POUTAKHINE
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POUTAKHINE
Oui, Poutakhine a réellement existé quelque part dans les grottes mystérieuses de la corniche oranaise. Il raconte par la révolte, les drames au quotidien d’un peuple humilié, méprisé, banni et abandonné chaque jour un peu plus. Descendant aux enfers de la non vie. Peut-être même de l’anti vie. Poutakhine raconte aussi les malheurs du même peuple contraint de jeter ses enfants à la mer, comme le joueur de flûte de Hamelin, en quête de bonheurs impossibles, en quête de vie ordinaire et paisible où les mots amour, respect, tendresse, travail ont un sens; une allusion à la vie fut-elle brève ou furtive. Seulement cela. Cette petite chose impossible qui s’appelle bonheur.
Il raconte l’histoire des partants qui n’arrivent jamais ; toujours pourchassés par la mal vie, la furie des vagues, par l’incompréhension et les jugements sans appel des lois, les vigiles des frontières, le préjugé ; les papiers. Les prisons, la mer.
Poutakhine par ses rencontres foudroyantes où l’amour fait loi, déroule par la mémoire du rêve deux mille ans d’histoire, de gloires et de décadences, d’héroïsmes et de trahisons, de courage et de hontes diverses d’Hannibal à Bouteflika. Il rappelle cette belle Algérie qui fut héroïque et grande. A l’image oubliée de nos grandes Dames, de nos grands Hommes. Trop vite et trop longtemps oubliés. Chassés des mémoires et des cœurs par la norme régnante des gueux.
Il dit par la fougue et le songe, par la tendresse des gestes aussi, les violentes amours en quadrature des cœurs entre cinq personnages fabuleux qui ne finissent jamais de se connaître, de s’aimer, de s’attendre et de se réinventer des secondes et des siècles de bonheurs inachevés:
Ils sont un émigré clandestin, fou, diable et humain à la fois, harrag, moi, Poutakhine, narrateur du récit, amoureux fou de deux femmes à la fois, Nina et Sophie, sachant parler, aux humains, aux missiles et aux vaches. Et devenu même l’ami et frère d’un curé, Jean Clément, ce que Dieu sait faire de mieux dans son infinie bonté de parfumer des humains, les êtres de sa préférence qu’il mettra dans mes bras. Jean ne sait faire qu’une seule chose de sa chienne de vie ; aimer, se rendre bon, grand et fabuleusement humain jusqu’aux fins fonds de son âme.
Poutakhine met en présence et en mouvement Nina, Juive, Berbère, Pied Noir, Française, comtesse et femme. Surtout femme quand il s’agit d’aimer, de se dévouer, tout entière, à la furie des amours naissantes ou contrariées. Nina ne sait qu’aimer et réparer les vies. Elle ne sait que donner dans son interminable don de soi à la vie, préparant sans cesse des naissances d’aurores qui ne finissent jamais.
Poutakhine montre Sophie, la fliquette, mais en vrai, officier supérieur de la GDSE, biologiste de renom, une sommité mondiale sur les études des effets des radiations atomiques sur les espèces vivantes ; humains, animaux et végétaux. De glissement en glissements, de découverte en découvertes, de rage en rages, c’est Sophie, avec son cœur et sa science, avec sa résolution de militaire, qui prendra le commandement de la lutte héroïque de Poutakhine, devenu entre temps son mari après avoir été son amant. C’est elle qui fera trembler les états français et algérien dans leurs commerces associés de corrupteurs et de dominateurs de peuples.
Poutakhine met enfin en scène une actrice de génie et de talent, la vache normande Marquise devenue fautive et coupable à force de vouloir ressembler aux humains au point de tomber violemment amoureuse d’un robot; Stanislas, tout une histoire.
Il raconte l’histoire des partants qui n’arrivent jamais ; toujours pourchassés par la mal vie, la furie des vagues, par l’incompréhension et les jugements sans appel des lois, les vigiles des frontières, le préjugé ; les papiers. Les prisons, la mer.
Poutakhine par ses rencontres foudroyantes où l’amour fait loi, déroule par la mémoire du rêve deux mille ans d’histoire, de gloires et de décadences, d’héroïsmes et de trahisons, de courage et de hontes diverses d’Hannibal à Bouteflika. Il rappelle cette belle Algérie qui fut héroïque et grande. A l’image oubliée de nos grandes Dames, de nos grands Hommes. Trop vite et trop longtemps oubliés. Chassés des mémoires et des cœurs par la norme régnante des gueux.
Il dit par la fougue et le songe, par la tendresse des gestes aussi, les violentes amours en quadrature des cœurs entre cinq personnages fabuleux qui ne finissent jamais de se connaître, de s’aimer, de s’attendre et de se réinventer des secondes et des siècles de bonheurs inachevés:
Ils sont un émigré clandestin, fou, diable et humain à la fois, harrag, moi, Poutakhine, narrateur du récit, amoureux fou de deux femmes à la fois, Nina et Sophie, sachant parler, aux humains, aux missiles et aux vaches. Et devenu même l’ami et frère d’un curé, Jean Clément, ce que Dieu sait faire de mieux dans son infinie bonté de parfumer des humains, les êtres de sa préférence qu’il mettra dans mes bras. Jean ne sait faire qu’une seule chose de sa chienne de vie ; aimer, se rendre bon, grand et fabuleusement humain jusqu’aux fins fonds de son âme.
Poutakhine met en présence et en mouvement Nina, Juive, Berbère, Pied Noir, Française, comtesse et femme. Surtout femme quand il s’agit d’aimer, de se dévouer, tout entière, à la furie des amours naissantes ou contrariées. Nina ne sait qu’aimer et réparer les vies. Elle ne sait que donner dans son interminable don de soi à la vie, préparant sans cesse des naissances d’aurores qui ne finissent jamais.
Poutakhine montre Sophie, la fliquette, mais en vrai, officier supérieur de la GDSE, biologiste de renom, une sommité mondiale sur les études des effets des radiations atomiques sur les espèces vivantes ; humains, animaux et végétaux. De glissement en glissements, de découverte en découvertes, de rage en rages, c’est Sophie, avec son cœur et sa science, avec sa résolution de militaire, qui prendra le commandement de la lutte héroïque de Poutakhine, devenu entre temps son mari après avoir été son amant. C’est elle qui fera trembler les états français et algérien dans leurs commerces associés de corrupteurs et de dominateurs de peuples.
Poutakhine met enfin en scène une actrice de génie et de talent, la vache normande Marquise devenue fautive et coupable à force de vouloir ressembler aux humains au point de tomber violemment amoureuse d’un robot; Stanislas, tout une histoire.
Re: POUTAKHINE
un livre qui a l'air d'etre interessant
Azul- Nombre de messages : 30000
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: POUTAKHINE
trés intéressant même , il y a khalida toumi ,le lobby sioniste ,qui dit khalida toumi ,dit certainement ex-rcd ,un bon patchwork ; un bon mélange explosif .
Re: POUTAKHINE
rak waquila ghir takel berk ,un azul veut faire tomber le systéme de bouteflika , c'est à dormir debout , à entendre les comméres de hamam (keyassate al hamam) chaimailler et pleurnicher
Re: POUTAKHINE
pas du tout, azul prend un tres grand plaisir en s'amusant avec son ami azemour.ghour rebi frunte
Azul- Nombre de messages : 30000
Date d'inscription : 09/07/2008
Re: POUTAKHINE
je ne parlais pas de ça mon trés cher aazouzou ; c'est un truc réglé dans nos accords secrets de boumerdés 1994 et renouvelé pendant le congrés du sahel en 2008.
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