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L'Algérie dirigée par des sionistes marocains

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Message  fetchx Sam 21 Mai - 20:18

Abdelkader Bensalah, un tlemcenien au passé controversé pour piloter les réformes de Bouteflika
Lundi, 02 Mai 2011, 20:26 | Tayeb Belmadi
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Il ne fallait pas aller trop loin pour trouver « la personnalité nationale » qui pilotera les réformes politiques du président Bouteflika. Donc le choix est porté sur Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la Nation pour diriger le nouveau projet du chef de l’Etat. Personnage sans envergure, M. Bensalah est surtout connu pour être un proche du chef de l'Etat. Comme par hasard, originaire de Tlemcen.

« Dans le cadre du cheminement des réformes politiques qu'il a explicité ce jour, le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a désigné M. Abdelkader Bensalah pour la conduite des consultations avec les partis politiques et les personnalités nationales », a indiqué un communiqué de la présidence de la République.

M. Bensalah aura ainsi à diriger des rencontres avec les partis et personnalités pour de « larges consultations » sur les réformes politiques à promouvoir, particulièrement la révision de la Constitution, selon le document de la présidence.

Agé de 70 ans, Abdelkader Bensalah, natif de Tlemcen, dans l’Ouest d’Algérie, région dont sont originaires plusieurs ministres et hauts cadres de l’Etat, occupe le poste de président du Sénat depuis le 02 juillet 2002. Il avait été porté à la tête du Conseil de la Nation en deux trois mouvements.

Lors des élections législatives du 30 mai 2002, Bensalah est élu député d’Oran. Contre toute attente, 23 jours après son élection, il démissionne de son poste le 22 juin. Le lendemain, il est nommé sénateur du tiers présidentiel au Conseil de nation.

Vingt jours plutôt, le président du Sénat, Mohamed Cherif Messaadia, 78 ans, ancien cacique du FLN ( Front de libération national ) décédait à l’hôpital américain à Paris d’une longue maladie.

Le 02 juillet donc, le poste devenu vacant, Abdelkader Bensalah lui succède à la tête du Sénat. Elu difficilement député d'Oran le 30 mai, celui-ci est porté à la tête du Conseil de la Nation trente trois jours plus tard.

Ainsi, en deux trois mouvements, M. Bensalah est passé du statut de député à celui de président du Sénat.

Le lieu de naissance d'origine de Bensalah n’est sans doute pas étrange à cette soudaine promotion.

Etrangement, la désignation aujourd'hui d’Abdelkader Bensalah à la tête de cette nouvelle commission des réformes politiques initiées par Bouteflika intervient au moment même où le passé de ce proche du chef de l’Etat resurgit avec les révélations contenues dans le livre du journaliste Mohamed Sifaoui, « Bouteflika, ses parrains et ses larbins » (Editions Encre d'Orient), à paraître le 26 mai prochain.

Le journaliste qui a enquêté sur les origines de M. Bensalah affirme que ce dernier est né de parents marocains, mais qu'il a obtenu son décret de naturalisation en septembre 1965.

Auparavant, toujours selon Mohamed Sifaoui, Bensalah a travaillé au consulat du Maroc à Oran, où il « aurait rendu de grands services » aux Algériens. Curieusement, cette révélation n'a pas suscité le moindre commentaire de la part de l'intéressé.

Bien qu'aucun démenti n'a été apporté à cette révélation, celle-ci a suscité, selon nos informations, des interrogations autant que de l'embarras dans le sérail algérien.

Mais visiblement, pas de quoi perturber l'entourage du chef de l'Etat.

Le choix de cette personnalité connue pour sa proximité avec le clan présidentiel serait-il de nature à rassurer l’opposition sur les vraies intentions démocratiques du chef de l’Etat ? Rien n’est moins sûr.

Personnage sans envergure, cet ancien journaliste arabisant passé par la case de la diplomatie ne présente guère le profil d’un homme en mesure de recueillir le consensus au sein de l’opposition. Si tant que celle-ci puisse adhérer au nouveau projet politique du chef de l’Etat.

Mais tout porte à croire que la désignation de M. Bensalah obéit à d'autres considérations.

Non seulement le président Bouteflika, 74 ans, veut gagner du temps face à la contestation sociale et politique qui secoue le pays, mais il entend également maitriser le processus de ses réformes politiques de bout en bout.

Le choix porté sur la personnalité d'Abelkader Bensalah découle de sens.

Lire l'article original : Abdelkader Bensalah, un tlemcenien au passé controversé pour piloter les réformes de Bouteflika | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie

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Message  fetchx Sam 21 Mai - 20:21

Révélations : La femme du ministre, le colonel et l'enterrement du mégaprojet Emaar en Algérie
Jeudi, 19 Mai 2011, 14:46 | Tayeb Belmadi
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C’était samedi 15 juillet 2006. Dans l’enceinte du Palais du Peuple, sur les hauteurs d’Alger, devant le président Bouteflika et un parterre de ministres, Mohamed Ben Ali El Abbar, président du Conseil d'administration du groupe émirati* Emaar, présente 5 mégaprojets qui devront faire d’Alger, la Dubaï du Maghreb. Montant de l’investissement : 30 milliards de dollars. Quatre ans plus tard, le projet est resté dans les cartons et le groupe a plié bagages. De nouvelles révélations sur ce retrait.

Gare ultra-moderne, baie avec marina, campus technologique à Sidi Abdellah, à 25 km au sud-est d'Alger, complexe de remise en forme, complexe touristique sur le littoral ouest de la capitale et mosquée, Emaar nourrissait de grandes ambitions en Algérie.

Montant du projet piloté côté algérien par le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar : 30 milliards de dollars. Moins de quatre ans plus tard, en septembre 2010, le groupe venu des Emirats Arabes Unis ferme son bureau à Alger.

Pourquoi Emaar a-t-il renoncé à ces investissements - les plus importants en Algérie depuis deux décennies -, qui lui auraient ouvert les portes au Maghreb ?

Dans son livre « Bouteflika, le roitelet, le mégalomane, le chef de clan, l’intrigant... », le journaliste algérien Mohamed Sifaoui affirme que parmi les raisons qui ont poussé les émiratis à plier bagages il y a cette voracité de certains responsables algériens qui ont cherché à soutirer des avantages des émiratis.

Deux personnes sont particulièrement citées dans cet ouvrage à paraitre le 26 mai prochain en France : l’épouse du ministre Abdelhamid Temmar ainsi qu’un colonel qui officie comme secrétaire du chef d’Etat-major Gaïd Salah.

A en croire un haut cadre d’Emaar interrogé par le journaliste dont le nom n’a pas révélé, « les émiriens, à peine installés, reçurent la visite de l’épouse du ministre Temmar », écrit le journaliste. Que voulait-elle ? Une subvention.

« La bonne dame – qui possède un grand cœur – est à la tête d’une association de handicapés et a demandé aux dirigeants d’Al Emaar, sans rendez-vous préalable, une ‘subvention’ pour son association », ajoute encore l’auteur du livre.

La réponse des émiratis est négative. Cette demande, faite à deux reprises, est d’autant plus inacceptable, souligne le journaliste, qu’elle émane de l’épouse du ministre chargé de cet important dossier d’investissements. « Ce mélange des genres les choquera, d’après un cadre émirien interrogé », rajoute l’auteur.

La demande de l’épouse étant restée sans lendemain, le ministre a fait preuve de rétorsion à l’égard des investisseurs.

