Said bouteflika sera le futur président de l'algerie

Editorial Liberté d'Algérie (Jeudi 07 Août 2003)
La régence
Par :Farid Alilat

À commencer par le frère, Saïd. De simple conseiller, cet homme est devenu un grand vizir. Pis, un Président bis. Il a l’œil sur tout. Il décide de tout.
Rien n’échappe à ses yeux et à ses oreilles.

Hallucinante image de la présidence algérienne que nous invitent à voir ses locataires. Ce lieu sacré de la gouvernance, de la bonne gouvernance cela s’entend, est devenu, durant le mandat de Bouteflika, un tabernacle où se jouent les intrigues les plus sordides, les complots les plus abjects et où s’organise un détournement scandaleux : celui de la fonction présidentielle. Nous ne faisons pas dans l’excès lorsqu’on décrit la présidence comme une auberge espagnole gérée par des usurpateurs. À l’origine, Bouteflika est un chef d’État mal élu. Il a été imposé par des généraux qui pensaient avoir trouvé la perle rare pour sortir le pays de la crise. Mais comme au départ, une faute de mauvais goût enfante irrémédiablement une succession d’erreurs, voilà que l’on se retrouve avec une présidence otage d’une petite caste de mauvais gestionnaires. Relisons cette enquête que nous vous livrons dans ce numéro. Aussi incomplète puisse-t-elle l’être, peut-on enquêter en profondeur sur les pratiques d’un sérail réputé être l’un des plus opaques au monde ? Elle a le mérite de mettre au grand jour les pratiques instaurées par le clan de Bouteflika.
À commencer par le frère, Saïd. De simple conseiller, cet homme est devenu un grand vizir. Pis, un Président bis. Il a l’œil sur tout. Il décide de tout.
Rien n’échappe à ses yeux et à ses oreilles. Dans la plus grande opacité, Saïd Bouteflika gère les nominations de ministres et autres commis de l’État. D’une simple décision, dont on ne pourra jamais trouver les traces, il peut briser de grands destins et assurer de viles promotions. Avec la bénédiction de Abdelaziz, Saïd achète le silence des uns et récompense les servitudes des autres. Et l’argent ne manque pas, puisque la bourse de la République est à portée de ses mains.
L’Algérie mérite d’autres hommes d’État, d’autres gouvernants. Elle ne mérite pas des hommes dont les seuls arts qui leur sont reconnaissables sont l’intrigue et la filouterie.

puisque c'est l'ombre de son frére , Said restera le president bis de l'algerie si bouteflika briguera un troisieme mandat ....le troisième mandat qui semble acquit depuis longtemps mais on se posent bcp de questions sur la capacité de ce président de continuer à exercer pendant 5 autres années vu son état de santé...hier à Tlemecen on a découvert pour une enieme fois un président sans voix, un président aux yeux cernés,un président qui ne léve jamais ses yeux, un président trés fatigué. lui qui nous a habitué à des discours trés animés....

un discours préféré il n'arrive pas le lire .c'est fini pour lui les discours spontané

Bouteflika lui même ne sait pas s'il va se présenté au élection ou pas, tout dépend des vrais décideurs et de la disponibilité de personnes qui peuvent sauvé le régime et pas l'Algérie

oui cher rebai on a tous entendu parlé du 3ieme mandat du boufef mais je sais pas si vous l'avez remarqué lui n'en parle jamais, il a pas encore changé la constitution (chose qu'il doit absolument faire) donc comment fera t il son prochain mandat sachant qu'a cause de sa maladie il ne vivra pas encore longtemps.

bienvenue dans al mamlaka aljazairia, le royaume de oujeda.

quelle sera la réaction du peuple ? es ce que ça sera la goute qui fera déborder le vase et que enfin ce peuple osera pour une fois se prononcer sur son avenir ou se laissera t il encore manipuler aussi grossièrement par ces momies ?

massider a écrit:Editorial Liberté d'Algérie (Jeudi 07 Août 2003)
La régence
Par :Farid Alilat

À commencer par le frère, Saïd. De simple conseiller, cet homme est devenu un grand vizir. Pis, un Président bis. Il a l’œil sur tout. Il décide de tout.
Rien n’échappe à ses yeux et à ses oreilles.

Hallucinante image de la présidence algérienne que nous invitent à voir ses locataires. Ce lieu sacré de la gouvernance, de la bonne gouvernance cela s’entend, est devenu, durant le mandat de Bouteflika, un tabernacle où se jouent les intrigues les plus sordides, les complots les plus abjects et où s’organise un détournement scandaleux : celui de la fonction présidentielle. Nous ne faisons pas dans l’excès lorsqu’on décrit la présidence comme une auberge espagnole gérée par des usurpateurs. À l’origine, Bouteflika est un chef d’État mal élu. Il a été imposé par des généraux qui pensaient avoir trouvé la perle rare pour sortir le pays de la crise. Mais comme au départ, une faute de mauvais goût enfante irrémédiablement une succession d’erreurs, voilà que l’on se retrouve avec une présidence otage d’une petite caste de mauvais gestionnaires. Relisons cette enquête que nous vous livrons dans ce numéro. Aussi incomplète puisse-t-elle l’être, peut-on enquêter en profondeur sur les pratiques d’un sérail réputé être l’un des plus opaques au monde ? Elle a le mérite de mettre au grand jour les pratiques instaurées par le clan de Bouteflika.
À commencer par le frère, Saïd. De simple conseiller, cet homme est devenu un grand vizir. Pis, un Président bis. Il a l’œil sur tout. Il décide de tout.
Rien n’échappe à ses yeux et à ses oreilles. Dans la plus grande opacité, Saïd Bouteflika gère les nominations de ministres et autres commis de l’État. D’une simple décision, dont on ne pourra jamais trouver les traces, il peut briser de grands destins et assurer de viles promotions. Avec la bénédiction de Abdelaziz, Saïd achète le silence des uns et récompense les servitudes des autres. Et l’argent ne manque pas, puisque la bourse de la République est à portée de ses mains.
L’Algérie mérite d’autres hommes d’État, d’autres gouvernants. Elle ne mérite pas des hommes dont les seuls arts qui leur sont reconnaissables sont l’intrigue et la filouterie.

le voila le vice président de Boutef III
ouyahia il est servi comme pion c'est l'homme des missions sale si tout

c'est le complexe freudien ,celui de vouloir voir tout le monde ennemi
aprés abdelaazziz bouteflika ,notre président ,maintenant c'est au tour de son valeureux frére d'étre dénigrer ,c'est mesquin comme comportement massider ,trés mesquin de ta part