Le Portail des Hommes Libres
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

La révolution sociale aux Etats-Unis (Part I)

Aller en bas

La révolution sociale aux Etats-Unis (Part I) Empty La révolution sociale aux Etats-Unis (Part I)

Message  laic-aokas Mar 21 Juin - 17:20

La révolution sociale aux Etats-Unis (Part I)


LesBeatniks, les Hippies et le Mouvement Anticulture

Leur devise était : Ne jamais faire confiance à une personne qui dépasse la trentaine.

Tout a commencé après la 2e guerre mondiale. Le retour euphorique des soldats américains chez eux s’était fait dans l’enthousiasme de vivre, la soif de la famille et du sexe. Il est né,entre 1946 et 1964, 65 millions de bébés, un record inégalé dans l’histoire démographique américaine. Cette période du baby-boom est aussi celle du boom économique. Avant la fin de la décennie 60, 40 millions d’américains avaient leur âge entre 14 et 24 ans. Avec l’enrichissement rapide de la société, se sont développés des comportements de nouveaux riches qui puaient l’arrogance et l’égoïsme les plus abjects. Une révolution des manières devait alors s’imposer. À la marge de cette culture enthousiaste et arrogante s’est développée dans le silence des masses, autour des poètes Jack Kerouac surnommé le nouveau Bouddha de la prose américaine et, Allen Ginsberg une génération d’anticonformistes pour protester contre ce qu’ils avaient appelé « la mécanisation déshumanisante de la culture américaine ». Une génération battue, éreintée que les deux poètes avaient désignée sous le nom de « Beat Génération » ou « Beatnik ». Une génération qui voulait vivre autrement, une génération marginale qui somnolait, les yeux grands ouverts sur les ravages causés par la désaffection sociale liée aux effets obsessionnels du bien-être économique.



C’est dans le Journal San Francisco Chronicle que le terme beatnik a été cogné pour la première fois sous la plume de

Jack Kerouac (1922-1969)

Herb Caen. Le terme beat désignait, au 19eme siècle, un vagabond de rail qui voyageait clandestinement dans les trains de marchandise. Ce terme a été repris par les jazzmen du Jazz Age pour designer une façon de traverser la vie. Beat Generation signifie une génération au bout du rouleau.

La beat génération a mené les débats sociaux jusqu’au milieu des années 60 où elle passa le flambeau à « la génération GAP ». Celle-ci adopta le terme « hippie » à la place de « Beatnik », le Rock n’ Roll à la place du Jazz et l’usage du LSD (Lisergic Acid Dietalamine), un puissant hallucinogène recommandé par l’ex-professeur de l’université de Harvard, le docteur Timothy Leary, à la place de la marijuana. Laquelle recommandation lui coûtera sa place comme enseignant dans cette prestigieuse université.

Ces jeunes étaient des descendants de la bourgeoisie blanche qui a travaillé dur pour assurer, dans le cadre du rêve américain, une vie décente à ses enfants. Pour trouver une alternative à cette vie égoïstement luxurieuse, ils ont rejoint la rue en signe de protestation contre l’obsession par le luxe de leurs parents et l’indifférence de l’establishment vis-à-vis des inégalités sociales. Les noirs qui ne représentaient que 11% de la population américaine comptaient pour 23% des victimes de la guerre. De retour au pays, ils n’avaient pas droit au même traitement que les blancs.

Ce que les parents avaient durement acquis, leurs enfants, sous l’influence des penseurs de « La Beat Generation », l’ont rejeté par sympathie pour les bannis ou par antipathie pour les nantis. Cette génération a fini par se creuser un fossé (gap) sans précédent avec la génération précédente, d’où son nom de « Génération Gap ». Son mouvement était radicalement dirigé contre la culture conventionnelle des parents, c’est pourquoi on l’a appelé « L’Anti culture » (The counterculture). Leur devise est celle adoptée par le Free Speech Movement : ne jamais faire confiance à une personne qui dépasse la trentaine.