En effet, écrit Sifaoui, « le ministre de l’investissement décida, quelque temps plus tard, de réduire le nombre de projet, les faisant passer de cinq (…) à trois et à faire passer le coût de l’opération de 30 à 5 milliards. »

L’autre personnage qui a voulu obtenir des subsides des émiratis est un colonel qui occupe les fonctions de secrétaire du chef d’Etat-major, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah. Quelques mois avant le départ des dirigeants d’Emaar d’Algérie, ce colonel « vint les voir dans leurs locaux. »

Objet de cette visite : une intervention pour favoriser des recrutements. « Il donnera aux émiriens, de la part de son chef, une liste de personnes à embaucher », écrit le journaliste. Cette liste, rédigée sur deux feuillets, comporte une quarantaine de personnes.

Là encore, les responsables du groupe ont opposé un refus. « Surpris par un telle démarche, les dirigeants de l’entreprise ne donneront aucune suite favorable à cette démarche », conclut Sifaoui.

Pour ce dernier, « ces agissement, la lenteur administrative, les blocages bureaucratiques, ainsi que le manque de sérieux qu’ils auraient constaté sur place, ont poussé finalement les responsables d’Al-Emaar à mettre fin à leur présence en Algérie. »

Vrai ou faux ? Les autorités algériennes expliqueront ce retrait par la crise financière internationale qui a obligé le groupe émirati à remettre en question ses investissements en Algérie.

« Emaar doit revoir un certains nombre de projets. Fondamentalement, c’est lui qui est touché. Le problème n’est pas dans l’économie algérienne. Notre économie est présentée comme une économie porteuse de croissance », affirmait en juillet 2009, le ministre algérien des Finances Karim Djoudi.

Quelles pourraient les réactions des personnes mises en cause par ces révélations ? Démentir publiquement les faits ou faire comme si de rien n’était.



* La rédaction de DNA a choisi d'utiliser le terme "émirati" alors que l'auteur du livre a opté pour "émérie

Lire l'article original : Révélations : La femme du ministre, le colonel et l'enterrement du mégaprojet Emaar en Algérie | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie

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Message  fetchx Sam 21 Mai - 20:22

Quizz : Parmi tous ces ministres qui détient le record de longévité ?
Mardi, 03 Mai 2011, 10:05 | Tayeb Belmadi avec Mehdi Bakour
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Certains étaient là avant l’arrivée de Bouteflika au pouvoir en avril 1999, d’autres sont arrivés avec lui. Mais tous, ou presque, ont cette particularité d’avoir battu des records de longévité au sein de leurs départements ministériels. Certains sont ministres depuis 23 ans, d’autres ne le sont que depuis…6 ans.

Le gouvernement du Premier-ministre Ahmed Ouyahia, remanié le 28 mai 2010, est composé de 39 membres. La moyenne d’âge de leur présence au sein d’un exécutif est de plus de 10 ans. À titre de comparaison, dans l’actuel gouvernement français, cette moyenne est de 3 ans. Durant la Régence d’Alger, par exemple, la moyenne des deys à la tête de leurs petites régences, était de 6 ans.

Jamais dans l'histoire de l'Algérie indépendante, des ministres n’ont occupé aussi longtemps leurs fonctions que durant le règne du président Abdelaziz Bouteflka. Parmi les actuels titulaires de portefeuilles ministériels, il y a 11 ministres qui détiennent le record de longévité dans un même ministère.

Benbouzid

À l'image du président Abdelaziz Bouteflika qui a passé 14 ans au ministère des Affaires étrangères (1963-1979), le ministre de l’Education nationale, Aboubekeur Benbouzid, a effectué 14 rentrées scolaires (1998 –2011) alors qu’il est entré au gouvernement dès 1993 comme ministre de l’Enseignement supérieur. Un vrai vétéran.

Ghoulamallah

Le ministre des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghoulamallah, a lui organisé 14 pèlerinages de son siège de Hydra depuis sa nomination le 25 janvier 1997. Un autre record depuis l’indépendance du pays en juillet 1962.

Abbes

Mohamed Chérif Abbes veille depuis 12 ans sur le précieux budget des moudjahidines (anciens combattants de la révolution) alors qu’Amar Ghoul est ministre des Travaux publics depuis 2003, c'est-à-dire depuis 8 ans.

Ghoul

Ancien député islamiste, Amar Ghoul a fait son entrée dans le gouvernement de Bouteflika en décembre 1999 comme ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques. En dépit de l’affaire de corruption liée au projet de l’autoroute Est-Ouest qui a décapité son staff, Amar Ghoul a résisté au scandale.

Ould Abbes

Djamel Ould Abbes est logé à la même enseigne. Nommé en décembre 1999 ministre de la Solidarité nationale, il y est resté 9 ans avant d’être muté au département de la Santé.

Barkat

Said Barkat, ministre de la Solidarité nationale depuis mai 2008. Lui aussi est venu dans les bagages du président Bouteflika qui lui a offert le portefeuille de l’Agriculture en décembre 1999. Voilà onze déjà.

Malgré le scandale qui a éclaboussé son département, Barkat a réussi à passer à travers les gouttes pour se maintenir en tant que ministre.

Toumi

Aucun ministre de la Culture depuis l’indépendance en juillet n'a duré aussi longtemps que Khalida Toumi. Cette ancienne militante de la cause féminine, ex-responsable au sein du RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie), est en poste depuis 2002.

Medelci

Le ministre des Affaires Etrangères, Mourad Medelci, est lui aussi insubmersible. C’est en 1988, sous le gouvernement de Kasdi Merbah, que ce natif de Tlemcen a fait son entrée dans un exécutif au poste de ministre du Commerce. Depuis, Medelci a enchainé les départements ministériels et les fonctions officielles au point de détenir le record de 23 ans passés au sommet de l’Etat.

Rahmani

Le ministre de l’Environnement, Chérif Rahmani, détient le même record. Entré à la même année que Medelci au poste de ministre de la Jeune et des Sports, il est encore en fonction en février 2011 après avoir transhumé par différents départements et avoir occupé le poste de Gouverneur d’Alger.

Sellal

Abdelmalek Sellal n’est pas plus mal logé. Ancien wali, ancien ambassadeur, il arrive au département de l’Intérieur en 1998 pour n’y effectuer qu’un passage de deux ans. Tour à tour ministre de la Jeunesse et des Sports, des Travaux publics, puis des Transports, il officiel désormais au ministère de l’Hydraulique.

Belaiz

Le garde des Sceaux, Tayeb Belaiz, originaire de Tlemcen, est devenu indétrônable au ministre de la Justice. Ancien magistrat, Belaiz a fait son entrée dans le gouvernement de Bouteflika en 1999 comme ministre de la Solidarité nationale. Depuis 2003, il préside aux destinées du département de la Justice. Huit ans déjà. Un autre record à ce poste depuis l’Independance de l’Algérie.

Messahel

Le Ministre délégué auprès du Ministre d'État, ministre des Affaires étrangères, chargé des affaires africaines, Abdelkader Messahel est un autre dinosaure de la politique. Nommé en 2000, il cumule aujourd’hui onze ans de service à la tête de ce secrétariat d’Etat. Lui aussi est originaire de Tlemcen.

Louh

Un autre ministre également natif de Tlemcen. Tayeb Louh occupe le portefeuille de la Sécurité sociale depuis mai 2003. C'est-à-dire depuis 8 ans.

Tou

Son collègue au département des Transports, Amar Tou, est lui aussi inamovible. Nommé en 1997 (14 ans déjà ) ministre de l’Enseignement et de la recherche scientifique, Tou a navigué entre différents ministères. Lui également a cette petite particularité d’être originaire de Tlemcen.

Ould Kablia

Le ministre de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia, n’a rien à envier au reste des ministres. Cet ancien du MALG, embryon de la sécurité militaire algérienne, il a travaille à l’ombre de son prédécesseur Yazid Zerhouni comme ministre délégué auprès de ce dernier, avant de le remplacer en mai 2010.

