6ème édition de la Rencontre poétique amazighe en hommage à Nour Ould Amara
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6ème édition de la Rencontre poétique amazighe en hommage à Nour Ould Amara
L’association Etoile Culturelle d’Akbou organise, à partir d’aujourd’hui, la sixième édition de la Rencontre poétique amazighe de la Soummam, en rendant, cette fois-ci, un vibrant hommage à Nour Ould Amara, enseignant et militant de la cause berbère.
Après avoir honoré dans les précédentes éditions tant d’artistes, à l’image de Si Muhend U M’Hend, Maraoui Rabah, dit Ami Said et Jean Mouhoub Amrouche, l’ECA réinstaure, cette année, le parcours de l’infatigable militant de la cause berbère, Nour Ould Amara, à l’occasion du premier anniversaire de sa disparition. L’évènement aura lieu dans l’enceinte de la maison de jeunes « Abderrahmane Farès », avec un slogan savamment élaboré pour retracer le parcours de ce fervent militant, à savoir « La poésie engagée au service de l’identité amazighe ». Cette rencontre rentre, également, dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance, et ce avec l’appui de plusieurs acteurs du mouvement associatif, la direction de la culture de Béjaïa, celle de la DJS et d’éducation nationale, berbère Radio Télévision et l’APC d’Akbou. Le public akboucien aura à communier et à découvrir, durant quatre jours, près de 60 poètes venus de Bouira, Boumerdès, Sétif, Bordj Bou Arreridj, Tizi-Ouzou, et enfin Batna. Selon les initiateurs, plus de 10 exposants sont également attendus, dans la capitale de la Soummam, pour cette festivité. Un programme riche est mis en avant, dont un concours poétique en 04 séances, deux conférences-débat, des pièces théâtrales, des expositions et d’autres surprises qui attendent le public. Né le 10 septembre 1968, à Ain El Hammam, dans le village Koukou, Nour Ould Amara, avant d’être enseignant de sa langue maternelle, enseignait la langue arabe. Outre son adhésion au parti RCD, comme militant de camp démocratique, il est également membre fondateur de l’association des enseignants de la langue berbère. Acteur très actif du mouvement associatif, il a, ainsi, lutté âme et corps pour que la langue Tamazight soit pulsée dans les standards des langues universelles. Eprit de cette langue, il est, par ailleurs, à l’origine de tant d’initiatives de contestation quant au statut de l’enseignement de Tamazight. Il a animé entre 2000 et 2011, plusieurs émissions à la chaine satellitaire BRTV, à côté de son épouse. Décédé le 20 septembre de l’année passée, suite à une maladie, Nour Ould Amara, âgé à peine de 43 ans, a laissé derrière lui une carrière très mouvementée pleine de militantisme et d’activisme pour la culture et la langue berbère.
Menad Chalal
http://www.depechedekabylie.com/cuture/117873-coup-denvoi-aujourdhui.html
Après avoir honoré dans les précédentes éditions tant d’artistes, à l’image de Si Muhend U M’Hend, Maraoui Rabah, dit Ami Said et Jean Mouhoub Amrouche, l’ECA réinstaure, cette année, le parcours de l’infatigable militant de la cause berbère, Nour Ould Amara, à l’occasion du premier anniversaire de sa disparition. L’évènement aura lieu dans l’enceinte de la maison de jeunes « Abderrahmane Farès », avec un slogan savamment élaboré pour retracer le parcours de ce fervent militant, à savoir « La poésie engagée au service de l’identité amazighe ». Cette rencontre rentre, également, dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance, et ce avec l’appui de plusieurs acteurs du mouvement associatif, la direction de la culture de Béjaïa, celle de la DJS et d’éducation nationale, berbère Radio Télévision et l’APC d’Akbou. Le public akboucien aura à communier et à découvrir, durant quatre jours, près de 60 poètes venus de Bouira, Boumerdès, Sétif, Bordj Bou Arreridj, Tizi-Ouzou, et enfin Batna. Selon les initiateurs, plus de 10 exposants sont également attendus, dans la capitale de la Soummam, pour cette festivité. Un programme riche est mis en avant, dont un concours poétique en 04 séances, deux conférences-débat, des pièces théâtrales, des expositions et d’autres surprises qui attendent le public. Né le 10 septembre 1968, à Ain El Hammam, dans le village Koukou, Nour Ould Amara, avant d’être enseignant de sa langue maternelle, enseignait la langue arabe. Outre son adhésion au parti RCD, comme militant de camp démocratique, il est également membre fondateur de l’association des enseignants de la langue berbère. Acteur très actif du mouvement associatif, il a, ainsi, lutté âme et corps pour que la langue Tamazight soit pulsée dans les standards des langues universelles. Eprit de cette langue, il est, par ailleurs, à l’origine de tant d’initiatives de contestation quant au statut de l’enseignement de Tamazight. Il a animé entre 2000 et 2011, plusieurs émissions à la chaine satellitaire BRTV, à côté de son épouse. Décédé le 20 septembre de l’année passée, suite à une maladie, Nour Ould Amara, âgé à peine de 43 ans, a laissé derrière lui une carrière très mouvementée pleine de militantisme et d’activisme pour la culture et la langue berbère.
Menad Chalal
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laic-aokas- Nombre de messages : 14034
Date d'inscription : 03/06/2011
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