfe Persique. Ces Etats croient être protégés quand ils sont de fait sous occupation.
Cela n’affaiblit nullement l’Iran, qui prévoit son indépendance dans tous domaines menacés. Ce qui favorise l’Iran, c’est les mauvaises relations, voire la crise entre la Russie et les Etats-Unis. La Roumanie propose l’installation d’un bouclier anti-missile US sur son sol. C’est le même problème qu’avec la Pologne et la République Tchèque. Il y a aussi la confrontation entre les Américains et la Chine. Deux ouigours (du Xinjiang, province chinoise) libérés de Guantanamo, sont accueillis en Suisse. Les Etats-Unis accusent le Yuan (monnaie chinoise) de doper les exportations. Obama veut rencontrer le Dalaï-lama (le 18 févier 2010). Mais le plus scandaleux pour les chinois, c’est la vente d’armes à Taïwan pour 6 milliard de dollars. La Chine répond (ce n’est qu’un début) en n’achetant plus de volaille des Etats-Unis. Tout cela fait le jeu de l’Iran qui tisse sa toile dans le monde : en Amérique latine, en Afrique, Au Moyen-Orient, en Asie.
L’Iran répond pacifiquement par la technologie. Elle propose au Pakistan et à l’Inde un « oléoduc de la paix ». La Chine veut y participer. Les Iraniens établissent un chemin de fer vers Bassorah et se disent prêts pour la résolution du problème somalien, mais pour l’instant l’Amérique attisent le feu. Accélération du défi technologique. L’Iran envoie des fusée spatiale avec des animaux, plus tard avec des hommes et construit un avion indétectable aux radars, des drones, production massive de missiles divers pour dissuader l’ennemi et même une voiture électrique…etc. L’apothéose vient avec ces millions d’Iranien qui manifestent dans toutes les villes du pays pour fêter le 31ème anniversaire de la Révolution islamique.
Avec l’Islam authentique, les Iraniens ont retrouvé une fierté que l’Ancien Régime avait foulée aux pieds. L’Iran a réussie ce coup de force en pratique de lier science et foi par des chaînes de fers et de diamants. Comme aux temps du Prophète (P) et de l’Imam Ali, l’Islam est parti de rien, de quelques compagnons déterminés par la foi, partis de la Mecque pour transmettre au monde le message de l’Islam de paix et de progrès humain. Les armées ennemies qui
empêchent la propagation du message aux déshérités sont terrassées.
C’est bien ce qui se passera avec l’Imam Al-Mahdi qui fera accomplira la promesse du Christ : qui use du glaive périra par le glaive et les premiers seront les derniers et les derniers, les premiers.
L'Iran : le grand jeu (1) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Rappelons l’histoire récente de l’Iran islamique. Avant Khomeiny, il y eut Kachani, Modarès, Mossadegh, et d’autres. Persécutés depuis 1963, Khomeiny rentre vainqueur en Iran en 1979. Cette date va marquer une grande rupture dans la région et le reste du monde. Le monde divisé entre les USA et l’URSS n’a plus de sens. Le grand jeu pour se partager le monde s’effondre : le mot d’ordre est tous contre la République Islamique d’Iran. Les Puissances ont peur d’une expansion du vrai message de la Révolution.
L’Arabie Saoudite et les pays arabes en général vont lier leurs destins à la volonté US. Les soviétiques envahissent l’Afghanistan. C’est le début d’un long cauchemar pour les Afghans. L’envahisseur vient soutenir le régime communiste afghan. Les pays arabes se débarrassent des islamistes djihadistes en les envoyant dans ce pays. La CIA et l’ISI (Pakistan) manipulent ces groupes et il revient à l’Arabie de les financer et d’adopter l’idéologie wahhabite salafiste. Après la débâcle de l’URSS, ces groupes iront semer le chaos dans les pays d’origine. Tandis que les chefs locaux vont plonger le pays dans la guerre civile. Viennent ensuite les talibans qui chassent de Kaboul les chefs de guerre. Seul le commandant Massoud finira par résister dans la Vallée du Panshir. Il n’y a pas de vraie révolution islamique en Afghanistan.
