Stratégies et objectifs pour le contrôle du monde

Les responsables du pouvoir économique sont quasiment tous issus du même monde, des mêmes milieux sociaux. Il se connaissent, se rencontrent, partagent les mêmes vues et les mêmes intérêts.

Ils partagent donc tout naturellement la même vision de ce que devrait être le monde idéal futur.


Il est dès lors naturel qu'ils s'accordent sur une stratégie et synchronisent leurs actions respectives vers des objectifs communs, en induisant des situations économiques favorables à la réalisation de leurs objectifs, à savoir:

Affaiblissement des états et du pouvoir politique. Déréglementation. Privatisation des services publics.

Désengagement total des états de l'économie, y compris des secteurs de l'éducation, de la recherche, et à terme de la police et de l'armée, destinés à devenir des secteurs exploitables par des entreprises privées.

, des subEndettement des états au moyen de la corruption, des travaux publics inutilesventions données aux entreprises sans contrepartie, ou des dépenses militaires. Lorsqu'une montagne de dettes a été accumulée, les gouvernements sont contraints aux privatisations et au démantèlement des services publics. Plus un gouvernement est sous le contrôle des "Maîtres du Monde", et plus il fait augmenter la dette de son pays.

Précarisation des emplois et maintien d'un niveau de chômage élevé, entretenu grâce aux délocalisations et à la mondialisation du marché du travail. Ceci accroît la pression économique sur les salariés, qui sont alors prêts à accepter n'importe quel salaire ou conditions de travail.

Réduction des aides sociales, pour accroître la motivation du chômeur à accepter n'importe quel travail à n'importe quel salaire. Des aides sociales trop élevées empêchent le chômage de faire pression efficacement sur le marché du travail.

Empêcher la montée des revendications salariales dans le Tiers-Monde, en y maintenant des régimes totalitaires ou corrompus. Si les travailleurs du Tiers Monde étaient mieux rémunérés, cela briserait le principe même des délocalisations et du levier qu'elles exercent sur le marché du travail et la société en occident. Ceci est donc un verrou stratégique essentiel qui doit être préservé à tout prix. La fameuse "crise asiatique" de 1998 a été déclenchée dans le but de préserver ce verrou.

akan d itwaghet ay azemour

les choses ont été décidé il y a trés longtemps .
lis bien le passage en rouge et donne moi ton point de vue .

oui, ...

qu'est ce que tu as compris à ce passage en rouge ,j'aimerais bien avoir ton avis

je vais t'expliquer le fond de ma ensée ,regarde et analyse l'algérie depuis la venue de bouteflika en 1999 jusqu'à au jour d'aujourdhui ,corruption ,travaux publics inutiles, subventions d'entreprises sans contre partie ,est ce que ce n'est pas exactement le programme de bouteflika.

dois conclure que j'ais trop élevé le niveau de mes sujets ?
apparemment azemour souffre de la même chose que le grand joueur zinedine zidane avait souffert au réal madrid ,quand le directeur exécutif goerge valdano déclait au journal el pais que le probléme n'est pas dans l'adaptation de zidane au systéme de jeu du réal ,mais c'est les joueurs du réal qui n'arrivaient pas à comprendre le jeu anticipatif et futuriste de zidane .
quelques années plus tard , george valdano a entiérement raison.
le même phénoméne se répète avec azemour ,au niveau des débats et sujets proposés .
le même phénoméne avait fait ouffrir beaucoup le grand ibn khaloun ay moyen age , ses idées dépassait de loin le niveau mental de l'époque .

azemour ,zidane zinedine et ibn khaldoun , un trio d'enfer chacun dans son domaine

le deuxiéme mandat de boueflika ou le mandat appelé par la rue" le mandat des trottoirs" ça te dis quelques choses ??
relis le passage souligné en rouge et fais une petite analyse!!!!!!

aokas-aitsmail a écrit:akan d itwaghet ay azemour