Zerhouni

Cet ancien numéro de la sécurité militaire, arrive au ministère de l’Intérieur en décembre 1999 où il a régné pendant onze ans avant d’y être débarqué. Nommé Vice-Premier ministre le 28 mai 2010, il reste un des symboles forts de l’ère de Bouteflika.

Et la liste est loin d’être exhaustive….

Belkadem

Dans cette équipe de dinosaures de la politique, de professionnels de la politique, il reste deux personnages. Abdelaziz Belkhadem et Ahmed Ouyahia. Le premier occupe désormais les fonctions de ministre d’Etat et de représentant personnel du chef de l’Etat. Islamiste BCBG, Belkhadem, actuel SG du FLN, a été nommé Chef du gouvernement en mai 2006 avant d’en être remercié sans explications en juin 2008.

Ouyahia

Le second détient un autre record dans son genre. Ahmed Ouyahia est le seul chef du gouvernement de l’Algérie à avoir occupé ce poste trois fois de suite. A intervalles irrégulières, tout de même.

Nommé par le président Liamine Zeroual à la tête de l’exécutif le 31 décembre 1995, il est remercié en décembre 1998, puis rappelé en mai 2003, congédié en mai 2006, puis rappelé de nouveau en juin 2008. Un autre record.

Jamais, depuis l’indépendance du pays, un chef du gouvernement n’a connu autant de fortunes et d’infortunes comme c'est le cas d'Ahmed Ouyahia.

Critères d'allégeance et de proximité

Cette omniprésence aux plus hautes fonctions de l’Etat, ces records de longévité dans les départements ministériels, cette capacité des uns et des autres à se maintenir au sein des ministères de la république, tout cela met en évidence la problématique de la légitimité du pouvoir en Algérie.

Ils illustrent aussi la confiscation de ce pouvoir par une caste de nantis qui doivent leurs nominations et leurs maintiens à des critères autres que ceux qui relèvent de la compétence et de la bonne gouvernance.

Cette omniprésence aux postes ministériels, cette propension qu’ont certains ministres à se maintenir à leurs postes en dépit des scandales, en dépit de l’usure du pouvoir, en dépit du bon sens, et en dépit de l’échec patent de leurs politiques respectives, demeurent au cœur de la problématique du pouvoir.

C’est que ces hommes et ces femmes ne sont pas choisis, maintenus, ou dégommés, en fonction de leurs compétences, en fonction des résultats obtenus au sein de leurs départements, mais plutôt en fonction de leur proximité avec le sérail, de leur aptitude à faire allégeance au sérail.

Tlemcen, capitale du pouvoir

Ils ne doivent pas leur nomination ou leur déchéance au suffrage des urnes, mais au degré de leur allégeance et dans le cas de certains ministres, à leur lieu de naissance. C'est à dire Tlemcen, région de l'ouest du pays où le président Bouteflika aurait vu le jour en 1937 bien qu'il soit réellement né à Oujda, au Maroc.

Jamais sans doute dans l'histoire de l'Algérie indépendante, un gouvernement n'a compté autant de ministres ( pour ne pas parler des ambassadeurs, des conseillers de la présidence et autres commis de l'Etat ) natifs de la même région, c'est à dire Tlemcen, à 520 km à l'ouest d'Alger.

Si tout ces critères de nomination, de maintien et de dégringolade remontent au début de l’histoire de l’Algérie indépendante, force est de constater qu’ils ont été accentués depuis l’arrivée du président Bouteflika au pouvoir en avril 1999.

Bouteflika n’a certes rien inventé en matière de mauvaise gouvernance. Il n’a fait que perpétuer les vieilles pratiques du système.

Mais ce président, plus que nul autre de ses prédécesseurs, a poussé ces critères jusqu’à la caricature.

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Message  fetchx Sam 21 Mai - 20:31

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Message  fetchx Sam 21 Mai - 20:36

Accueil | Actualité
A quand le ministère de la Chorba ?
Par Le Matin dz | 25/11/2010 11:49:00 | 9474 lecture(s)
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A quand le ministère de la Chorba ?

Et si SAG avait raison ?

