Ultimes cartouches du DRS
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Ultimes cartouches du DRS
Ultimes cartouches du DRS
Publié: 15/02/11
Publié: 15/02/11
Bourrer les urnes pour faire élire des escrocs, censurer la télé et la radio pour masquer la vérité, couvrir les dossiers de corruption pendant des années, étouffer la vie publique et avoir fait de l’Algérie une fournaise qui transforme nos jeunes en torches humaines ne suffit plus. Les agents des services spéciaux tentent maintenant de désinformer par la pollution sur le Net et la diffamation à travers une partie de la presse écrite. A coup de pseudos, féminins de préférence, les agents du DRS supplient les politiques de se retirer de la contestation pour « libérer la jeunesse algérienne ».
Sous produit du KGB, les officines algériennes oublient que le mur de Berlin est tombé depuis 22 ans, et que le mur de la peur a été détruit par ceux là même que ces indicateurs s’échinent à critiquer. Ni la désinformation de l’ENTV, ni la vulgarité d’Ennahar et Echourouq, ni les pseudos et autres profils des réseaux sociaux ne sauveront le système de l’ombre. Vouloir maintenir la contestation dans l’émeute pour la discréditer et mieux la réprimer est un crime. Pour le régime des ténèbres, quelques cadavres de plus ou de moins, ne changeront pas grand chose. Les jeunes, de toute façon, sont condamnés à mourir par l’immolation ou le naufrage.
Le mérite de la coordination nationale pour le changement et la démocratie est de s’être constituée en assumant et respectant les différences d’opinions de tous. La coordination a tenu malgré les infiltrations et les manipulations de certains agents du DRS qui ont essayé de s’y incruster.Cette avancée affole les professionnels de la manipulation.
L’acquis majeur est déjà là. La coordination a fédéré les générations, les opinions et les régions. Toutes catégories que le pouvoir occulte a essayé de diviser et de tribaliser, depuis toujours.
Maintenant que les partenaires étrangers, longtemps complaisants, se sont démarqués d’une gestion violente et prédatrice, le combat devient plus clair. Les parrains, après avoir hypothéqué la souveraineté politique et économique pour acheter l’impunité, vont maintenant crier, toute honte bue, à l’ingérence ! L’intox ne marche plus.
C’est toute l’Algérie qui sera face au système le 19 à la place du 1ermai. Hommes et femmes, du plus vieux au plus jeune.
Beaucoup tremblent et s’agitent. Ils ont raison.
Alger, le 15 février 2011
Le RCD
rebelle kabyle- Nombre de messages : 6838
Date d'inscription : 12/02/2011
Re: Ultimes cartouches du DRS
http://www.rcd-parlement.net/rcd/details_article.php?Rid=37&Aid=1352&titre=Ultimes%20cartouches%20du%20DRS
rebelle kabyle- Nombre de messages : 6838
Date d'inscription : 12/02/2011
Re: Ultimes cartouches du DRS
et depuis rien à mettre sous la dent , c'est une opposition-bidonville ça ,beaucoup de bruit pour rien .
Re: Ultimes cartouches du DRS
un parti vaut ce que valent ses militants
laic-aokas- Nombre de messages : 14024
Date d'inscription : 03/06/2011
Re: Ultimes cartouches du DRS
non ,pas du tout ,c'est la faillite des élites dites "démocrates" et peut étre plus ,c'est la faillite de leur projet ,incompatible avec nos traditions et notre religion ,incompatible avec carrément notre vécu quotidient.
quand des militants se démarquent clairement d'une idée portée sous forme de projet par un parti politique éternellment minoritaire ,le probléme est clairement imputable à la direction du parti en question.
je vais plus loin dans mon analyse ,si le FIS dissous avait su gérer la grande sympathie du peuple algéien pour son projet ,il aurait pu accéder au pouvoir facilement.
donc le probléme n'était pas les militants et autres sympoathisants du FIS ni d'ailleurs le magnifique projet qu'il portait mais c'était la rigidité de ses dirigents et surtout à leur téte ali ben hadj ,qui se montrait trop radical .
quand des militants se démarquent clairement d'une idée portée sous forme de projet par un parti politique éternellment minoritaire ,le probléme est clairement imputable à la direction du parti en question.
je vais plus loin dans mon analyse ,si le FIS dissous avait su gérer la grande sympathie du peuple algéien pour son projet ,il aurait pu accéder au pouvoir facilement.
donc le probléme n'était pas les militants et autres sympoathisants du FIS ni d'ailleurs le magnifique projet qu'il portait mais c'était la rigidité de ses dirigents et surtout à leur téte ali ben hadj ,qui se montrait trop radical .
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