Pourquoi ne pas interdire l’Islam Politique ?
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Pourquoi ne pas interdire l’Islam Politique ?
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folle- Nombre de messages : 3347
Date d'inscription : 25/01/2009
Re: Pourquoi ne pas interdire l’Islam Politique ?
La solution humanitaire et laïque est de viser l’islam lui-même, non pas les Musulmans auxquels l’islam fus souvent imposé depuis leurs ancêtres par l’épée de Dieu (seif-Allah) dans la stratégie d’expansionniste de l’islam de la guerre sainte (jihad-fi sabi-allah). La preuve des victimes de l’islam est le peuple Iranien, un peuple, dit, musulman qui se rebelle contre le régime des Mollahs et leur doctrine islamique. La vulnérabilité de l’islam s’avère aujourd’hui par le rejet d’une grande majorité des Iraniens. Alors, la communauté internationale doit aider et encourager le peuple contre le régime et sa doctrine qui a été brutalement imposée en Iran (Perse) il y a 1400 ans par l’invasion des musulmans de l’Arabie et continuer par le régime islamique.
L’islam est un ordre beaucoup plus politique que religieux "al islam-w’l dawla", l’islam n’est pas séparé de l’état. L’application des dispositions politiques de cette religion a historiquement conduit à des états. De même que l’on témoigne aujourd’hui en Iran et d’autres états islamiques.
Cet islam politique rassemble toutes ses potentialités pour effet de se permettre à la prise du pouvoir politique à n’ importe quelle méthode possibles, des voies électorales jusqu’à la guerre sainte (jihad). Pour réaliser ses bouts, il projet un concept d’état qui non seulement s’incarne du Califat de Moyen Âge en outre est concocté avec toutes les exercices des régimes totalitaire contemporains qu’ils soient fascistes ou stalinistes. Alors, dans ce sens, islam ressemble à un ordre social totalitaire qui inévitablement bafoue et dévaste toutes les valeurs démocratiques et humanitaires reconnues par les valeurs universelles.
L’ordre totalitaire de l’islam est présenté par l’application forcée de droits islamiques, la charia. Elle est basée sur les principes d’une jurisprudence de moyen âge qui propose lapidation, amputation, coups de fouet, torture, esclavage, misogynie, pillage, et même violation sexuelle des citoyens. En plus, la charia ne s’applique pas seulement aux musulmans du pays mais les minorités et non-croyants sont également soumis a ce régime juridique.
La charia est inspirée par le droit coranique. Elles furent d’abord impliquées aux rapports sociaux de la société de clan de l’Arabie à l’époque du prophète Mohammed. Ces lois ne sont pas épanouies par l’avance morale et civique mais sont introduites par des traditions austère et archaïque de son époque. Elles ne se présentent pas comme les défenseures de la charte des droits et libertés et des droits des minorités de son époque mais pour les soumettre et les faire convertir à l’islam.
Toutes les religions et sectes ne connaissent pas le droit religieux ou la liberté de la religion car il y en a qui ne prouvent pas présenter qu’un répertoire abusif et immoral. Selon nos témoignages de violations de droits de l’homme et des libertés fondamentales en l’Iran, Afghanistan, Somalie, Pakistan et etc., le statut "divin" ou "moral" ne correspond pas en acte et en théorie a cet islam-là.
Peut on argumenter que la règle morale de l’Islam est la soumission pour tous les citoyens, soumettre à la volonté de Dieu et ces représentants sur la terre qui s’incarnent en l’état islamique ou semi islamique ?
Les ’états islamiques ou semi islamiques dirigent tous les pays musulmans y compris l’état la Turquie depuis plusieurs années qui est dirigé par le Parti de la Justice et du Développement (AKP), formation islamique modérée. Ces états sont dans des degrés variables influencés par l’islam et par conséquence il existe un aspect moins laïque en eux. Tous ces états prouvent que l’islam en tant qu’une foi n’existe pas, il est un une religion profondément politique et comme chaque entité politique a besoin de l’appareil de l’état pour exercer ses règles. L’état islamique (pas semi islamique) se représente comme un royaume divin de la société musulmane dans laquelle chaque membre est une créature humble et soumise de la volonté de l’état.