Par Mohamed ABASSA

Monsieur Sid Ahmed Ghozali, SAG pour quelques familiers, dont on connaît par ailleurs la coutumière élégance et la courtoisie du verbe, même dans ses ironies, accorde un soin particulier au sens et à la précision du mot. Même dans ses discrètes litotes où il nous invite souvent à suivre son regard pour dénoncer les déviances. Il reste avenant et poli. Jamais d’écarts ou d’insultes à l’endroit souligné des gens qui lui font mal. Sarcastique et plaisantin sur la chose, Il en a les moyens, le bougre. Il méprise avec dérision les gens et la gente du pouvoir. Quelle hérésie s’est donc emparée de notre SAG national en prononçant le mot harki pour désigner les supplétifs du vrai pouvoir ? Il sera donc difficile de le soupçonner de bigoterie ou de maladresse ou de lapsus linguae à la Dati, quand, de son discours habituellement disert et fleuri de métaphores et d’hyperboles, émerge, comme dans une embuscade, ce traître mot de harki qui fait si mal et si peur à entendre en cette noble terre de tortures et de souffrances multiples. Justement dues aux exactions des harkis contre leurs propres frères. Ce mot « harki » n’a donc pas glissé ou échappé comme ça, par inattention ou inadvertance à son auteur dont on connaît par trop le sens de la concision et du parler dru et cru. Connaissant donc un peu l’Homme et sa rigueur de froid cartésien, je ne peux le soupçonner sans raison d’avoir commis ce mot oniriquement avec un vague à l’âme ou un dépit de politicien fatigué et outré par les insultes et les outrages faits à son pays et à son peuple; peut-être même à son auguste personne freinée, réfrénée voire souvent censurée dans ses ambitions politiques. Et l’on comprend d’autant mieux ses légitimes éclats de colères que ses procès et les interdits qui le frappent proviennent de petites gens, sans relief, sans morale et sans talent aucun. Des petits, dit-il ; sans regrets. L’un, inventeur de la justice de nuit, se révélant ministre approximatif et travaillant à l’encan, au gré des vents et des injonctions du clan, s’inventant des missions illégales d’autoriser ou d’interdire la création de journaux, touché par sa famille éclaboussée des histoires de drogue et à divers commerces illicites. L’autre, ex chef tortionnaire de la triste sécuritad algérienne, la redoutable SM pour ceux qui s’en souviennent, se révélant par la télévision, en piètre locuteur, dont le niveau mental et intellectuel laissait entrevoir une personnalité immature et inaccomplie ; incapable de formuler une phrase complète; un vrai marchand de paille, plutôt charretier sermonnant ses mules, nous, ignorant son rang et son sujet ; comme la plupart de ses pairs agrippés en morpions increvables au pouvoir des parties. Ce sont ces gens là qui font et défont l’Algérie actuelle. Agissant pour compte et par délégation des vrais détenteurs du pouvoir, ils jugent et censurent MM SAG, Aït Ahmed, Taleb, Touati, Sadi et bien d’autres. Ce sont ces clans régnant qui ont mis l’Algérie à genoux en lui faisant atteindre par la saleté des corruptions, des détournements et des dénis de justice, le plus hideux et le plus dégradant des records; l’un des pays le plus corrompu de la planète terre. M. Zerhouni, dont on ne connaît ni la formation, ni le métier, à part par ses passages remarqués de grand chef des tortionnaires et accessoirement récipiendaire et destinataire permanent depuis 50 ans des largesses étatiques. Qui connaît ses hauts faits d’armes dont ses participations jamais dites à des complots et à des liquidations dans les rangs de l’ALN/FLN des frontières, de vrais patriotes exécutés pour rien. Jusqu’à récemment, ce monsieur s’arrogeait sans aucune légitimité, le droit régalien d’autoriser ou d’interdire la création d’un parti politique, d’association ou d’un simple rassemblement citoyen. Au nom de cette même loi algérienne dont il a décidé d’être le seul gardien et le seul garant, l’autre ministre a décidé de fait, avec son collègue de la tribu régnante, de m’interdire de créer un journal. Mais, franchement, ayant écouté ce monsieur étaler son ignorance et ses incohérences à la télévision de Bouteflika, peu disert et surtout indigent par le verbe, au vu de ses prestations frôlant le ridicule, je me résolvais à croire que ce type là, bien en phase dans sa peau de butor, ne connaissait ni son sujet ni son métier, à part, la seule chose qu’on sache de lui ; ses dons naturels de grand chef policier. Toujours prêt et préparé à frapper les grands, les humbles et les justes. Quoique ! D’évidence, je doute fort qu’il ait eu un jour les capacités de lire et de comprendre un article de loi, encore moins son esprit. Vu ce qu’on soupçonne de son illettrisme avéré et exhibé en direct à la télévision, je doute fort aussi que cet honorable monsieur ait les capacités de pouvoir lire une simple phrase sans l’écorcher, sans en altérer le sens. Et comme cet illustre monsieur ne se satisfaisait plus de son statut de harki du régime selon la définition Ghozalienne du terme et qu’il voulait vraisemblablement s’en affranchir, il s’est retrouvé sur le carreau ; Gros Jean comme devant, viré par le vrai et seul employeur ; les Srabess. Alors que fait-il ? Démissionner ? comme l’exige le moindre gramme de dignité quand on est congédié moins bien qu’une femme de ménage? Pensez-vous l Chez ces gens-là, messieurs, on ne démissionne pas, jamais. On fait le mort ; la rente et la Tchippa sont plus fortes. On pense avec la panse. Et voilà donc, le plus gradé des tortionnaire de la république des tontons macoutes, recyclé en vague vice premier ministre aux fonctions imprécises ; vice ministre de quoi et de qui au fait ? D’Ouyahia, le vrai clone discipliné et soumis des Srabess. Et patatras, voilà donc le grand comploteur, l’ex chef tortionnaire, faiseur et défaiseur de président-roi et de ministres cornichons, expert en urnes gagnantes, emprisonneur d’hommes intègres et talentueux, Benchicou, censeur et punisseur haineux d’auteurs aimant leur pays, rompu aux ruses machiavéliques d’Oujda, qui se voyait déjà le super patron-flics et de tous les services de sécurité, le voilà donc ramassé comme un petit sergent stagiaire pris en faute dans son propre jeu. Le voilà jeté comme un petit sergent dont il n’a pas le niveau ni la conscience, et muté moins bien qu’un chef de Daïra en subalterne saisonnier chez Ouyahia qui aura la lourde tâche de lui apprendre à parler en public. Il accuse le coup et accepte sans la moindre honte, sans le moindre sentiment de déchéance que ressent habituellement une femme de ménage mal congédiée. Et il dit oui, la bouche pleine de couleuvres et de formules ampoulées avec des courbettes appuyées de harki remercié, au sens Ghozalien du terme. C’eut été plus judicieux de le nommer premier ministre du vice plutôt que vice premier ministre. C’aurait mieux ressemblé à son cursus et à son itinéraire de très grand moudjahid des hammams d’Oujda et de Kénitra ; les seuls maquis connus où il a combattu avec bravoure sans compter les autres suspicions de complots ayant visé Abane, Lotfi, Zoubir, Amirouche, Haoues et des milliers d’autres vrais moudjahed anonymes. Tous morts tués par les complots des planqués des frontières attendant en hyènes pressées leur heure ; leur gloire. Ils l’ont acquise et gardée depuis 50 ans. Ils y sont toujours ; jusqu’à leur mort physique disent-ils. Demandez des précisions à M. Ahmed Bensaâdoune. Il les connaît un à un. Dommage que ses témoignages précis n’aient pas connu la diffusion qu’ils méritent ; une vraie autre censure.

C’est pourquoi, dans l’intelligence du mot harki, Il faut comprendre que les servants du régime accepteront toutes les platitudes, toutes les génuflexions, toutes les courbettes, tous les baisemains et bassesses dérivées, pourvu que les avantages faramineux et les privilèges de la vache étatique restent intacts et tombent comme toujours, régulièrement à leurs pieds, depuis 50 ans à ce jour. Qu’ont-ils apporté ces gens là à l’Algérie ? L’indépendance ? Laissez-moi rire ! Les Hammams de Nador et de Tunis ont été bien plus utiles à la révolution algérienne. La question est plutôt de savoir ce que l’Algérie leur rapporte depuis l’indépendance dont ils sont les seuls bénéficiaires à ce jour : des millions et des milliards en Dinars et en devises, en argent, en terrains, en pharmacies, en villas, en privilèges illimités, en postes à l’étranger, en marchés pour la famille , pour les amis et les maîtresses, en fonctions régaliennes et en grades usurpés, en détournements massifs qui font de l’Algérie actuelle l’un des pays le plus dévoyé et le plus corrompu au monde. De cela, ils n’en ont cure puisque leur employeur les laisse faire à leur guise puisqu’il se dit, comme toujours, que canaille et racaille se réconcilient à la gamelle quand elle est bien pleine. D’évidence, quand hyènes puantes et lions régnants se partagent équitablement le butin en fonction de leurs grades et de leurs rangs respectifs, la fonction et l’épithète de harki se justifient amplement dans la bouche et dans l’entendement de M. SAG. Forcément donc, je comprends les colères cumulées de M. Ghozali qui ne s’est pas, mais alors pas du tout, fourvoyé ou égaré en traitant ce personnel subalterne de commandements ministériels à géométrie variable, à vestes réversibles et à mémoires courtes, de minables et piteux harki travaillant en toute connaissance de cause pour les casquettes de l’ombre et/ou pour un ¾ de président, lui-même sous les ordres du cabinet noir de derrière les rideaux. Vous souvenez-vous du rideau de la maison de la culture de Annaba ? De L. Belkheir? Du général Smaïl ? Du PG Sayah devenu Consul Général pour service rendu? De Boumaârafi, petit appuyeur solitaire de la gâchette fatale ?
Et voilà donc le super grand chef, c'est-à-dire les ¾ de président, se trouvant bien malgré lui et à son corps défendant obligé de se délester de ses trois amis d’enfance, le Texan atteint de boulimie de détournements , l’ex chef tortionnaire atteint de mégalomanie sécuritaire et un repris de justice maladivement atteint de frénésie d’études bidon avec des bureaux d’études étrangers non moins bidon. Aux dernières nouvelles, il a été recyclé en ministre du futur, magistère qui n’existe nulle part au monde, et versé sans ménagement dans la science obscure des guèzanate d’Oujda ; la prospective! Fonction qui lui va si bien hors statistiques qui lui échappent totalement selon la volonté soulignée des Srabess. Lui non plus, attaché et motivé par le ventre, n’a pas cru devoir démissionner pour les fessées qu’il ne cesse de recevoir. Et pourquoi démissionnerait-il et pourquoi quitterait-il ce paradis inespéré que lui offre son ami le trois quarts de président ? Au pire, pour lui aussi, les jets d’Anadarko sont prêts à décoller. De plus, comme doit le penser SAG, La vie de harki est si belle à Djenane El- Mithak et les appartements bradés de la Tour Chabani sont si somptueux, si bien soignés par BRC ! Le texan lui, le seul à se vanter de ne pas émarger chez les Srabess locaux, donc un non harki local, se permet, lui, avec l’arrogance et le mépris qu’on lui connaît, d’éclater de rire quand les journalistes indigènes lui demandent s’il ne craint pas la justice algérienne pour les montagnes de dollars qu’il a détournés. La CIA est la plus grande croit-il en son intime conviction sans jamais préciser sa pensée de Texan. A lui seul, il a mis l’Algérie et les Algériens à genoux ; il est toujours en liberté fort des soutiens devinés des grands Srabess étrangers ; CIA, Ned CIA et Mossad en tête. La DGSE ne comptant pas non plus pour du beurre.

