L’antikabylisme de Chadli met en danger l’unité de l’Algérie
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L’antikabylisme de Chadli met en danger l’unité de l’Algérie
L’antikabylisme de Chadli met en danger l’unité de l’Algérie
L’ancien chef d’état Algérien Chadli vient de sortir de sa longue hibernation par une fracassante sortie médiatique par laquelle il dévoile publiquement son antikabylisme primaire.
par Kader Dahdah
En accordant une longue interview à deux chercheurs universitaire japonais spécialisés dans les questions de l’Afrique du Nord, dans laquelle il se prend pour un historien, un sociologue et un anthropologue, Chadli vient de porter atteinte au peuple kabyle en développant des thèses négationnistes du fait Amazigh.
Non content de la répression qu’il nous a infligée durant la triste période de son règne de 1978 à 1991, il continue aujourd’hui, même éloigné du pouvoir, à vomir sa haine envers notre peuple, et ceci sur les colonnes d’un journal Japonais. Il faudrait rappeler que nous les Kabyles sommes vite taxés de séparatistes lorsque l’un des nôtres s’adresse à un journal étranger pour dénoncer l’oppression que nous subissons depuis l’indépendance.
Aujourd’hui c’est l’un de nos anciens bourreaux qui a déjà utilisé tous les moyens humain et matériels de l’État Algérien comme la télévision, l’école, les radios, les mosquées, la force publique… pour venir à bout de notre langue, de notre civilisation et de notre Amazighité, qui utilise maintenant les médias étrangers pour parvenir à ses fins.
Rappelons tout de même qu’il a été à l’origine de la formule empoisonnée « nous sommes tous des Amazighs arabisés par l’islam », formule conçue pour mieux dépersonnaliser à bas bruit notre région, utilisant de la sorte notre naïve croyance religieuse pour éradiquer notre culture, poussant ainsi certains Kabyles épris d’un excès de ferveur religieuse jusqu’à renier et combattre leur identité amazigh.
Tamazight, langue plusieurs fois millénaire, par laquelle s’adressait Massinissa autrefois à son peuple, n’est pour cet inculte individu qu’une création des services secrets de l’ancien colonisateur (France) qui l’enseigne dans ses université en vue de porter atteinte à l’unité des Algériens.
Cette langue combattue par Chadli et ses nombreux amis et qu’il a désignée comme langue morte est en train de faire une ascension fulgurante grâce d’abord à l’amour que lui porte son peuple, et grâce aussi aux nouveaux moyens technologiques de communication.
Juste au moment où des prix Nobel de chimie et de physique sont décernés à des chercheurs issus de la civilisation universelle, pour ne pas dire judéo chrétienne, en Algérie on assiste à un retour vers le moyen âge par la pratique de l’inquisition contre des Kabyles chrétiens et athées non jeûneurs, on observe aussi cet ancien président porter atteinte à l’unité territoriale Algérienne par le rejet et l’exclusion des Kabyles . On vient d’apprendre également que notre parrain spirituel l’Arabie Saoudite vient de faire une très grande découverte : ils ont mis la main sur une messe clandestine où des travailleurs philippins priaient en cachette.
La lutte contre la liberté de conscience et contre le droit à la différence est une « science » dans laquelle certains resteront toujours des indétrônables pionniers.
Rappelons que la guerre civile qui a ravi à l’Algérie 250 milles citoyens et qui dure toujours, n’avait pas débuté comme on le prétend en 1992 après l’annulation des processus électoral, mais bien avant.
En effet cette guerre civile a commencé dans les années 80 pendant le règne de Chadli. Seulement, elle était limitée et circonscrite dans les enceintes universitaires. À cette époque, Chadli a toujours soutenu les islamistes contre le mouvement berbère.
L’ancien ministre de la défense le général Khaled Nezar raconte dans une interview, l’avoir mis en garde sur le danger qui viendrait des islamistes et non des berbéristes, mais celui-ci ne l’a pas écouté, il a ordonné au contraire plus de répression à l’encontre de ces derniers.
Je me souviens qu’à cette époque où j’étais étudiant, les combats faisaient rage dans les universités entre les deux courants et que les services de sécurité penchaient souvent du coté des islamistes.
Quelque soit leur volonté ethnocidaire par l’arabisation acharnée, par le soutien inconditionnel aux islamistes ou par la corruption de quelques uns des nôtres par les pétrodollars, ils ne pourront jamais venir à bout de notre volonté d’être et de demeurer des Amazighs libres.
La mobilisation du peuple Kabyle par le MAK, avec des rassemblements pour défendre la liberté de conscience devant les tribunaux d’inquisition de l’État semi théocratique est une preuve de sa détermination à s’affranchir du joug sous lequel l’histoire l’a placé.
