Communiqué de soutien de l’ASKAF au GPK
Page 1 sur 1
Communiqué de soutien de l’ASKAF au GPK
Communiqué
Un gouvernement provisoire kabyle (GPK) a été rendu publique le 1er juin 2010 au palais des congrès, à Paris. Présidé par Ferhat Mehenni, il sera chargé de représenter la Kabylie au niveau algérien et international. Et faire avancer le processus d’autonomie « institutionnel » en Kabylie.
Face à l’incurie du régime algérien, à l’inexistence politique de l’opposition et aux attaques en règle dont est victime cette structure, avant même d’avoir commencé son action, l’association des kabyles de France (ASKAF) a décidé d’apporter son soutien à ce gouvernement provisoire. Nous estimons que les querelles d’égos doivent laisser la place aux intérêts supérieurs de la Kabylie, livrée aux mains cupides et assassines du pouvoir central d’Alger.
Les enjeux sont de taille : permettre une visibilité internationale de la Kabylie, obliger le régime algérien à tenir compte de la réalité kabyle, niée jusqu’ici, et offrir une perspective à la Kabylie, placée dans une impasse depuis l’indépendance de l’Algérie. Tel un phénix, la Kabylie doit renaitre de ses cendres et renaitra.
Le quadrillage du terrain en Kabylie par les forces armées et militaires, par les groupes islamistes et par les relais du régime offre malheureusement très peu de marge de manœuvre aux nombreux militants kabyles, qui continuent courageusement à se battre contre cet état de fait. La création d’une structure telle qu’un gouvernement provisoire ne pouvait donc se faire qu’à l’étranger. La Kabylie doit exister au niveau international afin d’exister un jour au niveau algérien.
Nous appelons les kabyles de France à soutenir et à aider, en fonction de leurs moyens, cette initiative. Nous comprenons les craintes formulées par certains acteurs politiques kabyles. Le chemin de la liberté n’est pas sans risques et comporte une part d’inconnu. Mais n’oublions jamais que l’ennemi le plus dangereux de la Kabylie est le statu quo, terreau du désespoir d’une part croissante de la population. Dans ce contexte, l’attentisme et les querelles d’égo sont des luxes que nous ne pouvons plus nous permettre.
L’association des kabyles de France (ASKAF)
Un gouvernement provisoire kabyle (GPK) a été rendu publique le 1er juin 2010 au palais des congrès, à Paris. Présidé par Ferhat Mehenni, il sera chargé de représenter la Kabylie au niveau algérien et international. Et faire avancer le processus d’autonomie « institutionnel » en Kabylie.
Face à l’incurie du régime algérien, à l’inexistence politique de l’opposition et aux attaques en règle dont est victime cette structure, avant même d’avoir commencé son action, l’association des kabyles de France (ASKAF) a décidé d’apporter son soutien à ce gouvernement provisoire. Nous estimons que les querelles d’égos doivent laisser la place aux intérêts supérieurs de la Kabylie, livrée aux mains cupides et assassines du pouvoir central d’Alger.
Les enjeux sont de taille : permettre une visibilité internationale de la Kabylie, obliger le régime algérien à tenir compte de la réalité kabyle, niée jusqu’ici, et offrir une perspective à la Kabylie, placée dans une impasse depuis l’indépendance de l’Algérie. Tel un phénix, la Kabylie doit renaitre de ses cendres et renaitra.
Le quadrillage du terrain en Kabylie par les forces armées et militaires, par les groupes islamistes et par les relais du régime offre malheureusement très peu de marge de manœuvre aux nombreux militants kabyles, qui continuent courageusement à se battre contre cet état de fait. La création d’une structure telle qu’un gouvernement provisoire ne pouvait donc se faire qu’à l’étranger. La Kabylie doit exister au niveau international afin d’exister un jour au niveau algérien.
Nous appelons les kabyles de France à soutenir et à aider, en fonction de leurs moyens, cette initiative. Nous comprenons les craintes formulées par certains acteurs politiques kabyles. Le chemin de la liberté n’est pas sans risques et comporte une part d’inconnu. Mais n’oublions jamais que l’ennemi le plus dangereux de la Kabylie est le statu quo, terreau du désespoir d’une part croissante de la population. Dans ce contexte, l’attentisme et les querelles d’égo sont des luxes que nous ne pouvons plus nous permettre.
L’association des kabyles de France (ASKAF)
evasion- Nombre de messages : 64
Date d'inscription : 29/05/2008
Sujets similaires
» Soutien aux syndicats autonomes des enseignants(Communiqué du MAK)
» Communiqué de soutien au mozabite Kamel Eddine Fekhar
» Communiqué du MAK : Expansion organique
» Communiqué du RAJ sur le FSM
» Communiqué appel
» Communiqué de soutien au mozabite Kamel Eddine Fekhar
» Communiqué du MAK : Expansion organique
» Communiqué du RAJ sur le FSM
» Communiqué appel
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|