Un autre qui n’émarge pas non plus en harki chez les Srabess locaux, c’est Saïd, dit le ½ président ou le dauphin sans régence. Un vrai Borgia instruit, moins que le défunt cardinal, de l’art des couloirs et des complots, l’héritier du trône républicain qui s’amuse, comme Marie Antoinette, à jeter des brioches et des postes à tous ceux qui prêtent allégeance et loyauté aux seigneurs du jour : lui, la fratrie et surtout le grand frère monarque républicain. Mais là aussi, les Srabess locaux, ces méchants indigènes qui maîtrisent à la perfection ces vilaines choses de la baignoire et de la gégène, ont remis, à leur manière, un peu d’ordre dans la maison Algérie. Depuis, selon certaines rumeurs algéroises et selon certaines gorges profondes d’El-Mouradia, le petit Saïd s’est un peu ravisé et, surtout, calmé en faisant le deuil de ses rêvasseries bokassiennes. Il ne lui reste plus, semble-t-il, que quelques bricoles de sous-dév. frustré comme bidouiller à sa manière le JT du 20 heures, le placement à des fonctions régaliennes des derniers cancres et servants zélés du clan, des généreuses pensionnaires des canapés présidentiels, et, surtout, la gestion des secrètes et juteuses affaires de la fratrie, et, bien plus, quelques cocus pressés, rétribués en postes et hautes nominations étatiques ; de s’offrir à El-Mouradia, comme à Capoue, sœurs, consœurs et épouses pour arriver à la juteuse gouvernance ; Oui vraiment ; comme à Capoue. Parce qu’El-Mouradia, par ses mœurs, n’est pas loin de Capoue. Comme le Capitole n’était pas loin de la roche tarpéienne. En cela, les Srabess locaux ont été très dissuasifs. Pour cela aussi, le petit Saïd, comme le petit Nicolas, a fait dérogation à la définition harkienne de SAG sans s’être totalement affranchi du trio diabolique du clan. Défaits, humiliés et mis HS par les Srabess locaux. Des vrais harkis qui prennent conscience des limites de leur pouvoir.

Garde à vous ! La casquette est bien là.

C’est dans ce climat que Ghozali a lâché son terrible réquisitoire avec un seul mot, oui un seul: harki. Quoique, avant lui, son ami Belaïd Abdeslem, alors chef du gouvernement lui succédant, avait lâché, plus à Ali Kafi qu’aux téléspectateurs, que lui, c’est El Aaskar, les militaires, qui l’avaient placé à son poste de chef de gouvernement. Comme tous les autres avant et après lui. Personne avant ou après lui n’avait osé commettre; ce que, d’évidence, tout le monde savait et sait toujours. Aucun dirigeant politique, aucune institution politique nationale, régionale, locale, aucune opposition, aucune association civile, aucun journal, radio ou télévision ne fonctionnent en dehors des contrôles et de la surveillance directe de la casquette. Chaque ministère est sous la surveillance directe et permanente d’un officier supérieur qui, bien souvent, se trouve impliqué dans les grosses affaires de corruption. Mais attention ; je ne généralise pas ; je connais personnellement de nombreux officiers supérieurs, affectés à la fonction ingrate de surveiller des ministres et cadres supérieurs et qui ont sauvé l’Algérie de nombreux désastres. Sans être la majorité, ils sont nombreux, parfois compétents, souvent sobres, honnêtes et anonymes. C’est évident.
C’est quoi l’évidence ? Ce sont les militaires qui dirigent le pays en utilisant des civils recrutés au berceau, dociles, souvent corrompus et soumis à tous les niveaux des hiérarchies et des allégeances en contrepartie d’avantages faramineux. Question : Comment devient-on ministre, DG et PDG d’entreprises publiques, Wali, chef de Daïra, Ambassadeur, Consul et Consul Général, Député, Sénateur, bénéficiaires de gros marchés publics, résident au Club des Pins (que les Algériens appellent Club des chiens). Comment devient-on Président de la République d’un pays après l’avoir déserté pendant plus de vingt ans alors qu’il pleurait ses enfants égorgés ? Par qui ? Par ses frères des montagnes dit-il, toute honte bue. Comment peut-on devenir ministre de la RADP après avoir déserté son pays pendant 30 ans et mis en faillite un pays prospère, l’Argentine, après avoir servi la CIA et le Mossad ? Comment peut-on recruter un ministre de la RADP quand on sait que c’est un repris de justice, violeur et voleur condamné es-qualité ? Les militaires recruteurs ignoraient-ils cela ? Non, je ne ferai pas injure à leur intelligence ni à leurs fichiers. Est-ce volontaire ? Oui, ils recrutent des êtres faibles, fragiles, corrompus, prêts à tout et à toutes les allégeances. Et c’est précisément ce qui a conduit notre magnifique pays à devenir ceci par cette option de gouvernance des demi-harkis :

- Des patates réservées aux cochons canadiens sont importées et proposées aux Algériens à 2 fois leur prix d’achat.

- L’Algérie est le seul pays au monde où un haut responsable avoue publiquement qu’il a volé et fait détourner des centaines et milliers de milliards d’une manière frauduleuse et crapuleuse, sans que la présidente du tribunal ne s’en offusque ou ne déclare séance tenante : « Policiers ! Emparez-vous de lui » Elle ne l’a pas fait. Pourquoi ?

- Le prix du Km d’autoroute de M. Ghoul coûte deux fois plus cher que les prix moyens pratiqués dans le monde. Alors, où vont les différences de ces prix exorbitants ? Les caisses islamistes qu’affectionnent délictueusement M. Boutef sont, pour le moins, bien alimentées; « ses frères des montagnes » comme il a dit, lui.
- Le métro d’Alger (quelques ramettes) bat tous les records du monde: délais de réalisation (30 ans et ce n’est pas fini), quatre promesses d’inauguration mensongères, le prix du Km rendu est trois fois plus cher que le coût moyen d’un Km réalisé ailleurs dans le monde.

- L’Etat algérien est incapable de garantir un litre de lait par famille algérienne ou une baguette de pain les jours de fête ; une vraie honte. Comment peut-on gérer un pays et Etat quand on ne sait pas faire gérer une épicerie ?

- L’Etat algérien est incapable de gérer les poubelles et les ordures qu’il génère lui-même. Trouvez une seule ville algérienne exempte ou épargnée de cette horreur, des saletés générales, des cafards et des rats ; les seules espèces qui prospèrent et vivent librement dans leur Algérie. C’est pourquoi les jeunes la quittent ou cherchent à la quitter.

- L’Etat algérien est-il en mesure de mesurer ou de compter le nombre d’Algériens qui se nourrissent et vivent dans les poubelles ? Combien sont-ils ? Des milliers ? Des millions peut-être !