Malheureusement quelques uns des nôtres sous leur étiquette de démocrates algérianistes, mais actifs seulement en Kabylie, s’obstinent à ralentir la marche et la progression de notre peuple vers son destin d’autonomie et de liberté.
Malgré les multiples actes anti-kabyles du pouvoir comme l’interdiction de recevoir les subventions du PNUD, l’interdiction à nos maires de voyager à l’étranger, l’interdiction de tout investissement privé, l’insécurité programmée, les incendies criminels dans notre région..., nos pseudo-démocrates, ignorés en dehors de la Kabylie, contribuent à la soumission de notre région à ces bourreaux en s’opposant au désir d’autonomie de notre peuple pour préserver leurs intérêts étroits.
Les victoires remportées par nos militants du MAK contre l’inquisition, la progression de l’unification et du rassemblement de tous les Kabyles autour du projet d’autonomie et les avancées que réalise chaque jour l’ANAVAD sur la scène internationale sont des actes politiques qui redonnent espoir à notre peuple, et qui nous rapprochent chaque jour un peu plus de l’objectif de l’autonomie fixé par Ferhat Mehenni en 2001.
http://www.tamurt.info/l-antikabylisme-de-chadli-met-en,667.html?lang=fr
L’ancien chef d’état Algérien Chadli vient de sortir de sa longue hibernation par une fracassante sortie médiatique par laquelle il dévoile publiquement son antikabylisme primaire.
par Kader Dahdah
En accordant une longue interview à deux chercheurs universitaire japonais spécialisés dans les questions de l’Afrique du Nord, dans laquelle il se prend pour un historien, un sociologue et un anthropologue, Chadli vient de porter atteinte au peuple kabyle en développant des thèses négationnistes du fait Amazigh.
Non content de la répression qu’il nous a infligée durant la triste période de son règne de 1978 à 1991, il continue aujourd’hui, même éloigné du pouvoir, à vomir sa haine envers notre peuple, et ceci sur les colonnes d’un journal Japonais. Il faudrait rappeler que nous les Kabyles sommes vite taxés de séparatistes lorsque l’un des nôtres s’adresse à un journal étranger pour dénoncer l’oppression que nous subissons depuis l’indépendance.
Aujourd’hui c’est l’un de nos anciens bourreaux qui a déjà utilisé tous les moyens humain et matériels de l’État Algérien comme la télévision, l’école, les radios, les mosquées, la force publique… pour venir à bout de notre langue, de notre civilisation et de notre Amazighité, qui utilise maintenant les médias étrangers pour parvenir à ses fins.
Rappelons tout de même qu’il a été à l’origine de la formule empoisonnée « nous sommes tous des Amazighs arabisés par l’islam », formule conçue pour mieux dépersonnaliser à bas bruit notre région, utilisant de la sorte notre naïve croyance religieuse pour éradiquer notre culture, poussant ainsi certains Kabyles épris d’un excès de ferveur religieuse jusqu’à renier et combattre leur identité amazigh.
Tamazight, langue plusieurs fois millénaire, par laquelle s’adressait Massinissa autrefois à son peuple, n’est pour cet inculte individu qu’une création des services secrets de l’ancien colonisateur (France) qui l’enseigne dans ses université en vue de porter atteinte à l’unité des Algériens.
Cette langue combattue par Chadli et ses nombreux amis et qu’il a désignée comme langue morte est en train de faire une ascension fulgurante grâce d’abord à l’amour que lui porte son peuple, et grâce aussi aux nouveaux moyens technologiques de communication.
Juste au moment où des prix Nobel de chimie et de physique sont décernés à des chercheurs issus de la civilisation universelle, pour ne pas dire judéo chrétienne, en Algérie on assiste à un retour vers le moyen âge par la pratique de l’inquisition contre des Kabyles chrétiens et athées non jeûneurs, on observe aussi cet ancien président porter atteinte à l’unité territoriale Algérienne par le rejet et l’exclusion des Kabyles . On vient d’apprendre également que notre parrain spirituel l’Arabie Saoudite vient de faire une très grande découverte : ils ont mis la main sur une messe clandestine où des travailleurs philippins priaient en cachette.
La lutte contre la liberté de conscience et contre le droit à la différence est une « science » dans laquelle certains resteront toujours des indétrônables pionniers.
Rappelons que la guerre civile qui a ravi à l’Algérie 250 milles citoyens et qui dure toujours, n’avait pas débuté comme on le prétend en 1992 après l’annulation des processus électoral, mais bien avant.
