Publication : Le montagnard au grand nez, de Zoubir Zerarga
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Publication : Le montagnard au grand nez, de Zoubir Zerarga
Publication : Le montagnard au grand nez, de Zoubir Zerarga
S. MOHAMADI 27 NOVEMBRE 2018 À 8 H 10 MIN 86
Quelle plume pour quelle histoire ? Celle de Zoubir Zerarga a tracé son chemin. Elle a choisi de dire, tout cru, l’attachement viscéral à sa montagne natale. Dans son premier roman, intitulé Le montagnard au grand nez, édité en juillet 2017, il rend hommage à la montagne et aux enfants qu’elle a engendrés.
L’écrivain, dans ce récit, raconte son pays tel qu’il le vit, tel qu’il le voit, avec ses tares, ses tabous et ses injustices. Il y dit également le mal que subissent ceux de la montagne qui «débarquent avec leur grand nez dans la jungle citadine qui dévore toute velléité de dignité». Cependant, le montagnard pense toujours à se préserver et à garder son honneur, même en subissant tous les torts.
Dans cette fiction au style accessible et direct, l’écriture concise et touchante de Zoubir Zerarga raconte l’histoire de ce montagnard recruté dans une institution publique et voulant s’opposer à la dilapidation des deniers publics.
Porté par l’idéal et le grand nez, le montagnard résiste aux mutations abusives et aux réaffectations punitives jusqu’à la fin de carrière pour finir dans une prison pour un meurtre qu’il n’a pas commis. Jouant sur cette métaphore – ô combien réel- le -, le récit est plein de rebondissements sur les pratiques indignes face à des actes héroïques de résistance, vécus au quotidien.
L’auteur natif du village Adjioun, dans la commune de Draâ El-Gaïd, en Kabylie orientale, une région dominée par la somptueuse chaîne montagneuse des Babors, et bien que formé dans un domaine technique, est fasciné par la magie des mots pour afficher des ambitions littéraires.
Guidé par son désir d’écrire, il espère faire ses armes dans l’écriture romanesque. Ce genre qu’il affectionne tant en s’inspirant d’éléments réels pour créer des fictions portées par la puissance du mot et la pertinence du verbe.
Pour lui, l’écriture est plus qu’une passion. Elle est cet indéniable moyen d’expression qui permet au ciseleur du verbe de porter le mot exact sur la béante plaie. Il dit trouver son bonheur dans les mots, les phrases, les chapitres, les métaphores, les hyperboles et les périphrases.
Comme il soutient trouver dans le tableau de la vie quotidienne les éléments décoratifs pour orner ses fresques romanesques.
Pour lui, écrire c’est dénoncer, crier et bousculer. C’est un acte d’engagement et de résistance. Confronté à la bêtise de l’interdit abusif de l’administration pour rencontrer ses lecteurs à deux reprises, il dit encore que cette brèche de libre expression qu’il a ouverte ne peut être refermée. Le roman y demeure un outil adéquat. Et d’ailleurs, une seconde fiction est ficelée et n’attend que son édition.
S. MOHAMADI 27 NOVEMBRE 2018 À 8 H 10 MIN 86
Quelle plume pour quelle histoire ? Celle de Zoubir Zerarga a tracé son chemin. Elle a choisi de dire, tout cru, l’attachement viscéral à sa montagne natale. Dans son premier roman, intitulé Le montagnard au grand nez, édité en juillet 2017, il rend hommage à la montagne et aux enfants qu’elle a engendrés.
L’écrivain, dans ce récit, raconte son pays tel qu’il le vit, tel qu’il le voit, avec ses tares, ses tabous et ses injustices. Il y dit également le mal que subissent ceux de la montagne qui «débarquent avec leur grand nez dans la jungle citadine qui dévore toute velléité de dignité». Cependant, le montagnard pense toujours à se préserver et à garder son honneur, même en subissant tous les torts.
Dans cette fiction au style accessible et direct, l’écriture concise et touchante de Zoubir Zerarga raconte l’histoire de ce montagnard recruté dans une institution publique et voulant s’opposer à la dilapidation des deniers publics.
Porté par l’idéal et le grand nez, le montagnard résiste aux mutations abusives et aux réaffectations punitives jusqu’à la fin de carrière pour finir dans une prison pour un meurtre qu’il n’a pas commis. Jouant sur cette métaphore – ô combien réel- le -, le récit est plein de rebondissements sur les pratiques indignes face à des actes héroïques de résistance, vécus au quotidien.
L’auteur natif du village Adjioun, dans la commune de Draâ El-Gaïd, en Kabylie orientale, une région dominée par la somptueuse chaîne montagneuse des Babors, et bien que formé dans un domaine technique, est fasciné par la magie des mots pour afficher des ambitions littéraires.
Guidé par son désir d’écrire, il espère faire ses armes dans l’écriture romanesque. Ce genre qu’il affectionne tant en s’inspirant d’éléments réels pour créer des fictions portées par la puissance du mot et la pertinence du verbe.
Pour lui, l’écriture est plus qu’une passion. Elle est cet indéniable moyen d’expression qui permet au ciseleur du verbe de porter le mot exact sur la béante plaie. Il dit trouver son bonheur dans les mots, les phrases, les chapitres, les métaphores, les hyperboles et les périphrases.
Comme il soutient trouver dans le tableau de la vie quotidienne les éléments décoratifs pour orner ses fresques romanesques.
Pour lui, écrire c’est dénoncer, crier et bousculer. C’est un acte d’engagement et de résistance. Confronté à la bêtise de l’interdit abusif de l’administration pour rencontrer ses lecteurs à deux reprises, il dit encore que cette brèche de libre expression qu’il a ouverte ne peut être refermée. Le roman y demeure un outil adéquat. Et d’ailleurs, une seconde fiction est ficelée et n’attend que son édition.