Le terme hippie étant un terme péjoratif donné de l’extérieur, les hippies préfèrent plutôt

Allen Ginsberg (1926-1997)

s’appeler flower children, beautiful people, ou, plus ironiquement freaks, un terme qui signifie monstres. Le chanteur-compositeur américain Frank Zappa et son groupe The Mothers Of Invention ont été au cœur de ce mouvement dans les années 60 sur les scènes de San Francisco et Los Angeles.

En un mot, la société conformiste du boom économique de l’après guerre, en marginalisant « La Beat Génération » (la génération battue) est devenue à son tour combattue par « La Génération Gap » des années 60. Cette dernière, en livrant un combat à l’establishment et à la société des conformistes, s’est vue assigner un combat qu’elle devait mener dans le cadre de la promotion de « Peace and Love ». Elle est devenue, bon gré malgré, la génération combattante. Elle a adopté une religion qui s’appelait le « Rock & Roll », un prophète qui s’appelait Elvis Presley, le livre sur la route (on the road) de Jack Kerouac ainsi que le poème Howl d’Allen Ginsberg comme le manifest destiny ou la bible de son mouvement. Le terme « hippie » qui vient de l’anglais « hip » et qui signifie hanche, est, d’après certains, nommé après la façon particulière d’Elvis de bouger ses hanches sur scène. Complètement dénoncée par les générations précédentes, cette danse sera érigée par « La Génération Gap » en symbole de l’anti culture.

Plus officiellement, le terme hippie provient d’une dégradation ou d’une péjoration du terme hipster donné aux générations du Jazz Age des années 40, à peu prés de la même façon que le terme “berbériste” en Kabylie avait subi une pejoration qui l’avait degradé en “brobro”, un terme probablement cogné par notre « Kerouac kabyle » Mohya pour dénoncer la perte de charge émotionnelle liée au manque de conviction générationnel, responsable , en quelque sorte, des faux pas qui affectent dans sa trajectoire le mouvement berbériste. En effet, un terme spontanément engendré par une génération donnée, si les générations d’après ne lui insufflent pas, en permanence, une nouvelle énergie, il devient un simple cliché ou une pâle copie de l’originale, perdant ainsi le sens qu’il avait pris à sa naissance. D’où la dévaluation de ses adeptes en de piètres suiveurs qui n’auront pas saisi le sens du combat mais qui sautent sur le train en marche pour finir par influencer de leurs regrettables attitudes le sens et la direction de la locomotive.

Le terme hipster vient, aussi, probablement de « hipi », d’un dialecte sénégalais, qui signifie « ouvre les yeux »,

Bob Dylan & Joan Baez during the Civil Rights, August 1963

comme il peut venir aussi de la transformation du terme slang « hop » qui signifie opium.
La génération des années 60 avait adopté le terme dégradé de hippie en l’énergisant par un combat sur le terrain pour lui donner la signification de « cool ». Entre 2000 et 2010, ce terme hipster a été revigoré pour être adopté et designer une classe moyenne d’adultes ou de vieux adolescents fraichement urbanisés qui écoutent de l’Indie Rock, aussi appelé Progressive Rock, regardent les films indépendants ou Indie films c’est-à-dire produits en dehors des grands studios hollywoodiens, lisent les magazines genre Vice et Crash, et fréquentent les websites comme Pitchfork Media.

La vie des hippies, disait Kerouac, consiste en un couchage dans le sac à dos, quelques maigres provisions, les toilettes dans les torrents, la nudité en groupes et l’errance d’un endroit à un autre en toute liberté. La vraie rencontre avec soi-même s’effectue avec le refus de la société de consommation que Jack Kerouac, lui-même, a découvert lors de sa rencontre avec les préceptes chinois et zen et qu’il a nommée dans son livre intitulé Les clochards célestes (the Dharma Bums) « la grande révolution des sacs à dos ».

Ils ont été de plus en plus nombreux à investir la rue et de plus en plus nombreux à quitter l’école pour aller rejoindre les deux Mecque de l’anti culture, à savoir Greenwich Village à New York City et Berkeley en Californie. En aout 1969, 500.000 hippies, adeptes de la musique de Bob Dylan, Joan Baez, Arlo Guthrie, Jimmy Hendrix… se sont rassemblés en jeans et cheveux longs dans une ferme de la petite ville de Bethel dans l’état de New York pour un mémorable festival de « Rock and Roll » nommé Woodstock qui a rassemblé pendant trois jours, sous la pluie et dans la boue, des artistes venus principalement des quatre coins de l’Amérique pour protester contre la guerre du Vietnam dans une sorte d’hymne à « Peace & Love » symbolisé par une colombe. Rappelons-nous que « The Doves » (colombes) était le nom donné aux opposants à la guerre du Vietnam alors que le nom Hawks (faucons) désignait les supporters de cette guerre. Plus tard, les futurs festivals de la tradition Woodstock seront rejoints par les super groupes de British Invasion sur les airs de « Let it be » des “gentils” Beatles et ceux de « let it bleed » des “méchants” Rolling Stones, au grand bonheur des protestataires. Signalons que parmi les promoteurs de Woostock, il y avait le cofondateur de la firme Apple, Steve Wozniak.

L’inspiration que Ginsberg avait reçue de Kerouac l’avait poussé à prendre plus au sérieux la poésie. Ils avaient voyagé dans beaucoup de pays, dont le Maroc, mais séparément. Après un combat mené ensemble et entretenu des relations qui oscillaient probablement entre l’amitié et l’homosexualité, ils ont fini, relativement tôt, par se séparer. Jack Kerouac reprochait à Allen Ginsberg de trahir l’esprit beat à force de rechercher à s’octroyer l’attention du public. Kerouac issu d’une famille québécoise originaire de la Bretagne a fini par abondonner le boudhisme et se désolidariser du mouvement hippie. Il mourût en dévot catholique, en 1969 à l’âge de 47 ans, à Saint Petersburg, en Floride, dans une pauvreté évidente, léguant à ses héritiers une somme de 91 dollars et laissant derrière lui une fille qu’il n’a jamais connue. Son livre, Sur la route , est considéré par l’université américaine comme l’un des meilleurs livres américains du XXème siècle.
Allen Ginsberg qui a grandi dans une famille juive avait gagné le National Book Award pour son livre The fall of America (La chute de l’Amérique). En 1993 il a été décoré par le ministère français de la culture, de la médaille de chevalier des arts et des lettres. Il mourût en hippie et en communiste convaincu, en 1992 à l’âge de 70 ans, entouré de sa famille et de ses amis, à East Village dans la ville de New York City. (A suivre)

Rachid C

Pour bien saisir le mouvement anti culture qui est derriere ce que beaucoup considèrent comme la plus grande révolution sociale américaine de tous les temps, il est absolument recommendé de lire, ici-bas la « légende » trés épique du philosphe grec Diogéne le Cynique qui a inspiré les beatniks et les hippies.

Diogène de Sinope

Diogène de Sinope, en grec ancien Διογένης / Diogénês (Sinope v. 413 – Corinthe, v. 327 av. J.-C.), aussi

Diogene de Sinope (412 - 323 AJC)

appelé Diogène le cynique, est un philosophe grec de l’Antiquité et le plus célèbre représentant de l’école cynique. Il était aussi le maître de Zénon de Cition et le créateur du mot “cosmopolitisme”.

La masse d’anecdotes légendaires sur Diogène montre en tout cas que le personnage a profondément marqué les Athéniens. Il vivait dehors, dans le dénuement, vêtu d’un simple manteau, muni d’un bâton, d’une besace et d’une écuelle. Dénonçant l’artifice des conventions sociales, il préconisait en effet une vie simple, plus proche de la nature, et se contentait d’une jarre (en grec pithos) pour dormir.

Diogène avait l’art de l’invective et de la parole mordante. Il semble qu’il ne se privait pas de critiquer ouvertement les grands hommes et les autres philosophes de son temps (parmi lesquels Platon). Les apostrophes les plus connues qui lui sont attribuées sont : « Je cherche un homme » (phrase qu’il répétait en parcourant la ville avec sa lanterne), et « Ôte-toi de mon soleil » (en réponse au roi de Macédoine Alexandre, qui était venu lui demander s’il avait besoin de quoi que ce soit).

Diogène serait le fils d’un banquier de Sinope. À la suite d’une accusation de fabrication de fausse monnaie, son père aurait été jeté en prison et Diogène aurait été contraint de fuir à Athènes — selon d’autres traditions, ils auraient fui tous les deux.

Il devient le plus célèbre disciple d’Antisthène, le fondateur de l’école cynique. Selon Sénèque, confirmé par Juvénal(admiratif) et par Lucien de Samosate (moqueur), il vit vêtu d’un manteau grossier (le tribôn), allant pieds nus, dormant dans un pithos (πίθος), c’est-à-dire une jarre de grande taille3, ne possédant rien d’autre et ne subsistant que grâce aux contributions de ses auditeurs ou mécènes. Conformément à l’enseignement de son maître, il désirait vivre et se présentait comme un chien (kunos, génitif de kuôn : « le chien », en grec), d’où son autre surnom : Diogène le chien4.

Plusieurs anecdotes témoignent de son mépris des richesses et des conventions sociales. Selon Diogène Laërce, il n’hésitait pas à mendier auprès des statues afin de « s’habituer au refus ». Il abandonna même son écuelle après avoir vu un enfant buvant à la fontaine dans ses mains. Lorsqu’on l’interrogea sur la manière d’éviter la tentation de la chair, Diogène aurait répondu : en se masturbant, et aurait ajouté : « Ah, si l’on pouvait ainsi faire disparaître la faim rien qu’en se frottant le ventre ! ».

On l’aurait également vu parcourir les rues d’Athènes en plein jour, une lanterne à la main, déclarant à ceux qui lui demandaient ce qu’il faisait : « Je cherche un homme »5 (parfois traduit « Je cherche l’homme » ou « Je cherche un vrai homme »). Cet « homme » désignerait celui théorisé par Platon, l’idéal de l’humain, et Diogène aurait voulu par là réfuter son existence, ne voyant exister que des hommes concrets. Une autre anecdote rapporte que, Platon ayant défini l’homme comme un « bipède sans cornes et sans plumes », le jour suivant, Diogène se promena dans la ville en tenant à la main un coq plumé aux ergots coupés, et déclarant : « Voici l’homme de Platon ! ».

À la fin de sa vie, il se dirigeait vers Égine en bateau, quand ce dernier fut pris par des pirates. Mis en vente comme esclave à Corinthe, il déclare au marchand qui lui demande ce qu’il sait faire qu’il sait « gouverner les hommes », et qu’il faut donc le vendre à quelqu’un qui cherche un maître. Il est acheté par un riche Corinthien qui admire son indépendance d’esprit, et lui rend la liberté.

C’est à Corinthe que se situe sa fameuse rencontre du vieux clochard-philosophe avec le jeune roi de Macédoine qui avait conquis la Grèce et l’Asie Alexandre le Grand, et qui lui dit :

- « Demande-moi ce que tu veux, je te le donnerai

- Ôte-toi de mon soleil (‘Littéralement « Tiens-toi un peu à l’écart de mon soleil»).

- N’as-tu pas peur de moi ?

- Qu’es-tu donc ? Un bien ou un mal ?

- Un bien

- Qui donc, pourrait craindre le bien ? ».