Dès 1980, Saddam envahit l’Iran. La guerre dure jusqu’en 1988. L’Irak est surarmé. Epuisé, il est dans la ligne de mire d’Israël. Après la guerre imposée à l’Iran, Saddam attaque le Koweït. L’Arabie Saoudite a peur et en appelle aux USA et à une coalition des pays. C’est un nouvel échec total. L’Irak se retire du Koweït, s’ensuit un bombardement et un embargo impitoyable. Ce blocus dure jusqu’à nos jours en 2010.
Au commencement de la guerre contre l’Iran, Israël bombarde la centrale nucléaire d’Osirak. Saddam aurait pu dire son refus de faire la guerre puisque c’est pour eux qu’il se bat. Rien y fait. Nous avons là une âme d’esclave qui rampe devant la force. En 1991 et 2003 cela apparaîtra nettement aux yeux du monde. Déjà en 1988, Saddam face aux Iraniens capitulera devant l’inflexibilité de Khomeiny.
En tirant les leçons de ces événements tragiques, prions pour la Parousie de l’Imam Al-Mahdi qui saura quoi faire de ces hypocrites qui attendent leur tour comme des moutons qui vont à l’abattoir résignés.
L’Iran : le grand jeu (2) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Le 11 septembre 2001, les stratèges sionistes américains comprennent qu’après la défaite de l’Irak contre l’Iran, nulle puissance n’est à même seule d’affronter l’Iran islamique. Il reste à l’Amérique à s’engager militairement pour l’encercler puis l’attaquer : ils font s’effondrer le World Trade Center en en dynamitant les étages dès que les avions le percutent. Tous croient que la destruction des tours provient des avions. Bush n’en revient pas.
En 2001, l’Afghanistan est bombardé et les talibans abandonnés par les services US, pakistanais et saoudiens, sont chassés de Kaboul. Peu après, les talibans déchus, la résistance s’organise et l’insurrection est généralisée. Il faut des renforts pout les occupants qui comptent 100 000 hommes. Pour discréditer la résistance les insurgés sont appelés talibans alors que ce sont des pauvres gens dont l’honneur ne supporte pas l’humiliation. Les Afghans ont une foi sincère et simple. Ils ne font pas de politique mais la guerre quand elle vient.
En 2003, en Irak plus de 23500 bombes de toutes sortes tombent sur le pays : l’occupation engendre 2 millions de morts, 5 millions d’orphelins, 2 millions de veuves, 5 millions de réfugiés, l’assassinat des élites, l’utilisation de l’uranium appauvri (nouveau-né handicapé, stérilité…) …Saddam et Ben Laden sont morts.
Pour l’Afghanistan, les Américains parlent de lutte contre le terrorisme ; pour l’Irak d’armes de destruction massive. Mais l’avenir est encore plus incertain car il laisse poindre de nouvelles guerres, des sanctions, des embargos et du terrorisme avec l’évocation des droits de l’homme et de la démocratie comme en Tunisie, l’Egypte, l’Arabie Saoudite. Les pays visés pour sauver leurs peaux, collaborent avec l’Amérique et Israël aveuglément. Pour d’autres pays, on parle de danger nucléaire comme pour la Corée du Nord et l’Iran.
L’axe du mal compte l’Afghanistan, l’Irak et l’Iran. Il ne reste que l’Iran. Mais Bush devant le chaos irakien, recule. Il refuse l’option militaire malgré la pression des médias sionistes. Il ne parle que de négociation et remercie Dieu de n’avoir plus que quelques temps à passer à la Maison Blanche.
Al-Mahdi saura châtier ces hypocrites qui ont vendu leur âme au diable. Déjà le Pakistan commence à payer très cher son aventurisme en Afghanistan sous la direction de la CIA.
L’Iran : le grand jeu (3) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Entre l’Iran et l’Amérique au service d’Israël, c’est le grand jeu. Parallèlement au tapage médiatique sur le nucléaire, les sionistes recourt au terrorisme. Les Américains campent avec toute une armada dans l’Océan indien, le Golfe d’Aden, le Golfe Persique, la mer Rouge et la mer méditerranée et dans les pays du Golfe ainsi assiégeant l’Iran. L’espionnage par satellite ou par mercenaires payés très cher bats son plein. Les services iraniens déjouent des tentatives d’attentats contre l’ambassade russe par exemple et des personnalités importantes.
Cette volonté de déstabilisation de l’Iran apparaît au grand jour avec l’attentat de hauts responsables des gardiens de la Révolution dans la province du Sistan-Baloutchistan : 42 morts et des dizaines de blessés. Le Congrès US prépare un projet de loi contre les vendeurs d’essence à l’Iran. D’Afghanistan est encouragé le trafic de drogue qui chemine par l’Iran. C’est une véritable guerre entre trafiquants lourdement armés et l’armée iranienne : 80% des saisies sont le fait de l’Iran.
L’Iran accuse l’Occident d’être complice des pirates somaliens. Et la chaîne arabophone iranienne Alalam dévoile les collusions Arabie Saoudite-sionisme. Cette chaîne a pour but de dénoncer les injustices et les trahisons dont les Palestiniens souffrent à cause d’Israël, de l’Arabie et l’Egypte… Pris de panique par l’idée d’un réveil des consciences arabes et islamiques, l’Arabie Saoudite avec Arabsat et l’Egypte avec Nilesat excluent Alalam. Les Iraniens tissent des liens forts en Afrique et en Amérique Latine : Sénégal, Erythrée, Venezuela, Bolivie, Brésil, Mexique…
Pour le Mexique, Les Etats-Unis se réveillent et offrent 18 hélicoptères pour lutter contre les trafiquants de drogues ainsi que des vaccins contre la grippe A qui lui ont inoculé. Ils tentent une médiation pour instaurer la paix au Yémen et au Soudan. Le cas Somalien et plus obscure.
Le directeur général, M. Baradéi, la Suède et la Russie promet des S 300 et d’achever la construction de la centrale de Boushehr. C’est que l’Iran est un pays qui peut se passer de l’Occident. Les Etats-Unis, Sarkozy et Israël se réveillent de leur sommeil arrogant et débarquent en Amérique latine pour briser la dynamique iranienne.
L’Iran est le seul pays à s’opposer fermement aux puissances pour imposer son droit à la technologie nucléaire qui servira beaucoup à l’Imam attendu pour une œuvre que seuls ceux qui poussent les Etats à s’opposer à une centrale nucléaire en Iran . Le grand jeu continue.
L’Iran : le grand jeu (4) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
En même temps que les bombes et les intimidations médiatiques, l’ennemi profite des grandes occasions pour créer des émeutes de plus en plus violentes. Le 12 juin 2009, les élections présidentielles comptent 85% de taux de participation et Ahmadinejad est réélu avec 25 millions de voix. Soudain, le secret a été bien gardé, on s’aperçoit de l’ampleur du complot sioniste. Des manifestations en faveur de Mir Hussein Moussavi, remettent en cause le résultat du scrutin. Des centaines de milliers de jeunes et de femmes, descendent dans la rue. On finit par comprendre que la CIA et le Mossad (les services des puissances) ont mis en place depuis un an un réseau internet de faux message, de nouvelles choquantes pour faire sortir les gens contre le gouvernement.
Pourtant, c’est l’échec. Il n’y aura pas de révolution de velours comme en Géorgie, Ukraine, Kirghizistan et en Serbie pour faire tomber Milosevic. Pour le Venezuela, c’est une tentative avortée. Les 2 camps doivent s’affronter et un nouveau régime (« démocratique ») doit émerger sans la participation directe des puissances conspiratrices. Les services des puissances profitent des fêtes nationales et religieuses qui font sortir les gens dans les rues pour amener la foule à s’en prendre au pouvoir (wilayat el faqih), à la religion (profaner l’Achoura qui célèbre le martyr de l’Imam Hussein).
A nouveau, c’est un échec. Le peuple comme après les élections sort en masse pour faire allégeance au guide dans toutes les villes du pays. La répression n’est pas le facteur le plus important de l’échec. Il y a eu le discours fort et énergique de Khamenei, le jeu modérateur de Moussavi (qui propose après les événements de l’Achoura, l’arrêt de la répression et la fin de la crise en 5 points et se dit même prêt au martyr), le choc de la population devant le vandalisme (destruction de biens publics et incendie d’une mosquée), les aveux des terroristes (dont les monafiqines [‘‘hypocrites’’] d’obédience marxiste) formés en Grande Bretagne pour faire des attentats (comme près des mausolés de Khomeiny), les nombreuses arrestations dont une française et des agents iraniens de l’ambassade de Grande Bretagne à Téhéran.
L’Achoura a été profanée par des éléments athées comme les moafiqines marxistes et sectaires que les médias crient à l’envie que c’est l’opposition. La dirigeante de cette secte a elle-même confirmé cette implication. Il reste que l’utilisation de la couleur verte (comme en Europe de l’Est, on préférait d’autres couleurs) a quelque chose d’enfantin. Ces événements ont eu un effet inverse. Ils vont renforcer la vigilance du peuple iranien qui a vite compris l’acharnement des médias et l’empressement suspect des occidentaux à vouloir s’ingérer dans les affaires du pays. C’est un peuple très nationaliste. Toutes les manœuvres militaires visent à dissuader tout aventurisme occidental. Les ruses diaboliques des sionistes seront toujours en échec face à l’union du pouvoir et du peuple.
En attendant Al-Mahdi, prions pour l’Iran et soyons vigilants contre les illusions de l’Antéchrist. L’Iran a encore une carte à jouer dans ce jeu d’échec à l’échelle du monde
L’Iran : le grand jeu (5) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
On assiste à une véritable offensive de l’ennemi contre la République islamique. Ce qui révèle une panique certaine des puissances. Il y a eu les manifestations après les élections présidentielles. Lors de l’Achoura (jour sacré de la mort en martyr de l’Imam Hossein), on assiste à une radicalisation avec des éléments contre la religion. Ils s’attaquent au ‘‘wilayat el faqih’’ (gouvernement du jurisconsulte) alors que cela a évité à l’Iran de souffrir de la dictature post-révolutionnaire. Mais rien y fait, c’est un échec.
A cet échec répond le recours aux attentats. Après des tentatives déjouées contre l’ambassade russe par exemple succèdent des attaques de différents groupes au service des Américains contre de hauts responsables des Gardiens de la Révolution au Sistan-Baloutchistan, dans la zone kurde à la frontière avec l’Irak, sans parler des pèlerins iraniens tués dans les lieux saints irakiens. Ensuite, on s’en prend aux scientifiques nucléaires : un scientifique nucléaire en pèlerinage à la Mecque est remis par les Saoudiens aux Américains ; un autre est tué dans un attentat par les mercenaires de l’Amérique et d’Israël. Des problèmes frontaliers avec l’Irak sont soulevés par les Américains mais l’Iran les règle avec diplomatie. Mais rien y fait, c’est un échec.
Car l’Iran avance ses pions aux 4 coins du monde. Les relations s’appuient sur la religion, la politique, l’économie et le militaire. Relations consolidées avec la Syrie, le Venezuela, la Bolivie et le Sénégal. Rapprochement avec le Turkménistan, le Tadjikistan, le Zimbabwe, l’Inde (avec l’oléoduc de la paix qui passe par le Pakistan), Oman, le Belarus et le Mexique (pour lutter conte les trafiquants de drogue mais les Etats-Unis interviennent avec une aide financière et militaire pour ensuite faire tomber le pays dans le chaos et l’anarchie). L’Iran neutralise la France de Sarkozy pour éviter la rupture avec l’UE.
S’en est trop. Israël se lance dans la bataille. Avidgor Libermann, ministre des Affaires étrangères israéliens, est suivi par Shimon Pérez, Président d’Israël, dans une tournée en Amérique du Sud pour dissuader les pays européens de se lier avec l’Iran. Après le départ de Pérez du Brésil son président invite aussitôt le président iranien Ahmadinejad au Brésil. Rien y fait décidément, c’est un échec. Les maîtres des échecs de la diplomatie sont trop forts. Il ne reste plus que les menaces de guerres, de bombardements des sites nucléaires. Ces derniers sont une dernière carte.
En Iran, on est digne de recevoir Al-Mahdi qui fera entrer les maîtres aryens de la Politique, dans la prophétie.
L'Iran : le grand jeu (6) (Posté dans 19 février 2012 par Ali Dani)
Derrière le problème du nucléaire iranien, se cachent la peur qu’inspirent les progrès scientifiques accélérés de l’Iran. Israël panique le sionisme mondial engage son bras armé, le grand satan américain dans la bataille. L’Amérique entraîne le reste du monde. Des ingénieurs, des scientifiques nucléaires sont emprisonnés, assassinés. Elles ne cachent pas dépenser 45 millions de dollars contre l’Iran pour l’attaquer par Internet. Le congrès US demande des sanctions renforcées comme sur l’essence que l’Iran doit importer en partie. De plus, les Etats-Unis vont installer un bouclier anti-missile dans les Etats du la région du Golfe Persique. Ces Etats croient être protégés quand ils sont de fait sous occupation.
Cela n’affaiblit nullement l’Iran, qui prévoit son indépendance dans tous domaines menacés. Ce qui favorise l’Iran, c’est les mauvaises relations, voire la crise entre la Russie et les Etats-Unis. La Roumanie propose l’installation d’un bouclier anti-missile US sur son sol. C’est le même problème qu’avec la Pologne et la République Tchèque. Il y a aussi la confrontation entre les Américains et la Chine. Deux ouigours (du Xinjiang, province chinoise) libérés de Guantanamo, sont accueillis en Suisse. Les Etats-Unis accusent le Yuan (monnaie chinoise) de doper les exportations. Obama veut rencontrer le Dalaï-lama (le 18 févier 2010). Mais le plus scandaleux pour les chinois, c’est la vente d’armes à Taïwan pour 6 milliard de dollars. La Chine répond (ce n’est qu’un début) en n’achetant plus de volaille des Etats-Unis. Tout cela fait le jeu de l’Iran qui tisse sa toile dans le monde : en Amérique latine, en Afrique, Au Moyen-Orient, en Asie.
L’Iran répond pacifiquement par la technologie. Elle propose au Pakistan et à l’Inde un « oléoduc de la paix ». La Chine veut y participer. Les Iraniens établissent un chemin de fer vers Bassorah et se disent prêts pour la résolution du problème somalien, mais pour l’instant l’Amérique attisent le feu. Accélération du défi technologique. L’Iran envoie des fusée spatiale avec des animaux, plus tard avec des hommes et construit un avion indétectable aux radars, des drones, production massive de missiles divers pour dissuader l’ennemi et même une voiture électrique…etc. L’apothéose vient avec ces millions d’Iranien qui manifestent dans toutes les villes du pays pour fêter le 31ème anniversaire de la Révolution islamique.
Avec l’Islam authentique, les Iraniens ont retrouvé une fierté que l’Ancien Régime avait foulée aux pieds. L’Iran a réussie ce coup de force en pratique de lier science et foi par des chaînes de fers et de diamants. Comme aux temps du Prophète (P) et de l’Imam Ali, l’Islam est parti de rien, de quelques compagnons déterminés par la foi, partis de la Mecque pour transmettre au monde le message de l’Islam de paix et de progrès humain. Les armées ennemies qui
empêchent la propagation du message aux déshérités sont terrassées.
C’est bien ce qui se passera avec l’Imam Al-Mahdi qui fera accomplira la promesse du Christ : qui use du glaive périra par le glaive et les premiers seront les derniers et les derniers, les premiers.
ZOUSTRA- Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 13/06/2012
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