- L’Etat algérien a provoqué l’exil de deux cent mille scientifiques et hommes de culture algériens. Aucun autre Etat au monde ne peut se prévaloir d’un tel crime, d’une telle infamie, d’un tel désastre, d’une telle forfaiture. Posez-leur la question « Pourquoi êtes –vous partis ? Je suis parti quand j’ai vu les cancres, les voyous et les voleurs diriger mon pays… Comme en économie, c’est toujours la mauvaise monnaie qui chasse la bonne.

- L’Etat algérien a fabriqué un million de prostituées et un autre million de chômeurs et de désœuvrés divers.

- Le régime algérien a créé trois cent mille errants, désœuvrés, mendiants, fous et divers SDf vivant de poubelles et de charités gouvernementales. N’-t-on pas créé le ministère du couffin ! A quand celui de la Chorba ?

- L’Etat algérien a créé, par la Hogra et la Harga, la plus grande ruée de Boat People, cinq mille Harragas par an, dont la plupart nous reviennent atrocement morts sur nos rivages. Les plus chanceux d’entre eux finissent dans nos prisons ou dans les porcheries espagnoles. Deux sorts identiques ; encore que certains Harraga préfèrent la porcherie ou le poulailler espagnols. A qui la faute ? Les ministres harkis ? Le ¾ de Président ? La casquette de l’ombre ? Les trois ? Le peuple ? La solution ? C’est l’après pétrole et seulement cela la solution. Car sans pétrole, c’est la moitié de la population algérienne qui sera exterminée par la famine, les épidémies et les révoltes. Où seront alors les responsables de cette catastrophe ? Resteront-ils en Algérie ? Ils y seraient lynchés et écartelés eux et leurs descendances tant les vengeances populaires seront violentes ; terribles. Ils le savent. Ils iront manger leur argent planqué ailleurs ; aux Iles Vierges Britanniques, au Liechtenstein, Andorre, Le Luxembourg, Paris, Houston ou Dubaï et bien d’autres places où dort l’argent volé.

- L’Algérie est le seul pays au monde dont les richesses naturelles (pétrole et gaz) finissent dans les égouts (produits alimentaires, médicaments et divers produits périssables) pendant que d’autres, avec rien et aussi les égouts, créent des richesses. Nos voisins Maghrébins et Français créent de l’or avec de la merde ; les dirigeants algériens transforment, eux, notre or en merde. Notre pétrole, pour l’essentiel, finit dans les chiottes et dans des comptes codés étrangers. De la vraie merde. C’est cela le sous développement.

La vraie solution, où est-elle ?
Elle est entre les mains des militaires ; les vrais détenteurs du pouvoir. Pendant qu’il est encore temps et d’éviter la catastrophe nationale dont tous les signes annonciateurs sont partout réunis et dans toute l’étendue du pays (Jacqueries paysannes, paupérisation, misère, Hogra, dénis de droits, atteintes aux libertés publiques et individuelles, révoltes populaires, banditisme, coupures de routes, occupations de mairies, enlèvements, chômage, prostitution, maladies, épidémies, harraga, corruption, régionalisme, séparatisme et bien d’autres signes prédictifs des pires malheurs à venir) il est urgent d’agir pour que l’Algérie devienne ou redevienne un pays normal où il fait bon d’y vivre. Au lieu de laisser s’entredéchirer les différents clans du pouvoir pour un meilleur partage de la rapine, chacun attendant l’anéantissement ou la mort de l’autre, il est urgent d’arrêter cette mascarade entre morpions, entre supplétifs soumis et détenteurs réels du pouvoir. Il est urgent de désigner une commission nationale comprenant tous les courants et toutes les sensibilités nationales représentatives de la société civile et politique algérienne impliquant l’opposition démocratique et républicaine dans toutes diversités pour les missions de salut public suivantes:

1. Faire l’état des lieux détaillé de la situation réelle du pays et à tous les niveaux sociaux, politiques, économiques et culturels en faisant appel à l’expertise nationale et internationale qualifiées et reconnues quelle que soit leur couleur politique ; la compétence et l’honnêteté étant les seuls critères électifs à cette mission.

2. Nommer un gouvernement de transition composé d’hommes et de femmes compétents, républicains, honnêtes et jamais impliqués dans des scandales de corruption quelles que soient leur couleur politique, leur région ou leur religion.

3. Redonner à l’ANP son rôle d’armée professionnelle au service et sous le contrôle direct et permanent du gouvernement civil y compris celui de transition. Et, dans ce cadre, remettre l’armée nationale dans ses casernes en redéfinissant ses nouvelles missions de reconstruction du pays, de construction et de défense de l’ordre démocratique et républicain, d’assainissement et de moralisation de son encadrement, de la mise à l’écart et à la retraite de ses hauts gradés qui s’adonnent ouvertement à la rapine, à la concussion et aux divers trafics d’influence. Il faut en premier lieu bannir et nationaliser ce que tous les algérois appellent le « Pont des généraux » une sale et hideuse verrue dans le joli port d’Alger

4. Créer le cadre et les conditions de reprise et de prise du pouvoir au niveau local, régional et national par les seuls et vrais élus du peuple dans l’esprit du contrat démocratique et républicain qui unit majoritairement les Algériens. En fait jeter les assises d’une vraie et sérieuse constituante telle que suggérée depuis toujours par Hocine Aït Ahmed dont la pertinence de la revendication, de fait, est remise au gout du jour. Une urgence si l’on s’attarde un peu sur l’exposé de ses motifs. Encore une fois, l’Histoire et l’actualité réunies donnent raison et légitimité à la revendication cardinale de M. Aït Ahmed. Il avait vu juste. Il faut repenser et énoncer les instruments de la gouvernance de la nation algérienne dans son socle républicain, démocratique et civil. Il est important de préciser la dimension civile du pouvoir ; ce qu’on n’évoque plus ou très peu depuis la mort « officiellement héroïque » d’Abane Ramadhan ; le visionnaire.

5. Faire l’inventaire des biens et richesses détournées par des responsables en poste durant leur mandat au profit d’eux-mêmes, de leurs familles et de leurs amis. Car, pour restaurer l’autorité et la crédibilité de l’Etat, il est absolument impératif et nécessaire d’inventorier et de récupérer ces biens nationaux pillés : biens meubles et immeubles, biens culturels et historiques, volés, détournés ou achetés à des montants symboliques. Dernier exemple en date, un ministre en poste a acheté à une entreprise publique pour 1,8 millions de DA ( le prix d’un studio à Ouargla) un appartement loft meublé de 500 m2 qu’il a revendu pour 19 milliards de ctm. Il faut demander des comptes à tous ces dilapidateurs de biens publics quel que soit leur rang : Présidents, généraux, ministres, PDG, DG et tous les prédateurs connus de la nomenklatura. Cette opération est capitale et essentielle parce qu’il y va de la crédibilité et du sérieux de l’Etat. Il faut que les pilleurs connus de l’Algérie rendent des comptes quels que soient leurs rangs, leurs fonctions, leurs régions ou leurs grades. Les Algériens feront confiance à l’Etat quand ce dernier sera juste, équitable et exemplaire dans ses conduites. Les Algériens ne veulent plus entendre, écouter, les discours de ces ministres et, Président en tête, leur parler de lutte anti-corruption alors, qu’au su et au vu de tous, ils sont les premiers et les plus gros corrompus. A qui appartiennent les 3000 bus du transport universitaire d’Alger ? A qui reviennent les Chippa de l’autoroute Est-Ouest ? A qui reviennent les surfacturations du métro d’Alger ? Les commissions des 5 millions de vaccins H1N1 jetés à la poubelle ? Les milliards de l’agriculture offerts à des hauts responsables qui n’ont aucun lien avec l’Agriculture ? Les lignes de crédits en devises offertes à des voleurs connus ? Qui a profité du rachat des entreprises publiques privatisées ? Il serait très intéressant de rendre publique la liste nominative de ces repreneurs d’entreprises publiques vendues souvent à crédit ou pour le dinar symbolique. C’est cela les premières missions d’assainissement de la société algérienne pour stopper rapidement les dérives suicidaires dans lesquelles elle s’enfonce.