Le même Alexandre aurait avoué un jour : « Si je n’étais Alexandre, je voudrais être Diogène »

La mythologie a eu raison de la vérité concernant la mort de Diogène de Sinope, et il subsiste de nos jours plusieurs versions différentes de la cause de son trépas : il serait mort à cause d’une infection causée par la morsure d’un chien7auquel il essayait de dérober son os, pour se nourrir.

D’autres sources affirment qu’il serait décédé des suites de l’ingestion d’un poulpe cru, ou même qu’il aurait volontairement arrêté de respirer(acte biologiquement impossible).

Toutes ces versions contribuent à renforcer la légende selon laquelle Diogène serait mort comme il a vécu, d’une manière peu banale, et même subversive. Il meurt en tout cas à Corinthe âgé d’environ 86 ans.

Il avait demandé qu’après sa mort, on jetât son corps à la voirie, mais ses amis lui firent des funérailles magnifiques. On plaça sur son tombeau une colonne surmontée d’un chien enmarbre de Paros et sur laquelle on pouvait lire les vers suivants :

« Même le bronze subit le vieillissement du temps,
Mais ta renommée, Diogène, l’éternité ne la détruira point.
Car toi seul as montré aux mortels la gloire d’une vie indépendante
Et le sentier de l’existence heureuse le plus facile à parcourir. »

C’est en partie à cause de leurs traits scandaleux que les écrits de Diogène tombèrent dans l’oubli quasi total. En effet la Politeia (la République) écrite par Diogène, reprise et appuyée plus tard par la Politeia de Zénon (un stoïcien), s’attaquait à de nombreuses valeurs du monde grec, en admettant, entre autres, la liberté sexuelle totale, l’indifférence à la sépulture, l’égalité entre hommes et femmes, la négation du sacré, la remise en cause de la cité et de ses lois, la suppression des armes et de la monnaie, l’autosuffisance. Par ailleurs Diogène considérait l’amour comme étant absurde : on ne devait s’attacher à personne[réf. souhaitée].

On lui prête aussi le raisonnement suivant : « Tout appartient aux dieux ; or les sages sont les amis des dieux et entre amis tout est commun ; donc tout appartient aux sages ».

Certains stoïciens, pourtant proches du courant cynique de Diogène, semblent avoir préféré dissimuler et oublier cet héritage jugé « embarrassant » .

Le stoïcien Épictète voit en lui le modèle du sage, qui cherche à s’affranchir des conventions des hommes pour revenir à la nature.

Toutes les anecdotes que l’on raconte de Diogène peuvent ne pas être authentiques. On a sous son nom des Lettres qui sont apocryphes. Elles ont été imprimées dans Epistoles cyntex et traduites en français en 1545 par L. Dupuis.

Cercidas s’exprime ainsi en parlant de lui après sa mort dans ses Méliambes :

« Non il n’est plus le Sinopéen de Jadis,
le fameux porteur de bâton,
au manteau plié en deux, qui mangeait en plein air
il est monté au ciel,
après avoir serré ses lèvres contre ses dents
et mordu en même temps qu’elles sa respiration.
Oui, fils de Zeus tu l’étais vraiment,
Tout autant que chien celeste. »

Diogène est traditionnellement représenté associé à des objets symboliques : l’écuelle, le bâton, la lanterne, la jarre.

Parmi les plus célèbres, on peut citer la représentation de Diogène par Raphaël, dans sa grande fresque du Vatican appelée L’école d’Athènes (1509-1512), mais aussi les tableaux de Jean-Léon Gérôme (1860), de John William Waterhouse (1882) et de D. E. Pugons(1902).

Le syndrome de Diogène aussi appelé sénescence est un syndrome décrit par Clark en 1975 pour caractériser un trouble du comportement de la personne âgée conduisant à des conditions de vie négligées, voire insalubres.)

(Wikipedia)
laic-aokas
laic-aokas

Nombre de messages : 14034
Date d'inscription : 03/06/2011

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum