DOUAR AIT OUARET OUALI
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DOUAR AIT OUARET OUALI
DOUAR AIT OUARET OUALI
RUBRIQUE I / ORGANISATION ADMINISTRATIVE
A / LE PROBLEME
1°- Origine et composition ethnique
Les Ait Ouaret Ouali sont des Berbères, venus du Maroc, vers la fin du XVe siècle, avec un chef religieux qui s’empara du pays par la force des armes. A peu près libres au temps des Turcs et restés indépendants même après l’occupation de BOUGIE, ils se soumirent à la France en 1853.
Constitué par décret du 18 novembre 1868, il est traversé sur son territoire par deux cours d’eau, L’Oued Djemââ et l’oued Zitouna qui forment deux artères parallèles de pénétration. La route nouvelle N°9 de BOUGIE à SETIF le longe et le traverse.
Superficie : 2.000 ha.
Valeur culturale : 1.000 ha.
Propriétés privées indigènes : 2.262 ha.
Domaines de l’État : public : 116 ha, privés 484 ha
Domaine communal : 214 ha
Propriétés privées européennes : 128 ha.
Population sédentaire de race kabyle et de religion musulmane essentiellement agricole. Elle est composée d’éléments travailleurs qui s’emploient dans les propriétés européennes, indépendamment de la culture de leur propre lopin de terre.
2°- Situation économique et financière.
Culture européenne de la vigne.
Culture indigène : orge, olives, fèves, caroubes et tabac, jardins d’orangers. Élevage de
la chèvre. Exploitations forestières.
3°- Degré d’évolution.
Comme tous les pays pauvres, et bien que sédentaire, la population est obligée, pour subvenir à ses besoins, d’émigrer, soit dans certaines villes d’Algérie, soit même parfois mais plus rarement dans la Métropole.
60 lettrés en Français et en Arabe.
80 anciens militaires et retraités.
75 ouvriers agricoles permanents.
07 artisans.
10 commerçants.
4°- Européens résidant dans le douar.
11 Européens habitent le douar, agriculteurs ou gardes forestiers. Leurs relations avec les indigènes sont bonnes, en général, mis à part quelques conflits rapidement réglés avec les ouvriers agricoles.
5°- Desiderata des habitants du douar.
C’est une création d’école qui est réclamée au premier chef par les habitants du douar.
B / LES SOLUTIONS
1°- Examen critique des diverses solutions possibles.
L’absence d’école dans ce douar ne permet pas d’envisager une modification administrative avant 1952.
2°- Plan annuel de réalisations du 1er janvier 1947 au 31 décembre 1951.
Scolarisation (une école à TIZI N’BERBER)
Éducation civique de la Djemââ.
foualili- Nombre de messages : 1183
Age : 41
Localisation : Cap Aokas
Date d'inscription : 30/04/2008
Re: DOUAR AIT OUARET OUALI
je me demande comment zaouche hafit t'as permis de qualifier tizi n"berber de "douar"
d'aprés les fausses confidences de zaouche hafit ,il n'aime pas trop le mot douar ,pour zaama jouer les gens civilisés de taremant ,les véritables faux francophones
d'aprés les fausses confidences de zaouche hafit ,il n'aime pas trop le mot douar ,pour zaama jouer les gens civilisés de taremant ,les véritables faux francophones
Re: DOUAR AIT OUARET OUALI
Cette hypothèse est fausse du moment qu'il n'y a aucune attaque de marocains sur la région de Bejaia vers la fin du 15eme siècle...
je fait un petit rappel de ce que j'ai ecrit sur le defunt aokas forum actif.............
fouallili!! Sais tu pourquoi les habitants de Aokas est des environs parlent ils un dialecte très différent de celui des autres régions.???
Je commencerai par Ighmouracene fondateur de la dynastie zianid .
Ighmouracene fils de Ziyan régna entre 1236 et 1283 sur tout l'ouest algérien , dynastie des zyanides ,fit de Tlemcen sa capitale,
Les visées expansionnistes des Zianides les menèrent à faire le siège de la ville de Bejaia (province hafside).
La première fois par le sultan Bouhamou (petit fils de Ighmouracene) en l’an 1318.
La deuxième fois par Boutachfine, fils et successeur de Bouhamou en l’an 1320.