6. C’est cela les premières missions du ou des généraux dépositaires exclusifs du pouvoir politique actuel. C’est l’unique moyen d’assainir et d’élever sa conscience avant de partir. C’est le seul moyen de s’élever en laissant, pour l’Histoire, pour son pays et aux siens, quelque chose de durable et d’éternel : sauver son peuple et son pays des dérives monstrueuses dans lesquelles il s’enfonce chaque jour un peu plus. Ce n’est pas en allant onze fois ou mille à la Mecque avec l’argent du contribuable, c'est-à-dire volé, qu’on soulagera sa conscience ou entrer au paradis. Dieu, dans toutes ses déclinaisons connues, est incorruptible. Quel grandeur de se présenter à lui, nu, et dire par l’humilité : « j’ai tout fait, tout entrepris pour sauver mon pays et mon peuple… » Alors, MM les généraux intègres et patriotes ! Au travail. Dieu et les hommes de cœur et d’esprit vous soutiendront même si vous n’avez pas les vocations et la puissance d’Héraclès, nettoyeur des écuries d’Augias. Les nôtres sont trop pleines, trop sales. Il faudra des siècles pour les nettoyer. Commençons toujours en donnant à nos enfants le gout et l’envie de poursuivre.
M. A.

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Message  fetchx Sam 21 Mai - 20:40

Après Yous et Souaïdia, un ex-officier de la DRS sort de son "anonymat"

Nouvelles attaques contre des généraux

L’ANP est à nouveau dans le collimateur.

Kamal Zekri, Liberte, 4 août 2001

Après les accusations, dont elle fut objet à travers La sale guerre de Habib Souadia et Qui a tué à Bentalha ? de Yous Nasrallah, l’ANP encore ciblée. Cette fois-ci, c’est un soi-disant ex-colonel de la DRS, un certain Mohamed Sahraoui, dit Lahabib, originaire de Annaba, qui apporte de l’eau au moulin des pourfendeurs de la Grande muette à travers des "révélations" sidérantes. Jeudi, sur le plateau de l’émission Bila Houdoud, diffusée sur la chaîne qatarie El-Djazira, chaîne connue pour ses positions sur les événements que vit l’Algérie, il accepte de parler à visage découvert pour livrer ses vérités sur les tenants et aboutissants de la crise algérienne. Extrêmement tendu, mais déterminé dans sa démarche, Mohamed Sahraoui, qui dit avoir quitté les services depuis 96, explique d’emblée à Ahmed Mansour, l’animateur de l’émission, que son témoignage ne vise pas "l’armée algérienne en tant qu’institution qui compte dans ses rangs des hommes honnêtes et patriotes", mais la poignée de généraux qui font partie de "la promotion Lacoste".

Il cite dans le désordre Khaled Nezzar, Larbi Belkheïr, Mohamed Lamari, Smaïn Lamari et Mohamed Mediène, dit Toufik. "Les malheurs de l’Algérie sont le fait de ces hommes qui tiennent les leviers depuis l’interruption du processus électoral en 91". Il explique que les présidents qui se sont succédé à la tête de l’état n’étaient, en fait, que des "fusibles", des "pantins" qui sautaient invariablement en phase de surtension politique. Méthodique, Mohamed Sahraoui, qui dit être l’ami du colonel Malek, le frère de Chadli Bendjedid, procède, dans son témoignage, par ordre chronologique.

"Les événements d’Octobre 88, dit-il, ne sont pas spontanés". Dans son livre à paraître prochainement, il promet de décliner des vérités sur cet épisode trouble de l’histoire du pays. Il en arrive ensuite à la fameuse date de l’interruption du processus électoral. "Ce que je vais vous dire là est très dangereux". Cette phrase revient tel un leitmotiv dans ses propos. Il nous apprend qu’avant les élections législatives de 91, les Services avaient mis en garde l’ex-président Chadli contre le risque d’organiser cette consultation au motif que le FIS allait rafler la mise. Passant outre cette recommandation, dit-il, l’ex-président décide d’organiser les élections en se fiant à un autre sondage donnant 30% de voix au FLN, 30% au FIS et 30% aux démocrates.

Auparavant, il indiquera le rôle éminent joué par les Services dans la création de certains partis politiques en mettant à leur disposition des moyens logistiques. Arrive la destitution de Chadli. Le colonel Lahbib parle d’un conclave secret des officiers d’état-major. "Nezzar a menacé Chadli Bendjedid de le faire partir". Il souligne que le sort de l’ancien président était scellé dès lors qu’il avait accepté de cohabiter avec le FIS, après son entrevue avec Abdelkader Hachani.

Selon cet ex-colonel, un plan destiné à arrêter 1 001 cadres du FIS devait être exécuté. "La machine s’est mise en branle mais un contre-ordre a été donné à une heure du matin. Après le limogeage de Chadli, les auteurs du "coup d’État" ne pouvaient assumer directement le pouvoir politique. Ils avaient besoin d’une personnalité civile qui a du charisme". Nous apprenons que la carte Boudiaf n’a été sortie qu’en dernier moment. "Ils ont d’abord pensé à Benbella, mais ils ont eu peur qu’il se retourne contre eux. Ils ont appelé Aït Ahmed qui est un démocrate, il a refusé l’offre. Ensuite, ils ont pensé à Taleb Ibrahimi, mais Sid-Ahmed Ghozali s’y était opposé en leur expliquant que l’homme était "un imam en cravate"". Ce n’est qu’après ce tour d’horizon que l’option Boudiaf a été retenue. "C’est son fils Nasser, qui travaillait au ministère des Droits de l’homme, qui avait établi le premier contact. Ali Haroun, ministre chargé du département des DH, s’était, ensuite, rendu à Kenitra pour convaincre Boudiaf de rentrer en Algérie". Détail important, Boudiaf aurait rencontré d’abord le roi Hassan II, affirme encore le colonel Lahbib. Au sujet de la composante du HCE, "une fiction politique", dit-il, qui obéit à un savant dosage. "Ali Haroun, pour la façade démocratique, Tidjani Haddam, président de la mosquée de Paris, pour la façade islamiste, Ali Kafi, président de l’ONM, pour les moudjahidine et Nezzar comme représentant de l’armée". Après deux mois, apparaissent les premiers couacs entre les responsables de la hiérarchie militaire et Boudiaf qui s’apprêtait à désigner un nouveau Premier ministre. "Il avait le choix entre Amine Ben Abderahmane et Saïd Sadi", témoigne encore le colonel Habib qui affirme que les initiatives du président du HCE commençaient à irriter sérieusement les généraux. Comme, par exemple, la création du RPN.

Le sort de Si Tayeb El Watani a été scellé le jour où il avait décidé de se délester de l’affaire du Sahara Occidental. Mais, ajoute le colonel Lahbib, "la décision de l’exécuter est prise le jour où il a limogé Mohamed Lamari". C’est là un détail jusque-là inconnu. Restait à définir le mode d’exécution. Boudiaf devait être assassiné à Oran. Il n’a eu, ce jour-là, vie sauve que grâce à un policier. Arrive alors la visite de Annaba. "S’il n’était pas exécuté à la Maison de la culture, une bombe devait exploser à El-Hadjar, où il allait se rendre et, si ça ratait encore, il devait manger un couscous empoisonné à l’hôtel militaire". Le colonel Sahraoui révèle qu’un des officiers ayant goûté à ce couscous a été immédiatement transféré à l’hôpital. Sur Boumarafi, l’auteur du témoignage ne tarit pas de détails, ni d’éloges aussi.