Alors, là, nous avons à faire avec un islam plus ou moins politisé, un islam qui vise le pouvoir politique. Sans aborder le statut de l’islam comme une idéologie politique, nous ne pouvons pas voir le culte de l’islam comme un pouvoir totalitaire dans certains pays musulmans. Ce stade totalitaire n’est pas propre aux tel ou tel dirigeant politique mais bien au noyau du culte a la nature de l’islam lui-même.
La constitution d’un tel état est inspirée par les lois coraniques. Elles étaient impliquées aux rapports socio-économiques d’une société de clan d’Arabie à l’époque du prophète Mohammed et sont imposées aujourd’hui par les états islamiques sur les sociétés musulmanes. Ces lois ne sont pas initialement épanouies par l’avance morale et culturelle mais elles sont introduites à travers des traditions austères et patriarcales d’une société primitive. Elles ne se présentent pas comme les défenseures de la charte des droits et libertés et des droits des minorités de son époque mais pour les soumettre et les faire convertir au culte de l’islam.
Conformément à l’Article 9 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques, 1) Tout individu a le droit à la liberté et à la sécurité de sa personne. Nul ne peut faire l’objet d’une arrestation ou d’une détention arbitraire, 2) Tout individu arrêté du chef d’une infraction pénale sera traduit dans le plus court délai devant un juge ou une autre autorité habilitée par la loi à exercer des fonctions judiciaires, et devra être jugé dans un délai raisonnable ou libéré et 3) quiconque se trouve privé de sa liberté par arrestation ou détention a le droit d’introduire un recours devant un tribunal.
Tous ces droits fondamentaux sont quotidiennement violés dans les pays où un régime islamique règne ou bien un régime semi islamique les tolère. Par définition, les régimes semi islamiques ne ressemblent pas aux Mollahs ou Taleban mais ils dirigent une grande partie du monde musulman exerçant certain lois islamiques dans le domaine juridique. D’autre part, ces régimes semi islamiques plus ou moins tolèrent l’application sporadique des lois et traditions de charia dans leurs sociétés.
La question logique qui nous vient déjà à notre esprit c’est de savoir si une telle religion, en tant qu’une idéologie étatique, ne peut pas être calcifiée comme un culte de violence et de misogynie et par conséquent ne peut pas être redéfini par sa vraie nature. Cela exige une redéfinition basée sur le concept et pratique de la charia et le répertoire de violences commises par elle.
Quelles sont les critères avec lesquelles on peut comparer une religion avec un system totalitaire qui menace l’humanité ? En janvier 1942 des Nations unies implicitement déclare une guerre contre le fascisme des puissances germano-italiennes au bénéficie de la paix dans le monde. La question se pose si l’islam ne présente pas les traits sociopolitiques de nature fasciste menaçant la paix mondiale. Si oui, quelles sont les raison pour lesquelles l’islam politique est toléré par la communauté internationale et l’ONU ?
Il n’y a aucun doute que l’on ne puisse pas s’attendre de l’islam des mêmes reformes qui subissaient d’autres religion abrahamiques. On voit les Mollahs en Iran, les Taliban en Afghanistan, les Islamistes en Somalie, ils ignorent toutes valeurs démocratiques et humanitaires. Ils projettent un islam qui n’appartient pas seulement au Califat de Moyen Âge mais aussi est concocté avec toutes les expériences des régimes totalitaire fascistes et stalinistes.
Peut on avancer l’argument sur une redéfinition de l’islam est un culte de violence, et non pas une religion ? On peut argumenter qu’un grand nombre d’humanité est musulman et que l’on doit respecter leur religion. La réponse est qui, il faut les respecter comme les êtres humains. C’est vrai que l’islam a réussi a s’impose a un grand nombre d’individus. La question se pose si c’est au nom de la liberté individuelle que l’on doit retrouver un train de respect, et non pas au nombre des adhérents. N’y semble-t-il pas la discrimination perpétrée par les états islamiques sur base du sexe, religion, ethnique etc., plus déterminante que le facteur démographique ?
Peut-on avancer la polémique que par une redéfinition de l’islam l’on porte atteinte à la liberté de religion ? La réponse à toutes ces questions semble, non, car une confusion et discrimination entre la liberté de religion et celle des droit fondamentaux de l’homme alors continue à menacer les droits fondamentaux de l’homme.
On ce qui concerne la religion en général, d’autre religions abrahamiques étaient muselées par les pionniers de longues luttes pour la conquête des libertés publiques et individuelles. Par contre, l’islam s’est répondu par l’épée d’Allah (Seif-Allah). A part plusieurs dizaines de premiers musulmans convaincus à Mecca, la pointe de l’épée a forcé la plus part du monde non-musulman à se convertir en islam. Lorsque l’islam s’est propagé par l’épée, Il a toujours résisté à l’évolution sociale, aux droits fondamentaux de l’homme et aux valeurs de la liberté sociale et individuelle. En outre d’après la notion de "jihad –fi-sabi allah", l’islam ne tolère pas coexister d’autres confessions, non seulement il refuse les minorités non-musulmans avec les mêmes droits au sein d’un état islamique. De même il les chasse et broient leurs droits fondamentaux (voire les crimes commises contre la confession des Bai’s en Iran ou les massacres des Chrétiens en Somalie).
Après la fin du pouvoir de l’église catholique en Europe, de nombreuses concessions furent accordées aux citoyens contre la liberté de religion. Les peuples libérés du joug de l’église catholique pouvaient jouir la liberté civique. Ils avaient le droit de croire ou ne pas croire en religion, ce qui n’est le cas sous l’islam. Aujourd’hui dans les pays dirigés par les états islamiques, même les laïcs ne sont pas tolérés. Sur le plan juridique, les apostats, renégats, et infidèles sont puis, souvent exécutés, selon les lois de la charia. Sur le plan politique, les islamistes ont le droit de porter des actes violents tels que nous témoignons dans le monde entier et surtout depuis la prise du pouvoir par le régime islamique en Iran.
Bien sûr l’islam reflété dans un appareil d’état est immoral est injuste mais pour le il faut être soi-même moral et juste. Partant d’un point de vu humanitaire et démocratique et conformément à la déclaration universelle des droits de l’homme, il faut éviter l’islamophobie autrement dit lancer une chasse aux sorciers (musulmans) à l’Oust. En refusant des motifs purement discriminatoires et racistes et l’instrumentalisation politique des discours de haine, une politique d’intégration des immigrés, surtout ceux des pays musulmans, doit être basée sur les normes humanitaires et laïques.
La solution humanitaire et laïque est de viser l’islam lui-même, non pas les Musulmans auxquels l’islam fus souvent imposé depuis leurs ancêtres par l’épée de Dieu (seif-Allah) dans la stratégie d’expansionniste de l’islam de la guerre sainte (jihad-fi sabi-allah). La preuve des victimes de l’islam est le peuple Iranien, un peuple, dit, musulman qui se rebelle contre le régime des Mollahs et leur doctrine islamique. La vulnérabilité de l’islam s’avère aujourd’hui par le rejet d’une grande majorité des Iraniens. Alors, la communauté internationale doit aider et encourager le peuple contre le régime et sa doctrine qui a été brutalement imposée en Iran (Perse) il y a 1400 ans par l’invasion des musulmans de l’Arabie et continuer par le régime islamique.
Le régime islamique réprime farouchement parce que le peuple, surtout les jeunes, ne suivent pas l’application de l’islam dans la vie pratique. Alors, ce régime du mal est aujourd’hui le talon vulnérable d’Achille d’islam. En aidant le peuple Iranien de se débarrasser du régime islamique, le monde avancera un pas sur l’isolation et puis de-islamisation des peuples opprimés du monde, dit, musulman.
Le comportement du régime islamique défie le premier article de la déclaration universelle des droits de l’homme qui exige que "les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune." La réalité quotidienne des pays islamisés s’annoncent que les droits fondamentaux sont systématiquement violés. Un individu d’un tel pays n’est pas un citoyen libre qui devait être protégé par les normes universelles exercées par un état laïque. Pour qu’un individu puisse vivre sous un état islamique, il doit être un "bon" musulman et doit soumettre aux lois et traditions de la charia. Il ou elle doit accepter la ségrégation de sexe et dégradation de personnes féminines. Toutes ces conditions sont en total contradiction avec les grandes lignes exposées dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948.
En Iran, d’après les lois et l’interprétation concrète de la charia, le droit des citoyens ne sont pas égaux : une personne musulmane, masculine, un Mollah — préférablement " seyed" (un descendant du prophète) — sont considérés comme les individus privilégiés. Une telle personne privilégiée peut profiter la totale protection de l’État. D’autres catégories d’individus et toutes les personnes féminines sont plus ou moins discriminées. Cette discrimination établie par les lois islamiques est en contradiction avec la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui interdit le traitement des peuples différemment à cause de leur race, religion, groupe ethnique, couleur, croyance, sexe.
Comme il y a eu un refus juste de l’idéologie fasciste en Allemagne et en Italie et un refus de la ségrégation raciale en Afrique du sud, la communauté internationale et à sa tète l’UNO doit prendre l’initiative et réexaminer les conditions sociales sous les états islamiques. Il faut réexaminer le statut et les critères nécessaires pour le droit et la liberté de telle religion politisée. Pratique d’islam politique dans les pays dirigés par les états islamiques ou semi islamique (les états qui tolèrent l’application de la charia) doit être jugée d’après les droits de l’homme et loin d’une indulgence lucrative à cause de pillage de ressources pétrolières ou d’autres des pays musulmans par le système capitaliste mondial. Cette réexamination doit considérer deux axes de réflexion :
1- Islam en dépit de l’évolution sociale demeure encore du domaine de la charia dont son application est en contradiction totale avec les droits de l’homme.
2- Islam était initialement imposé aux peuples non-musulmans qui étaient envahis et forcés à l’accepter par les musulmans de Moyen Age. Islam n’est pas un choix libre pris par les peuples libres et conscients.
L’islam est un ordre beaucoup plus politique que religieux "al islam-w’l dawla", l’islam n’est pas séparé de l’état. L’application des dispositions politiques de cette religion a historiquement conduit à des états. De même que l’on témoigne aujourd’hui en Iran et d’autres états islamiques.
Cet islam politique rassemble toutes ses potentialités pour effet de se permettre à la prise du pouvoir politique à n’ importe quelle méthode possibles, des voies électorales jusqu’à la guerre sainte (jihad). Pour réaliser ses bouts, il projet un concept d’état qui non seulement s’incarne du Califat de Moyen Âge en outre est concocté avec toutes les exercices des régimes totalitaire contemporains qu’ils soient fascistes ou stalinistes. Alors, dans ce sens, islam ressemble à un ordre social totalitaire qui inévitablement bafoue et dévaste toutes les valeurs démocratiques et humanitaires reconnues par les valeurs universelles.
L’ordre totalitaire de l’islam est présenté par l’application forcée de droits islamiques, la charia. Elle est basée sur les principes d’une jurisprudence de moyen âge qui propose lapidation, amputation, coups de fouet, torture, esclavage, misogynie, pillage, et même violation sexuelle des citoyens. En plus, la charia ne s’applique pas seulement aux musulmans du pays mais les minorités et non-croyants sont également soumis a ce régime juridique.
