La photo qui a fait beaucoup de mal aux islamistes , Said Sadi et Bernard Henri Lévy

Bernard Henri Lévy : “Mon ami Saïd Sadi, se fait insulter dans la presse”*

Poste par faycal mar 18th, 2011 categorie Actu du jour, Tribune libre. Vous pouvez suivre les reponses via RSS 2.0. Vous pouvez commenter et trackbacker cet article Print This Post Print This Post

Le Caire, depuis la semaine dernière, pour tenter d’observer, à partir de son épicentre, l’incalculable séisme qui secoue le monde arabe. J’y reviendrai, bien sûr. J’y reviendrai dans le détail. Mais comment ne pas saluer, déjà, le formidable désaveu qui, de Bahreïn à Tripoli, d’Alger à Sanaa, aura été infligé aux tenants d’une Histoire immobile, vécue comme une fatalité, figée dans ses mauvais destins ? et comment, surtout, ne pas être sidéré par le courage de ces hommes et femmes qui affrontent, à mains nues, des forces de répression que le contre-exemple égyptien semble avoir décidé à ne rien céder du tout ? Ces révoltes arabes contre la dictature, il faut, pour le moment, les soutenir sans réserve.

Nouvelles, depuis Paris, de l’entrée en campagne officieuse d’un certain Dominique Strauss-Kahn. Et, en face, le très vilain murmure qui lui fait aussitôt écho. Les uns, à droite : cet homme sans terroir ni territoire, ce déraciné définitif, ce Français de papier qui n’a jamais appris à flatter le cul des vaches, que sait-il de la « France rurale » ? qu’a-t-il à nous dire de la France qu’on « aime bien » ? de quel droit prétend-il incarner le « pays réel » ? Les autres, à « gauche » : comment un directeur du FMI, exilé à Washington depuis quatre ans, familier de la haute finance, peut-il porter les couleurs de son parti ? incarner l’espoir des simples gens de son pays ? comment le nouvel homme à la vaisselle d’or, ci-devant affameur des « Pigs » (Portugal, Irlande, Grèce, Espagne), ne serait-il pas, le moment venu, l’allié objectif de l’« ordre libéral » ? Le double visage d’une « idéologie française » qui ne se lasse décidément pas de donner raison à ses pourfendeurs.

Je me souviens de Jean-Paul Dollé qu’un dernier carré d’amis – Roland Castro, Regis Debray, Gilles Hertzog, moi-même, d’autres… – enterraient, la semaine passée, dans le cimetière de Beaugency. N’a-t-il pas donné, à la fin des années 70, un livre qui s’appelait « L’odeur de la France » ? Et ne l’ai-je pas, ce livre, en pleine époque des nouveaux philosophes, moi-même publié ? Oui, bien sûr. Mais justement. Il était une fois une France dont l’odeur était aussi celle de ses œuvres les plus hautes. Il était une fois une patrie de l’idée, au parfum d’universalité, dont un postmaoïste pouvait rappeler qu’elle n’est jamais si grande que lorsqu’elle l’est pour tous les hommes. Il était une fois, oui, un philosophe et poète qui, quand il disait « la France », faisait venir à la pensée un peuple de communards, dreyfusards, maquisards dont un autre de nos amis, Pierre Goldman, dont il sera le biographe, évoquait l’infracassable grandeur. Quel recul. Quelle tristesse.

Et « La France moisie » de Philippe Sollers… Et cet article de 1999 auquel Sylvie Pierre-Brossolette, dans le film qu’elle consacre à l’auteur de « Paradis », ne peut manquer de faire allusion et que le télespectateur, plus de dix ans après, reçoit encore, hélas, 5 sur 5… On aimerait ne parler que du reste. On aimerait ne voir ni n’entendre que la beauté de ces images et l’impression qu’elles dégagent de jeunesse à volonté. Il faudrait pouvoir ne prêter attention, dans ce film, qu’à cette invention d’un style et, donc, d’une façon d’exister, à cette façon d’être habité par la lumière et la beauté de l’art et, par conséquent, du monde, qui sera l’autre « empreinte » de Sollers. Mais non. Epoque oblige. Misère de sa chambre d’écho et des miroirs hideux qu’elle nous tend. L’interminable glas du fascisme à la française.

