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Le racisme légendaire des Algériens défraie à nouveau la chronique

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Message  moi Dim 3 Nov - 18:26

Le racisme légendaire des Algériens défraie à nouveau la chronique
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Message  moi Dim 3 Nov - 18:27

Le racisme légendaire des Algériens défraie à nouveau la chronique
Par Abdou Semmar | octobre 30, 2013 7:11


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Trop, c’est trop ! Le racisme de certains algériens, ils sont malheureusement de plus en plus nombreux, dépasse les limites du supportable. Dans la réalité routinière, comme sur les réseaux sociaux, la toile et tout autre espace d’expression, qu’il soit virtuel ou réel, le racisme, les moqueries haineuses et xénophobes, s’invitent de la manière la plus normale.
Le racisme de nos compatriotes a dépassé les frontières. Mieux encore, ils alimentent le buzz et défraie la chronique. A l’étranger, on s’étonne face à ce peuple qui crie au racisme à chaque fois qu’il est discriminé, mais qu’il n’hésite pas, lui-même, à verser dans ce fléau dévastateur dés qu’il a en face de lui des étrangers jugés “de moindre importance” que ces occidentaux face auxquels il développe un incroyable complexe d’infériorité. Ainsi, il aura suffit de quelques après le coup de sifflet final du match Burkina Faso-Algérie pour que les insultes racistes les plus abjectes habillent le Facebook et Twitter algériens. L’arbitre est sans doute mauvais, incompétent. Mais ce n’est pas son incompétence qui a été décriée de prime abord. Mais la couleur de sa peau. Oui, il est nul non parce qu’il n’a pas été suffisamment bien formé pour devenir arbitre. Mais il est nul d’abord parce qu’il noir, comme nos adversaires burkinabés. Et le noir est forcément “salaud”, comme nous le rappelle si pertinemment le quotidien sportif Compétition dont la Une exceptionnellement raciste et haineuse a fait le tour du monde.
Le monde entier a vu donc comment un peuple, du moins une composante assez consistante de ses habitants, se vautre dans le rejet de l’autre juste pour un match de football. Curieusement lors du dernier match barrage pour la qualification à la Coupe du Monde 2010, le match qui a opposé l’Algérie à l’Egypte, l’arbitre du match retour a également fait une monumentale erreur d’arbitrage qui a coûté une défaite cuisante de deux buts à zéro pour l’équipe nationale. Mais à l’époque, cet arbitre-là, un sud-africain blanc, n’a jamais été affublé de “salaud” à la Une de nos quotidiens. Pourquoi ? Il n’est, certainement, pas assez noir pour qu’on le taille ne pièces pas comme l’arbitre zambien qui a dirigé Burkina Faso-Algérie. Malheureusement, le foot n’est pas le seul lieu où le racisme s’épanouit en Algérie.
Dans notre pays, tout est devenu prétexte pour se moquer, mépriser et tourner en dérision l’autre juste parce qu’il appartient à une culture différente de la nôtre, qu’il est physiquement différent de nous et, naturellement, il ne partage pas la même religion que nous. La photo des quatre jeunes algériens qui posent avec un chinois en lui accrochant autour du coup un panneau sur lequel il est écrit : “Je suis un chinois hmar (âne)”, illustre parfaitement cet état d’esprit qui ronge la personnalité algérienne. Cette photo symbolise à elle-seule tout le racisme que nos compatriotes cultivent précieusement dans le jardin de leur vie. Le chinois, comme le noir sub-saharien, n’est pas occidental. On ne fantasme pas sur lui. On ne rêve pas d’aller bâtir une mosquée dans son quartier. On parcourt pas la mer jusqu’aux plages de son pays. Et comme on ne l’admire pas, on le déteste. On le méprise et on se défoule sur lui. Il est âne, fourmis ou tout autre animal qui incarne ce que l’Algérien n’aime jamais être.
Et à défaut de changer, de se transformer, on verse dans le racisme, le sentiment le plus facile à entretenir quand on a aucun génie. Mais faire de son racisme, une source de fierté, c’est le début d’une maladie dangereuse. Il est, d’ailleurs, temps de tirer la sonnette d’alarme
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Message  Azul Jeu 26 Déc - 11:01

Si un jour l’Algérie revient à la raison, les futures générations découvriront que longtemps avant, un chef terroriste avait traîné en justice un journal qui avait osé rappeler sa “qualité” d’ancien terroriste. C’était en 2001, au début de l’ère de la “concorde”.
Ils s’apercevront, ensuite, que ce même journal a, plus tard, ouvert ses pages à ce même terroriste, lui offrant un support pour y faire l’apologie de son projet. C’était en 2011, à l’apothéose de la “réconciliation”.
Il y cible — comme il savait le faire au maquis — un symbole de l’amazighité, Mouloud Mammeri, pour rééditer la provocation de Ben Bella : le tueur sauvé des griffes du GIA par le régime voit dans ce grand esprit “un Kabyle plus qu’un Algérien”. Une forme d’invective tout droit inspirée de la pratique d’État : en juin 2001, les officiels ont appelé les Algérois à défendre leur ville contre les envahisseurs kabyles et depuis que le mouvement de Kabylie y est venu faire la démonstration de sa popularité, Alger est interdite à toute manifestation publique ; pour contrer les marches suscitées par la CNCD, les autorités ont appris à leurs baltaguias à suggérer aux manifestants d’aller “marcher dans leurs villages”.
Et si, aujourd’hui, un “émir” peut médiatiser sa délectation d’avoir donné le prénom du tueur de la Kahina à son fils, c’est que la presse n’est plus ce qu’elle était. Même si elle se revendique — double trahison — sans distinction du combat de Djaout et Mekbel. L’argent, seul, fait courir les éditeurs dont à peine deux ou trois n’osent pas encore passer la ligne rouge au-delà de laquelle tout devient possible pourvu qu’il puisse se répercuter dans les comptes du journal. L’insertion sociale des terroristes s’est traduite en insertion morale du terrorisme. Il n’est plus scandaleux d’avoir tué au nom de l’idéologie islamiste. Et la société s’est soumise à ce viol moral : elle conçoit parfaitement que Hattab soit mis à l’abri de toute menace pendant que Gherbi se meurt au fond d’une cellule ; en tout cas, elle ne manifeste aucun émoi devant un tel paradoxe.
Naturellement, l’arabisme a toujours traqué la berbérité et, donc, la “kabylité” comme base-arrière culturelle, terreau de la conscience identitaire, bref, d’une projection autonome de la perspective nationale. L’arabisme, lui, a pour fonction de lier le destin national à une entité arabe qui l’englobe. L’arabisme est un antinationalisme ; il procède, par exclusion, de tout ce qui remet en cause l’amarrage culturel et, donc, géopolitique de l’Algérie, puis du Maghreb, à une supra-entité arabe.
Jusqu’ici, c’est la conscience berbère que les forces antinationales pourchassaient. Aujourd’hui, l’arabisme primaire, type Ben Bella — mais tout à fait conforme à la “pensée” de l’establishment politique actuel, s’attaque à la kabylité, faisant de l’antikabylisme un programme politique, un programme commun islamo-arabiste.
A posteriori, le séparatisme type MAK s’en trouve légitimé. En voulant refouler, aux sens physique et psychique, la Kabylie, comme matrice revendicative, on veut déplacer l’affrontement politique entre progrès et régression vers un affrontement régionaliste entre “Arabes” et Kabyles. Et c’est l’État qui s’emploie à allumer l’incendie pour étouffer un débat.

M. H.
musthammouche@yahoo.fr



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Message  Azul Jeu 26 Déc - 11:01

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