En effet cette guerre civile a commencé dans les années 80 pendant le règne de Chadli. Seulement, elle était limitée et circonscrite dans les enceintes universitaires. À cette époque, Chadli a toujours soutenu les islamistes contre le mouvement berbère.
L’ancien ministre de la défense le général Khaled Nezar raconte dans une interview, l’avoir mis en garde sur le danger qui viendrait des islamistes et non des berbéristes, mais celui-ci ne l’a pas écouté, il a ordonné au contraire plus de répression à l’encontre de ces derniers.
Je me souviens qu’à cette époque où j’étais étudiant, les combats faisaient rage dans les universités entre les deux courants et que les services de sécurité penchaient souvent du coté des islamistes.
Quelque soit leur volonté ethnocidaire par l’arabisation acharnée, par le soutien inconditionnel aux islamistes ou par la corruption de quelques uns des nôtres par les pétrodollars, ils ne pourront jamais venir à bout de notre volonté d’être et de demeurer des Amazighs libres.
La mobilisation du peuple Kabyle par le MAK, avec des rassemblements pour défendre la liberté de conscience devant les tribunaux d’inquisition de l’État semi théocratique est une preuve de sa détermination à s’affranchir du joug sous lequel l’histoire l’a placé.
Malheureusement quelques uns des nôtres sous leur étiquette de démocrates algérianistes, mais actifs seulement en Kabylie, s’obstinent à ralentir la marche et la progression de notre peuple vers son destin d’autonomie et de liberté.
Malgré les multiples actes anti-kabyles du pouvoir comme l’interdiction de recevoir les subventions du PNUD, l’interdiction à nos maires de voyager à l’étranger, l’interdiction de tout investissement privé, l’insécurité programmée, les incendies criminels dans notre région..., nos pseudo-démocrates, ignorés en dehors de la Kabylie, contribuent à la soumission de notre région à ces bourreaux en s’opposant au désir d’autonomie de notre peuple pour préserver leurs intérêts étroits.
Les victoires remportées par nos militants du MAK contre l’inquisition, la progression de l’unification et du rassemblement de tous les Kabyles autour du projet d’autonomie et les avancées que réalise chaque jour l’ANAVAD sur la scène internationale sont des actes politiques qui redonnent espoir à notre peuple, et qui nous rapprochent chaque jour un peu plus de l’objectif de l’autonomie fixé par Ferhat Mehenni en 2001.
http://www.tamurt.info/l-antikabylisme-de-chadli-met-en,667.html?lang=fr
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
Aokas Revolution- Nombre de messages : 3967
Date d'inscription : 30/06/2009
Re: L’antikabylisme de Chadli met en danger l’unité de l’Algérie
Si un jour l’Algérie revient à la raison, les futures générations découvriront que longtemps avant, un chef terroriste avait traîné en justice un journal qui avait osé rappeler sa “qualité” d’ancien terroriste. C’était en 2001, au début de l’ère de la “concorde”.
Ils s’apercevront, ensuite, que ce même journal a, plus tard, ouvert ses pages à ce même terroriste, lui offrant un support pour y faire l’apologie de son projet. C’était en 2011, à l’apothéose de la “réconciliation”.
Il y cible — comme il savait le faire au maquis — un symbole de l’amazighité, Mouloud Mammeri, pour rééditer la provocation de Ben Bella : le tueur sauvé des griffes du GIA par le régime voit dans ce grand esprit “un Kabyle plus qu’un Algérien”. Une forme d’invective tout droit inspirée de la pratique d’État : en juin 2001, les officiels ont appelé les Algérois à défendre leur ville contre les envahisseurs kabyles et depuis que le mouvement de Kabylie y est venu faire la démonstration de sa popularité, Alger est interdite à toute manifestation publique ; pour contrer les marches suscitées par la CNCD, les autorités ont appris à leurs baltaguias à suggérer aux manifestants d’aller “marcher dans leurs villages”.
Et si, aujourd’hui, un “émir” peut médiatiser sa délectation d’avoir donné le prénom du tueur de la Kahina à son fils, c’est que la presse n’est plus ce qu’elle était. Même si elle se revendique — double trahison — sans distinction du combat de Djaout et Mekbel. L’argent, seul, fait courir les éditeurs dont à peine deux ou trois n’osent pas encore passer la ligne rouge au-delà de laquelle tout devient possible pourvu qu’il puisse se répercuter dans les comptes du journal. L’insertion sociale des terroristes s’est traduite en insertion morale du terrorisme. Il n’est plus scandaleux d’avoir tué au nom de l’idéologie islamiste. Et la société s’est soumise à ce viol moral : elle conçoit parfaitement que Hattab soit mis à l’abri de toute menace pendant que Gherbi se meurt au fond d’une cellule ; en tout cas, elle ne manifeste aucun émoi devant un tel paradoxe.