Et le cas Jardin… Je n’ai pas lu le livre consacré par Alexandre Jardin à Jean Jardin, son grand-père, qui fut le collaborateur de Pierre Laval. Et je ne l’ai, ici, évidemment pas sous la main. Mais je repense à la violence ahurissante des réactions qu’il a suscitées. Je pense à ce torrent de fiel, ces insultes, ces faux témoins convoqués pour dire l’esprit de mesure de l’aïeul et la vilenie mercantile du petit-fils. Je réentends le glapissement des bien-pensants qui, furieux d’avoir perdu l’« enfant magique » d’autrefois et de retrouver, en lieu et place, un « procureur » acharné à « salir le nom des Jardin », nous resservent leur éternel couplet sur le pétainiste-résistant qui, d’une main, envoyait les juifs à la chambre à gaz et, de l’autre, prétendait en sauver quelques-uns. Peu importe, encore une fois, le livre. On a là un Français qui tente, avec probité, de vider l’armoire aux poisons familiale. On a, en face, la vieille meute affolée qui, parce qu’il prononce le mot mémoire, ne sait rien faire de mieux que sortir le revolver à injures. Eh bien, cela fait un contexte. Et même une atmosphère.

En attendant, l’émir du Bahreïn tue. Le colonel Kadhafi lance son appel à la guerre civile et se conduit comme un boucher. L’un des rares opposants crédibles à la dictature Bouteflika en Algérie, mon ami Saïd Sadi, se fait insulter dans la presse de son pays et parfois, aussi, dans la nôtre. Et la puissance nucléaire du monde arabo-musulman – à savoir le Pakistan – commence de renverser ses alliances pour, dans l’indifférence générale, appuyer la Shura des Talibans, laisser les agents de l’Isi soutenir de plus en plus ouvertement le djihad et, last but not least, inviter près de 11 000 soldats chinois au Gilgit-Baltistan.Normal ? Pas tout à fait. Mais, sur cela aussi, je reviendrai.

Deux solutions, à partir de là. Soit l’effroi du capitaine Achab repensant à sa première baleine (pour moi, il y a quarante ans, déjà le Pakistan) et confronté à l’« horreur des abîmes » qui s’ouvrent à nouveau face à lui. Soit (et, à tout prendre, je préfère cela) l’increvable passion de Musil murmurant, à l’heure du plus haut péril : « allez, allez ! il n’y a que le tragique qui fasse penser ».

Bernard-Henri Lévy
(.lepoint.fr)

http://ffs1963.unblog.fr/2010/10/03/photo-souvenir-said-sadi-avec-son-ami-bernard-henri-levy-au-festival-de-cannes/

Manipulateurs de haut vol
Par Abed Charef

Une femme en terre d’Islam. Ou comment fabriquer une formidable histoire pour mener campagne contre le nucléaire iranien.

Le monde entier connait le talent exceptionnel de Bernard Henry-Lévy. Après avoir mobilisé le monde contre le totalitarisme, sauvé la Bosnie, éclairé le monde sur la situation en Algérie, et révélé le danger que représente le nucléaire pakistanais, le célèbre philosophe s’est lancé dans l’aventure la plus exaltante de sa vie : prouver au monde qu’au Moyen-Orient, Israël est l’agressé et les palestiniens, les agresseurs.

Pour cela, il n’hésite pas à prendre des risques inouïs. S’embarquer à bord de chars israéliens, aller sur la ligne de front, et décrire, à travers des bonnes feuilles que les plus grands journaux du monde s’arrachent, décrire le calvaire des Israéliens sous les roquettes du Hamas. Et prouver qu’un homme armé d’un tire-boulettes est sur le point d’un soldat à bord d’un char.

Tout ceci n’est cependant qu’un jeu d’enfant comparé à la nouvelle croisade de M. Levy, qui vient de découvrir la cause la plus excitante de sa carrière: défendre une femme menacée de lapidation, dans un pays barbare, dirigé par un inconscient. Et pourquoi cette femme, Sakina, sera-t-elle lapidée ? Parce qu’elle aurait commis le péché de chair. Elle a été condamnée à mort pour adultère. Quelle effroyable histoire !