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Quelle plume pour quelle histoire ? Celle de Zoubir Zerarga a tracé son chemin. Elle a choisi de dire, tout cru, l’attachement viscéral à sa montagne natale. Dans son premier roman, intitulé Le montagnard au grand nez, édité en juillet 2017, il rend hommage à la montagne et aux enfants qu’elle a engendrés.
L’écrivain, dans ce récit, raconte son pays tel qu’il le vit, tel qu’il le voit, avec ses tares, ses tabous et ses injustices. Il y dit également le mal que subissent ceux de la montagne qui «débarquent avec leur grand nez dans la jungle citadine qui dévore toute velléité de dignité». Cependant, le montagnard pense toujours à se préserver et à garder son honneur, même en subissant tous les torts.
Dans cette fiction au style accessible et direct, l’écriture concise et touchante de Zoubir Zerarga raconte l’histoire de ce montagnard recruté dans une institution publique et voulant s’opposer à la dilapidation des deniers publics.
Porté par l’idéal et le grand nez, le montagnard résiste aux mutations abusives et aux réaffectations punitives jusqu’à la fin de carrière pour finir dans une prison pour un meurtre qu’il n’a pas commis. Jouant sur cette métaphore – ô combien réel- le -, le récit est plein de rebondissements sur les pratiques indignes face à des actes héroïques de résistance, vécus au quotidien.
L’auteur natif du village Adjioun, dans la commune de Draâ El-Gaïd, en Kabylie orientale, une région dominée par la somptueuse chaîne montagneuse des Babors, et bien que formé dans un domaine technique, est fasciné par la magie des mots pour afficher des ambitions littéraires.
Guidé par son désir d’écrire, il espère faire ses armes dans l’écriture romanesque. Ce genre qu’il affectionne tant en s’inspirant d’éléments réels pour créer des fictions portées par la puissance du mot et la pertinence du verbe.
Pour lui, l’écriture est plus qu’une passion. Elle est cet indéniable moyen d’expression qui permet au ciseleur du verbe de porter le mot exact sur la béante plaie. Il dit trouver son bonheur dans les mots, les phrases, les chapitres, les métaphores, les hyperboles et les périphrases.
Comme il soutient trouver dans le tableau de la vie quotidienne les éléments décoratifs pour orner ses fresques romanesques.
Pour lui, écrire c’est dénoncer, crier et bousculer. C’est un acte d’engagement et de résistance. Confronté à la bêtise de l’interdit abusif de l’administration pour rencontrer ses lecteurs à deux reprises, il dit encore que cette brèche de libre expression qu’il a ouverte ne peut être refermée. Le roman y demeure un outil adéquat. Et d’ailleurs, une seconde fiction est ficelée et n’attend que son édition.
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Quelle plume pour quelle histoire ? Celle de Zoubir Zerarga a tracé son chemin. Elle a choisi de dire, tout cru, l’attachement viscéral à sa montagne natale. Dans son premier roman, intitulé Le montagnard au grand nez, édité en juillet 2017, il rend hommage à la montagne et aux enfants qu’elle a engendrés.
L’écrivain, dans ce récit, raconte son pays tel qu’il le vit, tel qu’il le voit, avec ses tares, ses tabous et ses injustices. Il y dit également le mal que subissent ceux de la montagne qui «débarquent avec leur grand nez dans la jungle citadine qui dévore toute velléité de dignité». Cependant, le montagnard pense toujours à se préserver et à garder son honneur, même en subissant tous les torts.
Dans cette fiction au style accessible et direct, l’écriture concise et touchante de Zoubir Zerarga raconte l’histoire de ce montagnard recruté dans une institution publique et voulant s’opposer à la dilapidation des deniers publics.
Porté par l’idéal et le grand nez, le montagnard résiste aux mutations abusives et aux réaffectations punitives jusqu’à la fin de carrière pour finir dans une prison pour un meurtre qu’il n’a pas commis. Jouant sur cette métaphore – ô combien réel- le -, le récit est plein de rebondissements sur les pratiques indignes face à des actes héroïques de résistance, vécus au quotidien.
L’auteur natif du village Adjioun, dans la commune de Draâ El-Gaïd, en Kabylie orientale, une région dominée par la somptueuse chaîne montagneuse des Babors, et bien que formé dans un domaine technique, est fasciné par la magie des mots pour afficher des ambitions littéraires.
Guidé par son désir d’écrire, il espère faire ses armes dans l’écriture romanesque. Ce genre qu’il affectionne tant en s’inspirant d’éléments réels pour créer des fictions portées par la puissance du mot et la pertinence du verbe.
Pour lui, l’écriture est plus qu’une passion. Elle est cet indéniable moyen d’expression qui permet au ciseleur du verbe de porter le mot exact sur la béante plaie. Il dit trouver son bonheur dans les mots, les phrases, les chapitres, les métaphores, les hyperboles et les périphrases.
Comme il soutient trouver dans le tableau de la vie quotidienne les éléments décoratifs pour orner ses fresques romanesques.
Pour lui, écrire c’est dénoncer, crier et bousculer. C’est un acte d’engagement et de résistance. Confronté à la bêtise de l’interdit abusif de l’administration pour rencontrer ses lecteurs à deux reprises, il dit encore que cette brèche de libre expression qu’il a ouverte ne peut être refermée. Le roman y demeure un outil adéquat. Et d’ailleurs, une seconde fiction est ficelée et n’attend que son édition.
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