La troisième en l'an 1322 avec la construction d’une forteresse qui marqua la limite orientale des provinces zianides.,
La Quatrième en l’an 1326, Boutachfine décida de s’emparer de Bejaia et bâtit une nouvelle ville, en l’espace de 40jours autour de la forteresse , à quelques kilomètres de El kseur qui reçut le nom de Timzizdekth pour rappeler a ces sujets l’ancienne citadelle de Ighmouracene située en face de Oujda ,
Timzizdekth, qui signifie littéralement « la nettoyeuse » en Berbère, appelée communément- LESSOUAR - les mures -par la population locale,fut peuplées par plus de 3000 Zianides de la ville Tlemcen , rejoins par la suite par quelques familles des tribus zenatiennes Maghrawas ( Chlef) et Toudjines ( sud de Médéa), plusieurs garnisons ont été ainsi placées dans les villages alentours .
les troupes Zenatiennes resserrèrent la ville au moyen de forts qu’elles élevèrent sur les hauteurs voisines jusqu'au moment ou sultan Mérinide ( Maroc) Abou El Hassan eut décidé de se mettre en compagne contre Tlemcen avec l’aide du sultan hafside de Tunis Abou Yahia .
Vu le danger éminent Boutachfine demanda à son armée stationnée dans les alentours de Bejaia de lever immédiatement le camp pour rejoindre Tlemcen (début 1333), non sans avoir laissé derrière elle plus de 5000 sujets ayant pris goût a la vie dans leur nouvelle ville Timzizdekt et pas près a endurer une fois encore le périple d’un voyage de plus de 10 jours avec femmes, enfants et Bagages.
Le sultan hafside de Tunis commença sa marche vers Tlemcen passa par Bejaia et décida d’en finir avec les Zenâtas, il chargea son avant-garde de les expulser des forts qui cernaient la ville ,ensuite il mena toute sont armée sur Timzizdekth , la Garnison et la population évacuèrent la place à l’approche des Hafsides qui détruisirent totale de la ville.
Les Zenâtas, vu l’impossibilité de rejoindre Tlemcen, décidèrent de prendre le chemin inverse que leur poursuivant auraient imaginé, en effet ils étaient installés à l’ouest de Bejaia, à l’arrivée des troupes hafsides ils avancèrent vers le sud puis vers l’Est pour contourner leur poursuivants pour enfin s’installer a l’Est et au Sud Est de Bejaia. Les hafsides après avoir détruit la ville de Timzizdekth marchèrent quelques temps vers l’ouest à la recherche des enfants de Tlemcen, mais sans résultats, ils décidèrent alors d’aller à M’sila, ville tout aussi réfractaire avant de rallier les Mérinides à l’Ouest.
Ainsi les enfants de Tlemcen après avoir vécu 07 années ( 1326-1333) dans la région de Bejaia , s’installèrent définitivement a l’est de la ville jusqu'à Jijel ,au sud-est de Bejaia jusqu'à Sétif,ils se sont éparpillé en petit nombre pour éviter d’attirer l’attention des hafsides, ils fondérent avec le temps, près de sept siècles, plusieurs petits villages dans les localités suivantes ; Bouandas, mouaklene , tala ifacene,ain tizi, beni ouessine, ain abassa, tizi n'bechar dans la wilaya de setif, , Kendira, Kherrata ,Draa El Kaid, Taskeriout,Ath Smaal,Tizi N’Berbére,Boukhlifa , Ait Tizi, Darguina ,Tamridjt, Bordj Mira,Souk el tenine , Aokas, Melbou dans la wilaya de Béjaia,Ziama Mansouria , Iragheune,laalam dans la wilaya de jijel .
Ces Tlemceniens de Ighmouracene comme j’aime les appeler sont encore là avec leurs us et coutumes, leur langue authentiquement berbère Zenatienne.Ou THAFOUKT (le soleil) des Zenatas à la place de ITIDJ des Zouaouas (kabyles) fait sont apparition.
la présence des zianides a Bejaia n’est pas pacifiste mais très hostile, les affrontement étaient réguliers et ce en dehors de la grande bataille de 1327.
En effet Le sultan Hafside de Tunis se porta au secours du gouverneur de Bejaia et la bataille s’engrena en 1327, les troupes de Tunis avec l’apport des troupes de Annaba, Constantine furent vaincus et perdirent beaucoup de monde du fait que le gouverneur de Bejaia eut décidé de fermer les portes de la ville pour ces invités dont il suspecta une conspiration pour sa destitution.
Apres cette victoire les troupes Zenatiennes continuèrent à parcourir et a peupler les territoires de Bejaia et ce 1326 a 1333, l’exode la plus grande partie , si ce n’est pas toute, la population locale est plus que certaine vu le climat de guerre qui y régnait notamment après la grande confrontation de 1327.
ma théorie est un fruit d’une recherche de plusieurs années, j’ai des preuves tangibles ; anthropologique, linguistique et culturelle de la similitudes avec les habitants des régions et montagne de tlemcen a savoir ; les ath snous , ath boussaid , m,sidra et même au Maroc et qui contraste avec une grande différence de langage et de culture avec ceux qui sont a dix kilomètre a vol d’oiseau.
Concernant la theorie comme quoi tassahlit est parlés par les kotama moi je te dirai que le dialecte kotama est celui parlé par les béni yala .
tu sais qu’en faisant une étude comparative des us et dialectes de la ville de Bejaia par rapport aux populations habitant a 20 km a vole d’oiseau a l’Ouest , au sud et a l’Est …nous trouverons une évolution naturelle et des petites transformation dans les us et dialecte vers el kseur--sidi aich pour l’ouest et amizour--berbacha vers le sud par contre nous observerons une cassure presque totale je dirais même totale vers aokas et ziama a l’Est et ce malgré une présence zenatienne de plus de 07 siècles ….
Il y a aussi un livre qui peut être d’un grand secours Etude sur le dialecte berbère des Béni-Snous du Sociologue français Edmond Destaing écrit entre 1900 et 1907, tout en tenant compte de l’évolution naturelle des langues…
Je vous demande d’axer vos recherche dans ce sens, moi je ne suis plus en algérie!!! et j’aimerai bien m’attabler un jour avec vous tous au cap autour d’une bière bien sur pour enrichir notre débat.
je fait un petit rappel de ce que j'ai ecrit sur le defunt aokas forum actif.............
fouallili!! Sais tu pourquoi les habitants de Aokas est des environs parlent ils un dialecte très différent de celui des autres régions.???
Je commencerai par Ighmouracene fondateur de la dynastie zianid .
Ighmouracene fils de Ziyan régna entre 1236 et 1283 sur tout l'ouest algérien , dynastie des zyanides ,fit de Tlemcen sa capitale,
Les visées expansionnistes des Zianides les menèrent à faire le siège de la ville de Bejaia (province hafside).
La première fois par le sultan Bouhamou (petit fils de Ighmouracene) en l’an 1318.
La deuxième fois par Boutachfine, fils et successeur de Bouhamou en l’an 1320.
La troisième en l'an 1322 avec la construction d’une forteresse qui marqua la limite orientale des provinces zianides.,
La Quatrième en l’an 1326, Boutachfine décida de s’emparer de Bejaia et bâtit une nouvelle ville, en l’espace de 40jours autour de la forteresse , à quelques kilomètres de El kseur qui reçut le nom de Timzizdekth pour rappeler a ces sujets l’ancienne citadelle de Ighmouracene située en face de Oujda ,
Timzizdekth, qui signifie littéralement « la nettoyeuse » en Berbère, appelée communément- LESSOUAR - les mures -par la population locale,fut peuplées par plus de 3000 Zianides de la ville Tlemcen , rejoins par la suite par quelques familles des tribus zenatiennes Maghrawas ( Chlef) et Toudjines ( sud de Médéa), plusieurs garnisons ont été ainsi placées dans les villages alentours .
les troupes Zenatiennes resserrèrent la ville au moyen de forts qu’elles élevèrent sur les hauteurs voisines jusqu'au moment ou sultan Mérinide ( Maroc) Abou El Hassan eut décidé de se mettre en compagne contre Tlemcen avec l’aide du sultan hafside de Tunis Abou Yahia .
Vu le danger éminent Boutachfine demanda à son armée stationnée dans les alentours de Bejaia de lever immédiatement le camp pour rejoindre Tlemcen (début 1333), non sans avoir laissé derrière elle plus de 5000 sujets ayant pris goût a la vie dans leur nouvelle ville Timzizdekt et pas près a endurer une fois encore le périple d’un voyage de plus de 10 jours avec femmes, enfants et Bagages.
Le sultan hafside de Tunis commença sa marche vers Tlemcen passa par Bejaia et décida d’en finir avec les Zenâtas, il chargea son avant-garde de les expulser des forts qui cernaient la ville ,ensuite il mena toute sont armée sur Timzizdekth , la Garnison et la population évacuèrent la place à l’approche des Hafsides qui détruisirent totale de la ville.
Les Zenâtas, vu l’impossibilité de rejoindre Tlemcen, décidèrent de prendre le chemin inverse que leur poursuivant auraient imaginé, en effet ils étaient installés à l’ouest de Bejaia, à l’arrivée des troupes hafsides ils avancèrent vers le sud puis vers l’Est pour contourner leur poursuivants pour enfin s’installer a l’Est et au Sud Est de Bejaia. Les hafsides après avoir détruit la ville de Timzizdekth marchèrent quelques temps vers l’ouest à la recherche des enfants de Tlemcen, mais sans résultats, ils décidèrent alors d’aller à M’sila, ville tout aussi réfractaire avant de rallier les Mérinides à l’Ouest.
Ainsi les enfants de Tlemcen après avoir vécu 07 années ( 1326-1333) dans la région de Bejaia , s’installèrent définitivement a l’est de la ville jusqu'à Jijel ,au sud-est de Bejaia jusqu'à Sétif,ils se sont éparpillé en petit nombre pour éviter d’attirer l’attention des hafsides, ils fondérent avec le temps, près de sept siècles, plusieurs petits villages dans les localités suivantes ; Bouandas, mouaklene , tala ifacene,ain tizi, beni ouessine, ain abassa, tizi n'bechar dans la wilaya de setif, , Kendira, Kherrata ,Draa El Kaid, Taskeriout,Ath Smaal,Tizi N’Berbére,Boukhlifa , Ait Tizi, Darguina ,Tamridjt, Bordj Mira,Souk el tenine , Aokas, Melbou dans la wilaya de Béjaia,Ziama Mansouria , Iragheune,laalam dans la wilaya de jijel .
Ces Tlemceniens de Ighmouracene comme j’aime les appeler sont encore là avec leurs us et coutumes, leur langue authentiquement berbère Zenatienne.Ou THAFOUKT (le soleil) des Zenatas à la place de ITIDJ des Zouaouas (kabyles) fait sont apparition.
la présence des zianides a Bejaia n’est pas pacifiste mais très hostile, les affrontement étaient réguliers et ce en dehors de la grande bataille de 1327.
En effet Le sultan Hafside de Tunis se porta au secours du gouverneur de Bejaia et la bataille s’engrena en 1327, les troupes de Tunis avec l’apport des troupes de Annaba, Constantine furent vaincus et perdirent beaucoup de monde du fait que le gouverneur de Bejaia eut décidé de fermer les portes de la ville pour ces invités dont il suspecta une conspiration pour sa destitution.
Apres cette victoire les troupes Zenatiennes continuèrent à parcourir et a peupler les territoires de Bejaia et ce 1326 a 1333, l’exode la plus grande partie , si ce n’est pas toute, la population locale est plus que certaine vu le climat de guerre qui y régnait notamment après la grande confrontation de 1327.
ma théorie est un fruit d’une recherche de plusieurs années, j’ai des preuves tangibles ; anthropologique, linguistique et culturelle de la similitudes avec les habitants des régions et montagne de tlemcen a savoir ; les ath snous , ath boussaid , m,sidra et même au Maroc et qui contraste avec une grande différence de langage et de culture avec ceux qui sont a dix kilomètre a vol d’oiseau.
Concernant la theorie comme quoi tassahlit est parlés par les kotama moi je te dirai que le dialecte kotama est celui parlé par les béni yala .
tu sais qu’en faisant une étude comparative des us et dialectes de la ville de Bejaia par rapport aux populations habitant a 20 km a vole d’oiseau a l’Ouest , au sud et a l’Est …nous trouverons une évolution naturelle et des petites transformation dans les us et dialecte vers el kseur--sidi aich pour l’ouest et amizour--berbacha vers le sud par contre nous observerons une cassure presque totale je dirais même totale vers aokas et ziama a l’Est et ce malgré une présence zenatienne de plus de 07 siècles ….
Il y a aussi un livre qui peut être d’un grand secours Etude sur le dialecte berbère des Béni-Snous du Sociologue français Edmond Destaing écrit entre 1900 et 1907, tout en tenant compte de l’évolution naturelle des langues…
Je vous demande d’axer vos recherche dans ce sens, moi je ne suis plus en algérie!!! et j’aimerai bien m’attabler un jour avec vous tous au cap autour d’une bière bien sur pour enrichir notre débat.
xatral- Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 03/06/2008
Re: DOUAR AIT OUARET OUALI
1°- Origine et composition ethnique
Les Ait Ouaret Ouali sont des Berbères, venus du Maroc, vers la fin du XVe siècle, avec un chef religieux qui s’empara du pays par la force des armes. A peu près libres au temps des Turcs et restés indépendants même après l’occupation de BOUGIE, ils se soumirent à la France en 1853.
3°- Degré d’évolution.
Comme tous les pays pauvres, et bien que sédentaire, la population est obligée, pour subvenir à ses besoins, d’émigrer, soit dans certaines villes d’Algérie, soit même parfois mais plus rarement dans la Métropole.
60 lettrés en Français et en Arabe.
80 anciens militaires et retraités.
75 ouvriers agricoles permanents.
07 artisans.
10 commerçants.
Les Ait Ouaret Ouali sont des Berbères, venus du Maroc, vers la fin du XVe siècle, avec un chef religieux qui s’empara du pays par la force des armes. A peu près libres au temps des Turcs et restés indépendants même après l’occupation de BOUGIE, ils se soumirent à la France en 1853.
3°- Degré d’évolution.
Comme tous les pays pauvres, et bien que sédentaire, la population est obligée, pour subvenir à ses besoins, d’émigrer, soit dans certaines villes d’Algérie, soit même parfois mais plus rarement dans la Métropole.
60 lettrés en Français et en Arabe.
80 anciens militaires et retraités.
75 ouvriers agricoles permanents.
07 artisans.
10 commerçants.
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