Evidemment, M. Levy a embarqué dans son aventure un de ses amis les plus célèbres, le très humanitaire Bernard Kouchner, et même le très catholique François Fillon. Du coup, la fameuse Sakina, dont on ne connait même pas le visage- au pays des mollahs, les femmes sont forcément voilées-, la fameuse Sakina est donc devenue la « sœur » de tous les occidentaux, selon M. François Fillon. Ahmedinedjad n’a qu’à bien se tenir.

Pendant des mois, alors que la femme condamnée, détenue dans le couloir de la mort, attendait l’arrivée du bourreau, M. Levy multipliait les démarches auprès des stars de la pensée et de la politique. Il leur racontait ce que serait le calvaire d’une femme lapidée, comment, attachée à un poteau comme une chèvre –la femme ne vaut pas plus qu’une chèvre chez ces hommes là-, cette femme serait donc bombardée de pierres par des hommes excités ; il leur décrivait comment la chair tomberait en lambeaux, comment les beaux yeux de cette femme adultère seraient écrasés, car le symbole pour ces hommes frustrés, c’est de détruire la beauté, les intégristes haïssent tout ce qui est beau, ceci est bien connu. Bref, pendant que M. Levy menait sa campagne, personne n’a réussi à entendre ce que disaient les Iraniens. Et puis, que pouvaient-ils dire, ces hommes qui tuent à tour de bras et appliquent des sentences du Moyen-âge ? Méritent-ils d’ailleurs qu’on leur accorde la moindre attention ? Assurément pas.

Ce sont d’ailleurs des réseaux occidentaux, outrés par ce que racontent M. Levy et ses amis, qui ont fini par transmettre la version iranienne des faits. Et que raconte cette version ? D’abord, que Mme Sakina n’a pas été condamnée pour adultère, mais pour meurtre. Plus exactement, pour complicité de meurtre. Elle a drogué son mari, qui a été ensuite assassiné par son amant. Un tel crime vaut-il que la peine de mort soit prononcée, de surcroit contre une femme? Les très civilisés Américains viennent de faire exécuter une femme, pourtant reconnue comme déficiente mentale. Mais c’est une autre histoire. Une connerie ne peut pas en justifier une autre.

Deuxième élément fourni par les autorités iraniennes : en Iran, les condamnés à mort sont exécutés par pendaison. C’est la loi dans ce pays. Il n’a jamais été question de pratiquer la lapidation, disent les Iraniens. Si elle venait à être exécutée, Mme Sakineh Mohammadi Ashtiani serait donc pendue.

On est certes, dans l’horreur, mais cela valait le détour. La loi iranienne est-elle juste ? La justice iranienne est-elle indépendante ? La peine de mort est-elle défendable ? Chacun a son opinion. Mais dans cette affaire, la vraie question se trouve ailleurs. Elle concerne ces manipulateurs professionnels, habillés de l’uniforme d’intellectuels, qui réussissent à inventer une histoire incroyable, à l’imposer dans les débats, pour servir une campagne politique, cette fois-ci contre l’Iran et son potentiel nucléaire. Bien que connus, et leurs méfaits disséqués, ils continuent de sévir avec une incroyable audace et une impunité inégalée.

Et dire que ces hommes ont naguère sévi en Algérie !
le Q-O du jeudi 30 septembre 2010

Commentaires

amizour
amizour
3 octobre, 2010 | 17:15

vis la vie ya saâdi. avec bernard henry levy, ça craint. traitre.
DDa OMAR d'Alger
DDa OMAR d'Alger
3 octobre, 2010 | 19:15

BHL n’est ce pas ce philosophe français de confession juive qui soutient mordicus l’état d’ISRAEL ? Orientez-moi s’il vous plait camarades du blog!
Narimane
Narimane
3 octobre, 2010 | 19:54

Manipulateurs de haut vol
Par Abed Charef

Une femme en terre d’Islam. Ou comment fabriquer une formidable histoire pour mener campagne contre le nucléaire iranien.

Le monde entier connait le talent exceptionnel de Bernard Henry-Lévy. Après avoir mobilisé le monde contre le totalitarisme, sauvé la Bosnie, éclairé le monde sur la situation en Algérie, et révélé le danger que représente le nucléaire pakistanais, le célèbre philosophe s’est lancé dans l’aventure la plus exaltante de sa vie : prouver au monde qu’au Moyen-Orient, Israël est l’agressé et les palestiniens, les agresseurs.