La charia est inspirée par le droit coranique. Elles furent d’abord impliquées aux rapports sociaux de la société de clan de l’Arabie à l’époque du prophète Mohammed. Ces lois ne sont pas épanouies par l’avance morale et civique mais sont introduites par des traditions austère et archaïque de son époque. Elles ne se présentent pas comme les défenseures de la charte des droits et libertés et des droits des minorités de son époque mais pour les soumettre et les faire convertir à l’islam.
Toutes les religions et sectes ne connaissent pas le droit religieux ou la liberté de la religion car il y en a qui ne prouvent pas présenter qu’un répertoire abusif et immoral. Selon nos témoignages de violations de droits de l’homme et des libertés fondamentales en l’Iran, Afghanistan, Somalie, Pakistan et etc., le statut "divin" ou "moral" ne correspond pas en acte et en théorie a cet islam-là.
Peut on argumenter que la règle morale de l’Islam est la soumission pour tous les citoyens, soumettre à la volonté de Dieu et ces représentants sur la terre qui s’incarnent en l’état islamique ou semi islamique ?
Les ’états islamiques ou semi islamiques dirigent tous les pays musulmans y compris l’état la Turquie depuis plusieurs années qui est dirigé par le Parti de la Justice et du Développement (AKP), formation islamique modérée. Ces états sont dans des degrés variables influencés par l’islam et par conséquence il existe un aspect moins laïque en eux. Tous ces états prouvent que l’islam en tant qu’une foi n’existe pas, il est un une religion profondément politique et comme chaque entité politique a besoin de l’appareil de l’état pour exercer ses règles. L’état islamique (pas semi islamique) se représente comme un royaume divin de la société musulmane dans laquelle chaque membre est une créature humble et soumise de la volonté de l’état.
Alors, là, nous avons à faire avec un islam plus ou moins politisé, un islam qui vise le pouvoir politique. Sans aborder le statut de l’islam comme une idéologie politique, nous ne pouvons pas voir le culte de l’islam comme un pouvoir totalitaire dans certains pays musulmans. Ce stade totalitaire n’est pas propre aux tel ou tel dirigeant politique mais bien au noyau du culte a la nature de l’islam lui-même.
La constitution d’un tel état est inspirée par les lois coraniques. Elles étaient impliquées aux rapports socio-économiques d’une société de clan d’Arabie à l’époque du prophète Mohammed et sont imposées aujourd’hui par les états islamiques sur les sociétés musulmanes. Ces lois ne sont pas initialement épanouies par l’avance morale et culturelle mais elles sont introduites à travers des traditions austères et patriarcales d’une société primitive. Elles ne se présentent pas comme les défenseures de la charte des droits et libertés et des droits des minorités de son époque mais pour les soumettre et les faire convertir au culte de l’islam.
Conformément à l’Article 9 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques, 1) Tout individu a le droit à la liberté et à la sécurité de sa personne. Nul ne peut faire l’objet d’une arrestation ou d’une détention arbitraire, 2) Tout individu arrêté du chef d’une infraction pénale sera traduit dans le plus court délai devant un juge ou une autre autorité habilitée par la loi à exercer des fonctions judiciaires, et devra être jugé dans un délai raisonnable ou libéré et 3) quiconque se trouve privé de sa liberté par arrestation ou détention a le droit d’introduire un recours devant un tribunal.
Tous ces droits fondamentaux sont quotidiennement violés dans les pays où un régime islamique règne ou bien un régime semi islamique les tolère. Par définition, les régimes semi islamiques ne ressemblent pas aux Mollahs ou Taleban mais ils dirigent une grande partie du monde musulman exerçant certain lois islamiques dans le domaine juridique. D’autre part, ces régimes semi islamiques plus ou moins tolèrent l’application sporadique des lois et traditions de charia dans leurs sociétés.
La question logique qui nous vient déjà à notre esprit c’est de savoir si une telle religion, en tant qu’une idéologie étatique, ne peut pas être calcifiée comme un culte de violence et de misogynie et par conséquent ne peut pas être redéfini par sa vraie nature. Cela exige une redéfinition basée sur le concept et pratique de la charia et le répertoire de violences commises par elle.
Quelles sont les critères avec lesquelles on peut comparer une religion avec un system totalitaire qui menace l’humanité ? En janvier 1942 des Nations unies implicitement déclare une guerre contre le fascisme des puissances germano-italiennes au bénéficie de la paix dans le monde. La question se pose si l’islam ne présente pas les traits sociopolitiques de nature fasciste menaçant la paix mondiale. Si oui, quelles sont les raison pour lesquelles l’islam politique est toléré par la communauté internationale et l’ONU ?
Il n’y a aucun doute que l’on ne puisse pas s’attendre de l’islam des mêmes reformes qui subissaient d’autres religion abrahamiques. On voit les Mollahs en Iran, les Taliban en Afghanistan, les Islamistes en Somalie, ils ignorent toutes valeurs démocratiques et humanitaires. Ils projettent un islam qui n’appartient pas seulement au Califat de Moyen Âge mais aussi est concocté avec toutes les expériences des régimes totalitaire fascistes et stalinistes.
Peut on avancer l’argument sur une redéfinition de l’islam est un culte de violence, et non pas une religion ? On peut argumenter qu’un grand nombre d’humanité est musulman et que l’on doit respecter leur religion. La réponse est qui, il faut les respecter comme les êtres humains. C’est vrai que l’islam a réussi a s’impose a un grand nombre d’individus. La question se pose si c’est au nom de la liberté individuelle que l’on doit retrouver un train de respect, et non pas au nombre des adhérents. N’y semble-t-il pas la discrimination perpétrée par les états islamiques sur base du sexe, religion, ethnique etc., plus déterminante que le facteur démographique ?
Peut-on avancer la polémique que par une redéfinition de l’islam l’on porte atteinte à la liberté de religion ? La réponse à toutes ces questions semble, non, car une confusion et discrimination entre la liberté de religion et celle des droit fondamentaux de l’homme alors continue à menacer les droits fondamentaux de l’homme.
On ce qui concerne la religion en général, d’autre religions abrahamiques étaient muselées par les pionniers de longues luttes pour la conquête des libertés publiques et individuelles. Par contre, l’islam s’est répondu par l’épée d’Allah (Seif-Allah). A part plusieurs dizaines de premiers musulmans convaincus à Mecca, la pointe de l’épée a forcé la plus part du monde non-musulman à se convertir en islam. Lorsque l’islam s’est propagé par l’épée, Il a toujours résisté à l’évolution sociale, aux droits fondamentaux de l’homme et aux valeurs de la liberté sociale et individuelle. En outre d’après la notion de "jihad –fi-sabi allah", l’islam ne tolère pas coexister d’autres confessions, non seulement il refuse les minorités non-musulmans avec les mêmes droits au sein d’un état islamique. De même il les chasse et broient leurs droits fondamentaux (voire les crimes commises contre la confession des Bai’s en Iran ou les massacres des Chrétiens en Somalie).
Après la fin du pouvoir de l’église catholique en Europe, de nombreuses concessions furent accordées aux citoyens contre la liberté de religion. Les peuples libérés du joug de l’église catholique pouvaient jouir la liberté civique. Ils avaient le droit de croire ou ne pas croire en religion, ce qui n’est le cas sous l’islam. Aujourd’hui dans les pays dirigés par les états islamiques, même les laïcs ne sont pas tolérés. Sur le plan juridique, les apostats, renégats, et infidèles sont puis, souvent exécutés, selon les lois de la charia. Sur le plan politique, les islamistes ont le droit de porter des actes violents tels que nous témoignons dans le monde entier et surtout depuis la prise du pouvoir par le régime islamique en Iran.
Bien sûr l’islam reflété dans un appareil d’état est immoral est injuste mais pour le il faut être soi-même moral et juste. Partant d’un point de vu humanitaire et démocratique et conformément à la déclaration universelle des droits de l’homme, il faut éviter l’islamophobie autrement dit lancer une chasse aux sorciers (musulmans) à l’Oust. En refusant des motifs purement discriminatoires et racistes et l’instrumentalisation politique des discours de haine, une politique d’intégration des immigrés, surtout ceux des pays musulmans, doit être basée sur les normes humanitaires et laïques.
La solution humanitaire et laïque est de viser l’islam lui-même, non pas les Musulmans auxquels l’islam fus souvent imposé depuis leurs ancêtres par l’épée de Dieu (seif-Allah) dans la stratégie d’expansionniste de l’islam de la guerre sainte (jihad-fi sabi-allah). La preuve des victimes de l’islam est le peuple Iranien, un peuple, dit, musulman qui se rebelle contre le régime des Mollahs et leur doctrine islamique. La vulnérabilité de l’islam s’avère aujourd’hui par le rejet d’une grande majorité des Iraniens. Alors, la communauté internationale doit aider et encourager le peuple contre le régime et sa doctrine qui a été brutalement imposée en Iran (Perse) il y a 1400 ans par l’invasion des musulmans de l’Arabie et continuer par le régime islamique.
Le régime islamique réprime farouchement parce que le peuple, surtout les jeunes, ne suivent pas l’application de l’islam dans la vie pratique. Alors, ce régime du mal est aujourd’hui le talon vulnérable d’Achille d’islam. En aidant le peuple Iranien de se débarrasser du régime islamique, le monde avancera un pas sur l’isolation et puis de-islamisation des peuples opprimés du monde, dit, musulman.
Le comportement du régime islamique défie le premier article de la déclaration universelle des droits de l’homme qui exige que "les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune." La réalité quotidienne des pays islamisés s’annoncent que les droits fondamentaux sont systématiquement violés. Un individu d’un tel pays n’est pas un citoyen libre qui devait être protégé par les normes universelles exercées par un état laïque. Pour qu’un individu puisse vivre sous un état islamique, il doit être un "bon" musulman et doit soumettre aux lois et traditions de la charia. Il ou elle doit accepter la ségrégation de sexe et dégradation de personnes féminines. Toutes ces conditions sont en total contradiction avec les grandes lignes exposées dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948.
En Iran, d’après les lois et l’interprétation concrète de la charia, le droit des citoyens ne sont pas égaux : une personne musulmane, masculine, un Mollah — préférablement " seyed" (un descendant du prophète) — sont considérés comme les individus privilégiés. Une telle personne privilégiée peut profiter la totale protection de l’État. D’autres catégories d’individus et toutes les personnes féminines sont plus ou moins discriminées. Cette discrimination établie par les lois islamiques est en contradiction avec la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui interdit le traitement des peuples différemment à cause de leur race, religion, groupe ethnique, couleur, croyance, sexe.
Comme il y a eu un refus juste de l’idéologie fasciste en Allemagne et en Italie et un refus de la ségrégation raciale en Afrique du sud, la communauté internationale et à sa tète l’UNO doit prendre l’initiative et réexaminer les conditions sociales sous les états islamiques. Il faut réexaminer le statut et les critères nécessaires pour le droit et la liberté de telle religion politisée. Pratique d’islam politique dans les pays dirigés par les états islamiques ou semi islamique (les états qui tolèrent l’application de la charia) doit être jugée d’après les droits de l’homme et loin d’une indulgence lucrative à cause de pillage de ressources pétrolières ou d’autres des pays musulmans par le système capitaliste mondial. Cette réexamination doit considérer deux axes de réflexion :
1- Islam en dépit de l’évolution sociale demeure encore du domaine de la charia dont son application est en contradiction totale avec les droits de l’homme.
2- Islam était initialement imposé aux peuples non-musulmans qui étaient envahis et forcés à l’accepter par les musulmans de Moyen Age. Islam n’est pas un choix libre pris par les peuples libres et conscients.
folle- Nombre de messages : 3347
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