Madame la chef de Daïra, Monsieur le wali, qu'avez vous fait pour animer la vie culturelle à Aokas?

"Celui qui aime la liberté,
Ne l'aime pas seulement pour lui,
Mais aussi pour les autres."
Kateb Yacine, "L'Homme aux sandales de caoutchouc", Ed. du Seuil, 1970, p. 78.

"Les ennemis de la philosophie ont inventé le turban
Comme un rempart protégeant contre toute science
Leurs crânes désertiques."
Kateb Yacine, "La Poudre d'intelligence" (dans "Le Cercle des représailles", Ed. du Seuil, 1959, p. 87).

Sadek Arab
Hier, à 12:46 ·

Les autorités n'ont pas digéré le fait qu'une population se prenne en charge en construisant un beau théâtre de verdure à Aokas, ce qui justifie peut-être l'énième interdiction inexpliquée du café littéraire de la même ville!

"A Aokas, on aime la culture, le savoir, les débats, enfin bref, on aime tout ce qui développe l'esprit et la réflexion, à l'instar des Japonais.
D'ailleurs, ce n'est pas un hasard si l'anagramme de "AOKAS" est "OSAKA" ville du Japon... "
Lem

Où sont ces " intelectuels" qui se sont empressés à envahir la rue pour soutenir Rachid Boudjedra, on a salué à l'époque cette prompte réaction de la famille culturelle algérienne et on soutenu de notre part l'illustre écrivain Rachid Boudjedra victime d'une pseudo caméra cachée d'une chaîne connue pour sa haine pour la famille qui avance.
Huit conférences sont interdites par l'administration à Aokas et plusieurs autres à Bouzeguene et ces "intelectuels" n'ont pas soufflé un mot... pourquoi ce mutisme?
Pourquoi cette indignation sélective?

[size=30]Pourquoi cette fixation sur AOKAS?[/size]