Djaballah : le pouvoir pousse le peuple à descendre dans la rue
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Djaballah : le pouvoir pousse le peuple à descendre dans la rue
Le président du Front pour la justice et le développement (FJD), Abdallah Djaballah, a dénoncé ce samedi 7 juillet le gaspillage de l’argent public dans les festivités du cinquantenaire de l’indépendance nationale. Il a comparé le régime à un père de famille qui « dépense sans songer à faire bénéficier ses proches ». « L’argent gaspillé aurait pu servir à créer des emplois », a‑t‑il déploré lors d’un discours prononcé à l’ouverture de la session ordinaire du conseil consultatif de son parti à Alger.
M. Djaballah a estimé que les objectifs de l’indépendance, notamment la construction d’un État démocratique et social dans le cadre des principes de l’islam, n’ont pas été réalisés. « Il n’y a ni démocratie, ni république, ni dimension sociale », a‑t‑il dit. « Il ne peut pas y avoir de démocratie sans multipartisme et sans alternance pacifique au pouvoir à travers des élections », a‑t‑il encore plaidé.
Le chef du FJD a également estimé que la scène politique nationale connaît actuellement « un blocage total ». « La politique du bricolage au plan social est menacée d’effondrement si les prix du pétrole continuent de baisser », a‑t‑il averti.
M. Djaballah a mis en garde contre les risques d’une révolution populaire en Algérie si la situation demeurait en l’état, après le refus du régime d’accepter un changement pacifique. « Le pouvoir, en Algérie, veut pousser le peuple à descendre dans la rue, à travers ses comportements et son refus d’un changement pacifique », a‑t‑il dit.
M. Djaballah a estimé que les objectifs de l’indépendance, notamment la construction d’un État démocratique et social dans le cadre des principes de l’islam, n’ont pas été réalisés. « Il n’y a ni démocratie, ni république, ni dimension sociale », a‑t‑il dit. « Il ne peut pas y avoir de démocratie sans multipartisme et sans alternance pacifique au pouvoir à travers des élections », a‑t‑il encore plaidé.
Le chef du FJD a également estimé que la scène politique nationale connaît actuellement « un blocage total ». « La politique du bricolage au plan social est menacée d’effondrement si les prix du pétrole continuent de baisser », a‑t‑il averti.
M. Djaballah a mis en garde contre les risques d’une révolution populaire en Algérie si la situation demeurait en l’état, après le refus du régime d’accepter un changement pacifique. « Le pouvoir, en Algérie, veut pousser le peuple à descendre dans la rue, à travers ses comportements et son refus d’un changement pacifique », a‑t‑il dit.
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Djaballah : le pouvoir pousse le peuple à descendre dans la rue
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