Manque de toilettes publiques et le phénomène d'uriner sur les rues !!!!!

Chaque jour des centaines de milliers de personnes qui se retrouve dans des différentes agglomérations il est aberrant de constater que les autorités qui en ont la charge ne se soient toujours pas décidées à faire installer des toilettes publiques.
Trouver un endroit pour libérer sa vessie lorsqu’on est saisi par un besoin urgent s’avère un exercice malaisé sous les latitudes algériennes. Et pour cause, les nombreuses toilettes publiques, c’est-à-dire celles que l’on désigne communément sous les noms de latrines, de vespasiennes, d’urinoirs ou de pissotières.
Si on pose notre regard sur les différentes stations de bus, la présence des toilettes publiques est presque rare para port aux flux des milliers de personne qui font la navette chaque jour.
Combien de familles, couples…. ???? qui soufrent a chaque fois qu’ils ont affaire aux voyage a cause la non disponibilité d’urinoirs.

Dans certaines parties de la cité, de tels édifices, de nombreux coins de rues, rampes d’escaliers, de passages souterrains et de passerelles, situés jusqu’à l’intérieur des agglomérations, se sont trouvés transformés a des endroits pour satisfaire leurs besoins, parce que poussées par l’urgence du moment, les utilisent pour uriner et déféquer ajoutant ainsi à la saleté et l’insalubrité ambiantes. A chaque endroit d’une agglomération.

Il est plus rentable de mendier que d'investir dans des toilettes.
10 DA pour chaque passant, et fait le compte!

un trés bon sujet ,loin des polymiques stériles et autres sujets alarmistes sur l'école algérienne , le pouvoir algérien ,les droits ds femmes ,la fameuse idée de démocratie , l'utopie sur l'égalité des sexes , et j'en passes

azemour aime les sujets soft

on doit commencer par le commencement

le commencement c avant 62

on doit revenir au vrai commencement , avant le débarquement du colonialisme français en 1827