Pour cela, il n’hésite pas à prendre des risques inouïs. S’embarquer à bord de chars israéliens, aller sur la ligne de front, et décrire, à travers des bonnes feuilles que les plus grands journaux du monde s’arrachent, décrire le calvaire des Israéliens sous les roquettes du Hamas. Et prouver qu’un homme armé d’un tire-boulettes est sur le point d’un soldat à bord d’un char.

Tout ceci n’est cependant qu’un jeu d’enfant comparé à la nouvelle croisade de M. Levy, qui vient de découvrir la cause la plus excitante de sa carrière: défendre une femme menacée de lapidation, dans un pays barbare, dirigé par un inconscient. Et pourquoi cette femme, Sakina, sera-t-elle lapidée ? Parce qu’elle aurait commis le péché de chair. Elle a été condamnée à mort pour adultère. Quelle effroyable histoire !

Evidemment, M. Levy a embarqué dans son aventure un de ses amis les plus célèbres, le très humanitaire Bernard Kouchner, et même le très catholique François Fillon. Du coup, la fameuse Sakina, dont on ne connait même pas le visage- au pays des mollahs, les femmes sont forcément voilées-, la fameuse Sakina est donc devenue la « sœur » de tous les occidentaux, selon M. François Fillon. Ahmedinedjad n’a qu’à bien se tenir.

Pendant des mois, alors que la femme condamnée, détenue dans le couloir de la mort, attendait l’arrivée du bourreau, M. Levy multipliait les démarches auprès des stars de la pensée et de la politique. Il leur racontait ce que serait le calvaire d’une femme lapidée, comment, attachée à un poteau comme une chèvre –la femme ne vaut pas plus qu’une chèvre chez ces hommes là-, cette femme serait donc bombardée de pierres par des hommes excités ; il leur décrivait comment la chair tomberait en lambeaux, comment les beaux yeux de cette femme adultère seraient écrasés, car le symbole pour ces hommes frustrés, c’est de détruire la beauté, les intégristes haïssent tout ce qui est beau, ceci est bien connu. Bref, pendant que M. Levy menait sa campagne, personne n’a réussi à entendre ce que disaient les Iraniens. Et puis, que pouvaient-ils dire, ces hommes qui tuent à tour de bras et appliquent des sentences du Moyen-âge ? Méritent-ils d’ailleurs qu’on leur accorde la moindre attention ? Assurément pas.

Ce sont d’ailleurs des réseaux occidentaux, outrés par ce que racontent M. Levy et ses amis, qui ont fini par transmettre la version iranienne des faits. Et que raconte cette version ? D’abord, que Mme Sakina n’a pas été condamnée pour adultère, mais pour meurtre. Plus exactement, pour complicité de meurtre. Elle a drogué son mari, qui a été ensuite assassiné par son amant. Un tel crime vaut-il que la peine de mort soit prononcée, de surcroit contre une femme? Les très civilisés Américains viennent de faire exécuter une femme, pourtant reconnue comme déficiente mentale. Mais c’est une autre histoire. Une connerie ne peut pas en justifier une autre.

Deuxième élément fourni par les autorités iraniennes : en Iran, les condamnés à mort sont exécutés par pendaison. C’est la loi dans ce pays. Il n’a jamais été question de pratiquer la lapidation, disent les Iraniens. Si elle venait à être exécutée, Mme Sakineh Mohammadi Ashtiani serait donc pendue.

On est certes, dans l’horreur, mais cela valait le détour. La loi iranienne est-elle juste ? La justice iranienne est-elle indépendante ? La peine de mort est-elle défendable ? Chacun a son opinion. Mais dans cette affaire, la vraie question se trouve ailleurs. Elle concerne ces manipulateurs professionnels, habillés de l’uniforme d’intellectuels, qui réussissent à inventer une histoire incroyable, à l’imposer dans les débats, pour servir une campagne politique, cette fois-ci contre l’Iran et son potentiel nucléaire. Bien que connus, et leurs méfaits disséqués, ils continuent de sévir avec une incroyable audace et une impunité inégalée.

Et dire que ces hommes ont naguère sévi en Algérie !
le Q-O du jeudi 30 septembre 2010
zara
zara
3 octobre, 2010 | 22:32

pourquoi ce BHL n’a pas fait une photo souvenir avec AIT AHMED?
“une souris et une montagne,ne peuvent se rencontrer”,disent les chinois.
une souris et un rat,sont de la même espece disent les hindoux.
sans commentaires
yidir
yidir
3 octobre, 2010 | 23:31

ah!celle là est interessante!
zara
zara
4 octobre, 2010 | 14:44

je demande à elmouhtarem d’enlever ces photos de ce blog respecable.
ces deux assimilla(sionistes) ont pollués ce sîte par leurs regards hypocrites.
merci
samur
samur
4 octobre, 2010 | 17:48

ça ne m’étonne pas du tout said sadi a été le premier à associer terorisme avec Islam et se contente toujours de coller tout ce qu’a subi le pays à l’islam mais sans oser reclamer VERITE et JUSTICE par crainte d’etre demasqué lui et sa milice
Taous
Taous
5 octobre, 2010 | 19:37

Ça, ça me parle plus que celle avec son rejeton.

Il affiche publiquement sa proximité avec un sioniste qui s’assume…

Désolant.
yrroh
yrroh
7 octobre, 2010 | 20:56

l’ami de mon ennemi c’est mon mon ennemi
..gjingis
..gjingis
11 octobre, 2010 | 23:03

@ZARA
moi je pense le contraire.ces photos vont servir a beaucoups de choses.il faut les garder comme archives.
Au fait, c est un tableau !
Dr Saaid Saadi a démontré au Algeriens ce qu il est .
Khalida Toumi ,et Said Saadi ont commencé ensemble leur chemin politique.
Ne vous en faites pas il va apprendre ,comment peut on devenir un bon franc macon au service du NOVEL ORDRE MONDIAL

etre con a ce stade????????????saadi
..gjingis
..gjingis
11 octobre, 2010 | 23:10

MONSIEUR SAID SAADI, VOUS REPRESENTER AU FAIT QUI ?LES KABYLES?
ENTERREZ VOUS VIVANT !!ALLEZ REJOINDRE VOTRE AMI A PARIS LE VENDU FERHAT.
VOUS ETES UN KHABITH UN CHMATA UN HARKI.
DE LA PART D UN KABYLE DJINGIS
Aksel
Aksel
5 février, 2011 | 19:27

Si lui représente l’opposition, je préfère encore le pouvoir corrompu.
Anonyme
Anonyme
13 février, 2011 | 19:56

à cote elle n’a parait pas sur sur la foto c’est tafsut qui mange du merguez à marçaille
Miloud
Miloud
13 février, 2011 | 22:20

le 12 février , tout le monde a vu Sadi l’ami de BHL aux cotés de Ali Belhadj dans la même marche.Et pourtant, il a déclaré en 1991 que si le FIS remporte démocratiquement les élections, il portera les armes contre lui. On ne risque pas de voir Ait Ahmed aux cotés de BHL mais une photo BHL SADI ALI BELHADJ avec BHL au milieu est probable
avenire
avenire
14 février, 2011 | 17:35

cette personne ne représente pas les kabyles , mais seulement son partie ; soyons plus nationaliste et uni , et ignorons ces opportunistes lui et tous les autres !!!
bélaid
bélaid
14 février, 2011 | 18:03

C’est triste et désolant pour notre pays.
Il faut noter que ce triste sbire ne représente pas l’opposition. On ne peut fleurter avec BHL et encore moins avoir des accointances avec les services (voir le cable de wikiliks).
nasro
nasro
14 février, 2011 | 20:19

cher citoyens algeriens et algerienne fait attentions a la marche saad sadi regarder sa photo avec bernard levy le sioniste et parle de liberté et democratie ces pour vendre sont pays au sioniste
Liberte Toujours
Liberte Toujours
14 février, 2011 | 20:27

Le ciel commence à s’éclaircir pour les algériens. Je suis tout à fait d’accord pour accepter un gouvernement corrompu à un coyote pareil. Je ne pense pas que les honorables kabyles sont fiers de lui !!
Malek
Malek
14 février, 2011 | 23:34