Naturellement, l’arabisme a toujours traqué la berbérité et, donc, la “kabylité” comme base-arrière culturelle, terreau de la conscience identitaire, bref, d’une projection autonome de la perspective nationale. L’arabisme, lui, a pour fonction de lier le destin national à une entité arabe qui l’englobe. L’arabisme est un antinationalisme ; il procède, par exclusion, de tout ce qui remet en cause l’amarrage culturel et, donc, géopolitique de l’Algérie, puis du Maghreb, à une supra-entité arabe.
Jusqu’ici, c’est la conscience berbère que les forces antinationales pourchassaient. Aujourd’hui, l’arabisme primaire, type Ben Bella — mais tout à fait conforme à la “pensée” de l’establishment politique actuel, s’attaque à la kabylité, faisant de l’antikabylisme un programme politique, un programme commun islamo-arabiste.
A posteriori, le séparatisme type MAK s’en trouve légitimé. En voulant refouler, aux sens physique et psychique, la Kabylie, comme matrice revendicative, on veut déplacer l’affrontement politique entre progrès et régression vers un affrontement régionaliste entre “Arabes” et Kabyles. Et c’est l’État qui s’emploie à allumer l’incendie pour étouffer un débat.
M. H.
musthammouche@yahoo.fr
Liberté du 23 Mai 2011
Ils s’apercevront, ensuite, que ce même journal a, plus tard, ouvert ses pages à ce même terroriste, lui offrant un support pour y faire l’apologie de son projet. C’était en 2011, à l’apothéose de la “réconciliation”.
Il y cible — comme il savait le faire au maquis — un symbole de l’amazighité, Mouloud Mammeri, pour rééditer la provocation de Ben Bella : le tueur sauvé des griffes du GIA par le régime voit dans ce grand esprit “un Kabyle plus qu’un Algérien”. Une forme d’invective tout droit inspirée de la pratique d’État : en juin 2001, les officiels ont appelé les Algérois à défendre leur ville contre les envahisseurs kabyles et depuis que le mouvement de Kabylie y est venu faire la démonstration de sa popularité, Alger est interdite à toute manifestation publique ; pour contrer les marches suscitées par la CNCD, les autorités ont appris à leurs baltaguias à suggérer aux manifestants d’aller “marcher dans leurs villages”.
Et si, aujourd’hui, un “émir” peut médiatiser sa délectation d’avoir donné le prénom du tueur de la Kahina à son fils, c’est que la presse n’est plus ce qu’elle était. Même si elle se revendique — double trahison — sans distinction du combat de Djaout et Mekbel. L’argent, seul, fait courir les éditeurs dont à peine deux ou trois n’osent pas encore passer la ligne rouge au-delà de laquelle tout devient possible pourvu qu’il puisse se répercuter dans les comptes du journal. L’insertion sociale des terroristes s’est traduite en insertion morale du terrorisme. Il n’est plus scandaleux d’avoir tué au nom de l’idéologie islamiste. Et la société s’est soumise à ce viol moral : elle conçoit parfaitement que Hattab soit mis à l’abri de toute menace pendant que Gherbi se meurt au fond d’une cellule ; en tout cas, elle ne manifeste aucun émoi devant un tel paradoxe.
Naturellement, l’arabisme a toujours traqué la berbérité et, donc, la “kabylité” comme base-arrière culturelle, terreau de la conscience identitaire, bref, d’une projection autonome de la perspective nationale. L’arabisme, lui, a pour fonction de lier le destin national à une entité arabe qui l’englobe. L’arabisme est un antinationalisme ; il procède, par exclusion, de tout ce qui remet en cause l’amarrage culturel et, donc, géopolitique de l’Algérie, puis du Maghreb, à une supra-entité arabe.
Jusqu’ici, c’est la conscience berbère que les forces antinationales pourchassaient. Aujourd’hui, l’arabisme primaire, type Ben Bella — mais tout à fait conforme à la “pensée” de l’establishment politique actuel, s’attaque à la kabylité, faisant de l’antikabylisme un programme politique, un programme commun islamo-arabiste.
A posteriori, le séparatisme type MAK s’en trouve légitimé. En voulant refouler, aux sens physique et psychique, la Kabylie, comme matrice revendicative, on veut déplacer l’affrontement politique entre progrès et régression vers un affrontement régionaliste entre “Arabes” et Kabyles. Et c’est l’État qui s’emploie à allumer l’incendie pour étouffer un débat.
M. H.
musthammouche@yahoo.fr
Liberté du 23 Mai 2011
Azul- Nombre de messages : 29959
Date d'inscription : 09/07/2008
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