Il le gratifie d’une intelligence supérieure à la normale.

"En tant qu’élément du GIS, il ne devait pas être dans la garde rapprochée. C’est Smaïl Lamari qui l’avait reçu auparavant dans son bureau, qui l’avait imposé au commandant Hamou. La grenade qu’il avait utilisée était volée de mon bureau". Après avoir tiré sur Boudiaf, Boumarafi devait être exécuté par deux ses camarades.

"Mais comme il est intelligent, il a pris le risque de sauter un mur de 2 mètres de haut pour se rendre à la police de Annaba". Pour le colonel Habib, la thèse de l’acte isolée ne tient pas la route. Boumarafi avait fait l’objet d’un conditionnement psychologique pour éliminer Mohamed Boudiaf "devenu menaçant pour les intérêts des généraux". Juste après l’attentat, apprend-on, "Khaled Nezzar provoque une réunion avec les officiers supérieurs pour leur expliquer que le commandant Hamou n’y était pour rien". Concernant la commission d’enquête Bouchaïb, le colonel Lahbib apporte un autre élément d’information. Il s’agit de l’exécution de Youcef Fathallah qui, selon lui, a payé de sa vie pour avoir refusé de mettre sa signature au bas du rapport.

Autre révélation importante : la création du GIA. Elle serait l’œuvre exclusive des Services. "Je fais partie de ceux qui ont créé le GIA avec le commandant Guettouche Kamal et le sergent Djaffar. Ces deux derniers étaient chargés de rédiger les faux communiqués destinés à la presse", dit-il. Surprenant encore, il poursuit : "Chebouti était en contact permanent avec nous. Il roulait à bord d’une Renault 9 de couleur crème". L’ex-officier évoque aussi une réunion entre lui et Smaïl Lamari en Allemagne. "On devait exécuter Sahraoui et Rabah Kebir.

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Message  fetchx Sam 21 Mai - 20:52


Créé à la fin des années 1950 par Abdelhafid Boussouf et renforcé par Houari Boumediène, le clan d'Oujda, qui n'a cessé de comploter pour s'accaparer du pouvoir en Algérie post-indépendance, est essentiellement composé de personnes, certes originaires de la Wilaya de Tlemcen mais nées et ayant toujours vécu au Maroc et élevées selon les traditions de cette monarchie féodale.

Ce clan a dirigé le pays de 1962 à 1978. Il a été relativement écarté du pouvoir entre 1979 et 1999 mais il a repris les rênes du pays depuis 1999. Il est actuellement incarné par la fratrie des Bouteflika et sa cour, étendue à quelques wilayate de l'Ouest du pays, il est vrai confinées aux tâches ingrates de servitude.

L'un des trois objectifs majeurs de ce clan était de transformer la victoire militaire chèrement acquise par l'ANP et les forces de sécurité sur le terrorisme islamiste, en défaite politique.Objectif amplement atteint aujourd'hui.
Les deux autres étant d'écarter des centres de décision névralgiques, dans tous les domaines, les Chaouis et les Kabyles ( ce ne sont pas les quelques Guenaizia, Gaid Salah ou Toufik, qui restent, qui pourraient dire le contraire )et de déstructurer l'industrie algérienne pour la brader au Dinar symbolique.

En effet, depuis son accession au pouvoir, en Avril 1999, dans les conditions honteuses que l’on sait, grâce à la bénédiction des « décideurs » de l’époque, qui l'ont sorti du musée où il croupissait ; fidèle à son régionalisme légendaire, qui frise le racisme, Bouteflika n’avait cessé de placer ses hommes lige aux postes stratégiques des principales institutions de la République ( Présidence de la République, bien sûr, Ministère de la Défense Nationale, Ministère de l’Intérieur et des Collectivités Locales, Ministère des Affaires Etrangères, Ministère de la Justice, Ministère des Finances, Ministère du Travail et de l’Emploi, Ministère de la Solidarité Nationale, DGSN, Douanes etc…) afin de les noyauter pour mieux les asservir.
Pendant 15 ans il avait géré le Ministère des Affaires Etrangères sur une base clanique et il étend aujourd’hui, ce mode de gestion archaïque à tout le pays.

Lorsque le procès « des années Bouteflika et du clan d'Oujda » sera ouvert, dans quelques années ou quelques mois, qui sait, il révélera, sans aucun doute, des abus ahurissants dont nous commençons déjà à avoir un avant-goût amer.
En attendant, ce clan se lance dans une fuite en avant suicidaire qui le pousse à vouloir, à tout prix, amender la Constitution, dans le seul et unique but de demeurer au pouvoir, malgré l' âge avancé de Bouteflika et la maladie qui le mine et ce n’est pas le cinéma auquel se livrent ceux qui cherchent en vain à rafistoler son « image », qui va nous leurrer.

Ne respectant ni le peuple algérien, qu'il avait sans vergogne traité de tous les noms d’oiseaux et de parasites, ni l’ANP, qui l' a imposé en 1999 et qu'il prétend avoir matée et castrée grâce à l’épée de Damoclès du Tribunal Pénal International et à la politique de rajeunissement qu'il brandit sur les têtes de ses principaux chefs, qui sont pourtant de sa génération ou plus jeunes que lui, Zerhouni et Rahal ; Bouteflika cherche maintenant à amadouer et à acheter le silence de nos partenaires étrangers d’Occident, par le bradage des ressources naturelles et financières du pays, cédées à tour de bras à leurs multinationales.

S’il leur reste un brin de lucidité, Bouteflika et son clan, devraient se réveiller et le moindre qu'ils puissent faire pour un pays qui leur a donné beaucoup plus que ce qu'ils méritent, est, après deux mandats que notre Constitution permet, comme les Constitutions de la plupart des pays du monde d’ailleurs, de respecter le jeu démocratique et l’alternance au pouvoir qu’il garantit, sans chercher à pratiquer la politique de la terre brûlée ou à entraîner le pays dans une spirale dangereuse pour la cohésion et l’unité nationales, aujourd’hui plus que jamais menacées.

Des aventuriers comme Bensalah, Zerhouni, Belkhadem, Si Affif, Ould Abbès et consorts ne doivent pas être suivis dans leur vision réductrice de notre immense pays.

A cause de sa cupidité maladive et de sa soif pour le pouvoir, Bouteflika, à qui des observateurs avertis de la vie politique algérienne prédisent une fin « à la Bourguiba », veut entamer, à 72 ans, le mandat de trop qui plongera fatalement le pays dans une zone d’incertitude hautement dangereuse.
Les actes de forfaiture et de violation de la Constitution que le clan d'Oujda a déjà commis depuis 1999 sont nombreux et impardonnables.

La société civile, les partis politiques, à l’instar du FNA, du PT, du RCD, du FFS et de l’ANR et les personnalités nationales et historiques que le pays possède en grand nombre, doivent condamner sans appel la mascarade qui se concocte sous nos yeux uniquement pour satisfaire l’ego d’un homme que le pouvoir rend fou.

Les anciens Chefs d’Etat et de Gouvernement du pays sont publiquement invités à soutenir cet appel ouvert à tous les Algériens et Algériennes jaloux de leur pays pris en otage par un clan sans foi ni loi.
Ceux et celles qui se tairont ou cautionneront cette mascarade en porteront la lourde responsabilité devant le peuple algérien et l’histoire

Vive l’Algérie

Ahmed Bensalah,
Citoyen

fetchx

Nombre de messages : 99
Date d'inscription : 18/05/2011

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