Ce sadi est vraiment la honte du pays, je suis moi-même kabyle et je préfère vivre sous le joug de l’armée algérienne que d’être au côté de ce traître qui vendra son pays pour presque rien.
T’fouh âalik ya saâdi, ce BHL te manipule comme une marionnette et tu en est satisfait, heureusement que tu n’a pas fait la guerre d’Algérie on serai encore entrain de crever de faim sous la torture.
Malek
Anonyme
Anonyme
16 février, 2011 | 16:23

ce said qui parle de changement,il devrait, ainsi que tout les autres partis,commencer dans leur chez soi on voit bien que dpuis leur création ils sont toujours à leur têtes (partis).regardez la grande démocratie dev da l’hocine ait ahmed;depuis 1963 qu’il est à la tête de son partie . i a changer d’adresse ,d’amis de maitresse mais jamais du pouvoir d’être laeder. alors chér(e)s algeriens non politisés comme nos chefs de partis et qui nous gouvernerons pendant longtemps encore allez à la pêche ou en promenade avec votre petite famille car lorsqu’on le pouvait pas le faire ,les autres le fesait à Rivoli,champs elysés,avec un crochet à clignoncourt!!
Anonyme
Anonyme
16 février, 2011 | 16:29

j’invite toute la presse algerienne au nom de la démocratie que veut ce rat puant sans égout(état de fait non justifié),à difusser cette photo à la une et sans commentaire.je vous en suplie faite le!!
un algerien indigné par un…je ne peut le qualifier heuresement!!!
Jamel
Jamel
20 février, 2011 | 7:56

Khalida Messaoudi, l’amie de la juive pied-noire Elisabeth Chemla, a elle aussi effectué un voyage en Israël.
boycottine
boycottine
25 février, 2011 | 14:47

S’afficher avec BHL est un manque d’intelligence. BHL n’a aucune crédibilité en France, il n’y a que les médias aux ordres pour l’inviter
aqbayli
aqbayli
31 mars, 2011 | 0:36

sans etre un fan de sadi j’ai pour lui quelque admiration pour ses positions courageuses vis à vis du regime haissable en place depuis 1962. Je dirai même que je le prefere aux beni oui oui suppots de ce même regime qui ont érigé la flagornerie en système.
j’ai longtemps cru que les orientations laiques du sieur relevait plus de la candeur politique;lui qui ne regarde le monde qu’a travers la lucarne de l’ex metropole.
Le masque vient de tomber et le doute n’est plus permis lorsque BHL vous prends sous son aile.
Cette “kabylité” nous fait honte. Pardon freres de gaza.
Mr Sadi vous ne differez en rien de votre ami ferhat.
AD YEMNAA REBI TAQBAYLIT SSEGWEN

http://ffs1963.unblog.fr/2010/10/03/photo-souvenir-said-sadi-avec-son-ami-bernard-henri-levy-au-festival-de-cannes/

said saadi est le seul capable de mener un débat sur le dialogue des civilisations et sur le dialogue entre les religions.
l'essentiel est que tout les deux sont des monothéistes .

La mondialisation va faire des ravages en Algérie. les voyous au pouvoir savent très bien qu'ils n'auront aucune chance dans l'Algerie demain , qui doit étre démocrate et diverse ou elle ne sera pas

tu mises beaucoup sur la dislocation et l'effondrement de l'état-nation algérien.
c'est de la haute trahison!! toi aussi ,on va te donner comme cadeau de fin de démocratie à la vindicte populaire .

la population "am taha", tu l'as met ou je pense

est ce que tu prééres les populations occidentales?

OUI ET DE LOIN

pourquoi?

revient à l'histoire

quelle histoire ,celle écrite par BHL!! oh non non merci .
quelle histoire ? celle écrite pas les soufifs de l'occident!!! oh non merci
quelle histoire ? celle qui dit qu'il y a six millions de juifs tués pendant la seconde guerre mondiale?? oh non ,merci ,je n'accépte pas une histoire qui multiplie les chiffres par dix et plus.

Bernard-Henri Lévy :
«C'est en tant que sioniste que j'ai participé à l'aventure politique en Libye»

laic-aokas a écrit: