photos de la marche des enfants de chouhada à Béjaia

peut on avoir de plus amples informations sur ce sujet ,il a l'air trés intéressant du point de vue historique.

peut on avoir de plus amples informations sur ce sujet ,il a l'air trés intéressant du point de vue historique.

Samir Haddadi (TSA Algerie)

Quelque 400 enfants de chouhada de sept wilayas, à savoir Bejaïa, Bordj Bou Arreridj, Jijel, Sétif, Bouira, Tizi Ouzou et Boumerdès, affiliés à l’organisation nationale des enfants de Chouhada (ONEC) ont organisé une marche, aujourd’hui à 11 heures, à Bejaïa. La manifestation s’est ébranlée du siège de l’ONEC pour rejoindre la maison de la culture Taous Amrouche en marquant une halte devant le siège de la wilaya. Une lettre portant les revendications sociales des protestataires a été remise au secrétaire général de la wilaya.
L’ONEC revendique l’application de la loi 99/07 du 5 avril 1999 relative au Chahid et au Moudjahid. Une loi, précise‑t‑on, adoptée par les deux chambres parlementaires. L’ONEC exige aussi l’amendement de l’article 25 de la même loi afin que tous les ayants droit puissent bénéficier de la réversion de la pension de la veuve de Chahid. Sur un autre volet, l’ONEC demande l’application de la loi de finances 2011 concernant l’octroi de licences d’importation de véhicules (LIV) ; elle réclame en outre un quota de logements sociaux de 20 %. Les enfants de Chahid menacent d’investir les rues de la capitale si leurs revendications ne sont pas satisfaites.

Peu après cette démonstration de rue des enfants de chouhada, ce sont les communaux affiliés au Syndicat national algérien du personnel de l’administration publique (SNAPAP) de prendre le relais par une marche de la maison de la culture Taous Amrouche jusqu’au siège de la wilaya. Plus de trois cent communaux environ ont pris part à cette manifestation. Devant le siège de la wilaya, un meeting a été improvisé par les responsables dudit syndicat. « Pour un statut particulier et un régime indemnitaire » est le slogan phare exprimant les revendications principales du SNAPAP.

Par ailleurs, le personnel du service de distribution est de la Sonelgaz Bejaïa sont en grève illimitée depuis hier pour exiger une revalorisation des salaires à hauteur de 70 %.

L’autre secteur affecté par une grève du personnel depuis hier est celui de l’éducation. Une protestation menée par le syndicat d’entreprise des travailleurs de l’éducation (SETE/UGTA).

rien de ce qui se passe en politique ne reléve du hasard disait l'ancien président américain roosvelt dylano francklin ,et ces revendications sont justement faites pour dire qu'il n'y a ps de revendications politiques en algérie ,donc le probléme n'est pas politique mais sociale ,d'ou toute les revendications ont un point commun ,l'argent et toujours plus d'argent .
et pour conclure , c'est dommage qu'un enfant de chahid résume son existance à une pension et une licence de taxi ,de bar ,de café ,de bus ,et je ne sais quoi encore .
j'ais comme l'impression qu'ils agissent avec un ordre de mission établi par les services de ahmed ouyahia qui affirmait que le probléme algérien est d'ordre sciale ,et le tour est joué

les enfants des Chouhadas, ...et autres structures que le régime algérien prend a chaque évènement comme bouclier et contre tous les progrès et tous changement, malheureusement en fin de mandat toutes les structures satellites vont réagir pour un soit peu de crédibilité (ce n'est rien d'autre que du cinéma) afin de soutenir le régime en place dans quelques mois plu-tard. Dommage c'est les premiers a trahir le combats de leurs pères.

oui argent argent quand tu nous tiens !
tout le monde veux profité des 170 milliards $ de réserve de change
merci le petrole merci le sahara !
pour résumé on est juste des pures consommateurs
créer, innové c'est des mots incompatible avec nous!
quand la vache sera séche on ira mendier au FMI
si sa continu on sera redevable méme auprés des arriére petits fils de chouhada
l'état est en situation de pression constante il a peur de dire non car sa serai la tunisie Bis ou la lybie bis alors il dis oui à tout
juste pour calmer la rue et faire en sorte de sauvé son royaume .
pauvre algerie

c'est toujours la même histoire , à chaque échéance éléctorale , il y aura au moins une revalorisation de 5000 dinars algériens plus effet rétroactif(rappel) depuis la derniére messe éléctorale.
la véritable solution est d'abolir la république et la démocratie ,il faut réhabiliter la djamaa(thadjmaath) ,cette ancienne organisation sociale amazigh et instaurer une sorte de dynastie ou un grand collége de sages de toutes les tribus algériennes .

Nassim Naali

Je ne crois pas que les auteurs de cette action aient vraiment brandi l'étendard de la révolte pour s'insurger contre le système mais pour juste réclamer des privilèges...Quand l'ENTV montre leurs conférences débats c'est que leur ligne est... en parfait accord avec celle du régime. Le pouvoir les instrumentalise pour nous jouer sur les fibres du patriotisme. C'est, hélas, une organisation satellite du régime populiste. Il n'y a donc rien d'étonnant si ces gens défilent dans la rue: ils se sont, comme d'autres organisations similaires, de tout temps, dévoués pour aider le système à se pérenniser.

Il faut regarder l'avenir et te rappeler comment les autres peuples ont évolué, prendre l'expérience des autres civilisations est de mise dans notre mode de gouvernance mais pour revenir au système tribal qui n'a plus sa place dans notre pays, je crois que ce n'est pas judicieux. le meilleur exemple est celui de la lybie sous le règne d'EL GADAFI que tu viens de citer, dont le mode de gouvernance repose sur des lidjan echabbia, un organe issu du système tribal qui a démontré son échec sur tous les plans, alors comment veux tu monsieur Azemour qu'on revienne en arrière et qu'on prenne le modèle le plus obsolète qui soit comme notre idéal, désole cher frère. Si on veut réellement avancer, pourquoi ne pas prendre le modèle Japonais: le japon est un pays qui a su suivre le rythme de l'évolution tout en préservant sa tradition. Il y va de même pour nous les Amazighes, si on veut que notre culture, nos coutumes et nos traditions survivent, on se doit de les développer et de les perpétuer aux générations futures. Revenant aux enfants de Chouhadas, le constat est amer quand on se retrouve avec des dizaines de milliers de faux Moudjahidines qui comme par malheur viennent aggraver encore le cas de notre pays, désolé, les vrais moudjahidines (ceux qui nous ont offert l'indépendance ) sont tombés dans les champs de bataille et il ne reste que les traitres qui sont devenus hélas nos Gouverneurs.

mais qui sont ces petits enfants du bachagha ben chérif que dénonçaient les marcheurs????